Ouverture du Saturday Night (Nouvelle Formule)

Jeffrey entra dans la boite de nuit,histoire de se changer les idées apres l evenement dans le centre commercial.

(soit je suis venu ici pour me changer les idées,alors amusons nous et que l alcool coule à flot.)

Il se dirige vers le bar et commanda une biere brunepuis il regarda les peronnes qui y etait présente.

(Tiens elle est la aussi,mais qu est ce qu elle fait)

Il vit la jeune femme prendre des comprimés en buvant de l alcool.

(merde le mélange des deux est da,gereux je crois )

Il s approcha de la femme son verre à la main en lui disant tout bas:

Vous ne devriez pas faire sa vous savez,je sais que cela ne me regarde pas,mais si vous voulez en finir,il y a d autre solutions que mélanger les médicaments et l alcool avant de mourir dans les toilettes de la boite.

[les rues de Boston]

Il débarqua devant le grand édifice, et siffla entre ses dents. Almarita ne s'était pas moquée de lui. Mais qu'est-ce qu'il allait faire d'un lieux pareil ? Devant l'entrée, les videurs le saluèrent comme si il était déjà le patron. Le problème avec la mère des gitans, c'est qu'elle prévoyait tout. Et tout les employés pareil, la jolie fille du vestiaire, la moindre serveuse lui souriait comme si il s'étaient toujours connus. de quoi se frapper le crâne contre les murs. il avait l'impression d'être dans une autre dimension.

Sagamore, le géant, commença à s'y croire. Les serveuses péroraient autour de lui à qui mieux mieux. Et comme il était très large, elle étaient très nombreuses. Comme un coq en pate, il se sentait très à son aise. Depuis qu'il était sorti de prison, il n'avait pas songé un ionstant à la chose et ces quelques miss en tenue légère qui se battaient pour parler au patron lui tournaient la tête. un vieux relent de droit de cuissage ? il se secoua. Bordel, elle l'avait bien eu la mère des gitans, le voilà déjà qui jouait au propriétaire. il avait d'autres choses à faire, plus urgentes !

Il jeta un oeil au décors mièvre de la salle. Faudrait changer tout ça, et vite fait ! Patron de bar, sagamore, on aurait tout vu. il se libéra d'un regard sévère de ses employées, et fonça vers le bar avec sa tête des mauvais jours. Il voulu commander mais, le barman lui avait sorti déjà un baron de scotch sans glace servi à raz et il lui laissait la bouteille avec un sourire entendu. Quel monde !

C'est alors seulement qu'il remarqua les deux membres de l'institut. Angela... Non, Blackie... Il se rappelait jamais, par contre elle ! Ses formes savoureuses étaient inscrites à tout jamais dans sa rétine. Elle s'habillait d'une façon qui la mettait en valeur en plus. Et l'autre, c'était le jeune timide, au tein pâle. Sagamore ricana.

" Décidement, on peut pas faire un pas sans tomber sur quelqu'un de l'institut... Miss Angela... Alors ? On en a pas eu assez pour ce soir ? Et toi c'est Jeffrey ? Vous avez de la chance, c'est ma tournée. "

Il allait faire un geste, mais déjà le barman les avait resservi sans qu'il est rien pu faire. C'était une habitude detestable. Et Sag n'aimait pas qu'on l'écoute. il jeta un regard noir au serveur qui s'effaç a à l'autre bout de l'immense comptoir. enfin seuls, Sagamore esquissa un sourire après peu près aussi engageant qu'une porte de prison.

Sagamore avait les yeux éxorbhités. Décidement, Black Widow aimait jouer de son physique. De son physique... Quelle blague, elle aimait séduire à l'excès. Quand elle parlait, on aurait cru qu'elle lisait dans le fond de votre âme, et qu'elle en jouait pour vous vamper littéralement. Mais, Sag avait eu une dure journée, l'adrénaline aurait pu le pousser à se jeter sur elle. Mais, il venait de subir à peu près le même traitement avec Almarita. Et la mère des Gitans venait de lui annoncer que les Tziganes quittaient la ville. Plus de musique et Sag perdait un allié de poids pour sortir Jade de sa merde.

Angéla voulait un boulot. Impec, il en fournissait à tout va. Qu'elle ne s'en fasse pas. Mais, par pitié, qu'elle cesse de lui agiter sa paire de lolo sous les yeux. Dans les prunelle de miss veuve noire, il y avait beaucoup de couleur, elle avait l'air un peu défoncée... Le géant allait craquer. On peut-être gentleman et bête tout à la fois enfin version O'Neil. Il lui sourit de son étrange regard d'acier, la cicatrice torturée jouait sur la peau qui accrochait. Il coassa encore plein de vision somptueuse dans les yeux, mais retrouvant son calme.

" Angela, t'as besoin de fric et tu cherches un boulot ? Y a pas de problème... On trouvera une solution, t'as surement pas besoin d'auditon, bordel ! Je t'ai vu dans la ruelle, je sais comment tu bouges... Et je pourrais, jamais l'oublier, mais par pitié, j'ai eu une rude journée. Et c'est peut-être pas fini. "

D'un signe de la main, il montra au jeune Jeffrey qu'ils allaient devoir parler affaires, et qu'il ne pourrait pas participer à l'affaire. De sa grosse voix, Sagamore demanda.

" Dis, donc, Jeffrey, t'as pas école demain ? Allez, rentre vite avant que Malicia me dise que je débauche ses élèves. A plus... Bon, Barman, tu serviras le jeune gars au bout du bar. Et tant pis pour Malicia... Hahaha..."

Puis, il entraîna Blackie par le bras, sous ses grosses patounes, il sentait le contact de sa peau soyeuse. Mais, Sagamore avait retrouvé tout ses esprits. Il ne pouvait pas attendre et cette fille avait fait montre de nombreux talents dans les ruelles ! Si, il voulait sauver Jade, il devait monter une équipe et des solides. Il avait emmener sa bouteille et son bock. Et d'un geste, angela avait été reservie.

Du coin de l'oeil et depuis qu'il était entré, il surveillait le gosse, le petit branleur de la confrérie, le métier... Celui-là avait plutôt pas intérêt à jouer les casses bonbons ce soir. Sagamore n'était extrèmement pas d'humeur. Du genre à vous faire traverser quelques murs avant de se calmer. Il embraya à Angela et seul eux pouvaient entendre ce qu'il disait.

" Ecoute, Blackie, j'ai plus important à te parler. Ca fait pas une semaine que je suis sorti de prison, Alcatraz... Sept ans ans à tirer, et je regrette rien, j'ai jamais fais que voler ceux qui en avaient trop. Mais, depuis, il ya une pauv' môme qui cour la campagne, elle est orpheline. Et son père... "

Sagamore s'arrêta, son visage devint grisatre au souvenir de la mort violente de Joe Dimaggio. Les balles qui sifflaient, et Jade avait 7 ans les flics avaient laché une grenade dans la baraque. Sag n'avait pu protéger que la petite, le père et la mère de la gamine.

"... Il est mort et c'était un ami. La petite est mutante, et des petits malins ont décidé de l'utiliser pour des casses ! Ils la tiennent enchaînée, des mutants dissidants... Et on dis qu'ils bossent pour le Cercle. Un genre de consortium... toute la pègre est unie sous la bannière du Cercle.

Aussitôt que j'ai les infos que je cherche, je monte un coup pour la sortir, elle s'appele Jade. Je cherches des gens compétents avec du sang froid ! T'en es ? "

Il lui laissait le choix, si elle connaissait le Cercle et les dangers que cela pouvaient faire naitre, elle devait choisir elle même.

- Pour commencer, mon nom est Angela, pas "Black je sais pas quoi", dit Angela, toujours le sourire aux lèvres. L'effet de la mescaline continuait à augmenter, mais elle n'habitait pas loin...

La drogue lui fit occulter une partie de l'histoire de Sagamore. Elle n'arrêta de battre la campagne que lorsque Sagamore prononça les deux mots : Le Cercle.

Par réflexe, elle lut dans les pensées de Sagamore tout ce qu'elle avait raté de ses paroles. Jade, Alcatraz, etc. Elle nota aussi que Sagamore l'avait prise comme danseuse, mais doutait qu'il eût à nouveau envie de changer de conversation. Elle se rassit néanmoins dans une position moins équivoque.

- Je ne sais pas grand-chose du Cercle, seulement qu'ils sont... trop dangereux pour quiconque.

Angela collectionnait les faveurs aujourd'hui. D'abord John Bender, puis lui. Un prêté pour un rendu. Sagamore, cela se voyait, était un homme d'honneur - et c'était peut-être justement son honneur qu'il cherchait à récupérer en plus de la fille. Il l'aiderait quand elle en aurait besoin.

- S'attaquer au Cercle, paraît-il, peut te coûter beucoup plus que la vie. Je ne les ai jamais rencontrés, et c'est tant mieux : ils doivent être à peu près les seuls criminels que je crains.

Elle finit sa bière d'un trait et regarda Sagamore droit dans les yeux.

- Mais ton histoire m'a touchée, et je t'aiderai. J'ai peur, mais je t'aiderai. On se serrera les coudes.

Angela avait un sacré courage... Elle relevait le défi même en connaissance de cause. Ils savaient tous les deux que le Cercle s'était pas des gentils, pire, cette organisation aurait pu broyer l'institut ou la Confrérie d'un simple coup de téléphone. Parce qu'elle était prête à lui filer un coup de main, juste parce que l'histoire de Jade l'avait touchée, Sagamore la remercia d'un regard admiratif. C'était une femme qui n'hésitait pas, pleine de courage... Sag dit d'une voix rocailleuse où perçait l'émotion.

" merci, Angela, j'espère pouvoir rencontrer celle qui dirige le Cercle... Si, elle comprend l'interêt qu'elle peut avoir à m'aider... Alors, on sera en possibilité de monter une opération sauvetage pour Jade. Malicia dispose de matos, et je veux monter une équipe compétente. Pour le boulot, on verra demain, mais tu es engagée aux conditions qui te plaisent pur les horaires et tout. On s'arrangera. "

Soudain, une voix vint les couper abruptement qui leur fait tourner la tête.

" D'habitude, c'est moi qui m'occupe des engagements des danseuses... Je suis, Nina Armako, la sous directrice de cet établissement. Ici, toutes les filles sont logées à la même enseigne. Elle commencent dans cette salle. 3 000 dollars le mois, trois heures de danse chaque soir. Mais, si le patron vous recommande... Vous êtes pas mal gaulée, en forme, vous pouvez commencer en bas dans les Catacombes ! 4 500 $, trois passages de trente minutes chaques soirs, vous pourriez faire l'affaire. Enfin, suivant les désirs de M. O'Neil. "

Une voix rauque et suave, la femme était blonde, sophistiquée, elle protait une robe, un foureau noir, qui dévoilait une opulante poitrine et des hanches galbées. Elle souriait en penchant la tête de côté dévoilant la courbe de sa nuque parfaite. On sentait dans sa voix qu'elle jouait sa place. Mais Sagamore la remercia d'un hochement de tête.

" Oui, merci Miss Armako, Si tout va bien, je m'occuperais moi-même du contrat de Angéla. Je vais devoir partir... J'espère que vous n'avez pas de problème. "

"Il n'y a jamais de problèmes au Saturday, mister, et maintenant que vous voilà le patron... Cela m'étonnerais qu'il y en ai plus. Je me tiendrais à votre entière disposition pour les comptes et vous expliquer le fonctionnement..."

Elle fit un signe de la tête et s'écarta en marchant avec son port de reine. dans la salle la plupart des types ne pouvaient plus avoir d'yeux que pour elle ou Angela, cela faisait marrer Sagamore de se retrouver au centre de tous ces regards. Mais, il était pressé.

"Angela, je vais foncer à l'institut, j'ai encore deux ou trois choses à régler... Surtout, je dois parler à John. Que comptes-Tu faire ? "

Il se tenait près à décoller, le temps jouait contre lui. Monde de dingue, quand même se retrouver patron d'un bar de nuit, Merci Almarita.

Ashern regarda la serveuse jouer de ses formes entre les tables, portant gracieusement son plateau. Il regarda bien sûr les atouts de la jeune femme avec un certain plaisir, mais se ravisa. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait qu'il était venu ici pour autre chose. Pour quoi, il ne le savait pas. Pff, il avait trop changé, vraiment trop, le temps de se dégourdir les jambes et les poignets était venu. Pourtant, le combat contre Balmung devait l'avoir épuisé, mais il se sentait plutôt excité. Peut etre était-ce à cause des danseuses qui se trémoussaient sur la piste, ou la pleine lune qui régnait en maitresse sur le ciel. Puis lorsque la serveuse arriva à sa table, elle déposa sa tesuilla et lui dit qu'elle était offerte par le patron. Il regarda étrangement Sagamore qui était accoudé au bar, puis le vit partir avec une femme avec laquelle il parlait depuis son entrée.

Ashern *Non, pas possible ... Ne me dis pas que c'est lui le patron.*

Ashern émit un petit rire intérieur. Il le voyais mal en patron d'une boite ... Puis la ravissante serveuse se décala pour qu'il puisse apercevoir ses interminables jambes. Il la regarda de bas en haut, vit son petit sourire, saisit son verre rapidement et le but cul sec. La serveuse le regarda d'un air amusé. Il se leva, sortit deux gros billets de 100 dollars, les déposa sur la table et s'adressa à la serveuse.

Ashern -Je n'aime pas trop les aguicheuses, mais je dois avouer que vous avez un charme fou. Ceci est pour vous et la danseuse sur la scène. Maintenant si vous le permettez ...

Il remit ses lunettes sur son nez et traversa la salle, celles ci cachant ses yeux épiant les moindres faits et gestes des personnes encore présentes. Il franchit la porte, sentit l'air frais de la nuit souffler sur son visage. Il se sentit rempli d'une énergie nouvelle. Il traversa la rue et s'engagea dans une ruelle.

==> Les rues de Boston

Jeffrey interloqué par les paroles du colosse ecarquillat les yeux,avant de lui répondre.

Oh,si on ma laissé entré c est que j ai l age minimum requis pour picoler et autre,et puis les cours ce n est que demain,pour l instant je m amuse.

Degouté par l attitude des autres Jeffrey prit sa biere et la but cul sec,puis il sortit de la boite ne voulant pu s amuser.

(Humains ou mutants y a toujours des emmerdeurs.....)

Puis il sortit dans les rues pour se balader,et surtout reflechir.

Regarder Angela sortir du Saturday, traverser la salle dans ses vêtements civils... De quoi damner un saint, et la moitié des mecs dans la boite bavaient derrière elle. Un fragile équilibre, un défi permanent à toutes les lois de la gravitation, ses seins semblaient la porter en avant comme des obus. Sagamore venait d’engager cette demoiselle comme danseuse dans un bar de nuit. Quelle blague... Mais, cette nana n’était pas pour lui, il avait senti au premier regard qu’elle n’était pas à prendre. Bah...

Soudain, derrière lui, une serveuse, mignonne mais qui ne faisait pas le poids avec Angela. La môme, une charmante rouquine, dit d’une voix pointue en minaudant :

« Patron, vous avez un appel. Là haut, au bureau... Un certain Don Carpatti. »

De son joli menton, elle pointait un escalier de bois en colimaçon qui menait aux étages. Le bureau surplombait la nef. Une grande baie vitrée fumée permettait d’observer la scène et le bar. Une vue royale.

Carpatti, le chef de la Cosa Nostra, une belle ordure qui avait longtemps travaillé dans la drogue, mais, comme les autres, il était affilié au Cercle. Et par lui, Sag remonterait jusqu’à Liz Marker, le vrai patron de l’organisation. Le seul lien qui pouvait le mener aux ravisseurs de Jade. Enfi, il faudrait déjà jouer serrer avec Carpatti. On atteignait le cœur de la nuit, les décibels tapaient à fond dans les boite et les projos crachaient du dur, accrochant dans leur circuit des ombres déhanchées. Il grimpa les escaliers tranquillement, toujours faire marner le pigeon.

Le bureau était somptueux, une vue panoramique sur la salle et bois de rose pour les meubles. Le fauteuil de ministre ressemblait à un canapé et Sagamore se jeta dedans. Face à lui, un gigantesque écran plat qui se mit clignoter. Voix décérébrée d’ordinateur féminin.

« Un appel en direct visio, Don Carpatti. Voulez vous prendre la communication, Mister O’Neil. Je suis Staps, votre ordinateur de contrôle. ? »

« Ouais, parfait. Envoie moi le vieux rat. »

Sagamore était impressionné, ce genre de visiocom le mettait plutôt mal à l’aise. A l’écran, la tête d’un type de 50 ans, visage cireux et marqué. Il portait une fine moustache poivre et sel et ses cheveux gominés rappelaient un feuilleton des années 50’s. Le Don avait des petits yeux verts, étroits, il plissa son regard en reconnaissant Sagamore sur le visiocom.

« O’Neil, estimez vous heureux que je doive un service à Almarita, sans quoi, vous seriez déjà mort. La Mère des Gitans m’a dit que vous cherchez à fourguer du matériel Informatique top niveau. Vous avez repris la main ? Vous et moi sommes des pachydermes dans ce monde, nous n’avons plus vraiment court. Laissez moi vous dire que si vous préparez un sale coup, je lâcherais mes dogues sur vous... Vous verrez alors que vous êtes finis, oublié, la légende de O’Neil n’a déjà plus d’existence. Trois vieux croûtons, au bord de la maison de retraite, discutent peut-être encore de vos exploits et tout juste ! Je peux vous briser. »

« Vous avez l’air malade Don, les nerfs sans doute. Vous devez nous couver un petit ulcère... Lâchez-moi la grappe Carpatti. Moi, je marche tout seul et j’ai jamais eu besoin de personne pour régler un compte. Tout ce que je veux, c’est la galette. Je veux me retirer sur un coup fumant. Je joue pas petit bras, c’est du lourd... 100 millions de $, cash, vous faites le poids ? Alors passez moi vos patron !

Bien ferrer le bestiau, jouer le coup à fond pas lui laisser le temps de se retourner. Sagamore avait toujours tapé fort. Dix ans avant avec Joe, à deux, ils avaient faits le triple au casino du Sphinx à Vegas. Carpatti allait-il y croire ? Sag enchaîna dans la lancée.

« Je veux les hautes sphères. Du liquide et une petite discussion avec qui vous savez. J’ai jamais fait confiance au Siciliens. Ils parlent trop. Maintenant, c’est du rapide, parce que y a du monde qui fait la queue. C’est tout droit de silicone Valley, des prototypes d’ordinateurs quantique. La prochaine révolution du média... Des ordinateurs à pensées instantanée et autonome. Deux bécanes... Et des bricoles du même genre avec. Mon grand, je pourrais demander cinq fois plus... »

« 100 milllions... O’Neil tu me prends pour une truffe ? L’informatique, ce n’est pas mon rayon. Ne bouge pas, j’ai une autre communication... »

Carpatti coupa une seconde. En réalité, il semblait accroché, le genre de matos qu’avait dégotté Malicia, ça vous faisait bondir n’importe quel scientifique. Et Liz marker, la patronne du cercle était bien du genre à sauter sur le truc. Sagamore imaginait les tractations à l’autre bout du visiocom. Carpatti, obséquieux et verdatre, devait espérer obtenir quelque chose. Mais, on disait la mutante dure en affaire... L’autre devait s’en faire des suées. Enfin, l’écran se ralluma et la même face de rat jaunâtre, le Don en personne, avait un sourire de fouine aux aguets.

« Vous êtes attendu dans une heure au San Angelo. La salle privée sera ouverte. Bonne chance, mon vieux... »

En réalité, dans sa voix, on comprenait : Va crever en enfer et si par malheur, tu t’en sortais, dis-toi que je t’attendrais... Communication coupée. Le visage de Sagamore s’auréola d’un vilain sourire. Il se le tenait pour dit. Mais, il avançait. Il bondit sur son trois quart et enfila son blouson de cuir. Sur son épaule, l’estafilade de sang pourpre le picotait suffisamment pour le maintenir aux abois. La nuit n’était pas finie. Il sortit sans un regard pour ses nouveaux bureaux.

[Direction : Le San Angelo.]

Aniolek arriva dans le bar,
Elle s’assit à une table dans le fond de la pièce.

* je vais me prendre une vodka et tout ira mieux *

On ne voyait pas ses ailles,
Mais elles lui faisaient mal dans le dos.

* un jour je vais vous couper *

Pansa-t-elle en pansant a ses ailles.

Aniolek regarda le barman.

* putain déjà 9h *

Elle dit :

« Moi pas parler,
Mal je me sang. »

* De puis quand je parle comme sa moi ? *

Elle but.
Sa technique pour boire été spécial
Elle prit le verre,
Le mit sur son oreille droite avec sa main droite,
Et le fit descendre jusqu'à sa bouche
Et le but un 3sec.

Aniolek but.

* putain ma tête,
Les enterrements c’est pas bien,
Je suis bourré ?
Cool
Sa faisait super longtemps que sa m’étais pas arrivé. *

Ne savant si c’était sous le coup de l’alcool
Ou du choc morale de la mort de la jeune fille.
Aniolek tomba et s’évanouit.

Aniolek se réveilla et tomba lamentablement par terre.

« Hein ? Je suis où ? T’es qui toi ? »

Elle avais très mal à la tête, dû à l’alcool ou peut être qu’elle était tombée sur la tête ?

* C’est quoi encor cette galère ? Qu’est que je fou là moi ?*

Elle étais toujours a terre mais réussi a se rappelais du bar où elle étais entré.

* C’est pas la barman ça *

Pensa t’elle en regardant la fille qui venais de la faire tombé du tabouret.
Elle essaya péniblement de se relever.

- Hein ? Je suis où ? T’es qui toi ? demanda la jeune fille, l'air complètement déboussolée.

- Quelqu'un qui ne veut pas te voir dans ce bar. Tu es trop jeune pour traîner ici. Et encore plus pour boire autant. Va-t-en, ou c'est moi qui te mettrai dehors.

Angela détestait devoir être aussi désagréable avec quelqu'un qui ne lui avait rien fait, mais c'était pour elle le meilleur moyen de faire comprendre à Aniolek que ce qu'elle faisait allait à l'encontre de la loi et de la morale. Et l'arrivée imminente des premières danseuses en tenue choquerait probablement la sensibilité de l'adolescente.

Elle prit le tabouret et le remit debout avant d'aller derrière le bar, qu'elle commença à essuyer avec un chiffon imprégné de ce drôle de produit qui sentait l'essence mais dont on lui avait dit qu'il n'en était pas.

Aniolek déposa un billet de 20 euro sur le bar et après avoir regardé la serveuse, elle se dirigea vers la porte du bar.
Elle se retourna vers la femme, la regarda et dit

« Je sais pas qui tu es, mais je t’aime bien, donne un pourboire digne de se mon au serveur que j’ai vu avant de m’endormir, et garde en un pour toi, a plus. »

Et elle enleva son manteau de cuir et laissa apparaître c’est ailles. Elle passa la porte et s’envola.