Entrée matinale

Diana observait la scéne en attendant qu'on fasse attention à elle.
*Qu'est-ce que le majordome attend.*
Diana écoutait en même temps ce qui ce passait, mais ne compris pas grand chose.
*Qu'est-ce que Victor voulait et qui il était* se demandda-t-elle.
Quand enfin le majordome se tournerai de nouveau vers elle?

Kim avait pris connaissance de l'existence de la Confrérie et il chercha quelques renseignemens. Cela ne fut pas difficile car le nom qu'il avait connu au bar, Marcus Lensher, revenait sans cesse dans les conversations sur cette organisation. De plus, ceux-ci ne se voulaient pas vraiment discret...

Il en avait discuté avec Lysbeth pour voir un peu si cela convenait à leur façon de pensée. Ils en avaient conclus que oui mais bon il faudrait voir comment les Confréristes se comportaient avec leurs membres. Certes le jour où un conflits naquis entre des mutants et des humains au Saturday Night, le barman avait sorti la femme serpent, le gars glaçon et la femme aux griffes étranges, de la mouize. La confrérie amenait quelques avantages : l'entraide.

C'est d'ailleurs ce qu'il espérait grandement mais avec quelques réserves. Des réserves? Pourquoi? A cause de son ancienne famille mutante qui périt entièrement sous le feu des anti-mutants. Peut être trouverait aussi une aide supplémentaire pour retrouver ces assassins.

Lysbeth et lui s'étaient donnés rendez-vous devant l'Institut. Kim arriva en premier et attendit son amie avant de changer un peu leur quotidien. Il faisait froid et pour un organisme comme celui du mutant c'était un peu beaucoup. Son teint pâle le devînt encore plus. S'il ne portait le lon g manteau gris clair sur lui, on aurait pu croire que c'était un bonhomme de neige...

Il rassemblait ses mains devant lui et soufflait vainement dedans pour se réchaucher. Une légère fumée s'en échapper... Une légère toux vînt casser l'ambiance. Il espérait qu'une crise ne referait pas surface de si tôt et surtout il ne voulait pas que la jeune demoiselle le voye ainsi. L'orgueil, il en était remplie quoi qu'on en dise...

Il jeta de temps en temps des regards autour de lui, se demandant si Lysbeth pourrait circuler facilement avec toute cette neige. Il aurait sûrement dû aller la chercher chez elle en taxi mais la connaissant depuis un mois, il se doutait bien qu'elle n'aimerait pas le voir à ses soins.

Le jeune homme décida alors de faire les cents pas devant la Confrérie, allant de guauche à droite en revenant sur ses propres pas...

Diana avait vu quelqu'un dehors. Elle se dirigea alors vers lui, voyant que le majordome était bien trop occupée avec un fauve et qu'il ne faisait déjà plus attention à elle. Mais elle préféra s'en aller sans faire aucun bruit. A premiére vu le gars qui était dehors était nouveau lui aussi. Diana lui lança:^
"- Salut, je m'appelle Diana Mortador, je suis nouvelle. Toi aussi, non? C'est quoi ton pouvoir et tu t'appelles comment?"Diana attendait sa réponse avec impatience.


EDIT MODO : Si un post de cinq lignes constitue un minimum, cela veut dire que ça peut t'arriver de temps en temps, pas que tu peux le faire à chaque fois. Regarde les posts des autres, certains d'entre eux ne sont pas immenses. Essaie d'en faire autant, s'il te plaît.

Diana en voyant le géan arrivé fut impressionnné. Comment queqlu'un pouvait il être aussi grand? En comparant sa taille à la sienne, elle avait l'air d'une souris et encore, d'une fourmi. Elle était en train de penser à celà lorsqu'il parla. Au début, Diana ne fit pas attention mais elle distingua vaguement le mot "c'est" et le mot "Confrérie".
"-De, de de quoi? La Confrérie? Oui vous, vous vous y étes.
dit Diana en bagayant devant ce collosse et en levant là tête pour voir son visage. Elle avait tant levé la tête qu'elle crut avoir un torticoli.
Vous vous appelez?
demanda-t-elle en reprenant son assurance.

Une plaque d'égout grinça lentement au sein même d'une sombre ruelle perdue à proximité du bâtiment de la confrérie. Un corps s'en extirpa... inanimé, celui d'une jolie jeune femme inconsciente, ses membres relâchés à la merci de celui qui la transportait. Jolie ? oui, cependant son nez semblait fracturé à maintes endroits, son visage affichant de nombreuse plaies ci-et-là, jeune fille mise à tabat à n'en point douter.

Ensuite, un Homme, apparence athlétique, grand et fort, assez séduisant, cicatrice apparente sur sa joue gauche, cheveux longs noirs d'obsidienne, des habits dépouillés, déchirés, déchiquetés de partout, le tout recouvert d'une longue et trop large veste de couleur grisâtre, poussiéreuse et sale, dont la capuche créait sur ses traits d'inquiétants ombrages. Wilhelm se dégageait à son tour de cette bouche d'égouts menant au coeur même des entrailles de Boston.

Il attrapa le corps de sa victime, toujours la transportant sur ses épaules tout contre ses trapèzes sculptés divinement, l'un de ses bras enlaçant les jambes de la jeune femme, l'autre faisant office de contre-poids sur son flanc afin de marcher convenablement. Ses empreintes de pas s'enfonçant plus encore dans la neige, compressée sous son masse, voici le matriculé devant la porte menant au hall d'entrée de la confrérie... porte qui, bizarrement était étendue par terre...forcée ?

Avenger entra, cette femme inanimée toujours sur ses épaules, et posa son regard aussi froid que la glace sur chacune des personnes présentent dans ce hall à la décoration loin d'être négligée apparemment, contrastant avec son apparence délaissée de clochard, bien qu'il soit propre, ses habits sont tout de même réduit à l'état de lambeaux.
Aussi silencieux que n'importe quel prédateur, le jeune Wilhelm restait là, ne saluant personne, pourquoi le ferait-il ? Il s'adressa simplement à cette jeune femme en chaise roulante devant lui, timbre neutre dans la sonorité de sa voix : "c'est pas recommmandé de stationner ici" et Wilh s'écarta donc s'adressant ensuite à cet homme en costume, Nelson, assez snob et british que pour être, semble-t-il et par déduction, le majordome de la maison.

"Wilhelm Ulrich, Avenger, j'ai rendez-vous."

Alors qu'il regrolait au dehors, Kim aperçut un premier taxi arrivé. Celui passa à côté de lui et se rendit directement devant le batiment de la confrérie. Im regarda de loin, l'homme qui en sortit ressemblait plus à une armoire à glace qu'à un humain tout à fait banal. Au loin, il entendit un léger craquement, sans doute la preuve d'une finesse remarquable...

Il n'en tînt pas vraiment compte et attendit Lysbeth en continuant de faire les cent pas. Un autre taxi arriva au bout de quelques minutes. Il aperçut la chevelure de la demoiselle, puis son visage. Elle avait finalement décidé de prendre un taxi... Il l'aurait parié.

Lorsque Lysbeth descendit, elle lui fit une remarque qui raviva un peu d'orgueil en lui.

"Vous auriez du m'attendre a l'intérieur. Vous devez être gelé"

"Ne vous inquiétez pas pour ça, je survivrais...", lacha-t-il dans un dernier toussement.

Il l'accompagna finalement jusqu'au batiment et ils entrèrent. POussant la porte, il découvrit la personne qui était sortit du premier taxi. Difficile de ne pas le reconnaître... Il aperçut un autre jeune femme semblant légèrement appeurée. Cela le fit sourire très légèrement.

Kim avait naturellement un visage doux et paisible même si son teint naturel avait viré blanc aspirine. Il se tenait légèrement recourbé de par le froid et le léger mal qui le tourmentait. Il lâcha malgré tout à un...

"Bonjour"

...à qui voulait l'entendre. Kim resta alors légèrement en retrait laissant Lysbeth voir la personne qui lui avait donné rendez-vous. Un certain "Iaroslav", nom peu courant mais lui rappelant l'est de l'Europe.

Quelques instants plus tard, un homme sortit de la neige. Kim l'aperçut à cause du bruit métallique qui avait précédé sa venue. Apparemment il sortaient des égouts et son odeur le confirmait. L'homme déboula et lâcha à Lysbeth une phrase qu'il n'oublierait pas.

"C'est pas recommmandé de stationner ici."

Kim resta muet mais son regard se fit soudain plus dur. Il fixait l'arrivant se demandant si tous les membres de la Confrérie était comme ça. Si c'était le cas, il s'était vraiment égaré dans ses choix.

Marcer avait regarder toute la scéne, il y avait eut plusieurs arrivant : Une femme, Un homme qui lui au moins avait dit" bonjour" et une espece de clochard qui sortait des égouts. Marcer les regardaient tous et avait lacher son regard de la jeune fille qui avait l'air moins apeurer et qui le questioner, le clochard avait aussi était très dure avec une personne en chaise roulante, un handicap qu'elle n'avait surement pas demander.

Sinon tout avait l'air calme et Marcer aperçut le majordome arrivait et plutôt débordé mais ce clochard c'était précipiter dessus, ainsi c'était aussi quelqu'un voulant rejoindre la confrérie ? Les personnes était vraiment diverse, passant de la jeune fille au clochard. Cependant une seul personne avait au moins saluaient tout le monde, et sa Marcer
appréçiait plutôt, il lâcha donc en regardant cette personne

" Bonjour "

Un simple salut comme toute personne l'aurait fait, mais pas apparament dans la Confrérie, c'était vraiment le coin des " méchants". Marcer recupéra toute les questions qu'il avait en tête, cela la perturbait légérement il voulait ne plus y penser du tout, et finalement il réussi a les oubliaient peut après en se concentrant sur autre chose.

Il observait la femme et l'homme arrivait il y a peut de temps. L'homme était d'un pâle ahurissant et la femme avait l'air plutôt calme, pas comme toute ces personnes. Mais le clochard, qui était-ce ? Il était mutant et possédait des pouvoirs ou était-ce... Une simple personne souhaitant rejoindre la Confrérie ? Tant de question en quelque minute... Il fallait relaxer.

* Les gens sont mystérieux içi... Si je dois attendre, au moins se détendre...* [ Hey Hey sa rime ]

Marcer fouillat dans sa poche de son immense pantalon, avec sa taille, il n'en trouvait pas n'importe ou des comme celui ci, le plus souvent il devait les faires fabriquer par les couturiers et c'était pas vraiment gratuit... Il trouvat donc un paquet de cigarette a moitier entamer, il en saisit une clope et voulut l'allumer avec son briquet, mais n'avait plus de gaz. Légérement énerver il remit le briquet dans sa poche et était, clope dans la bouche, sans fumer... Quelqu'un aurait-il eut la gentillesse de lui donner du feu ?

"Ta gueule..." répondit Avenger aux délicates paroles de Lysbeth pour lui-même. Non pas sur un ton agressif ni ne sous-entendant quelconques menaces que se soit. Impossible de déceler non plus haine ou encore de la colère dans le timbre de sa voix, et encore moins de grande attention particulière à ce qu'il venait de lui envoyer au visage, limite las, neutre, inssenssible, de glace, regard en coin pour la mutante.

Lysbeth put se sentir détaillée, le regard de Wilh prenant enfin conscience de ce à quoi ressemblait la jeune femme. Il ne s'attardait cependant pas sur son fautueil, de ça il s'en moque, il ne la plaint pas pour autant, placée à même hauteur que chacun ici dans cette pièce. Le seul élément qui lui permettait d'en rajouter était l'apparence frêle et fragile de son homologue mutante : les gens faibles d'apparence, mignons, oui Lysbeth pouvait être cataloguée de jolie jeune femme, son handicap n'entravant rien dans son jugement, ou encore timides et coincés, peut-être pas dans le cas de la jeune O'brien pour ces deux derniers cas, faisait naître en Wilh cette envie de meurtre propre à certains tueurs en série. Ce sadisme, profonde envie de casser quelque chose de beau tout simplement parce qu'il en aurait le pouvoir... Trainer trop longtemps parmi les Hommes ne lui va pas du tout, voici qu'il se met à réagir avec ses 'frères' comme-ci il ne s'agissait que de vulgaires primates ?

C'est alors que le matriculé se décoiffa de sa capuche posée sur sa chevelure, dévoilant plus encore son visage au vue des ombres désormais chassées qu'elle créait. Mais il y avait ce corps sur ses épaules qui commençait à se faire lourd, bien plus pesant que cette ambiance maccabre qui régnait dans le hall d'entrée. Il se dirigea donc en direction d'un fautueil et y déposa la jeune Humaine, confortablement instalée dans ce siège, tête inclinuée sur le côté, un air de belle au bois dormant défigurée, sang dégoulinant de son nez et entachant ses vêtements.

Wilhelm supposait qu'il fallait attendre son tour dans ce maudit bâtiment, il resterait donc patient, reste aux autres boulets faisant office de décorations à se dépêcher en échange de sa passivité présente. Il regarda Kimimaro tout en s'appuyant dos au mur, les bras croisés, tiens ? il le fixait... Wilhelm soutint son regard, quelques fines mèches rebelles s'invitant devant ses yeux ambré, le mutant lui fit signe de tête, menton en avant l'espace d'une fraction de seconde, comme pour lui demander la raison de cet intense regard lui étant offert. Un air menaçant, bien qu'agrémenter d'impassibilité, sombre et peu engageant en retour, lui indiquant par là de cesser et de détourner ses yeux autre part, lui offrant un regard vitreux et sans vie tel un psychopathe à la moralité inhumaine... bestiale.

[>> Salle à manger]


A en juger par le bruits s'échappant du hall d'entrée il devait très certainement y avoir pas mal de monde... Ivy s'arreta donc l'espace d'un instant avant de se montrer aux yeux de tous : elle était toujours sous son apparence originelle, chose à éviter q'il y avait ne serais-ce qu'un Humain dans la bande, elle ne supporterait pas leur regard. Elle fit donc le vide dans sa tête, se remémorisant quelques traits, quelques courbes qui ne la désavantagerait pas... Il y avait de nombreuses femmes qui autrefois avait servit de modèle (involontairement) à la jeune Savage, des femmes enviables, aussi ravissantes qu'envoutante dont leur visage pouvait facillement accueillir le caractère félin de la métamorphe.

Ses courbes changèrent donc rapidement d'aspect, du moins pas tant que cela pour ces dernières qui semblent toujours aussi aguichantes. Sa peau changea également, son épiderme auparavant totalement blanc et laiteux devint couleur chair pâle tout comme la plupart des Humains grouillant en Boston. Ses yeux sans âme devinrent d'un bleu Azur attirant et hypnotisant tandis que ses cheveux à présent plus court, dépassant tout de même ses épaules arborait une couleur dorée brillante de vie, la voici donc blonde. (HJ : voir avatar actuel)

Elle s'avança alors en direction de tout ce beau monde, longue veste de cuir blanc flottant sous chacun de ses pas dont l'entrouverture grande ouverte, les rebords de l'habit semblant prendre toute la largeur du couloir, donnait à chacun l'occasion d'admirer ce bustier minimaliste et ce bassin au prestigieux déhancher. Elle les détailla tous sans exeptions, leur adressant un simple : "bonjour".
Regard s'arretant sur Wilhem *mmh canon*, ensuite pour cette Humain défigurée sur la chaise en haussant un sourcil, pour Nelson également, le pauvre étant visiblement surchargé de boulot au vue de tout ces gens quémandant son attention.

Elle regarda également Lysbeth en chaise roulante... ce devait être horrible d'être privée de ses jambes, pourvu qu'il ne s'agisse là que de blessures temporaire, en tout cas Ivy deviendrait folle s'il ne lui était plus permit de marcher, de s'amuser, de danser, se déhancher ! Bref. Ses yeux glissèrent ensuite pour Kimimaro aussi blanc qu'un cachet d'aspire... malade ? Diantre ! Il neige dehors et la jeune Savage était habillée comme pour une saison d'été... tant pis, elle se dépêcherait. Son regard se posa ensuite sur un grand baraqué, impressionnant... Nelson devait être surchargé, autant lui voler l'un de ses problèmes pour le ménagé et en profiter pour commencer à préparer ses petites affaires...

Elle s'approcha donc du dit Marcer et lui adressa la parole tout en dissimulant sa main à l'intérieur de sa veste de cuir, envie de lui apporter le feu qu'il recherche ?... "Dis-moi colosse -elle sortit sa main de l'intérieur de sa veste en sortit un paquet de bubullgum, allant jusqu'à lui en proposer un- Nelson semble surchargé, ça te dirais de m'accompagner en ville ? J'ai bien un sujet de conversation qui pourrait t'interesser... si tu aime l'argent..."

Ivy sourit discrètement. Sourire qui par ailleurs lui octroyait des traits bien plus concrèts que lorsqu'elle arbore sa forme originelle sans âme, elle semblait satisfaite d'entendre pareille réponse de la part du mutant géant à en croire son expression. Elle se servit à son tour d'un chewing-gum, rangeant son petit paquet dans la poche intérieur de sa veste et en sortit presque aussitôt une paire de lunette de soleil, l'éclat de la neige reflettant les rayons du soleil pouvait gêner sa vision, pour ensuite, et une fois les verres posé sur son nez fins, enfiler une paire de gant de cuir assortit à son ensemble si tape à l'oeil.
Mais pas de moto aujourd'hui : trop de neige, tenue trop légère et l'homme acceptant de l'accompagner était bien trop grand et trop lourd pour faire office de passager. Elle opterait donc pour les transports en commun.

La métamorphe sortit à son tour, suivant du regard Marcer en assistant silencieusement à son approche imperturbable vers cet homme qui fumait paisiblement. Elle se retourna, face à la rue afin d'appeler un Taxi, croisant les bras, elle avait froid, cependant elle attendit, regard en coin pour son compagnon, silencieuse, qu'il en ai terminé avec sa cigarette, toujours aussi droite. Chiquant, s'amusant à faire de jolies bulles de gum qui claquaient violemment sur ses lèvres pulpeuse, Ivy semblait impassible et fière alors qu'elle écoutait Marcer lui poser quelques questions, s'amusant à créer un nouveau personnage provoquant.

"Ivy, Ivy Savage. Et toi ? comment dois-je t'appeler ?"

Elle ne lui demandais pas son nom précisément, certaine personne préfère un "monsieur" devant un nom de famille et vu l'imposant bonhomme elle ne serait pas surprise s'il lui fallait une quelconque marque de respect dans son titre, voir un pseudonyme pour en cacher suffisamment sur lui.
Tandis qu'elle répondit cela, la jeune Savage fixait le chauffeur d'un taxi, tel un aigle chassant sa proie. Celui-ci s'arrêta devant elle, ne suffisait plus qu'à en ouvrir la porte arrière et s'y installer.

"Nous parlerons de ça devant un verre, mais je suis certaine que ma proposition te conviendra. Il s'agit d'un petit job et tes biceps sont asser imposants que pour convenir à la tâche que je te proposerais d'accomplir."

Elle ouvrit la portière du taxi, s'y engouffrant avant lui, et poursuivit : "Désolée, j'ai bien mon propre véhicule mais je ne pense pas que le temps nous permette une virée sur deux roues malheureusement..."

Puis pour le chauffeur, s'installant confortablement et croisant les jambes l'une sur l'autre : "Au Saterday Night s'il vous plait" et le conducteur attendit que Marcer s'installe, il ne manquerait pas par la suite d'appuyer sur le champignon pour emmener les deux confréristes (du moins la recrue et la novice ^^) où ils le désiraient.

Kimimaro n’avait pas quitté Wilhem du regard. Lui qui arborait d’habitude une allure des plus douce, tenez la froideur d’un serpent aux aguets, immobile, froid, discret… Il resta sans dire un mot sur place, attendant que quelque chose se passe.

Il entendit le salut du tas de muscles sur le côté. Tiens, on avait daigné répondre à son salut… Peut être qu’il était différent de ce que qu’on pouvait penser de lui aux premiers abords. Quoiqu’on il valait mieux observer avant de se donner une idée sur quelque chose ou quelqu’un.

Il entendit par la suite Lysbeth se défendre sur la remarque qui avait été faite à son encontre. Il ne doutait pas qu’elle se défendrait face à l’énergumène dépouillé de toute civisme. Mais celui-ci lui répliqua de suite par une insulte. Kimimaro ne réagit pas pour autant. Les paroles n’étaient que des paroles, ils pouvaient tromper, manipuler ou s’échapper au delà de la volonté de leur possesseur, quant aux actes, ils étaient bien concrets, imprimés dans le physique. Le serpent resta vigilant, et observant comme un prédateur devant sa proie… Le reptile juge et se défend quand il en a besoin. Il n’en dénota pas moins la réaction du colosse non loin de lui.

L’homme lui avait fait un signe de tête, avançant son manteau, l’air de dire « Eh toi ! Qu’est ce que tu regardes ? », mais Kim resta placide et fixe, insensible à la provocation faite. Méritait-il encore qu’il s’écorche la chair pour lui ? C’était à voir. Seul les actes le déterminerait…

Quelques secondes défilèrent avant qu’une jeune femme débarque. Elle était charmante, les formes bien faites et la chevelure dorée. Son attitude provocatrice faisait son charme et ses vêtements enviaient ses formes au poing de les mouler parfaitement. Elle passa rapidement lâchant un petit bonjour qui eut écho dans la bouche de Kim. Il entendit la proposition faite au bodybuildé. Celui accepté immédiatement… Apparemment elle avait su le juger comme il se doit et lui mettre l’appât approprié devant la bouche.

Les mains dans les poches et il s’avança d’un pas arrivant aux côté de Lysbeth. Les gens étaient vraiment bizarres ici… Il commençait à douter que la Confrérie recelait les personnes dont il avait entendu parler. Tout ce qu’il voyait pour l’instant n’était pas apte à ses choix de vie. Tout n’inspirait qu’à la provocation ou à la manipulation… Et puis, généralement la première impression se montrait la bonne.

Kim reprenait quelques couleurs. Il faisait plus chaud c’était normal, mais il n’en restait pas moins froid et observateur. Le calme qui lui était une vertu par les dieux, avait deux facettes : l’attitude douce et sereine et le silence prédateur.

C'était la foule aujourd'hui, Dragomir ne savait plus où donner de la tête, Nelson non plus par ailleurs, légérement pris par le bruit d'une fuite de gaz se trouvant à l'autre bout du bâtiment il était partis en catastrophe laissant en plan un nombre impréssionannt de personne squi avait déjà commencé le dialogue, si l'on pouvait appeller cet échange de regard et de parole des dialogiues civilisé, mais là n'était pas l'important, l'important était ailleur. Pénétrant dans le hall d'entrée de la CDonfrérie, il eu tout juste le temps de voir une femme au teint blanc, très certainement mademoiselle Savage, sortir accompagné d'une sorte de colosse, peu importait au russe, elle reviendrait en temps et en heure, tout comme ce géant. Dragomir, encore sur la dernière marche, s'aidant de sa béquille pour avancer, détailla le spersonnes présente. Il y avait un homme d'un certain âge, installé sur l'un des fauteuil du petit salon. Outre son air calme et posé, il arbhorait une fourrure violette des plus singulières.

Une autre des personnes présentes était une jeune femme à l'air digne, semblant légérement perdu au milieu de tout ce beau monde, enfin terme très relatif dans cette situation, peut être cela était il dû à une troisième personne apportant une figure sombre et mystérieuse à cet hall légérement rafraichis par le fait que la porte était resté ouverte. Peu importait, tout être qu'il était, sa présence en ces lieux n'était en aucun cas le fruit du hasard, il ne restait qu'à récolté ce fruit pour voir quel goût il avait.
Il ne restait plus que deux personnes, dont une figure connue. Mademoiselle Plume, il l'avait croisé il y à longtemps dans les rues de Boston, avec un autre mutant, de l'Institut, une créature humaine à l'apparence d'un grand chat. Ils avaient, à eux trois, dû "combattre" des loubards anti mutants, bien mal leurs à pris, mais l'intervention du félin leur sauva la vie, sûrement pour aller torturer un être plus faible qu'eux, mais peu importe.
La personne quia ccompagnait mademoiselle Plume était au moins d'un teint aussi pale que mademoiselle Savage, mais ce dernier semblait s'en accomoder à la perfection.
Avançant en direction de la porte, clopinant doucement en fait vers la porte, il referma cette dernière avant de se retourner vers ses convives, s'adressant directement à mademoiselle Plume ici présente.

"Mademoiselle Plume, je ne pensais pas vous revoir de sitôt, bienvenue à la Confrérie."

Le ton employé restait toujours aussi froid que la dernière fois, mais ses nombreuses blessures lui avait fait, de manière très légére, perdre sa voix rocailleuse. Avançant de nouveau entres les personnes, il s'arréta au niveau des escaliers avant de se retourner de nouveau et de s'adresser à l'ensemble.

"Bonjour et bienvenue à la Confrérie, je me présente, Dragomir iaroslav, l'un des officiels de la COnfrérie, si vous avez des questions je suis apte à y répondre. Mais avant tout, j'aimerais que vous m'indiquier vos noms ainsi que la raison de votre présence en ces lieux."

Comme pour mademoiselle Plume, Dragmir avait parlé d'une voix froide mais moins rocailleuse qu'à l'habituel.

[HJ : je me permet de poster pour débloquer l'action :s]

Le domestique avait fuit ?? *incapable...* pensa Wilhelm, loin de se douter qu'il s'agissait d'une fuite de gaz, et même s'il le savait il aurait penser de même... Le regard de Wilhelm n'était pas très difficile à suivre. Il continuait de fixer Kimimaro, curieux de savoir s'il répondrait à sa provocation, celui-ci se dirigeant en direction de la jeune femme en chaise roulante et s'installer à ses côtés. Il puait la faiblesse, son corps recroquevillé par le froid, son teint aussi maladif qu'un cadavre, Wilhelm ne pouvait qu'éprouver répulsion pour cette être devant lui : envie d'une mise à tabas gratuite, tout simplement, juste parce que cet homme ne semblait pas aussi résistant que lui. Pour exemple, faire le chien battu incite Wilhelm en à en remettre une couche... les gueules de cockers, le matriculé les manges, pure folie.

Mais les yeux du mutant roulèrent bien vite en direction d'une jeune et jolie femme aux longs cheveux blonds croisant à l'instant cette assemblée de nouveaux confréristes et finir par s'adresser à ce géant aussi impressionnant qu'un rhinocéros. S'attardant sur ses formes, oui, mais ne bougeant pas pour autant la tête afin de l'admirer plus encore, ce n'était pas la peine, il aurait certainement envie de la frapper... Il détourna alors son regard en direction d'un nouvel arrivant, ne répondant à aucun bonjour, comme d'habitude. Dragomir Iaroslav donc, un russe vu son accent.

"La confrérie serait-elle une morgue ?" dit-il en s'adressant à Dragomir sans y paraître.. sous-entendant que son attitude froide, digne d'un croque-mort comme on en représente à la télévision. Ses yeux consultant ensuite les multiples bandages du dit Dragomir, air impassible sur ses traits, puis regard en coin adressé pour Lysbeth : "nan... une association caritative pour handic'...?"

Quelque chose émit quelques craquements écoeurant à l'intérieur de la veste de Wilhelm, une grimace sous le coup d'une foudroyante douleur s'échappa de son visage, sa respiration s'accélérant silencieusement, début de sueur sur ses tempes. Le matriculé lutte tandis qu'un nouvel épiderme grisâtre et terne semble recouvrir la partie droite de son cou, chose mouvante, semblant vivante et tentant de recouvrir le bas de son menton, dépassant de ses vêtements. C'était bien fait pour cette être infecte non ? Adressant ensuite un regard pour Dragomir tout en passant le revers de sa main sur le recoin de son propre menton, serrant les dents : "Wilhelm Ulrich, et je me présente à cette connerie de rendez-vous."

Entendant la voix de Lysbeth s'adressant au russe de la Confrérie, Kimimaro cessa de regarder l'idiot du village pour se présenter correctement. Il se rendit compte que tomber dans un jeu aussi idiot était vraiment encore plus ridicule que le jeu lui-même.

Fin bref, il porta son regard sur M. Iaroslav en répondant suite à l'introduction de son amie, avec une fois tout à fait normale.

"Je suis Kimimaro Kaguya. On m'a beaucoup parlé de votre Confrérie."

Vu ce qu'il en avait pu voir jusqu'à maintenant, l'image s'était dégradé mais il continuait de penser qu'il ne fallait pas se fier aux apparences et attendre avant de faire marche arrière. La rencontre des quelques personnes présentes et surtout d'un en particulier n'avait pas apparemment changer l'opinion de Lysbeth.

Celle-ci laissa même aller une petite blague. Peut-être pour détendre l'atmosphère méprisable qu'avait installer le dit Wilhem.

Kim détourna le regard sur l'entrée d'une nouvelle personne capuchonnée. Elle semblait craindre quelque chose... Il ressemblait un peu aux animaux apeurés arrivant à l'institut vétérinaire.

Les personnes qui s'étaient présentées avaient des allures bien différentes les unes des autres. En se prenant à comparaison, il se demandait si leur pouvoir avait eu une quelconque influence sur leur physique. Kim avait un teint blanc caractéristique... Sa sécrétion excessive de calcium s'étendait à chaque cellule de son corps, malheureusement pour sa santé.

Le regard de Kim se rappatria bien vite de nouveau vers M.Iaroslav, attendant que d'autres personnes se présentent et que des questions commencent à être posées.

"De rendez vous monsieur Ulrich ? Je ne crois pas que la Confrérie ait demandé d'idiots récement, je devrais revérifier nos commandes mais je crains fort que je ne trouverais rien à ce sujet. Concernant votre attitude, sachez qu'elle est déplacé en ce lieu et ce n'est pas avec ce genre d'attitude que vous pourrez pénétrer dans ces lieux. Toutefois rien ne vous oblige à devoir quitter les lieux, vous et votre morceau de viande porté sur l'épaule, cependant je vous prierais de conserver vos déplaisantes remarques pour vous. En outre, je vous prierais d'avoir la dilligence de, soit déposer cette jeune femme, soit de la dévorer ou tout autre lubie qui vous passerait par la tête, peu m'importe."

Dragomir n'avait même pas haussé le ton, il n'en avait pas besoin, cet homme, était un homme de plus qui souhaité s'imposer ou vivre comme il le voulait, compréhenssible, mais difficilement réalisable dans une communauté où des règles étaient à suivre, mais peu importait. Ignorant temporairement monsieur Ulrich, Dragomir se tourna de nouveau vers mademoiselle Plume et son compagnon qu'elle avait elle même qualifiée d'ami, chose étonnante quand il se souvenait de sa réaction de la dernière fois, mais soit.

"Heureux de vous revoir mademoiselle Plume, je pense que vous n'aurez aucun besoin de vous lever de votre siège. Dragomir ignorait tout du fait si elle plaisantait ou pas, mais une chose était sure, si ils 'agissait d'une plaisanterie, il ne l'avait pas comprise. Ravi de vous rencontrer monsieur Kaguya, pourriez vous me dire la raison pour laquelle vous souhaiter rejoindre la Confrérie, même question pour vous mademoiselle Plume, car la dernière fois que nous nous étions parlé, je me souviens que vous ne sembliez pas disposer à rejoindre la Confrérie, qu'est ce qui à motivé votre choix ? Tournant sa tête en diréction de monsieur Ulrich, il lui posa éxactement la même question. Même question pour vous monsieur Ulrich."

Il fit de nouveau quelques pas, décidement, il n'avait fait que ça de sa matinée, mais peu importait, il se dirigea vers la personne attendant au seuil de la porte et il s'arréta à quelques mètres d'elle.

"Bienvenue à la Confrérie, pourriez vous me dire qui vous êtes ainsi que la raison de votre présence en ces lieux ?"