Quel est donc cette odeur?

Léon ne savait pas tres bien comment il était arriver jusqu'a l'Institut. A pied? En taxi? En bus? Peu importe, le plus important était qu'il était desormais là, mais pas dans une grande forme. Sa blessure le tirait a chaque fois, il transpirait a cause de la douleur. Durant le trajet, il avait pâli et avait du mal a fixer un objet fixe plus de 3 secondes de suite.
Ses pas étaient lents et trainants, et sa demarche telle un zombie.

Il ouvrit la porte d'entrée du Hall, et s'appreta a aller s'allonger lorsque du bruit se fit entendre vers la cuisine. Il decida d'aller faire un tour, histoire de voir si Malicia n'était pas là. Il en profiterait pour lui faire son rapport sur cette mission et en finir une fois pour toute avec cette histoire.
C'est ainsi qu'il fit son apparition dans la cuisine, au milieu d'un repas où étaient Malicia, Alex, une nouvelle et son Cyprien. Il resta un instant sur le palier a les regarder, ils avaient l'air si heureux: Alex amusait la tribune par ses pitreries habituelles, Malicia par sa présence apaisante et rassurante, la nouvelle apportait une touche de fraicheur et d'innocence dans la troupe et Cyprien sa beauté. Certes, c'était un peu subjectif pour le dernier membre de l'Institut, mais c'était son fiancé apres tout, il en avait bien le droit.

"Hé...salut tout le monde" dit-il d'une voix faible, et accompagné d'un sourire fatigué.
Il ne bougeait pas du palier, s'appuyant discretement sur son coté droit sur le mur pour tenir debout.

Une nouvelle personne arriva dans la cuisine. Il s'agissait de Leon. Malicia se leva aussitôt, plutôt inquiete, même si elle tentait de camoufler celà à ceux qui n'étaient pas au courant de l'opération.

Leon semblait épuisé. Malicia s'en voulait de lui avoir infligé celà. Il avait cotoyé la mort et l'horreur de près.

"Leon, comment vas-tu?"

Cette question semblait anodine, mais le regard de Malicia s'était fait plus intense et la question sousentendait beaucoup d'autres choses.

Léon acquiesa lorsque Malicia lui demanda s'il allait bien.

"Oui, ca peut aller... Si on oublie cette petite blessure."

Il retira sa main droite qui pressait la plaie et la montra a la jeune directrice de l'Institut. La plaie n'était pas tres grave, enfin d'apres les criteres medicaux de Léon, qui étaient d'ailleurs inexistants. On y distinguait un leger trou du fait du tir laser, ce n'était pas joli a voir mais c'était deja ca. Il rapporta les faits de la mission a sa directrice, a voix basse car il ne savait pas si les autres devaient entendre cela.

"Aussi pour parler clairement, on est parvenu a remplir la mission. Marcus est sain et sauf, mais durant notre fuite Yoss a été touché gravement au visage par un tir plasma... Lui et Marcus sont volent en direction de New York, apres nous avoir deposé le troisieme mutant et moi même."

Il se tut, laissant le temps a Malicia d'enregistrer ce qu'il venait de dire, puis il lacha un long soupir.

"Je suis désolé, je n'ai pas pu assurer la securité du groupe. J'aurai du veiller sur Yoss plus attentivement, mais a cause de moi, il...et on ne sait pas s'il est toujours..."

Léon ne put finir la phrase, mais il frappa le mur de ses deux bras, oubliant le temps d'un instant sa blessure qui se rappela au mutant aussitot le choc mural effectué. Visiblement, Léon semblait souvent oublier qu'il s'était blessé, et faisait comme si de rien n'était.

*Urgh...*

La douleur l'obligea a s'agenouiller, et a appuyer fermement sur cette fichue plaie.

Alors qu'il luttait contre la douleur, et l'envie de la crier, Léon continua son rapport.

"Marcus n'a parlé de rien en ce qui concerne un quelconque plan de vengeance ou autre chose dans le meme style. Si tu as des questions, pose les, j'essayerai d'y repondre le mieux que je puisse."

Alex, qui mangeait tel un ogre affamé le plat de Cyprien -apres avoir au préalable surement fait peur à la nouvelle- en était déjà largement à la moitié lorsque quelqu'un entra dans la pièce. C'était Léon, qui avait une mine à faire pleurer un fou furieux psychopate.

Fapblu Fléon.

Lacha-t-il en guise de salutations, il n'avala qu'apres ce qu'il avait dans la bouche pour continuer.

T'es allé où pour avoir cette tête et cette allure là ? Va pas me dire que t'as fait une bétise et que Cyprien n'a pas aprécier encore ?

Alex regardait l'assemblée présente dans la cuisine avec un étrange sourire, pas celui de la jovialité habituelle qu'il avait en permanence non, autre chose, mais il n'empeche qu'il n'y avait aucune pointe de tristesse ou de colère, ni même d'inquietude dans sa voix.

Cyprien était occupé à manger ses pâtes, avec bien moins d'entrain que ses sourires n'avaient pas le laisser suggérer. Sa fourchette s'arrêtait souvent à la moitié du chemin parcouru, suspendue dans les airs, pendant que le regard du jeune homme, bleu de tristesse, se perdait dans un vide de suppositions.

Il ne parvenait pas à déterminer si il était confiant ou inquiet. Un étrange mélange sentimental s'opérait en son âme et il n'arrivait pas à différencier les influences les unes des autres tant il lui semblait que sa raison s'en trouvait dangereusement vacillante et incapable, comme perdue face à une immensité.

Il finit par reposer sa fourchette et repousser son assiette, n'ayant goûté que bien peu de sa propre préparation. L'appétit lui manquait et toutes ses pensées se tournaient vers Leon, entretenant une sorte de flamme de l'espoir, témoin de la confiance qu'il avait en son compagnon.

Mais Cyprien était bien obligé de se rendre à l'évidence. Leon était quelqu'un de formidable mais le jeune Français n'avait aucune idée de l'étendue de la puissance effective des pouvoirs du jeune homme. Il était fort possibles qu'ils ne soient pas à la hauteur du travail qu'on attendait de lui.

Un nouveau soupir franchit la barrière de ses lèvres alors même que la porte s'ouvrit. Cyprien ne prit pas la peine de relever les yeux pour voir qui venait cette fois s'aventurer dans la dangereuse cuisine. Il ne savait que trop bien qu'il y avait peu de chances que ce soit Leon et c'était justement Leon et Leon seul qu'il voulait voir.

Quand il entendit le son de la voix de son aimé, il crut que son esprit s'était perdu dans une rêverie tout éveillé qui le rapprochait dangereusement d'une folie amoureuse. Il leva brusquement les yeux et regarda autour de lui, semblable à un somnambule qu'on aurait tiré de son sommeil.

Ses yeux se posèrent alors sur Leon et il n'en fallut pas plus au jeune homme pour bondir de son tabouret, manquer de s'emplâtrer dans le mur en face de lui et arriver en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire auprès de son fiancé, le détaillant du regard comme pour s'assurer de la réalité de son existence.

Cyprien murmura timidement :

« Bonsoir. »

Il prit doucement une des mains de Leon et y déposa un baiser avant de passer le bras du jeune homme autour de ses épaules afin de le soutenir. Il en profita pour le détailler de la tête aux pieds et se rendre compte de l'étendue des dégâts de la mission.

Force était de constater que si Leon était vivant, il n'était pas dans état très reluisant. Cela dit, Cyprien ne s'attendait à rien de mieux étant donné qu'il revenait d'une dangereuse mission. Et puis, puisqu'il pouvait parler, les médecins seraient sans doute capables de le remettre sur pied en un rien de temps, avec les technologies modernes.

Lorsque ses yeux se posèrent sur la plus évidente des blessures de son fiancé, Cyprien murmura d'une voix douce et tendre :

« Tu as encore essayé de te faire remarquer. »

Il déposa ses lèvres dans le cou du jeune homme, n'osant pas le chahuter avec de trop passionnées démonstrations d'amour dont le besoin lui torturait pourtant le coeur, de peur d'accroître la souffrance physique du jeune mutant. Il aurait bien le temps de lui montrer comme la séparation avait été douloureuse.

Cypiren laissa son tendre ami faire son rapport à Malicia et il ne put s'empêcher de remarquer que la douleur de son compagnon allait toujours croissant. Il finit par poser ses yeux dans ceux de Malicia.

« Le reste peut attendre, non ? Il faudrait trouver quelqu'un pour le soigner. »

Cyprien était de nouveau partagé entre des sentiments contradictoires. Il y avait naturellement le soulagement de revoir Leon en vie mais également la tristesse de constater l'évidente souffrance de son bien-aimé. Et l'inquiétude relative à cette blessure sur le flanc du jeune homme.

Il n'avait désormais qu'un désir : trouver le plus compétent des médecins qu'il puisse réparer son Leon.

Invité

[HJ: j'ai rajouté ma taille]

Jade était entrée au bon moment, réalisant maintenant la bonne odeur que dégageait cette cuisine. Un jeune homme fit le premier pas, se présentant à elle comme quelqu'un de l'administration... Un peu jeune tout de même, et assez... peu serieux? Il aurait presque réussit à la faire sursauter en se teleportant vers elle, si elle ne s'était pas déjà attendue au pire en entrant dans une école de mutants. Mais pas de créatures atrophiées, ressemblant aux monstres de science fiction, juste des humains normaux -en apparence-. Elle fut même rassurée de le voir se téléporter, c'était la bonne école!
Elle lui serra la main, un sourire timide sur le viage, essayant de faire tout son possible pour masquer sa timidité, ou tout du moins, l'atténuer, car elle n'avait pas lieu d'être.
N'osant pas s'exprimer encore une fois, elle orienta son regard vers les deux autres personnes, la directrice, qui semblait correcte -au poste qu'elle occupait, mieux vallait ça plutôt qu'un look déjanté- et un autre jeune homme, celui qui semblait à l'origine de cette bonne odeur de cuisine, mais au style assez excentrique...

"Euh je, je m'appelle Jade. Je pense que j'aurais besoin de beaucoup de renseignements, mais là je suis affamée!"

Sa première phrase entière! Elle se setait plus en confiance, voyant un couvert installé por elle, Jade se précipita à table, attendant tout de même que les autre se servent, avant de prendre à son tour une pleine assiète, plantant aussitôt sa fourchette dans le tas et d'engloutir d'une traite le quart de l'assiète, souriant plus aisément une fois son estomac "en confiance" aussi.

Entendant la porte s'ouvrir, elle se tourna vers cette dernière, la bouche encore pleine, curieuse de voir si à un moment ou un autre, une créature étrange surgirait, mais c'était encore un élève semblait-il, à ceci près qu'il parraissait bien mal en point. Jade, n'osant rien faire à part prononcer un petit "salut", se contenta d'écouter et d'observer, ne pouvant s'empecher de remarquer le comportement plutôt "romantique" du cuisinier imporovisé envers ce nouvel arrivant.
Enfin, Jade lança un regard interrogateur à la directrice, ainsi qu'au prétentu secrétaire -ou quelque chose comme ça, Jade n'avait pas retenu le terme exact, mais c'est un poste qu'elle voyait plutôt confié à une vieille peau à lunettes-.

Invité

Les portes de la cuisine s'ouvrirent brusquement mais silencieusement, une etrange chose entra dans un silence complet. quelqu'un ou quelque chose s'avancait vers le frigidaire, sous une sorte de tissu noir, cachant jusqu'a son visage, il ne manqu'ais plus que la faux et on avait la mort en personne. une main se posa sur la porte du frigo et l'ouvrit. puis elle s'y engoufra et attrapa la premiere chose qu'en trouva en l'ocurance du poulet cru, il dechiquenta telle une bete sous son habits le poulet froid s'en nourrissant et en faisant tomber les os puis attre pas le laiyt, il prisa le haut et et le bu d'une traite. Son attitude n'avait plus rien d'humain.

Sous la cape akumu avait mal , il aurait bien hurler son corps était animé par son inconscience, Akumu etait entrain de devenir fou.

Léon vit le reste des personnes présentes dans la cuisine, le questionner a propos de son état deplorable. Alex, comme a son habitude, avait la bouche remplit d'une quelconque nourriture avec son entrain habituel. Cela reconfortait le jeune mutant d'avoir un tel ami qui remettait du baume au coeur de par sa bonne humeur communicative, et son humour...pas toujours tres comprehensible (xD). Puis la nouvelle venue le salua également d'une timide voix, Léon lui souria et lui parla d'une voix amicale et la plus rassurante que son état pouvait lui permettre.

"Ne t'en fais pas. C'est pas tous les jours comme ca. En temps normal, c'est calme, joyeux et apaisant d'etre ici...quoique calme n'est pas un terme a qualifier l'ambiance permanente de l'Institut. Quand tu t'y seras habitué, tu verras, tu te sentiras super bien dans cet endroit...et tout ca, grace a notre charmante directrice."

La personne a qui il tenait le plus a cet endroit, était désormais a ses cotés et le soutenait du mieux qu'il pouvait. Léon caressa le visage de Cyprien de sa main droite, puis déposa un timide baiser au coin de ses levres.

"Tu me connais. Impossible de passer inapercu, où que je sois et...il faut bien que la celebrité ait un prix, n'est-ce pas?"

Il posa sa tete lourde et remplie d'images et de sons, sur l'épaule de son fiancé et soupira comme pour evacuer toute la pression de cette nuit.

"Me voila de nouveau a tes cotés, cher Cyprien. On dirait bien que la chance était de mon coté cette fois-ci. Esperons qu'elle ne me quitte pas de sitot."

Puis un bruit attira le regard de Léon, c'était un homme que le jeune mutant avait deja apercu aux cotés de Yoss plus tot dans la journée, au lycée. Cependant, il semblait different: meme si ce matin il était plutot avare en parole et assez froid d'apparence mais maintenant il ne prononcait plus rien, et son attitude était encore plus glaciale comme si toute chose l'evitait, y compris la chaleur environnante. Léon aurait bien voulu le questionner, mais il n'avait plus la force de parler normalement, seulement de murmurer et de sourire...quoique cela ne durerait plus tres longtemps non plus.

Malicia acquiesça aux propos de Leon. Elle lui poserait des questions plus tard, elle tenait cependant à dissiper un malentendu.

"Ce n'est pas ta faute Léon....pour Yoss. Cette mission était risquée, tous les participants le savaient."

Leon semblait assez affaibli et Cyprien débordait de sollicitude envers son ami qu'il retrouvait enfin.

"Je peux tenter de m'en occuper moi-même si ce n'est pas trop grave, sinon l'hopital de Boston est très compétent."

Elle haussa les sourcils, l'air interrogateur. C'était à Leon de voir, d'évaluer l'état de sa blessure.

Cependant, il n'eut pas le temps de répondre. Akumu arriva dans la cuisine, visiblement dans un drôle d'état.
Lorsqu'il dévora le poulet, Malicia ne dit rien, mais fit signe aux personnes les plus proches du jeune homme de s'écarter.

"Akumu? Vas tu bien?"

Elle s'avança doucement, parlant d'une voix lente et rassurante.

Rien n'avait plus d'intérêt ni d'existence pour Cyprien hors de Leon. A peine le jeune Chinois avait-il fait son apparition dans la cuisine que la pièce et ses occupants avaient disparu dans un flou lointain et sans importance tandis que la réalité du Français prenait les uniques et délicieuses contours de Leon.

Il y avait là pour Cyprien quelque chose d'enivrant. La possibilité de pouvoir sentir la peau de Leon contre ses doigts, sa voix, son souffle, son sourire, l'éclat de ses yeux, la moindre parcelle de son être en somme le transportait dans une sorte d'état second, de seconde personnalité.

Mais bien loin d'être un état second, c'était son essence première, la plus pure expression de son être et de sa personnalité. Avec Leon, auprès de Leon, il était ce qu'il n'était jamais avec les autres : lui-même. Il laissait tomber sourires et murailles pour se livrer à lui le plus totalement possible.

Et dans cette libération intellectuelle où il se laissait posséder par Leon, il avait l'impression d'entrevoir plus clairement les sentiments et les pensées de son fiancé, comme si sa propre vérité lui permettait d'accéder à sa vérité à lui, comme si la Nature lui proposait un échange de bons procédés.

Ainsi, Cyprien n'eut aucun mal à percer l'air un peu fanfaron du jeune homme pour se rendre compte qu'il souffrait plus qu'il ne voulait bien le dire. Cyprien laissa échapper un soupir tendrement réprobateur avant de chuchoter à l'oreille de son fiancé.

« Il va encore falloir qu'on évite les photographes, c'est malin. »

Soucieux de ne pas voir son compagnon s'évanouir sur le sol en proie à sa douleur, Cyprien était résolu à lui éviter la peine de se porter tout seul. Il se baissa donc et passa un bras sous les genoux de Leon avant de le soulever de terre, le portant comme une princesse, le visage peint d'une sincère inquiétude.

Ses yeux se posèrent sur la blessure et il se maudit, un instant, d'être plus littéraire que scientifique. Si seulement il avait pu s'intéresser un peu à la médecine, il aurait pu émettre des suppositions sur la gravité ou l'absence de gravité de la plaie occasionnée par le laser sur Leon.

Malicia proposa alors d'aider directement Leon et Cyprien se mordit la lèvre inférieure et sonda du regard son bien-aimé, comme si il se mettait à ses ordres. Ils pouvaient être à Boston en un rien de temps et un peu d'argent discrètement versé empêcherait le médecin de poser trop de questions.

C'est alors que le jeune homme s'aperçut que quelqu'un d'autre venait de se joindre à l'étrange et disparate compagnie, quelqu'un qu'il connaissait un peu pour avoir goûté à son pouvoir et à son caractère des moins sympathiques. Akumu était une des rares personnes que Cyprien n'aimait fondamentalement pas voir.

Intuitivement, il éprouva le besoin protecteur d'éloigner Leon de ce qu'il tenait pour une menace et une source de dangers.

« L'hôpital, c'est peut-être mieux, non ? »

Il y avait dans sa voix une pointe de tension, comme si il pressait Leon de prendre une décision. Cyprien devait avouer qu'il ne serait pas fâché de passer une nuit loin de l'Institut et de toutes ces affaires de mutants.

Ce serait un peu comme un moment de calme dans la tempête de leurs vies.

Finissant avec la voracité d'une bête sauvage le met qu'il avait devant lui, Alex avalait la derniere bouchée alors qu'Akumu commençait à dévorer son poulet. Alex le regarda d'un air assez étrange puis tourna son regard vers Malicia qui d'un signe les invita à s'écarter légèrement.
Discretement Alex s'approcha de la nouvelle, de la main gauche il attrappa l'arme qu'il avait caché sous ses vetements et de la droite attrappa discretement la main de la nouvelle, Jade.

Il lui souffla discretement à l'oreille :

Surtout tu ne me lache pas, si Malicia nous demande de nous écarter c'est qu'il y a une raison, comme tu l'as déjà vu je suis téléporteur, je vais pouvoir te dégager facilement de la pièce si il y a un problème, mais surtout ne me lache pas ...

Alex fixait Akumu de ses yeux, malgré sa petite taille et son manque certain de sérieux (^^) il ne semblait pour une fois pas aussi dynamique et exité qu'habituellement.
Puis soudainement il regarda Jade un bref instant avant de nouveau reporter son attention sur Malicia et Akumu, elle devait faire presque une tête de plus que lui facilement.

*Arf dommage, j'aurais pas eu a chercher de nain si elle avait été plus petite ... (^^)*

Invité

Jade observa le nouvel arrivant, celui avec la toge noir, d'un oeil curieux, et plutôt étonnée de le voir manger aussi... sauvagement alors que la directrice de l'établissement était là, pas très poli l'énergumène...
A peine arrivée, elle se sentait déjà plongée dans la vie active de l'institut, en effet, il semblait s'y passer un tas de trucs bizares, même si celui qui était bléssé lui assurait que l'ambiance y était d'habitude meilleure. Ceci dit, Jade n'était pas plus pour autant mise en confiance, surtout après avoir vu le signe de la directrice, et après avoir sentit la main d'Alex se refermer sur la sienne.

Suivant les recommandations, elle s'écarta, lançant un regard interrogateur à Alex, peut-être savait-il de quel trouble souffrait le dénommé Akumu. D'ailleurs, elle approcha sa bouche de l'oreille d'Alex et chuchota.

"Mais qu'est ce qu'il a? Son pouvoir est dangereux ou il est cinglé?"

Elle ne sentait pas encore son corps devenir moite, et heureusement, Jade aurait eu honte de se liquéfier d'un coup devant tout le monde alors qu'il n'y avait pas de quoi s'inquieter réellement, puis Alex la téléporterai si il y avait un soucis, pour le moment, rien d'alertant selon la jeune femme...

Invité

une voix sourde et glacial retentis haché par des soufle et des eternument, apparamment Akumu n'allait pas bien. Combattre un pouvoir est une chose epuisante, on se fait aidait par quelque médicament qui sont sencé vous calmer mais quand celuici augmente et souhaite dominer l'ame, tout les produit ingéré ne sont plus d'aucune efficacié. Malheureusement pour akumu sont ame epuisé n'a plus la force de combatre, quant à ses drogues ils les a abbandoné. Bientôt un nouveau Akumu naîtra, bientôt et l'ancien mourrera.

"Ne...vous....approchez pas de moi......"
Akumu s'écarta, ses mains depassairent, elles étaient blanches et tremblantes
"ne....vous approchez pas.....monstres"
il laissa tomber le lait qui se brisa et se répendit sur le sol

Léon ne put empecher ses levres de se retrousser en un sourire affectueux, lorsque son ame soeur le souleva de terre pour le porter. Il posa alors sa tete contre son torse pour entendre le coeur de son fiancé battre, et ainsi confirmer que ce cauchemard était bel et bien terminé et que desormais il était dans les bras de son amoureux. Il remarqua également l'ordre silencieux de Malicia leur demanda de s'eloigner du nouvel arrivant dans la cuisine.

Le comportement de ce dernier donna raison a l'ordre de la directrice, ainsi qu'a l'intuition de Léon. Ce dernier detacha ses bras d'autour du cou de son fiancé, puis posa ses pieds au sol en regardant avec une certaine mefiance le mutant qui commencait a delirer, selon les criteres de Léon. Il se tenait pret a reagir a un quelconque mouvement offensif de la part d'Akumu, mais son épaule lui ferait perdre quelques secondes de reaction, pour cause de douleur et brulure.

D'un regard, il fit le tour de la cuisine et remarque sur le coin d'une table une bouteille d'eau ouverte, ainsi qu'un verre d'eau rempli egalement d'eau. Tout doucement, Léon se concentra dessus afin de faire sortir le liquide aqueux de leur recipient et le ramena au creux de sa main droite en forme de boule.
Suivant un instinct honorable, mais un peu idiot et suicidaire etant donné son état, Léon se placa devant Cyprien dans le but de le proteger. Il ne savait pas en quoi consistait le pouvoir d'Akumu mais s'il lancait quelque chose, il était hors de question que Cyprien en soit la cible, quitte a ce que ce fusse lui la cible.

(vas-y doucement quand même Akumu...)
La réponse d'Akumu confirma les doutes de Malicia. Il semblait aller très mal. La seule solution immédiate consistait à le mettre en isolement. John aurait été d'une grande aide en cet instant.

"Akumu, calme toi, nous allons t'aider et voir ce qui est arriver. Ne t'inquietes pas, nous ne te ferons pas de mal."

Malicia essayait de garder une voix rassurante, cependant, elle sentait bien que la douceur ne lui serait pas utile sur ce coup là. Elle allait devoir faire appel à son pouvoir et celà la mettait au supplice.
Même si elle controlait tout celà bien mieux aujourd'hui, elle avait toujours peur lorsqu'elle l'utilisait.

Elle avança la main doucement vers lui en souriant, comme si elle voulait l'apaiser.
Elle sentait que Leon se préparait derrière elle. Elle esperait pouvoir régler ça le plus vite possible avant que tout dégénère.

Cyprien maudissait Leon et ses instincts protecteurs. Quel besoin avait-il de se placer devant lui comme cela pour se mettre lui-même en danger ? N'était-il pas au courant qu'un projectile avait bien peu de chances de blesser Cyprien sans rencontrer avant une résistance et soudaine plaque de métal sortie de nulle part ?

Les yeux du Français se posèrent un instant sur Akumu. Il ne l'avait vu qu'à deux reprises mais à chaque fois il avait paru sur le point de devenir totalement fou. Et d'expérience Cyprien savait qu'il n'y avait rien de plus dangereux qu'un mutant qui perdait son contrôle car il laissait son pouvoir s'exprimer sans limite raisonnable.

La morphologie de la pièce avait changée. Toutes ces personnes en apparence badines et tranquilles s'étaient comme métamorphosés. Malicia, bien qu'elle soit toujours douce, n'en avait pas moins pris le contrôle de la situation vace la fermeté de l'expérience et le talent d'une directrice.

Alex, à l'air généralement inoffensif et plus bouffon que dangereux, n'avait plus le même langage corporel et il était évident que l'heure n'était plus à la détente. Il se préparait à mettre en sécurité la jeune fille qui devait avoir une bien étrange impression de l'Institut pour son premier jour.

Cyprien se pencha à l'oreille de Leon et lui murmura doucement :

« Mon Ange ... Tu es blessé. Reste derrière moi, ça va aller. Je me protège très bien tout seul. »

Il repassa devant son fiancé et le poussa doucement vers le mur. L'instant d'après, Cyprien fourra ses mains dans ses poches et en retira un paquet de cartes, qu'il ouvrit avec une saisissante tranquillité quand on considérait l'ambiance plus que tendue de la cuisine, actuellement.

Le Joueur en sortit les cartes et se mit à les battre avec une dextérité semblable aux croupiers des casinos de Las Vegas. Il n'y avait guère que Leon et Alex pour savoir que ces simples cartes à jouer, entre les mains du jeune homme, devenaient des outils potentiellement mortels.

Cyprien était partagé entre l'envie de faire sortir Leon le plus vite possible de l'endroit pour l'éloigner du danger et l'approcher d'un centre de soin et de et son penchant naturel à la solidarité. Il se doutait que Malicia était puissante, mais parviendrait-elle à maîtriser Akumu seule ?

Il se résolut finalement à attendre, pour voir. ll avait repéré les issues de secours et si besoin était, il pourrait toujours entraîner Leon à sa suite et couvrir leur fuite si nécessaire. Après tout, Leon restait tout de même sa propriété. Il était hors de question qu'il le laisse se mettre en danger une seconde fois dans la soirée.

"Mais qu'est ce qu'il a? Son pouvoir est dangereux ou il est cinglé?"(Jade)

J'peux pas dire, je ne l'ai vu que deux trois fois en vitesse et il avait l'air plutot calme, alors à savoir si son pouvoir est dangereux je ne peux pas dire ...

Alex visualisait toujours la scène de ses petits yeux, une de ses mains portée à son arme et l'autre tenant celle de Jade, il jetait de temps à autre des regards furtifs à Cyprien et Léon, encore en train de se chamailler apparemment.

*Décidement, si je suis pas là pour les tenir ils font n'importe quoi (^^)*

Malicia elle essayait de garder la situation en main lorsque une idée passa à travers l'esprit d'Alex.

Euhhh ... Mais dit moi Jade ? Ton pouvoir c'est pas la téléportation au moins ? Non parce que sinon je me suis inquieté pour rien.

Invité

(ok j'irai plus molo, je vais t'envoyer un mp avec l'explication)

Akumu s'écarta de malicia, il n'était certe pas capable de lire les pensé mais avec ce qu'il a vait vu des cauchemard de malicia, ses pouvoir ne lui était pas inconnu. Akumu se dirigeait vers la sortie, la folie qui reignait en lui etait telle qu'il voyait en permanance chaque cauchemard melanger au reel. Abituer à ces immage , il ne s'exclamait plus en les voyant, mais elle lui faisait extremement mal à la tete.

"hé hhé ... qu'essayes tu de faire..."

Akumu s'éssouflait,

"moi ausssi....."
tournant la tete caché par le drap ver Cyprien, puis la retournant vers Malicia

"je peu lñes utiliser contre vous....et toi ....tu sais ce qui arrivera...héhé <kof kof>"

Il sortit de la cuisine en courrant se dirigeant vers la piort d'entrée

"Vous ne pouver rien pour moi...."

(fais attention quand tu écris, y'a des choses pas compréhensibles.)

Malicia n'allait cependant pas la laisser errer ainsi dans la nature. elle lui barra le chemin.

"Pas si sure. Nous sommes plus nombreux Akumu, alors il va falloir que tu te calme, que tu reprenne le controle de toi-même ou nous devrons faire usage de la force pour te maitriser."

Le regard de Malicia s'était fait plus dur, sa bouche s'était durcie. Le jeune homme pouvait très bien utiliser son pouvoir contre elle mais vu son agitation, il ne pourrait jamais se défendre contre tout ceux qui était présent. S'il était encore capable de raisonner, il s'en rendrait compte.

Invité

Qu'importe le nombre, plus ils était nombreux plus son pouvoir avait de l'effet, mais Akumu ne voulait pas retenter l'afaire, il lui fallait sortir, mais malicia lui barrait la route... Akumu se redressa et la couverture qu'il portait tomba. Akumu avait la peau d'un malade elle etait assez pale, il tremblait de partout, ses yeux etait rouge comme s'il avait ouvert les yeux pendant 2h dans l'eau d¡'une piscine, et puis il avait des griffures au niveau du coup. Il regardait Malicia...

"désolés, mais il faut que je sorte..."

Alors qu'il disait ses paroles Malicia se trouvait sous l'emprise de son pouvoir, autour d'elle des bruits de creatures, et puis une masse noir se jeta sur elle et puis plus rien, mais Akumu n'était plus là il en avait profité pour filler

-> rue de boston

Et les démons de Malicia étaient nombreux. Son pouvoir, sa responsabilité au sien de l'Institut, la paix fragile entre humains et mutants, elle gerait tout celà au quotidien.
Lorsqu'elle reprit conscience de la réalité, elle se trouvait étendue par terre, tremblant de tous ses membres.
Elle se releva tant bien que mal.

"Bien, il semble que nous ayons un autre problème. Cyprien amène Leon à l'hopital, de force s'il le faut. Moi je vais appeler mes contacts pour retrouver Akumu."

Les images de ses cauchemars traversaient encore son esprit fievreux.
Elle se dirigea vers le téléphone et composa plusieurs numéros. Les conversations furent courtes mais précises, on la préviendrait à la moindre alerte.
Elle se tourna vers la nouvelle.

"Et bien pour un baptème, c'est un baptème du feu. N'ayez pas peur, ce n'est pas tous les jours ainsi."

Léon fut recalé au niveau du mur par Cyprien, qui se chargeait de se defendre tout seul. Il l'avait bien compris, et pourtant Léon n'était pas du genre a rester a l'écart d'un differend, surtout s'il pouvait faire quelque chose d'utile ce qui était peut-etre le cas mais peut-etre pas non plus.

"Je vais tres bien, Cyprien. Moi aussi, je peux..."

En fait, il ne pouvait plus rien du tout, mais connaissant le caractere entete de Léon, ce dernier n'allait pas le laisser transparaitre un instant et donner toute l'energie qui lui restait, c'est-a-dire presque rien...mais ca personne ne le savait.

Devant les regards des autres, Léon se tenait debout et se forcait a paraitre normal et pas si mal en point qu'il ne l'était reellement, mais a peine ses amis se retournaient qu'il était a deux doigts de s'ecrouler, mais ca il ne le ferait pas, surtout pas devant Cyprien. Pas question!
Mais il suffisait de regarder la boule d'eau que Léon maitrisait pour s'apercevoir dans quel état était le jeune homme. La boule d'eau était visiblement a deux doigts de s'étaler sur le sol.

Puis Akumu se retira finalement, non sans avoir utilisé son pouvoir sur Malicia qui en était resté toute tremblante et visiblement choquée par ce qu'elle avait subit.

Léon était deja parti pour poursuivire Akumu et lui faire avaler des litres d'eau bouillante, mais ses jambes avaient decide de le lacher au bout d'a peine deux pas.
Et pas seulement, ses jambes. A vrai dire plus aucun de ses membres ne repondaient, Léon était a bout de force et chacun de ses organes le lui faisaient sentir.
Pour faire court, le jeune mutant était insconscient, conséquence de la mission, la blessure, le sentiment de culpabilité et de tout ce qui s'était passé d'autre cette nuit.

Alex avait observé la scène avec attention, lorsqu'Akumu sortit de la pièce et que Malicia se releva il lacha la main de Jade, estimant qu'il n'y avait plus de quoi être aux aguets.

"Et bien pour un baptème, c'est un baptème du feu. N'ayez pas peur, ce n'est pas tous les jours ainsi."(Malicia)

Non d'habitude il y a des meutres au lycée ...

Ajouta Alex avec une petite grimace au souvenir de la balle qu'il s'était prise. D'ailleurs ce souvenir lui rappella qu'il pouvait désormais également lacher l'arme qu'il tenait cachée.

Malicia, tu veux un coup de main pour le retrouver ? Après tout sa serait vite fait je peux aller quasiment partout dans Boston en un éclair.

Une question démangeait Alex, mais il ne la posa pas, pourquoi est-ce que Malicia s'était soudainement retrouvée tremblotante sur le sol ? C'était la peur le pouvoir d'Akumu ?

Cyprien connaissait assez Leon pour savoir que ses velléités combattantes tenaient pour l'heure plus d'une fierté mal-placée que d'une réelle capacité à affronter le combat qui pouvait venir. Et il tenait pas à voir son fiancé en faire trop au péril de sa santé, encore moins quand l'objectif était de maîtriser Akumu.

Ses doigts manipulaient les cartes avec vitesse et dextérité, comme autant de lames coupantes prêtes à aller trancher dans le vif les personnes qui, dans un accès de folie, auraient osé poser leur main sur Leon, son Leon, qui avait déjà assez souffert comme ça sans qu'on en rajoute.

Mais apparemment le combat n'était pas nécessaire pour l'instant puisque Akumu, après s'être répandue en sibyllines et menaçantes paroles qui faisaient à Cyprien l'effet du texte d'un grand méchant dans un mauvais film d'horreur, se laissa aller à une petite démonstration de son pouvoir sur la directrice avant de s'enfui.

Les cartes de Cyprien réintégrèrent leur paquet, le paquet réintégra une des poches du pantalon du jeune homme et les yeux de ce dernier réintégrèrent leur cible de prédilection, à savoir Leon. Malicia lui intima l'ordre de mener son compagnon à l'hôpital, mais le jeune Français ne l'avait pas attendu pour se rendre compte de la gravité des choses.

Il n'était pas impossible que la vision de Leon gisant sur le sol dans la plus totale inconscience après avoir tenté de faire un peu de zèle l'ai aidé dans ses suppositions. Il se précipita vers lui et s'agenouilla à ses côtés, posant de deux doigts dans son cou pour vérifier que son coeur battait toujours.

Il murmura doucement :

« Il faut toujours que tu en fasses trop. »

Il déposa la tête de son compagnon sur ses genoux et se saisit de son téléphone portable afin d'appeler une ambulance. Lorsque ce fut fait, il se saisit du corps inanimé de Leon et sortit de la cuisine sans un mot pour les autres, l'inquiétude lui ayant fait perdre ses bonnes manières.

Il n'eut pas à attendre longtemps dans le hall pour que le véhicule médical se profile à l'horizon. Sa promesse d'une coquette rémunération si le chauffeur arrivait rapidement n'était pas étranger à la promptitude et l'empressement des ambulanciers qui allongèrent Leon sur un brancard.

Cyprien grimpa à l'arrière de l'ambulance et reprit la main de Leon, laissant son regard triste errer sur le corps brisé et douloureusement immobile du jeune Chinois. L'inquiétude lui nouait le coeur, même si il restait confiant dans les chances de rétablissement du jeune homme.

Les ambulanciers se livraient à des examens préliminaires sur la route de l'hôpital afin de pouvoir correctement renseigner les médecins une fois arrivé. Cyprien ne comprenait rien au jargon médical et scientifique employé par les hommes et il se contentait de serrer affectueusement la main de Leon.

Finalement, il se rendit compte qu'un des ambulanciers s'adressait à lui. Il releva le regard vers l'individu.

« Pardon ?
- Je vous demandais ce qui était arrivé. »

Cyprien se mordit la lèvre inférieure.

« C'est vraiment nécessaire de le savoir ?
- On a des papiers à remplir.
- Je suis sûr qu'il y a moyen de s'arranger. »

Finalement, Cyprien consentit à verser une petite somme pour que les ambulanciers restent évasifs sur la description de la blessure et des circonstances lors de leurs formalités administratives. Le jeune homme n'avait aucune envie que Leon soit, après son rétablissement, ennuyé par des questions trop inquisitrices.

Ils arrivèrent finalement à l'hôpital et Cyprien fut poussé au loin sans ménagement pendant que des médecins s'emparaient du brancard en déversant un flot de paroles destiné à s'informer les uns et autres de la situation et des solutions médicales qu'on envisageait d'y apporter.

On conduisit Leon dans une autre salle, pour le soigner et Cyprien fut cantonné à la salle d'attente. Et là le temps commença à défiler plus lentement que jamais, tandis qu'il tournait en rond, s'asseyant, se relevant.

Et toujours, l'inquiétude.

[-> L'Hôpital. Je laisse à Leon la liberté d'y poursuivre le sujet.]

Malicia semblait perdue dans ses pensées lorsqu'Alex lui parla.
"Euh, oui, si tu veux, tu peux essayer Alex, mais fais attention à lui, aagis vite et ne le laisse pas utiliser son pouvoir si tu ne veux pas voir le sol d'un peu trop près"

Elle se força à sourire.

"Son pouvoir se base sur tes peurs. Tente de les lui cacher si tu peux."