Voici une fiche d’un deuxième perso du joueur qui guide déjà un jeune orphelin ukrainien qui se fait exploité par l’institut, afin de visiter le coté obscur
Prénom et nom : Rosa-Maria Gonzalez Fernandez
Surnom : Madame M
Age (Date de naissance) : 27 ans (08/07/2003)
Clan : la Confrérie.
Pouvoir : Manipulation moléculaire
Rosa-Maria est capable de modifier, au bout de plusieurs minutes, la structure moléculaire de tout ce qui se trouve dans le creux de ses mains. Elle peut ainsi modifier la forme des objets et la structure mais pas leur composition chimique (ainsi elle est capable de transformer du graphite en diamant, car ils sont tous les deux constitués de carbone pur, mais pas du bois en métal)
Si Rosa-Maria tente d’effectuer des modifications de trop grande importance, ou trop de modifications à la suite, des saignements de nez apparaîtront et, si elle persiste, elle tombera inconsciente.
Lorsque Rosa-Maria utilise son pouvoir pour modifier la structure moléculaire d’un échantillon celui-ci émet une lumière verte diffuse qui témoigne de la transformation qu’il est en train de subir.
La difficulté de la manipulation augmente avec la différence entre l'état de départ et d'arrivée de la matière (différence de forme, d'agencement des atomes, de répartition de la matière...)
Après des futures évolution, Rosa Maria devrait pouvoir avoir accès à la transmutation alchimique (passer du plomb à l'or, du fer au silicium...), et au mix entre les différentes matièresAptitudes :
Tout d’abords de part son origine hispanique, Rosa-Maria parle couramment, en plus de l’anglais, l’espagnol, langue natale de ses deux parents.
Rosa-Maria est une scientifiques chevronnées qui une experte dans à peu près tous les domaines de la physique et de la chimie. Elle est en effet titulaire de 4 doctorats, trois de physique (Physique des particules, Génie des matériaux et électronique) et un de chimie(Chimie organique) qui lui ont valus une place de choix dans le centre secret du gouvernement fédéral américain situé dans la mystérieuse zone 51.
Dans les cadres de ses recherches pour le compte du gouvernement américain, elle a aussi acquis des connaissances de base en biologie afin de pouvoir tester les effets de l’utilisation de certains produits et appareils sur la santé.
De plus comme tous les agents du gouvernement américain, elle a suivi des cours de self-défense et de tir, mais elle n’a jamais été passionné par ces entraînement et même si elle connaît le minimum pour se défendre dans la vie de tous les jours, elle n’est pas une experte en combat.
Description physique : Rosa Maria est une belle femme, ses formes bien dessinées et sa démarche assurée participent à l’impression qu’elle fait sur ses camarades de la gente masculine. Bien que peu intéressée par les choses de l’amour et de la sexualité qu’elle considère comme une perte de temps, elle sait jouer de ses charmes pour parvenir ses fins.
Sa musculature fine et souple trahissent le fait qu’elle fasse attention à son apparence et qu’elle pratique le sport nécessaire pour l’entretenir sans toutefois qu’elle soit vraiment une sportive. Mais la caractéristique physique qui est la plus remarquable chez elle est sans aucun doute son regard. Ses yeux sont effectivement d’un noir d’obsidienne et donnent à son regard une profondeur à la fois mystérieuse et troublante. (
voici une image d’obsidienne pour les non connaisseurs)
Signes particuliers : (je pensais bien à des cheveux blanc mais ça va faire un peu lourd à force, donc rien du tout en fait)
Caractère :
Rosa Maria est une personne des plus calme. Elle sait attendre sans s’énerver quand c’est nécessaire, mais si elle peut accélérer les chose elle fera en sorte de le faire, car elle n’aime pas perdre son temps. Elle sérieuse et appliqué, perfectionniste même certain diront peut-être maniaque mais ils exagèrent un peu, elle bien le travail bien fait tout simplement. Tous ces points de sa personnalité, font que la plupart de ses relations de travail la trouvent d’une froideur et d’une dureté inquiétante, mais elle sait en réalité se montrer chaleureuse et affectueuse en privé quoique peu sont ceux qui en ont fait l’expérience peu être parce que le premier contact les décourageaient la plupart du temps de creuser plus loin.
La nouvelle mission qu’elle s’est donnée de travailler à l’établissement d’un état où les mutants pourront vivre libre est pour elle un impératif, un travail, elle compte user de toutes ses capacité pour parvenir à ce but de façon pragmatique et d’après son analyse la création d’un tel Etat ne pourra s’effectuer que par la force.
Ambitions : Construire un Etat libre où les mutants pourront enfin vivre libre et en sécurité.
Histoire :
C’est au Sud-est de l’Etat du Nouveaux Mexique, à quelques kilomètres de la frontière de la frontière avec cet ancien pays frontalier qui a donné son nom à cet Etat américain que commença la vie de Rosa Maria Gonzalez Fernandez. Elle naquit en effet entre deux et trois heures du matin dans l’hôpital de publique de la ville Roswell et fut accueillit en ce monde par ce ses parents, Violeta et Juan-Pablo Gonzalez Fernandez. Les premières années de sa vie se déroulèrent sans aucunes embûches. Elle vécu tranquillement dans la maison parentale, adossée au garages que dirigeait son père et qui, après un démarrage difficile, lui permettait alors de gagner assez pour permettre à Violeta de s’occuper de sa fille sans avoir besoin de travailler.
Quand elle eut l’âge de trois ans, Rosa Maria entra donc à l’école publique de Roswell. Et la scolarité qui suivi ne fut en rien exceptionnelle. Tout du moins jusqu’à l’entrée du lycée, en effet son père, dont le garage fonctionnait maintenant d’une manière plus que raisonnable, se mit en quatre pour lui permettre d’aller dans le lycée le plus en vue de la ville. Rosa Maria y reçut une éducation de haute qualité, et ne voulant pas décevoir ses parents qui faisaient tant de sacrifice pour qu’elle ait accès à la meilleure éducation possible, elle se montra très sérieuse et appliqué dans ses études.
Tous ces efforts, couplés au fait qu’elle n’était pas plus bête que la moyenne, c’était même plutôt dans le contraire, quoiqu’à l’époque cela n’ait rien de fulgurant, permirent à la jeune américaine d’obtenir de très bons résultats.
Elle entra ainsi sans aucune difficulté au collège. Sa vie avait été jusque là parfaitement dans la norme. Rosa Maria avait en effet eut une vie presque banale pour une jeune fille de son age, entre les après midi au parc avec ses amies et les vacances chez sa grand-mère. Elle allait même au conservatoire municipal de Roswell pour suivre des cours de Saxophone. Mais cette normalité allait quitte la vie de cette jeune fille d’origine mexicaine dés sa première année au collège.
En effet c’est à cette époque qu’elle découvrit sa nature de mutante. Un soir, alors qu’elle était en train de finir un exposé sur les découvertes du grand scientifique américain, Thomas Edison, et qu’elle s’énervait seule devant son bureau. Elle ne parvenait pas à faire fonctionner sa maquette devant mettre en évidence l’effet Edison et commençait à en avoir assez puisque cela faisait depuis plus de deux qu’elle multipliait les essais. A bout de nerfs, elle saisit alors le filament de cuivre qui lui servait pour son expérience et le serra dans sa main. Une étrange lueur apparut alors dans le creux dans la main de Rosa Maria, elle ressenti alors une douleur dans son poing serré. La jeune adolescente ouvrir la main et vit dans le creux de sa main, à la place où quelques instants auparavant se trouvait le filament de cuivre, une petite boule couverte d’épine acérées, ressemblant aux bogues desquelles on peut extraite les marrons. C’était cette petite boule épineuse qui lui avait piqué le creux de sa main d’où perlaient désormais quelques gouttes de sang. Rosa Maria resta quelques instant sans voix, ne comprenant pas comment cette transformation avait été rendu possible. Mais elle était curieuse et se rappelant des super héros du passé dont on parlait désormais presque comme des légendes urbaines, supposa un instant qu’elle était elle-même à l’origine de la modification structurale du filament. Après s’être essuyé les mains à l’aide d’un mouchoir en papier, elle tenta alors de réitérer l’expérience. Elle pris alors la bogue de cuivre dans le creux de sa main, elle ferma les yeux et se concentra dessus en tentant de changer à nouveau sa forme. Les premières tentatives ne furent que peu fructueuses, n’arrondissant que quelque peu les épines acérées. Mais au bout d’une heure complète d’essais se succédant sans interruption, Rosa Maria parvint à rendre au filament sa forme originale. Elle retourna alors à son exposé, emplie d’une énergie nouvelle, la découverte de sa particularité avait ramené un peu de soleil dans son esprit et, heureux hasard ou conséquence de sa manipulation du filament, sa maquette fonctionna immédiatement. La jeune fille alla donc se coucher, même si, à cause de l’excitation qui l’avait envahit, elle ne s’endormit que bien plus tard. Dés le début de la journée suivante, la vie de Rosa Maria repris son cours normal, enfin presque puisqu’à partir de ce jour si particulier où elle avait découvert son pouvoir, elle passait au moins une heure chaque soir dans sa chambre à s’entraîner à la manipulation moléculaire et à s’émerveiller des nouvelles possibilité qu’elle se découvrait.
Ces entraînements nocturnes ne tachèrent cependant pas son sérieux et sa volonté de réussir. Et ce fut avec brio qu’elle entra au lycée. Quelques années plus tard, alors que la date de la remise des diplômes approchait, Rosa Maria se plongea dans les dossiers d’inscription des universités. Et en envoya pas mal au quatre coins de l’Etat fédéral, elle posa même sa candidature dans les université les plus prestigieuses des Etats-Unis, et même du monde entier, telles que Yale ou Harvard. Elle le fit en grande partie pour faire plaisir à ses parents car, au fond d’elle-même, elle ne croyait pas vraiment, qu’elle ait une quelconque chance d’intégrer l’une de ses universités prestigieuses. Aussi il serait difficile de décrire l’étonnement que fut le sien quand Rosa Maria reçut une lettre d’Harvard lui indiquant qu’elle y était acceptée. Elle ne parvint à se convaincre que cette admission était réelle qu’en se persuadant qu’elle entrait dans les quotas d’hispaniques rendu obligatoire par la politique de discrimination positive du gouvernement, ce qui n’était pas forcement absurde d’ailleurs mais qui n’était pas non plus la réalité. Quand Rosa Maria arriva à Harvard, le jours de la rentrée, elle se présenta donc d’emblée comme une bénéficiaire de la discrimination positive, chose qui ne l’aida pas vraiment à être acceptée de ses camarades, qui en voulait à ces gens qui était propulsé pour des raison d’origines ethniques à une place que eux avaient du acquérir au prix d’un travail harassant.
Toute cette histoire qu’elle s’était racontée au sujet de la discrimination positive la maintint dans une solitude assez complète. Pour faire passer le temps Rosa Maria se plongea alors dans le travail, elle étudiait jour et nuit et cela fit d’elle une élève plus que brillante, si exceptionnelle qu’elle fut contactée par les service secrets. Elle avait à peine 24 ans, et c’était l’année de son premier doctorat, enfin de ces deux premiers puisqu’elle en présentait deux en parallèle, alors qu’elle était assise sur une table dans le parc de l’université en train de relire une dernière fois sa thèse de physique des particules avant de la remettre à son directeur, un homme en costume noir parfaitement ajusté s’assit en face d’elle. Il resta ainsi immobile pendant quelques instant, jusqu’à ce que Rosa Maria leve les yeux vers et lui adresse la parole :
« Bonjour Monsieur, vous avez besoin de quelque chose ? »L’homme en costume lui glissa alors discrètement une carte de visite dans la main avant de lui répondre :
»Oui excusez moi, je cherche un restaurant dans le coin, vous n’en connaitriez pas un bon dans le coin par hasard ? »Rosa Maria, intriguée, lui répondit alors sans vraiment comprendre ce qui se passait :
»Il y a un restaurant indien pas mal, juste derrière le terrain de foot là bas. »En disant cela, elle regarda la carte que lui avait donné le mystérieux inconnu, c’était une carte du FBI sur laquelle il était griffonné à la main au dos :
« Edward Sennott Park, Demain 7h30 »
La jeune étudiante releva alors la tête pour demander à l’homme en noir des précisions, mais celui-ci avait disparu. Poussé par sa curiosité et par son amour propre, Rosa Maria alla au rendez vous le lendemain voulant savoir ce que le FBI pouvait bien lui vouloir.
Le même homme était assis sur un banc à l’attendre quand elle arriva, il lui expliqua que ses résultats et ses compétences avaient attiré l’attention du bureau et qu’il souhaitaient lui proposer un poste dés qu’elle aurait son diplôme, afin qu’elle aille travailler sur des dossier secret dans la zone 51. Impressionné de se voir proposer dans les sphères secrètes du FBI, Rosa Maria accepta sans aucune hésitation et trois moi plus tard elle était dans un de ces célèbre Boeings 737 JANET. Dans la mystérieuse zone qui fascine dans les ufologues amateurs, elle pris par à des travaux dont la population civile n’entendra plus que probablement jamais parler, même sous la forme de simple rumeur : armes secrètes et gadgets dignes de James bond mais aussi études de mystérieuses météorites et recherches de traces de vies sur les cailloux venus de l’espace et des planètes explorées du système solaire.
Rosa Maria travailla dans ces locaux, retiré du monde civil pendant plusieurs années, mais les événements de Boston parvinrent jusque ses oreilles, même au fin fond du désert du Nevada. Dans l’esprit de Rosa Maria qui se savait mutante depuis près de dix déjà un déclic eut alors lieu : elle n’accepterait plus de cacher aux autres sa vrai nature, elle allait enfin dévoiler son vrai visage au monde. Elle effaça alors son Identé des registre fédéraux, comme elle l’avait vu faire tant de fois pour les agents du service actif et partie seule, sous le couvert d’une fausse identité, en direction de Boston où, d’après ce qu’elle avait entendu, il y avait des mutants qui s’étaient regroupés pour garantir une vie meilleur à leur semblable. Elle n’en connaissait pas plus au sujet des organisations des mutants présentes dans la ville si près de l’endroit où elle avait fait ses étude, mais elle était persuadée, de part son expérience de rejet suite à la rumeur de discrimination positive, qu’il leur faudrait créer une nation à eux si ses semblables vouaient pouvoir vivre libre et en sécurité, une nation créé et gouverné par les mutants et pour les mutants.