Arrivée de Melian

Ses deux valises en main, Claudia se trouvait devant les grilles de cet établissement qu'on appelait Institut. Elle scruta un peu plus attentivement les lieux de son regard noisette, porté par la mélancolie. Bel endroit, mais y avait-elle vraiment sa place ? Elle posa l'une de ses valises sur le sol et caressa le médaillon en forme de coeur qu'elle portait autour du cou. Médaillon qui lui avait été offert par Sarah qui n'avait cessé d'occuper son esprit depuis toutes ces années.
Claudia se prit à soupirer, la tristesse menaçant s'emparer d'elle. Elle se décida à franchir les grilles et s'engagea sur l'allée qui menait tout droit aux portes de son devenir. Une fois devant ces dernières cependant, Claudia sentit monter en elle une bonne dose d'appréhension et son coeur qui commençait à s'emballer. Elle n'était pourtant pas quelqu'un qui paniquait devant l'inconnu, mais elle sentait que cette fois-ci, son destin était sur le point de se jouer.

Inspirant à plein poumon pour se redonner du courage et calmer les battements désordonnés de son coeur, Claudia posa ses deux valises et posa sa main, devenue moîte, sur la poignée de l'une des portes et la tira. Elle s'engouffra à l'intérieur du hall, poussant ses valises du bout des pieds. Arrêtant brusquement ses mouvements, un fin sourire se dessina sur ses lèvres. Cet endroit lui plaisait et elle s'y sentait déjà bien. C'était fou, mais c'est ce qu'elle ressentait.
Il y ait des endroits où l'on se sentait bien à peine à l'intérieur, et là c'était le cas avec cet Institut. Ben ca allait s'annonçer moins éprouvant qu'elle ne l'avait crain au moins ! S'avançant un peu plus pour se retrouver au centre du hall, Claudia balaya l'endroit du regard, espérant voir débarquer quelqu'un pour l'accueillir. Seulement il semblait n'y avoir pas âme qui vive... Tant pis, il lui faudrait attendre. Elle se mordit légèrement la lèvre inférieure, signe de malaise, puis attendit donc avec espoir qu'une personne débarque et vienne à sa rencontre.

Le majordome anglais surgit devant Claudia comme par magie. Vieil homme de 60 ans, mais alerte malgré tout, toujours tiré à 4 épingles. La jeune femme portait des valises. il en conclu qu'elle s'installait.

" Soyez la bienvenue à L'institut Xaviers. Ici, nous accueillons toutes les personnes surdouées afin de les aider à mieux gérer leur talents, s'inserrer dans la société, Malicia, notre directrice, perpétue le grand oeuvre de Charles Xaviers. "

Il montra de la main le portrait peint de Charles Xaviers haut de deux mètres, qui surplombait le Hall en souvenir du travail du grand mutant télépathe qui avait voué sa vie à la cause. Puis, il se dirigea vers le bureau des inscription où tronait un énorme livre, relié de cuir. Il attendait que la jeune femme se présente avec un sourire accueillant bien que légerement flegmatique comme tous les anglais.

Alors qu'elle se replongeait dans son passé, Claudia sursauta lorsqu'une personne fit soudainement son apparition devant elle. Elle ouvrit grands les yeux sous la surprise tandis que son coeur tentait de reprendre un rythme à peu près normal. C'est qu'il lui avait fait vraiment peur à apparaître ainsi devant elle, venant de nulle part ! Sa respiration redevenue régulière, Claudia fixa intensément l'homme d'âge avancé qui se tenait devant elle.
Le costume qu'il portait, ainsi que sa prestance témoignaient de la richesse de cet Institut. Cependant, Claudia n'y prêta pas vraiment d'attention. Elle n'aimait pas trop beigner dans le luxe, mais celui-ci ne l'intimidait pas outre mesure. Tant qu'elle se sentait bien quelque part, peu importait où cela était en fait. Elle écouta attentivement celui qui devait sûrement être le majordome des lieux, le regard planté dans le sien.

Claudia haussa un sourcil étonné lorsqu'il utilisa un therme qui sonnait plus qu'étrangement à ses oreilles. "Surdouées". Alors les personnes ici étaient considérées comme cela ? En tout cas, elle, ne se voyait pas du tout ainsi mais ne fit aucun commentaire. Après tout, il était fort possible que d'autres ici l'étaient réellement... Lorsqu'il eût terminé sa tirade, Claudia suivit du regard la direction que pointait son doigt.
Charles Xavier... Elle se souvint en avoir vaguement entendu parler, mais n'avait jamais vraiment prêté foi aux dires. Surtout ceux que l'on pouvait entendre dans une ville comme Sofia ! Son regard noisette détailla lentement les traits de l'homme sur la photo durant quelques secondes pour finalement se porter de nouveau sur le majordome. L'expression de Claudia ne reflétait que mélancolie et indifférence jusque là.

Mais cela était plutôt normal venant d'elle, vu qu'elle ne connaissait pas la personne qui lui faisait face ! Il lui fallait se sentir en confiance pour se laisser aller généralement. Comme tout à chacun probablement. Claudia empoigna ses deux valises et suivit la majordome tandis qu'il se dirigeait vers un grand bureau. Lorsqu'il porta de nouveau son attention sur elle après avoir ouvert un énorme bouquin, elle comprit qu'il attendait d'elle qu'elle se présente.
Elle hésita quelques secondes, pas très encline à révéler sa véritable identité de peur d'être retrouvée par la police de Sofia pour ses dettes qu'elle avait laissé impayées. La Bulgarie n'était certes pas la porte d'à côté, mais elle connaissait les flics de la ville et savait qu'ils n'hésiteraient pas à remuer ciel et terre pour la coinçer. Mais, comptant sur la discretion des responsables de cet établissement, elle finit par murmurer doucement, le regard caressant le livre et la main sur son médaillon.

<< Claudia... Claudia Madison >>

Et voilà, c'était dit ! Cependant, le visage de Claudia reflétait maintenant une certaine tension et sa main serrait un peu plus le médaillon. Généralement, triturer le présent que lui avait offert Sarah, la rassurait lorsqu'elle commençait à perdre confiance et paniquer.

" Claudia Madison ? Je suis Edouard, l'intendant. si vous avez le moindre problème, la moindre question, n'hésitez pas, je suis là pour vous aider. Nous aimons faire en sorte que nos pensionnaire se sentent comme chez eux ici. "

Il termina d'inscrire le nom de la jeune bulgare sur le registre avant de relever les yeux. Puis, il lui tendit un pass magnétique.

" Voici la clé de votre chambre. Je vous souhaite un bon séjour ici. La cuisine est ouverte à toute heure. Bref, vous voilà dans les murs. Peut-e^tre avez vous des questions ? quelque chose ? N'hésitez pas. "

Il avait pris son air le plus accueillant, au même instant, surgissait un clone d'Edouard au côté de la jeune femme, qui la débarrassa de ses valises. Edouard était affublé du don d'ubiquité ou alors, il avait une bonne quinzaine de jumeaux.

" Je peux vous montrer votre chambre si vous le souhaitez. "

La tension de Claudia monta d'un cran lorsque le majordome reprit son nom par l'interrogative. La connaissait-il ? C'était impossible, elle n'avait jamais mis les pieds dans cette ville auparavant ! Non, elle devait sûremement se tromper, ou plonger carrément dans la paranoïa... Elle fut d'ailleurs vite soulagée lorsqu'il reprit la parole, se présentant avec son flegme ainsi que son accent british qu'elle trouvait très agréable à entendre.
Elle se prit même à lui sourire légèrement, le regard s'illuminant maintenant d'une vive reconnaissance devant la courtoisie de cet homme. Elle était même heureuse d'être reçue de cette manière et commençait à se sentir déjà comme chez elle. Elle ne perdit pas de son sourire qui semblait gravé sur son visage maintenant tandis que le majordome inscrivait son nom sur le registre. Lorsqu'il releva les yeux vers elle et lui tendit un pass, Claudia murmura, toujours la voix d'une extrême douceur.

<< Merci pour votre prévenance Edouard >>

Elle sursauta de nouveau lorsqu'un autre personnage, copie conforme d'Edouard, se matérialisa à ses côtés. Elle était cette fois attérée, se demandant comment le majordome pouvait faire pour se dédoubler ainsi. Etait-il lui aussi un mutant ? De toute évidence, oui. Elle finit cependant par sourire, touchée par son attention alors qu'il empoignait ses valises. Il lui proposa même de l'escorter jusqu'à sa chambre et Claudia lui répondit, souriant de nouveau.

<< Je voudrais bien si cela ne vous dérange vraiment pas >>

Elle attendit donc de voir la réaction d'Edouard, la main toujours sur son médaillon, le caressant avec délicatesse.

Le majordome inclina la tête en signe d'assentiment. Edouard était assez nombreux pour prodiguer un accueil personnalisé à chaque étudiant. Avec un ton très cérémonieux, il déclara.

" suivez-moi, miss Madison, je vous ouvre le chemin. "

Seul le Edouard qui portait les valises l'accompagna, l'autre s'éloigna par une porte de côtée.

Le majordome grimpa le grand escalier du manoir. Et tout le long, il expliquait à Claudia comment se repérér dans ce labyrinthe de couloirs et d'escaliers.

[Hrp : Claudia, je te laisse ouvrir le sujet de ta chambre dans le forum l'Aile Est, quartier des adultes.... Direction, la Chambre de Claudia...]

Une voiture noire vint se garer en face du portail de l'Institut. Le bruit des roue sur le gravier se fit tout de suite suivit par un claquement de portière et des pas.
Garuha leva la tête pour voir la hauteur du portail, il plissa les yeux gèné par le soleil qui malgrè les nuages présents réussisait à projeter des rayon sur les barreaux metaliques du portail.
Soudain une voix derrière lui provennant de la voiture le sortit de ses songes; sa mère l'appelait.
Le garçon se retourna alors et fixa sa mère dans les yeux avant d'annoncer platement :

"Tu peux partir M'man...J'me débrouillerais tout seul à partir d'ici..."

D'un ton plus bas il ajouta :

"Merci..."

On aurait presque pu croire que le garçon allait verser une larme. Cela aurait vraiment fait plaisir à sa mère mais pour elle, le simple fait qu'il lui ai dit "Merci" suffisait à la remplir de joie. C'est après un signe de main de la part de Garu et un sourire de la part de sa mère, que la voiture partie dans un nuage de poussières.

*Bon...Comment j'rentre moi là dedans...Y'avais pas écrit comment dans l'article sur le net...*

Il se mit à chercher un mécanisme ou une sonnette par exemplemais rentrer dans l'immense batiment s'avèrait plus que difficile...

"Reste à attendre que quelqu'un vienne..."

Garu resta un moment planté devant l'entrée, à dévisager le majordome et ensuite à observer le hall qui en quelques sortes grouillait de monde. Le garçon mit un certain temps à réagir, puis à faire un pas de façon à être juste à coté du majordome.
La regard vaguant entre les diffèrentes porte et décoration du hall, il posa sa valise -qui commencait sèrieux à peser lourd- au sol.

"Et bien...Je dois dire que oui vous pourriez surement m'aider...Je m'appelle Garuha Magaël et j'aimerais bien m'installer ici...M'enfin si vous avez toujours de la place ici !

Faisant glisser son sac sur le sol à l'aide de son pied, il s'avança un peu plus dans le hall ambitieux à l'idée de visiter la demeure.

Le Majordome regarda un instant le jeune homme et sorti de la poche de son beau veston noir une carte magnétique qu'il tendit au jeune garçon.

Tenez donc, voici la clé de votre chambre. Nous accueillons chaque jour des jeunes garçons et jeunes filles comme vous. Si vous avez un problème quel qu'il soit adressez vous à moi même ou à Malicia, la directrice de l'établissement. Sinon vous pouvez toujours demander conseil aux anciens élèves.

Sur ce, bienvenue parmi nous. Prenez ce couloir, il vous menera à votre chambre.

D'un simple geste il indiqua un des couloirs au jeune homme.

Veuillez m'excuser pour mon empressement, mais j'ai beaucoup de choses à faire. A bientot.

La silhouette du majordome s'éloigna dans un des nombreux couloirs et disparut derrière un groupe d'élèves.

[HRP - Crée un sujet avec le nom de ta chambre dans l'aile Ouest Bon jeu - HRP]

Pendant que tout les nouveaux rejoignaient leurs appartements. situé dans l'aile ouest de l'institut, et apres avoir reçut du majordhome, en personne, leur cartes magnétiques, ainsi qu'une légère explication de l'emplacement de l'aile ouest, un jeune homme nu dormais à point fermé devant le grillage de l'institut.

Ce jeune homme de 18 ans, n'était autre qu'un mutant prénomé Zanahar (Zanahary). Il s'était endormis dans la nuit apres avoir traversé un bon nombre de milles en courants en forme loup, car tel était son dont de mutant.

Son corps tremblez légèrement, il avait froid...

Dans son sommeil il poussais de temps en temps des petits: "Wouf", croyant toujours être un loup...

C'est une goute de rosé, froide, qui vint reiveiller le jeune garçon, ses paupieres s'ouvrirent dificilement, tandit que instinctivement il tenta de se gratter l'oreille avec la patte arrière. Surpris, d'un elant brusque il se retrouva assis, contemplant sa nudité, et son corps humains. C'est à ces mêmes instants qu'il se rapela avoir été un humain, ses souvenir refesait surface quand, soudainement il fut attiré par un bruit puis une odeur plutôt apétissante venant de ce batiment érange.

Zan se redressa avec peine, puis regarda un long moment cette endroit.

"C'est grand...."

Comme toutes créatures, Zan était curieux, et puis cette odeur deliciese qui venait sûrement des cuisines, lui rapelait qu'il n'avait guère mangé, ne se souciant pas de sa nudité il s'anvançaguidé par la faim, il franchis le portaille, un léger grincement se fit entendre.

Zan franchis la cour et se dirigea vers la porte d'entrée mêllant une posture quatre patte à une posture plus humaine, un peu à la chimpanzé. Arrivé à la porte il regarda au tour de lui, puis entra silencieusement.

L'institu Xavier, un domaine ancien renfermant secretemant un coeur de tecnologie, le grand hall avait sont petit goût chateau, melant l'institu pour jeune et le style hotel, enfin un enssemble bien ficelé, donnant un aire acceuillant, un peu refuge de temps en temps.

"Wif....c'est grand"

Zan était à quatre pattes, plus dans une posture gorille que bébé qui ne sais pas marché, et toujours aussi nu, il huma l'air, renifant, puis le sol, et encore l'air. Les odeurs de cette endroit ce mêllaient les une aut autres, si bien que Zan avait du mal à savoir où était cette fameuse cuisine...

Sara poussa la double porte pour découvrir un magnifique escalier en marbre blanc qui partait dans les etages du batiment.
En regardant le decors autour d'elle, la jeunne fille ne put reprimé un sourir narquois.

*Alors c'est ca l'institut... ça resemble vraiment a la maison.*
Elle baissa les yeux et vit devant elle un jeunne homme, qui semblait en plein examendu lieu , il ne cessait de renifler.

Elle lacha les 2 valises qui lui servaient de bagages passa devant le garcon et s'avanca vers l'escalier. Après s'etre accroupit près de l'escalier et de ses mains elle passa la main sur le marbre blanc de la structure.

*tien, je me demande si je peut me transphormer en cette matiere ?*

puis elle se releva et se retouna vers le garçon et lui demenda si il pouvait garder ses bagages le temps de son absence (qui ne devait durer guere plus d'une heure.).
puis elle le remercia d'avance et sans lui laisser le temps de repondre elle sortit du batiment et se mit a courrir vers l'ecole.
Grand Hall du lycée.

Zan vu se défilement de personnes, inquiet et craintif il se recroqueveilla sur lui même, à ce même moment ses cheveux poussèrent etil repris sa forme de loup.

Il ne comprenait pas plus ceque lui avait demandé la jeune fille ni même ce que le garçon et la fille rouge faisaient. Il se retrouvait perdu et pour seul compagnon, des valises.

Le loup se tourna vers celle ci, et les fit tomber à coup de pattes, puis avec ses crocs les ouvrit, apparemment elle étaient remplit d'habit féminin, il en profita pour les renifler, un bon parfum s'en dégageait.

Si nous avions été à autres lieux, on aurais pu aisément dire qu'un loup en plein millieu de hall d'un centre pour jeune était des plus étrange, mais puis que ce liau, l'institut Xavier, héberge des spécimen tout aussi amusant, nous alons considérécelà comme habituel voir même tout ce qui a de plus normal.

Zan remarqua que les taille de ma jeune fille n'était pas si diférente des siennes, pour ne pas se retrouvé à nouveau nu dans le hall, pourquoi ne pas lui piquer un jeans et un pull....

Zan malgrès lui repris sa forme et s'empressa d'enfiler un jeans et un pull provenant de la valise, il referma vitte fait la valise, puisse releva.

"Y a quelqu'un?" cria t'il

Zan n'avait fait que peu attention à la fille en rouge, son regard se porta sur elle quand elle lui posa une quastion, il se retourna face à elle dans un costume féminin, sourillant et plissant des yeux.

"Bonjour. je suis perdu, et je meurt de faim. quel est cette endroi? et qui etes vous? "

Zan regarda Lyo et son bléssé, il s'approcea de lui, et se mit a raniflé la blessure. Il était resté trop longtemps en loup et son comportement était plus celui d'un animal curieux. Reconnaissait l'odeur du sang il ne pu s'empéché de lécher avec delectaition le liquide rouge qui goutait.

"Escusez moi..." fit il en reculant.

Zan ne savait rien de l'institut, il ignorait à quel point ces gens lui ressemblais, et il avait un peu peur qu'ils le jettent àdehors à coup de pied où de fusil...

Accompagné de son imposant chat blanc, Steeve se rendit dans le hall de la batisse. Déjà habitué aux grandes maisons et au luxe, la seule chose qui l'étonna futles innombrable mutant qui arpentaient les couloirs. La tête prise par la recherche d'un malin qui' s'amusait à disparaitre pour ensuite réaparaitre derrière un camarade, se fut son chat qui le sortit de ses songes.

La grosse boule de poils blanche c'était arrêtée à distance d'un mètre et demi environ, en faisant dos rond et en crachant à destination du jeune homme à comportement...assez étrange d'ailleur.

"Joch ! Maisqu'est ce qu'y t'prend voyons !?"

Le jeune homme se précipita sur son chat pour le prendre dans ses bras et e le carressant pour le calmer. Une fois ceci fait, il dépousièra sa vest. Dans son accoutrement, la ressemblance à un majordome était frappante. Tout en s'approchant du groupe de mutants qui étaient en plein milieu du hall, il s'éclaircit la voix pendant que son chat lui dépouillait les épaules avec ses griffes toujours énervé.

"Veuillez l'excuser, après tout ce qu'il à vu il est un tantinet nerveux...Je trouve..."

( Y a un sacré bordel la dedans !! Je m'en occupe. )

Il y avait bien trop de Monde dans ce Hall, et l'agitation qui y régnait n'était pas celle habituelle d'un groupe d'étudiants excités. Edouard, du sommet de l'escalier, reconnut en vrac, une jeune demoiselle brulante, Malisse, Lyo qu'il venait juste d'accueillir, un jeune homme nu au comportement inquiétant, ainsi qu'un autre nouveau. Mais le plus inquiétant restait sûrement Vincent moreira fort mal en point que portait Lyo sur son épaule.

Comme il était un majordome anglais, imperturbable et toujours au meilleur de sa réactivité, il descendit les escaliers calmement. Mais, tandis qu'il avançait, les jeunes élèves de l'Instituts purent voir qu'il se dédoublait à vive allure et même quadruplait ! Au bas de l'escalier, il y avait quatre Edouard qui s'activaient mais toujours sans une once d'émotion sur son visage so British. Le plus urgent.

" Qu'est-il arrivé à Mister moreira ? Bien, nous allons devoir l'emmener à l'infirmerie, Lyo, suivez-moi, nous allons nous occuper de lui. quelqu'un d'autre sait ce qui s'est passé ? Suivez nous alors, vous nous expliquerez en route. "

Sans attendre, le premier clone d'Edouard entraînait ce petit monde vers le quartier de l'infirmerie.

(Hrp : Lyo, tu viens avec moi, Direction, couloir passage éclair... Lyo tu poste en premier. Malysse, tu as parlé avant avec Vincent. Tu peux nous suivre. pour les nouveaux don't moove, c'est pas fini ! Phase inscription.)

Un deuxième et un troisième Edouard entourait les nouveaux, façon gardien de musée. Tandis que le 4ème attrapait un tas de bagages abandonnés là. La jeune fille qui avait fait cela entendrait parler du majordome. Edouard 2 parlait avec son accent pincé surtout en observant du coin de l'oeil, celui tout nu au comportement animal. Son oeil laissait entendre, continuez comme ça, et vous allez finir attacher. D'ailleur edouard 3 avait sortit une couvrante pour dissimuler la nudité de Zan. maison de fou;

" Messieurs, bienvenue à l'Institut Xaviers. Nous accueillons tous les jeunes surdoués qui le souhaitent afin deles aider à mieux s'inserrer dans notre société, apprendre à contrôler leur pouvoir. Pour tout renseignement, vous pouvez vous adresser à moi, Edouard, intendant de cet asile de fou. Ou à Malicia, notre directrice. Voici les cartes magnétiques de vos chambres. Bon séjour parmis nous. avez vous des questions ? "

Le viel homme pencha la tête de côté comme un hibou, il tendait les fameux pass des chambres de la main droite. Dans le même temps Edouard 3 avait saisit le registre d'inscription et semblait attendre que les nouveaux pensionnaires se présentent par leurs noms.

(Zan n'est plus nu il a piqué un pull et un jeans à Sara)

Zan comprenait de moins en moins, que faisait il ici? qui était ces gens qui étai ce monsieur zarbi? où était la cuisine? pourquoi y avait il un bonhomme mal en point? pourquoi le chat ne voulait pas jouer? et enfin qui était ce Xavier?

Zan lava la main comme un eleve ferai pour poser une question à son professeur:

"Moi j'en ai une, ou deux, enfin beaucoup...Qui êtes vous? où suis-je? sa sert à quoi une carte magnétique?"

Zan s'était remit a quatre patte.

Steeve jetta un coup d'oeil discret en direction de Zanhary. Tant de question, et un caractère des plus...bizarres...Sortant des ses songes en secouant sa tête, il ajusta Joch dans ses bras et alla chercher une carte, peut lui importait le nombre de la chambre.
Après un petit merci en destination du majordome, il s'apprêta à monter les escaliers comme dans son manoir.
Puis après mûres reflexion il revitn en marche arrière a coté du majordome.

"Hum...Moi aussi j'ai une question à poser..."

Dit-il en imitant Zan par le fait de lever la main.

"Elles sont ou les chambres ?"

Le majordome ne marqua aucune surprise aux facéties de Zan. Et son visage froid n'exprimait rien qu'une étrange compassion pour le gamin aux réaction animal. toutefois, le vieil homme avait vu trop d'autres jeunes mutants entrés à l'institut pour être surpris ou choqué par le comportement de Zan. quand donc les nouvels recrues comprendrait que Edouard en voyait défiler des dizaines par semaines. Et puis, il n'était pas question que le jeune homme se laisse aller. Edouard pris son ton guindé.

" Relevez-vous, vous n'avez rien à faire à quatre patte jeune homme. Je vous ai déjà expliquer qui je suis et où vous êtes. Maintenant, vous avez l'air en piteux état. donnez moi votre nom et je vous accompagnerais jusqu'à votre chambre. ne vous inquiétez pas, nous avons l'habitude. Vous etes un peu déphasé, vos sensation vont revenir. "

A Steeve qui lui demandait juste ou se trouvait sa chambre. Il répondit poliment.

" Ne vous inquiétez pas, c'est très facile. première à gauche, deuxième à droite, l'escalier, gauche droite, droite, eyt droite escalier... Heu, votre nouveau camarade n'a pas l'air tout à fait dans son état normal, venez je vous montrerais le chemin. "

Le vieil homme entraina les deux jeunes gens vers le grand escalier.

(Hrp : Les gars, on se présente quand on est bien élevé ...

Vous répondez en me donnat votre nom. Puis, Zan, (tu connais la maison) tu ouvres le topic de ta chambre, on finit la discussion devant ta porte. Zan, dernier truc, tu veux vraiment nous jouer mowgli tout le temps ? )

(PNJ le probleme avec Zan c'est qu'il est arrivé ici par un pur hasard, dixit son histoire, en autre cas il serai monter à sa chambre sans trop se poser de question. Mais là il ne sais rien de l'institut, c'est un mutant perdu dans la nature....un loup errant)

Zan entendant les parôle poronomcé par le majordhome et surtout le ton, se recroqueveilla sur lui même, tout en laissaint echaper un petit "Zanahar" dont on entendit que la premiere sylabes soit dit en passant "Zan" et repris sa forme loup dechirant les habit emprumpter à la jeune fille.

Zan regardait d'un aire craintif le majordhome, il ne savait pas ce qu'il faisait ici, et avait plus envie de enfuire, mais a pote était fermé. Il poussa un petit couinement, mais remarquant que le majordhome restait de marbre à toutes ses tentatives il se mit sur la défensive, les poile hérissé, le regard droit, relevant les lèvre et montent ses jolies petites quenote banche, tout enpoussant un long grognement.


"Grrrrrrrrrr!"


Zan attendi un moment puis s'enfuit, comme un lapin dans les couloire, il n'était pas de nature méchante et plutot froussard.

Steeve écouta ébeté, les indications du majordome pour atteindre les chambres. Lui qui d'habitude impressionnait ses camarades avec ses plans aussi bien détaillé que ceux du majordome, il n'arrivais lui même pas à comprendre ce que disait le vieil homme. Steeve secoua un bon coup sa tête lorsqu'il eu fini, puis s'éclaircissant la voix, il dit :

"Excusez-moi, je ne me suis pas présenté !
Je suis Steeve Carter..."

Son ton se dégrada alors qu'il tournait la tête vers zan qui progressivement se transformait en loup...Et fini par s'enfuir dans les couloir après leur avoir tendrement grogner dessus...Steeve n'eu pas le temps d'en voir plus, la "peluche vivante" qu'il tenait dans ses bras lui lacerait les épaules de ses griffes. D'un coup sec il dégagea le fauve, puis s'adressa en panique au majordome.

"Hey ! 'Faut l'arrêter ! 'Faut l'arrêter ! C'est qui ce gars ?? Comment il à fait ça et...euh..."

Se souvient qu'il est dans une école pour mutant...

"Enfin bref ! Attrapons le !!"

[HRP]Se présenter ! Bien sûr !A retenir ![/HRP]

( hrp by Sag : Zan, je vais tacher de rester calme... Parce que là, je suis de bonne humeur. Sais pas pourquoi... Dans quel ordre, je commence ? Toutes les réaction rp de ton perso me paraissent disproportionnées, non assumées, et à la limite du foutage de gueule. Heu, je crois que j'ai pas été gentil là, pourtant je voulais.... Alors, je m'explique.

(PNJ le probleme avec Zan c'est qu'il est arrivé ici par un pur hasard, dixit son histoire, en autre cas il serai monter à sa chambre sans trop se poser de question. Mais là il ne sais rien de l'institut, c'est un mutant perdu dans la nature....un loup errant)

Mon cul ! Rien à voir le hasard, t’aurais une chance sur un milliard de tomber ici. Ok ? Bon, le coup du loup, réaction de loup... j'admets, parce dans ton bg, tu es un peu déphasé... Mais, tu n'es pas l'enfant zoovage, ni un abruti fini. Tu as vécu cinq six ans avec un toubib, qui t'as appris à être poli, à parler normalement, à écouter, et pourquoi pas à comprendre ? (ça, c'est pas moi, c'est ta fiche perso.)

Donc, si tu lisais les post des autres, ce n’est pas la première fois que je te le demande. Quand Edouard se présente et te présente l’Institut... Même si tu sais pas ce que sais, tu évites de reposer la même question, ca gagne du temps. Ta dernière transfo, t'as un peu perturbé, alors déphasé d'accord, mais un minimum, là tu nous joue Mowgli à l'institut. Et les admins vont pas supporter tel que. (Le coup de je lèche le sang... )

Tu nous racontes que tes pas t'ont guidé vers l'institut par hasard. Non ! A peu près aussi vraisemblable que sag allant cueillir des pâquerettes un matin de printemps en sautillant. Donc, et j’espérais que tu le jouerais comme ça, Soi, tes sens t’ont guidés vers un havre de paix, « l’institut », un lieu que tu reconnaîtrais comme tel, et même si tu ne sais pas trop pourquoi tu te sentirais à l’aise, une espèce de sixième sens animal... la tanière de ta meute...( A peu près plausible)

Soi, tu es mort.

Bon pitêtre pas, mais c’est pas à moi de trouver toutes les raisons qui te font venir à l’Institut. En tout cas, je vais pas te jouer une arrivée personnalisée de trois cents posts avec course de Zan dans les couloirs de l’Institut... Et la c’est très mal parti. Si Edouard doit te rattraper et t’expliquer tout. T’es d’accord ?

Tu as changé de perso pour pouvoir rencontrer les autres et tu joues encore un perso qui ne pourra pas s’insérer sans un changement radical. On avait dit simple et c’est déjà n’importe quoi.

Les admins ont à posté entre quatre six rps par jours, pnj, perso principal, secondaire... Plus la prépa des scénarios et la construction des groupes... T’écris partout que tu t’ennuies ? Et bah, ne m’oblige pas à te faire des post de quatre pages, joue une arrivée simple et va voir tes petits camarades.

Tiens un dernier truc, Zan, Ou tu as vu que Edouard s’énervait au point qu’il puisse te faire peur ? Il t’a juste demander ton nom, en te disant qu’il allait t’aider et t’accompagner jusqu’à ta chambre pour te soigner laver et reposer... Pour un garçon perdu qui s’est transformé en loup la veille et qui a couru toute la nuit ! C’est tentant. Comprendre, après... Où un animal chercherait à comprendre ? Profiter ! Et ensuite seulement se faire une idée. Pourquoi tu te transformes et tu te barres si tu veux qu’on t’explique.

Conseil : Tu veux jouer et poster mais le jeu est au ralenti, lis les post de tes camarades avant de répondre. Et prends ton temps, là on dirais que tu fais ça en trois minutes. Bourré de fautes, et trois lignes. C’est pas un tchat ici, prends ton temps... Je demande pas trois cents lignes, on peut faire court et efficace. Mais là c’est n’importe nawak. Enfin, voilà... Et il me reste encore à faire un post rp. Pfiiiiiiiiu !

On la joue cool, où tu vas encore passer en mode contrôle pnj, et à la niche le cabot. Ok ? Attenue, adoucit et simple, s’il te plait et tout ira bien, on est pas des bêtes. Mais j’en ai marre de te demander les mêmes choses à chaque fois...Avertissement verbal sympathique mais ferme. Fin HRP.)

Le chien ou le loup, trop vite pour comprendre, tenta de s’échapper vers les couloirs. Et Steeve Carter, malgré son chat crachant et rugissant, se jetait à sa poursuite. Mais, la voix calme et solennel du majordome le retint sur place.

« Non, ne vous inquiétez pas, c’est fréquent ici. Tous les mutants ne peuvent exercer un contrôle sur leur pouvoir. Moi, je suis là pour les aider. »

De toutes les entrées surgissaient des répliques du majordome au don d’ubiquité. Et chacune d’elle prononçait d’une voix ferme, sèche, mais calme.


« Doucement, le chien, calme, sage. Assis ! Zan. »

Edouard connaissait les codes des maîtres chiens, il se présentait comme chef de meute. Assez menaçant pour exprimer sa supériorité sur Zan dans la hiérarchie de sa future tanière, mais assez ferme pour lui laisser sentir qu’il serait recueilli ici. Dans le même temps, à bonne distance, une demi douzaine d’Edouard surgissait de la rampe de l’étage, équipé de pistolets hypodermiques qu’ils braquaient du haut des escaliers, au dessus de Zan.

« Tu es ici chez toi, personne ne te fera de mal. Calme toi ! Tu n’es ni un loup, ni un humain, juste un mutant perdu. Ici, nous te recueillerons, nous t’apprendrons à contrôler ton pouvoir. Doucement. »

Persuasion, dissuasion. Le loup n’avait aucune chance de s’en sortir et il ne parviendrait pas à percer le rideau des clones d’Edouard. Il restait toujours un Edouard à côté de Steeve.

" Vous voyez, tout va bien. La situation est sous contrôle. Heureusement, cela ne se passe pas ainsi tous les jours. "

Clin d’œil complice au nouveau nommé Carter.

(Ps : tu as le marché en main Zan Désolé pour steeve. J’espère que vous gardez le fi de l’histoire... )

Steeve regarda les yeux rond comme des billes, les clones du majordome sortir de toutes les entrées pour encercler le loup tout en lui donnant des ordres.

"Wow...C'est impressionnant vot' truc..."

Il reposa au sol son talon qui allait s'élancer à la poursuite du loup, puis réarracha son chat qui surpris par toute ses arrivées, enfonçait encore plus profond ses griffes dans la veste de Steeve, ce qui vint à lui toucher la peau.

"Ben j'l'espère bien que c'est pas tous les jours comme ça...J'imagine pas votre travail sinon!"

Il fit un petit sourire au majordome en réponse de son clin d'oeil, puis reporta son regard sur l'action qui se déroulait un peu plus devant eux bien qu'il ne pu voir grand chose avec tout ces clones.