Liliane Inoue, dite Liane

Nom : Inoue
Prénom : Liliane Tsukiyo
Surnom : Liane (en référence à son pouvoir tout comme à son prénom)
Age : 25 ans, née le 20 mars 2006

Clan : L'Institut
Profession : Professeur de Biologie si c'est possible, j'ai cru apercevoir que le poste était attribué mais que le professeur ne venait pas depuis un moment…
Pouvoir : Elle contrôle les végétaux. D'une pensée elle peut intimer à une fleur de fleurir bien qu'elle était fanée ou en bourgeon, elle peut accélérer la croissance d'un arbre ou guérir une plante apparemment morte. Elle peut également créer des végétaux à partir de rien mais cela lui demande évidemment une plus grande concentration et un contact avec le sol est obligatoire pour la plante (par sol j'entends la terre parce que faire pousser un arbre sur un bloc de béton, bonjour les racines ^^; donc si elle se trouve dans un bâtiment les choses se compliquent pour Liane, surtout si elle est au 10e étage >>) et préférable pour Liane.

Origines et Famille : Sa mère, Isabelle, était française et parfumeuse. Son père, Yanagi, était japonais et botaniste. Ils étaient tout deux très généreux et tolérants. Ils n'ont eu qu'une fille car Isabelle a eu des problèmes de santé suite à son premier accouchement. A ce jour ils sont tout deux morts.
Histoire : (voir message suivant, c'était trop grand ^^; )

Physique : Typée asiatique par ascendance paternelle, elle possède néanmoins quelques attributs maternels.
Ses cheveux bruns (mais plus clairs que les standard asiatiques) lui arrivent à la poitrine, mais étant donné qu'ils sont assez fins ils sont également particulièrement cassants et elle en prend soin, ce qui leur assure brillance et douceur.
Ses yeux de forme allongée sont du brun de la terre et bordés par des cils longs qui assombrissent parfois son regard selon l'éclairage.
Son visage de forme ovale se caractérise par des traits doux (héritage maternel), un front assez bombé, une peau là encore plus pâle que la norme asiatique, et des lèvres tirant plus sur le orange-brun que sur le rose.
De taille et de carrure moyenne (1m68, 57kg), elle est plus en rondeurs qu'en muscles. ^^; En revanche elle est très souple (bénéfice de plusieurs années de danse).
En ce qui concerne ses habitudes vestimentaires… elle n'en a pas vraiment ^^; tous les styles lui conviennent ce qui est très pratique pour les missions d'infiltration dans lesquelles elle s'est, pour ainsi dire, spécialisée.
En revanche, elle porte toujours un parfum, elle en change souvent mais en a toujours, c'est un peu un hommage à sa mère.

Caractère : Elle est tolérante, protectrice, douce et aimable. En revanche sa patience n'est pas bien élevée. ^^; Elle peut être pas mal têtue aussi, mais sait néanmoins reconnaître ses erreurs (enfin, cela dépend de la personne en face, si elle l'a prise en grippe c'est mal barré). Généralement pacifiste, elle n'hésite pas à user de la force quand cela touche à ses points sensibles, à savoir : si les personnes qui lui sont chères sont en danger, si des crétins qui veulent dominer le monde et foutre la merde entrent en jeu (oh oui, je disais qu'elle était aimable, eh bien pas quand elle est énervée ^^; ). Elle a un assez bon sens des responsabilités, de l'orientation, et de l'humour… enfin en ce qui concerne l'humour ça peut parfois tourner à l'ironie et au cynisme poussé, héritage des années qui ont suivies la mort de son père ou elle n'a pas hésité à donner d'elle pour obtenir ce qu'elle voulait et à traîner dans des endroits parfois pas très bien fréquentés.
Ce qu'elle veut : que tout le monde vive en paix et en tolérant les autres.
Ce qu'elle est prête à faire pour ça : tout. Même sa vie lui importe peu, à la limite la douleur (physique comme mentale) lui fait plus peur que la mort…

Signe(s) particulier(s) : Elle parle japonais, français et anglais couramment, avec un petit accent en ce qui concerne l'anglais. Elle est très douée en infiltrations et se débrouille honnêtement en informatique. Par contre, donnez-lui une arme à feu et elle serait capable de toucher la cible du premier coup, tout autant que de vous percer le cuir ou que de se tuer avec par accident. ^^;

Histoire : Liliane, naquit en France, à Grâce, ville du sud réputée pour ses parfums. Sa mère ayant eut des ennuis de santé pendant et après sa grossesse, son père arrêta pendant plusieurs années de travailler pour s'occuper de son épouse comme de sa fille. Sa mère se remettant peu à peu, Liliane vécut une enfance idyllique. Ses grands-parents maternels, parfumeurs retraités ayant assez bien réussi leur vie, aidèrent la petite famille à subsister à leurs besoins jusqu'à ce qu'Isabelle soit assez remise, et qu'elle et Yanagi puissent retourner à leurs métiers. A cette époque Liliane avait trois ans et ne posa donc plus de problèmes de garde, allant dès lors à l'école. Son enfance continua, heureuse, et son éducation reposait sur des valeurs de tolérance, d'amour du monde, des humains, des animaux comme des végétaux. Alors que Liliane entrait au CP, son père dut partir voyager à travers le monde pour son métier. Son départ l'attrista et ses résultats pendant le reste de l'école primaire n'eurent rien de brillants, restant simplement dans la moyenne. C'est à l'âge de 8 ans qu'elle découvrit son pouvoir.
"Maman, maman ! La plante elle est toute jaune !"
Isabelle détourna la tête des gaufres qu'elle était en train de confectionner pour jeter un coup d'œil à sa fille, accroupie devant un pot en terre.
"Oh oui, zut, avec mon travail j'ai oublié d'arroser les plantes ! Et celle-ci est très demandeuse d'eau… Tant pis, elle m'a l'air morte. Je m'en débarrasserais plus tard." répondit-elle en retournant à la surveillance de ses gaufres.
Liliane, quant à elle, resta à fixer la pauvre plante pendant plusieurs minutes. Elle aimait bien cette plante, elle faisait de jolies fleurs jaunes ou rouges en corolles avec des dégradés plusieurs fois dans l'année. C'était joli…
"Maman, maman ! La plante elle a une fleur !"
Isabelle releva à nouveau les yeux du goûter qu'elle préparait, fronçant les sourcils à l'idée saugrenue qu'une plante morte fleurisse. Apercevant une tâche de couleur là où il n'y avait qu'une plante rabougrie auparavant, elle s'avança pour regarder de plus près. La plante se redressait, verte et fleurie.
Yanagi rentra une semaine plus tard, la première chose que lui raconta sa femme fut cette anecdote. Il lui assura tranquillement que c'était simplement impossible et qu'elle s'était sans doute trompée à cause du stress qu'avait entraîné le lancement d'une nouvelle gamme de parfums dont elle était responsable. Le lendemain matin, lorsqu'il descendit dans sa serre pour prendre soin d'une plante qu'il avait ramené de son voyage et pour laquelle il avait fait part de ses inquiétudes la veille même au cours du dîner, il manqua avoir une crise cardiaque en voyant que la taille de la plante en question avait été décuplé durant la nuit, passant de dix misérables centimètres à un mètre. Et devant la plante, occupée à la fixer du regard, sa fille.
"Papa tu as vu ? Ta plante elle grandit vite ! Pourquoi tu pensais qu'elle ne supporterait pas le climat ?" lui demanda angéliquement sa fille en lui souriant tranquillement.
Il ne fallait pas être devin pour lié ces miracles de la nature à l'actualité du moment. Isabelle et Yunagi se résignèrent : leur fille était une mutante. Cela ne les dérangeait pas personnellement, ils trouvaient au contraire son pouvoir formidable _et très utile pour son père_ mais s'inquiétèrent pour elle vis-à-vis des autres. Ils la prirent entre quatre yeux et lui expliquèrent la situation. Enfant obéissante, Liliane consentit à arrêter de penser aux plantes lorsqu'elle n'était pas à la maison. Elle apprit ainsi peu à peu à contrôler son pouvoir, grandissant comme une enfant normale avec la seule différence de ce secret. Et ce jusqu'à ses quatorze ans, elle commit l'erreur d'aider un pommier tout juste planté à pousser alors qu'elle était dans une partie du jardin offerte aux yeux des voisins. La catastrophe ne manqua pas : sa voisine l'aperçut, comprit, et la nouvelle s'ébruita rapidement dans le quartier. Même si, en 2018 les mutants n'étaient plus chassés et arrêtés, ils n'étaient pas pour autant bien vu. Enfant exemplaire aimée de tous, elle ne put plus sortir de chez elle sans subir injures et jets d'objets divers. Ses parents choisirent alors de déménager où ils pourraient à nouveau garder le secret et vivre en paix, ils optèrent pour le Japon, pays natal de Yunagi.
Dans ce pays étranger où elle parlait difficilement la langue, bien que son père ait insisté pour le lui apprendre depuis l'âge de sept ans, Liliane se renferma sur elle-même. De même, Isabelle, qui pour sa part ne parlait pas un seul mot d'anglais et avait perdu son emploi, dépérit peu à peu. Elle tomba à nouveau malade, d'un cancer cette fois-ci. Elle mourut quatre ans plus tard, le jour où sa fille eut le BAC avec mention bien (elle s'était refermée sur ses études par correspondance et ses plantes). Yunagi cacha son chagrin dans son travail, voyageant encore plus longtemps et encore plus loin, laissant sa fille se débrouiller par elle-même tout en s'assurant régulièrement par téléphone qu'elle ne manquait de rien. Liliane choisit d'effectuer plusieurs stages dans diverses entreprises japonaises ou françaises implantées au Japon, pour trouver sa voie. Un jour, alors qu'elle revenait de son travail, tard le soir, elle fut agressée non loin de chez elle.
Liliane leva les yeux sur un lampadaire clignotant régulièrement mais ayant de plus en plus de mal à offrir un éclairage satisfaisant. Elle s'arrêta machinalement pour observer le ballet des ombres que cela formait sur les murs. C'est ainsi, sans le propre bruit de ses pas, qu'elle entendit ceux de la personne qui la suivait depuis un moment déjà et qu'elle n'avait même pas remarqué, perdue dans ses pensées. Tout se passa étonnamment vite, elle se retourna, le lampadaire s'éteignit, son agresseur bondit sur elle, la lumière de la lune et des lampadaires éloignés se réfléchit sur le couteau qu'il portait dans la main. Elle paniqua. Au dessus d'eux, la ramure d'un cerisier s'élevait majestueusement vers le ciel. Ses branches s'animèrent, s'allongèrent, et enserrèrent le brigand par le cou en plein bond. Il suffoqua, sa tête s'affaissa, un cri retentit, le cerisier lâcha tout, Liliane tituba en arrière. De l'autre côté de la rue, un homme qui avait compris ce qui allait se passer alors qu'il regardait par sa fenêtre et qui venait dans le but d'aider Liliane, qu'il connaissait bien, c'était une jeune femme tout à fait respectable, l'observait maintenant avec des yeux aussi ronds qu'une balle de ping-pong. Liliane se souvint des insultes et des jets d'objets… elle s'enfuit.
Elle fit ses valises plus rapidement qu'elle n'aurait préparé le dîner, appela un taxi, et partit pour l'aéroport de Tokyo sans se donner le temps de réfléchir. Elle prit le premier avion, il l'amena à Los Angeles. Le lendemain, elle reçut un appel de son père sur son portable.
"Liane." l'appela-t-il doucement de son surnom, qu'il avait lui-même trouver lorsqu'elle était enfant et qu'ils venaient de découvrir son pouvoir.
"Papa ?" murmura-t-elle d'une voix faible en essayant de retenir ses larmes.
"Chut, c'est bon, je sais ma chérie, ta tante Mitsuko m'a appelé. Il t'avait agressé n'est-ce pas ?"
"O-oui."
"Ne t'inquiète pas, c'était de la légitime défense, personne ne peut t'accuser."
"Mais… mais je l'ai tué ?!"
"Non, non ! Il s'est simplement évanoui."
Soulagée, Liliane s'affaissa encore un peu plus sur son siège au beau milieu de l'aéroport.
"Ou es-tu mon cœur ?"
"A Los Angeles."
"Kami-sama, qu'est-ce que tu es partie faire là-bas ? Tu as de l'argent au moins ?"
"Oui, oui, j'ai tout ce qu'il me faut. Pa…"
A cet instant, un cri, le cri de son père, lui vrilla les tympans, la marquant pour toujours, car c'était un cri d'agonie, le cri de la mort. La communication fut coupée, elle resta prostrée au milieu du hall de l'aéroport.
Son père était en Italie, dans un hôtel très fréquenté, un hôtel victime d'une attaque de mutants, des mutants décidés à prouver leur suprématie aux humains.

Suite de l'histoire ^^; : A partir de là, sa voie était toute tracée, ses décisions, objectifs et idéaux aussi clairs que de l'eau de roche. Elle trouva un appartement et un travail de fleuriste à Los Angeles. Elle prit des cours d'informatique et de self-défense avec l'argent qui lui restait des transferts de son père sur son compte. Elle apprit l'existence de la Confrérie et de l'Institut après des recherches très poussées, aussi bien sur Internet, dont elle eut rapidement une très bonne maîtrise, que par des infiltrations osées dans certains quartiers. C'est lors de l'une de ces infiltrations d'ailleurs qu'elle se retrouva nez à nez face à un mutant fort bien renseigné.
Pour ce qui lui semblait être la dixième fois depuis le début de la soirée, Liliane esquiva la main baladeuse d'un client en faisant un pas de côté, faisant de son mieux pour ne pas se tordre la cheville sur ses chaussures à talons hauts (elle détestait ces choses mais cela faisait partie de l'uniforme _mini-jupe, débardeur et talons aiguilles_ du bar dans lequel elle avait été embauché pour quelques soirées) au passage. Elle continua son chemin sans se retourner, slalomant entre les petites tables avec son plateau de boissons bien en équilibre sur sa paume droite. Elle arriva finalement à destination et offrit un sourire poli au couple attablé en déposant leurs commandes. Etant près de la porte, elle vit entrer un nouveau client dont le manteau en cuir recouvrait tout le corps, et dont l'écharpe, le chapeau et les lunettes cachaient son visage. Liliane eut aussitôt des doutes quant à son identité et se porta à sa rencontre, doublant l'une de ses collègues en se faisant.
"Monsieur. Bienvenue au Butterfly, puis-je vous aider."
"… Du lait, et prévenez Bill que je l'attend." répondit l'homme d'une voix basse et rauque avant de s'éloigner vers un coin sombre de la salle où il s'installa à une table libre, sans pour autant se découvrir.
Liliane resta interdite quelques instants et sa collègue en profita pour lui sauter dessus.
"Cet homme, qu'est-ce qu'il a demandé ?" lui souffla-t-elle d'une voix pressante.
Comprenant que la serveuse était sans doute une intermédiaire et que cet homme l'avait pris pour elle, Liliane lui raconta tout de mauvaise grâce, ne voulant pas paraître suspecte.
"Va lui chercher son lait !" ordonna aussitôt la serveuse avant de s'enfuir vers une petite porte de service.
Trouvant l'occasion bonne, Liliane s'exécuta volontiers tout en réfléchissant. Elle ne connaissait pas ce Bill. Elle prit tout son temps, amenant un café à un client avant de voir un homme entrer suivit de la serveuse. Satisfaite, elle alla alors chercher le vers de lait demandé et l'amena tranquillement. Les deux hommes s'arrêtèrent de parler dès qu'elle déposa le verre et 'Bill' exigea un café noir, ce qui satisfit au plus haut point Liliane, qui fit ensuite exprès d'oublier le sucre, espérant que l'homme en exigerait, ce qu'il fit en la fusillant de son regard sombre et obtenant pour toute réponse un faux sourire désolée et angélique. En ramenant le sucre, elle eut enfin sa chance, 'Bill' était tellement absorbé dans sa tirade qu'il ne la vit pas venir.
"Déconne pas le Félin ! Si tu crois que Marcus va avaler ton excuse à deux balles ! C'est clair que tu bosses pour la petite peste de Malicia et son Institut de pleutres dégénérés ! et les traîtres on en veut pas à la Confrérie !"
Au moment où Liliane pensait qu'elle avait mis en plein dans le mille, Bill leva le poing, une légère lueur rouge pouvant s'apercevoir autour, mais le 'Félin' fut plus rapide, Liliane le vit à peine bouger son bras que Bill s'effondrait sur son siège, cinq tâches rouges se dessinant rapidement sur la chemise blanche qu'il portait. Quand l'attention du Félin se reporta sur elle, Liliane se concentrait déjà au cas où elle devrait également utiliser son pouvoir pour se défendre, mais il se contenta de la fixer, tandis qu'elle gardait le bras en l'air, un misérable pot de sucre dans la main.
"Dites à Marcus que la Confrérie ne…" commença-t-il de cette voix étrange qui faisait penser… à un feulement.
Elle le vit bouger, elle se sentit propulser, une étrange chaleur sembla lui passer devant et puis le choc violent contre le sol. Elle ouvrit les yeux pour voir l'homme plaqué au mur, en hauteur, la tête rejetée en arrière et semblant avoir du mal à respirer, la serveuse de tout à l'heure et une autre se tenant devant lui et le fusillant du regard. Le chapeau du 'Félin' était tombé et Liliane cligna plusieurs fois des yeux pour s'assurer que non, elle ne rêvait pas, l'homme félin avait bien deux belles oreilles de chat à la fourrure tigrée, et qu'il flottait bien en l'air sans point d'appui, et que le mur derrière lui était bien totalement roussi alors que ce n'était pas le cas quelques secondes auparavant.
"Espèce de salaud, traître et meurtrier ! Tu l'as tué !" siffla l'une d'elle en couvant du regard 'Bill'.
"Combien… vous… de même… ?" réussit-il à articuler en luttant pour trouver sa respiration.
"Ce ne sont que des humains ! et des mutants incapables de comprendre où est leur intérêt et…" répliqua l'autre en levant une main, en synchronisation l'homme félin monta encore un peu, jusqu'à se cogner la tête au plafond.
Liliane regarda autour d'elle, trouvant décidément que cela dégénérait un peu trop vite. Mais tous les clients comme les serveurs restaient à bonne distance ou sortaient tranquillement. En clair, si elle ne voulait pas assister à un (autre) meurtre, c'était à elle de jouer. Elle inspira, se concentra. Sous les pieds des serveuses, le sol se craquela lentement sans qu'elle ne le remarque, trop occupées à couvrir d'insultes l'homme-félin.
"Laisse-moi le cramer avant de lui tordre le coup !"
"Bonne idée, vas-y, je le tiens, il est pas prêt de se carapater."
Elles éclatèrent d'un rire sardonique et l'une d'elle s'arc-bouta avant d'ouvrir en grand la bouche, comme pour souffler quelque chose. Au moment où des flammes commencèrent à jaillir de sa bouche, elle eut le souffle coupé et son attaque s'arrêta.
Liliane avait utilisé les racines d'un chêne qu'elle savait au moins centenaire et poussant juste à côté du bar pour emprisonner les deux serveuses puis leur fracasser le crâne sans douceur contre le sol. L'homme félin fut enfin libéré de l'emprise télékinésiste et put reprendre son souffle. Dans l'assemblée, des hommes surpris et furieux se levèrent Liliane se concentra encore un peu tout en rejoignant l'homme félin et le poussant loin du mur. Le dit mur se craquela à son tour avant de s'ébouler en partie à l'intérieur du bar. Quelques téméraire s'avancèrent rapidement, Liliane attrapa une branche se tendant vers elle d'une main, l'homme félin de l'autre, et ils se firent propulser par la branche loin de tout ce tintouin et ces mutants timbrés. Liliane absorba le choc de l'atterrissage avec un 'hmpf', manquant s'étaler sans élégance. L'homme à ses côtés atterrit pour sa part sans problème, les gènes de félin sans doute. Entendant des bruits de course derrière eux, Liliane releva rapidement la tête, localisa sa voiture et y entraîna son compagnon d'infortune.
Ils ne furent pas suivis et Liliane emmena le Félin chez elle. Ils eurent alors une longue discussion impliquant des explications sur les rivalités Confrérie/Institut. Voici un extrait (court je vous rassure) de leur discussion :
"Pourquoi décidez-vous de protéger les humains ?"
"C'est une question stupide."
"Je dois m'assurer de vos motivations."
Liane roula des yeux et haussa les épaules.
"C'est bien simple, sur cette Terre, je refuse de tuer nul être que ce soit, végétal, animal, humain ou mutant."
"Et qu'est-ce que vous mangez ?"
"Tuer pour se nourrir est naturel, l'action de tuer ne peut être acceptée que dans ce but, et cela entend un respect de l'autre. Si je dois tuer, c'est sans souffrance."
"Fracasser le crâne de quelqu'un contre un sol en béton comme vous l'avez fait..."
"C'est rapide et efficace." coupa-t-elle sur un ton tranchant et ses yeux s'assombrissant.
"Alors vous êtes quand même capable de tuer pour une autre raison que manger."
"...Seulement si d'autres êtres vivants sont en danger."conclut-elle, refusant de revenir par la suite sur le sujet.
La maison de Liliane devint la base de repli du Félin à Los Angeles ; ils se revirent donc souvent, mais Liliane restait toujours indécise quant à la conduite à suivre. Pour elle, il était clair que combattre la Confrérie était un de ces buts dorénavant, mais elle hésitait à s'intégrer à cet "Institut", elle n'avait pas l'habitude de l'action en communauté ( de plus mutante, ce qu'elle ne connaissait pas, ayant toujours été seule) mais ne doutait pas d'y être plus efficace que seule. A force, le Félin réussit néanmoins à la convaincre.



Bon eh bien j'ai donc décidé d'essayer, je ferais de mon mieux pour venir régulièrement. ^^ Et si jamais ça ne devient plus gérable je vous préviendrais.
Euh niveau longeur je crois que j'ai battu les records là O.o J'espère que c'est pas gênant ! ^^; Sinon ben laissez tomber les parties en italique. XD
Et j'oubliais un détail : je me suis inscrite sous le surnom de 'Liane' car je n'étais pas encore tout à fait sure du nom mais je suppose qu'il est plus logique que mon pseudo soit 'Liliane Inoue' ? C'est comme le préfère les administrateurs. ^^

Très belle fiche.
C'est okay. Pour le post, je vais envoyer un mail à l'ancien professeur, s'il ne repond pas (je pense que ça va être le cas), le poste sera pour toi.
POur le pseudo, c comme tu veux,comme ça t'arrange.

Superbe fiche l Bienvenue ! Et bon jeu

Merci, merci, heureuse que ma fiche plaise. /s'incline/

Très bien j'attendrais donc que ce soit arrangé Malicia, pour ce qui est du pseudo si ça ne te dérange pas je pense que Liliane Inoue est le mieux en tant que prof (enfin si je le suis XD), je mettrais le surnom dans ma signature.

Prof de bio... t'en fais pas déjà assez de la bio ?
Bienvenue chez les psycho... enfin les gentils quoi XD ( tu te sentiras pas perdue u_u )

Caliiiin !!! X]

bienvenido et oublie pas d'oublier de venir faire tes cours !

Mais naaaaan !!!!! Vive la bio ! Si je ne manquais pas de confiance en moi je deviendrais prof de bio IRL alors hein ! Désolée Alex mais (sauf empêchements) je suis une prof sérieuse donc il y aura cours.

Mais tu sais Kitten, dès que toi et Hellan entrez dans l'équation je sais à quoi m'attendre hein, je tombe toujours chez les psychos quand je vous suis >> et comme, inexplicablement, je vous suis souvent... >> Breeeef.

Calin à toi aussi Hellan. ^^

Si tu nous suis c'est que doit forcément y avoir une raison ? On est jamais si bien que parmis les siens

Voilà, j'ai arrangé ça ! Ton login est désormais Liliane Inoue. ^^

Eh ben ça c'est de l'histoire !
Bienvenue à toi, ennemie de l'Institut ^^

Kitten> no comment. ^^;

Je te remercie John . ^^

Ashern> Je te remercie du compliment mais je crois qu'il y a erreur, je suis ennemie de la Confrérie, pas de l'Institut. ^^


Bon, bon, je crois comprendre que j'ai plus qu'à attendre de savoir si j'ai le poste de bio avant de jouer, je patiente donc. ^^

Ta fiche est acceptée, tu peux donc commencer à jouer.

Ah, et je le dis d'avance (c'est ma spécialité après tout ^^) :

ON NE FLOOD PAS SUR LES PRESENTATIONS, MERCI !

C'est pas floodé, que de dire bonjour à une charmante demoiselle... John !

bienvenue Liane...

Désolé John, juste une chose : tu es à l'Institut, donc une ennemie, alors pour moi, tu es une ennemie de l'Institut. Voila voila ^^

Merci Sag (je me permets puisque tout le monde se permet ).

Ashern > Ah c'est selon ce sens là ! D'accord ! ^^ Tel que c'était formulé c'est pas du tout ce que j'avais compris, désolée. ^^; Eh bien c'est aimable de votre part, cher ennemi (tuons nous dans les règles, comme savaient si bien le faire les anglais et les français il y a quelques siècles...).

Ok, ok, stop au flood. ^^