Faim de loup.

Chambre de Liven.

Le jeune homme, appelé Image, entra dans la cusuine, déserte à cette heure. Il avait mit quelques temps à la trouver quand même. Pas facile de se repérer dans un endroit où l'on à jamais posé les pieds...
Il avait oturné en rond, entré dans des chambres, des salles de classes, puis avait fini par la dénicher.
Il s'avança avec prudence et alluma la lumière. Il vit un frigo et fonça dessus directos! Liven y trouva du lait. Il s'avança vers les placards et trouva des petits pains au lait et un mug. Il posa le tout sur une table et s'assit. Il dévora deux pains au lait et avala d'un trait un verre de lait.
Quelques instants plus tard il sortit.

Parc

Parc.

Liven avait facilement retrouvé la porte de la cuisine. Puisqu'il en venait. Bref le jeune homme entra et referma et là, il vit une jeune femme assise entrain de manger. Il s'approcha prudement et dit:

"Heu...bonjour..." On entendit son ventre qui criait. Il alla précipitament vers le frigo et prit une pomme qu'il entama d'un coup de dent féroce. Il fixait la jeune femme inconnue au bataillon.

"Moi c'est Liven..." dit-il d'un ton neutre en croquant à nouveau dans la pomme.
Il jetta un coup d'oeil par terre.

"Joli ratrappage...Toi c'est comment?" demanda t-il en metant la main libre dans sa poche.

Il lui sourit. L jeune fille possédait un sens de l'humour vraiment bien. Pas comme certains qui étaient barbant rien qu'à les regarder.
Il l'entendit lui proposer la bière et balança la tête de droit à gauche. Il avala le morceau de pomme dans la bouche et répondit.

"Je bois pas tout ce qui dit alcool, oui même la bière. Ne vas pas croire que je suis coincé pour autant hein. Mais voilà c'est un choix et puis j'ai pas soif^^" dit-il avec un nouveau sourire.

"Bah je suis arrivé hier...donc voila..."dit-il en répodant à l'autre question de la jeune fille qui s'apellait Eldrid qui mangeait encore du gateau.

*Eddy??* se répéta t-il dans sa tête en fronçant les sourcils. Puis le déclic se fit. En pârlant de la clé la fille l'avait mit sur la voie. Le majordome! Elle l'appellait Eddy? On avait le droit de le surnommer? Surement qu'il n'était pas au courant...enfin bref.

"Bah...heu il m'en a donné une...J'ai pas eut à la piquer^^" dit-il avec un sourire.

"Pourquoi toi t'en a pas?"

Edouard arriva dans la cuisine, portant des sacs de courses. Il posa le tout par terre et commença à ranger des boîtes de céréales dans les placards avec ce sourire classique des majordomes d'éducation britannique.

- Il m'a semblé, Miss Les Vantes, que vous avez eu quelques difficultés à vous procurer une clé de chambre... En voici une, dit-il en la posant sur la table. Elle ouvre l'entrée de l'Institut, ainsi que votre chambre.

Et le majordome se remit à ranger les courses, pensant qu'il faudrait bientôt acheter un second frigo avec tous les nouveaux qui arrivaient.

Bien que cela ne se vît pas sur son flegmatique faciès, Edouard fut surpris par Eldrid se jetant sur lui. Pour ce qui était de l'attraper, c'était une autre paire de manches. Les bras d'Eldrid se fermèrent sur le vide, tout au plus sur quelques cubes noirs disparaissant dans une autre dimension, et le majordome - ou l'une de ses copies -, imperturbable, continua à extraire les denrées des sacs en papier pour en remplir le frigo.

- Miss Les Vantes, que d'effusions ! Veuillez vous maîtriser, je vous prie... dit-il non sans un petit sourire en coin qui en disait long sur tout ce qu'il pouvait penser. Que des choses honorables, assurément. On n'avait pas élevé Edouard dans un taudis.

- Au fait, j'ai cru voir dans vos bagages que vous possédiez un instrument de musique... Vous devriez aller voir John Bender, le Professeur de Mathématiques. Lui aussi est musicien, il joue de tous les instruments.

Liven resta la contre le frigo regardant la scène avec un mélange de stupéfaction et d'amusement. La jeune fille après ces effusions s'&adressa à lui. Il bougea un peu.

"Bah...c'est pas mon genre on va dire..." dit-il sur un ton mystérieux et amusé. Le majordome paraissaitu n peu géné mais bon...Il les écouta sans plus rien dire.

[=> Couloirs]

Osaso déboula dans la cuisine, sauta par dessus les tables et se réceptionna de l'autre côté dans un feulement rauque.
Il se précipita vers le frigo et sorti tout ce qui était à porter de main.
Il déposa le tout sur une table et se mit à tout dévorer, tel une bête affamé...Ce qu'il était en l'occurence.
Il fit tomber une assiète qu'il rattrapa dans un mouvement surhumain avant qu'elle ne touche le sol.
Ses yeux reprirent lentement leur forme habituelle et sa faim dévorante ce calma peu à peu.
Une cuisse de poulet dans la main droite, un camenbert dans l'autre et un oeuf encore dans sa coquille entre les dents il leva la tête.

"...Chalut..."

Se remétant de sa faim, il repoussa les aliments de lui puis se leva, pris une serviette, s'essuya et se rassit.
Remarquant Eldrid il lui fit un signe.

"Salut Eldrid sa va ? ta trouvé ta chambre ?"

Il se releva et remit les aliments qu'in n'avait pas touché dans le frigo, mettant les autres dans un sachet plastiques.

Liven avait vu un jeue homme entrer et courir sur le frigo. Il n'eut le temps que de s'écarter pour le laisser prednre à manger. Eldrid lui demanda ce que c'était, il haussa les épaules.

"Je sais pas moi..." dit-il d'un air dégagé comme s'il n'avait pas été vraiment là...

Edouard, alors qu'il quittait la pièce, fut retenu par Eldrid qui lui demanda comment se rendre à sa chambre.

- Votre chambre se trouve au deuxième étage. Il y a un numéro sur votre clé, et ce numéro correspond à celui de la porte de votre chambre. Je dois vous laisser.

Sur ce, il quitta la pièce.

Ambrose Entra dans la cuisine, lorsqu'il vit qu'il y avait du monde il adressa un rapide signe de tete et se diriga vers le frigo. En l'ouvrant il se rendit qu'il etait presque aussi pale que l'interieur de ce derniers.

*pfff je doit pas etre au meilleur de ma forme"

Puis prenant tout ce qui avait une valeur nutritive importante il partit dans un coin de la cuisine se gionfrer, calmant ainsi la douleur de son estomac.
*ne pas manger trops vite! sa fait je ne sait combiend e temps que 'jai eu un repos sa serait ballo que je me tue d'avoir manger en speed!*

Le jus avait fini de couler. Le Félin prit le bol le plus grand qu'il puisse trouver - presque un saladier - et y versa tout le contenu de la cafetière. Le jeune qui occupait la cuisine avec Le Félin ne broncha pas en voyant ça.

*Hmm. Il s'est rendormi devant sa bouffe. Trop marrant.*

Le Félin s'assit confortablement sur une chaise, presque en face d'Ambrose, et commença à siroter tranquillement son café. Lauren... Si l'un des deux avait mérité le chagrin de la mort de l'autre, c'était bien lui. Mais si l'un des deux avait mérité la mort tout court, c'était lui aussi. C'était lui le détective qui voulait continuer dans le métier.

Citation :

Le Félin la prit doucement par les épaules, la fixant avec de grands yeux.
- Je suis fait pour ça, chérie. J'ai le flair pour résoudre des enquêtes jusqu'à la fin de ma vie ! Ca fait partie de moi.
Elle prit un air un peu résigné, puis lui sourit. Un sourire qu'il trouva crédible... à tort.
- Alors où que tu ailles, je serai heureuse de te suivre, mon amour.

Sauf que des répliques comme celle-là n'étaient sincères que dans les films et les romans d'amour. Lauren lui avait dit ça pour qu'il ne se sente pas frustré par un refus quelconque. Et aveuglé par l'idylle féline d'investigation qu'il avait créée dans sa tête, il l'avait crue.
Avant de le rencontrer, elle était fleuriste. Et après avoir quitté son job, elle décorait leur bureau de détective avec des dizaines de fleurs. C'était ça son truc, à elle.

- Si j'avais remarqué ça avant, c'est moi qui l'aurais suivie. Hmm... Oh pardon, j'ai pensé tout haut.

Malicia entra à son tour dans la cuisine. Elle salua Ambrose qui semblait pris de passion pour son déjeuner ou peut être tout simplement endormit et se tourna vers le félin.
"Salut, ça va? Pas trop fatigué?"
Elle se dirigea à son tour vers la cafetière et refit du café. Pendant qu'il passait, elle s'adossa au plan de travail et attendit la réponse du félin.

Le Félin grognait dans son bol. Voyant Malicia arriver, il eut une pensée fugace lui disant qu'il n'était pas très présentable avec son café et sa robe de chambre, et termina le bol d'un trait.

*Oulà, c'est chaud !*

- Salut, ça va ? Pas trop fatigué ? lui demanda-t-elle.
- Mouais. On fait aller. Cette Liliane Inoue... Elle m'a fait cavaler jusqu'à Los Angeles pour l'amener ici. J'peux te dire un truc : c'est pas demain que je repars aussi loin pour que tu aies des nouvelles recrues. J'espère qu'elle est vraiment importante pour toi, cette nana.

Malicia eut un petit rire.
"Tous les mutants sont importants pour moi. Et LOs Angeles st une ville magnifique, la cité des anges..."
Elle laissa sa phrase en suspens, l'air perdue dans ses pensées.
"En tout cas, merci pour ton travail, c'est vraiment super!"
Elle lui sourit puis jetta un regard impatient à sa montre.
"Bon sang, j'espère qu'il n'est rien arrivé" laissa t'elle échapper entre ses dents.
Elle passa une main nerveuse dans ses cheveux et se servit une tasse de café.

Osaso avait vue le jeune homme arriver et commencer à s'empiffrer, tout en essayant de contenir son ardeur.

*O_o Huh...encore pire que moi en mode animal !*

Regardant le nouveau venu avec un respect mélé de crainte, il resta là, ébahis à le contempler.
Il était oujours en train de le regarder manger, la bouche s'ouvrant de plus en plus lorsqu'un espèce de chat géant, marchant comme les humains entra dans la cuisine et se servit un bol entier de café.
Le chat avait un air mélancolique et légèrement fatigué.
Puis Malicia entra et il parlaire d'une certaine Liliane Inoue qui l'aurais fait apparament courir dans tout Los Angeles...il se gratta la tête puis la pencha sur le coté.

"Hum...excusez moi...Je euh..."

Il prit un air embarrassée.

"Je n'aie pus m'empêcher de surprendre votre conversation et je me demandais si...euh..si je pouvais me rendre utile...Voyez-vous je suis un petit peu felin et je me disais que je pourrais vous aidez à cherchez la personne ne question."

Il baissa la tête puis la releva, près à entendre les moqueries.