[Nouvel An] Infernal Chaos

Ethan était dans les vaps depuis le coup de Duncan , il n’avait pas réussit à s’en remettre ou du moins, il ne se doutait pas qu’un pouvoir comme celui-ci puisse lui faire autant d’effet. C’était juste son imagination et il était prêt à la combattre, Duncan devait s’attendre à des représailles. Ces deux étaient nées pour s’aimer jusqu’à leurs morts. Alors qu’il était tranquillement aux toilettes entrain de pisser, il entendit alors la musique ce couper d’un coup par un mec qui venait de demander le silence. Balèze le mec, arrivé a demandé le silence sur scène et l’obtenir, généralement le groupe demande encore plus bruit. Il alluma une clope, commença a tiré quelques lattes dessus et voilà qu’il entendit du vacarme dans la salle principale.

« Putain de merde, il commencer la fête sans moi, non mais c’est dégueulasse… Faîtes moi croqué un peu les gars sérieux… »

Il regarda sa clope d’un air quelque peu déçu, il jeta au sol, c’était dur de se battre avec une clope à la bouche. Non mais il aurait pus se brûler en plus. Ce serait vraiment dommage d’abîmer une figure aussi jolie que celle d’Ethan. Il fallait le dire il était plutôt beau gosse le jeune Fire ? Non ? Mais si. Il sortit des toilettes et vit alors le haut de la scène s’écrouler avec quelqu’un en dessus, c’était de la malchance rien d’autre. Enfin c’était son point de vue, et il ne chercha même pas à aller aider le mec a sortir non loin de là. La seule chose qu’il voulait maintenant c’était de taper. Sur qui ? Peu importe du moment qu’Ethan pouvait frapper c’est la seule chose qu’il l’importait.

Quelques secondes plus tard, il ne vit pas grand-chose, mais il fut atteint de maux de tête. La chose la plus importante dans tout cela est : A quel moment ces maux de tête apparurent ? Au moment ou ses yeux se posèrent sur Sam’… Son mal de tête était si fort qu’il tomba inconscient.

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~ TSI-PO-RA !!! TSI-PO-RA !!! TSI-PO-RA !!! ~

*Papi Mentat est en colère…*

Ce fut comme une réanimation pour Ethan, il ouvra brusquement les yeux, il était allongé sur des gravas à quelques mètres derrière Sag’. Il s’assit doucement, regarda à gauche puis a droite et vit Sag’ entrain de jongler avec les pierres. Danger ! Il sortit son paquet de clope, en alluma une, tira une latte et la laissa à sa bouche. Puis il commença alors a prendre la parole aux flics qui venaient de se pointer.

« Je ne crois pas que vous soyez les bienvenues en ces lieux Messieurs… »

Il mit la main dans sa poche et sortit quatre billes et commença à jongler comme Sag’, à chaque fois qu’elles passaient dans ses mains, il les chargeait de plus en plus.

« Allons soyez raisonnable… »

[Résumé : En gros il tombe inconscient lorsqu'il voit Sam', se réveille et commence alors à menacer gentillement les flics.]

Goliath avait ramassé la fille, comme un paquet de vieux chiffons qu’il couvait cependant d’un œil gourmand – comprendre hargneux et furibond. Sa voix, rocailleuse comme le doux tintement d’une avalanche, enflait comme un solo de batterie qui n’était pas loin de glacer le sang de tout interlocuteur innocent. « Mon grand. » Le con.

Ça commençait à s’agiter : Adonis prenait le large avec son mec, des blessés pleins les bras. Une petite albinos flippante tenait le haut du pavé, réclamant de l’aide. Des gens, dans l’ombre des décombres semblaient tenter de dégager un corps. Duncan, le geste fébrile, porta une cigarette salvatrice à ses lèvres. Il frissonnait, frigorifié par le vent glacé qui sifflait dans le bar éventré en s’infiltrant sous ses vêtements mouillés. L’anglais commençait à trouver l’idée de la visite guidée des locaux de l’Institut, agréablement chauffés certainement, absolument charmante.

Fausse joie.


Le hurlement lui vrilla le crâne, comme le crissement d’une craie sur un tableau amplifié par dix. Duncan porta ses mains à ses oreilles, titubant presque sous le coup de la déchirure douloureuse et de la surprise. Et puis il se souvint, et cette sensation d’intrusion outrageuse, ce viol psychique et présentement quasi-insupportable lui hérissa la nuque. Mentat. Cet espèce d’enfoiré de russkof criait à l’assassin.

La silhouette décharnée du russe se distingua bientôt dans l’obscurité, son large manteau noir claquant sur ses talons comme des ailes sombres et rachitiques ; véritable corbeau de mauvaise augure. Ignorant les insultes et la colère des mutants, il se mit à exhorter ces troupes qui n’étaient pas les siennes, empiétant éhontément sur les plates-bandes de Sagamore. Un feu sombre et fou étincelait dans ses yeux furieux, qui luisaient comme des flaques de pétrole au milieu de son visage, blafard sous la faible lumière.

Duncan s’était insensiblement tendu et avait effectué un recul stratégique, cherchant avec une discrétion inquiète à se dissimuler dans les ombres mouvantes. L’énoncé de son nom complet, arbitrairement placé en haut de la liste des volontaires, le fit sursauter. Ce qui l’alarma fut cependant le ton lugubre qu’avait prit le télépathe et le regard foudroyant qu’il lui avait lancé. « Nous aurons à discuter en chemin ». Voilà qui s’annonçait passablement funeste.

« Colonel ! » Il ébaucha un sourire crispé qui n’avait pas grand-chose d’authentique. « J’avais justement dans l’idée de partir à votre rencontre… »

Persifleur, l’air revêche qu’il avait prit contrastait avec ses paroles avenantes. Le jeune anglais buté abhorrait être entraîné de force dans quelques entreprises que ce soit, et ce souvent par simple esprit de contradiction. Et avec la tête qu’affichait Mentat, il n’avait bien aucune envie de le suivre – serait-ce pour partager un verre. L’autre, Sephora – drôle de nom – n’avait semble-t-il nul envie de se laisser embarquer dans une folle poursuite, surtout sous les ordres d’un tel énergumène. Dieu qu’il le comprenait. Mais lui au moins n’aurait pas à subir les foudres du russe pour avoir approché de trop près sa copine.

Résigné cependant, Duncan s’avança en traînant les pieds – qu’il avait chaussé de bottes de cuir rappelons-le – faisant tout de même en sorte d’établir un périmètre de sécurité conséquent entre sa personne et le télépathe. La clope au bec, ses cheveux sombres collant sur son front et les poings enfoncés dans les poches d’un jean un peu trop étroit, il semblait marcher tout droit à la potence.


« Faites pas trop de conneries, les enfants ! La Confrérie repassera pas derrière. »

Il balança un clin d’œil insolent par-dessus son épaule, agitantjoyeusement sa main au-dessus de son crâne.

Ça allait être sa fête.


[---> « Longue Traque.»]

(Vient des tables de ce même bar - même si, dans le rp, elle était présente aussi dans "Infernal Chaos 2nd" ^^.)

Assez étonnée, elle constatait que malgré le départ, c'était encore la pagaille, ici... celui auprès de qui elle se tenait se dirigea, à l'appel d'un grand homme qu'il connaissait apparemment, vers une blessée, prise sous la roche...
Inspectant encore les alentours, elle remarqua une des mutantes qui avait pété les plombs continuer le combat... tous les autres étaient partis, mais elle était boîteuse. Elle n'avait sans doute pas eu le temps de s'enfuir.
Et donc, elle était maintenant battue, évanouie sans doute. Un bien beau bordel qu'il y avait là... elle s'approcha de Jack et Ksenia, voulant aider aussi, mais n'en eut au final que peu de temps : elle aperçut Deklan, qui en quelques instants délivra la jeune russe de ce qui l'enserrait.
Une vraie ménagerie de mutants... et de sentiments. Avouons-le, Tsukiyo n'était pas très à l'aise dans les lieux bondés. Car en plus du bruit, il y avait aussi les sentiments qu'elle percevait. Et c'était lourd. Pesant. Assommant.
Alors avec la panique, rien ne s'arrangeait... et puis, maintenant... même si ça s'était légèrement calmé, c'était toujours pénible.
Elle n'allait pas non plus en mourir, bien sûr. Mais c'était toujours désagréable...
La japonaise tourna son regard un peu ailleurs, et perçut soudainement l'horrible cri mental de Mentat. Essayant de refermer son esprit à cette intrusion, Tsukiyo eut tout de même bien du mal... et ne réussit finalement pas, se laissant emporter.
Ca faisait mal, bordel ! Elle jeta un regard haineux vers Mentat.

[- Ca va pas ?! Gardez ça pour vous bordel !]

Enervée, ça lui arrivait rarement mais là... c'était comme s'il l'avait frappée sans aucune raison ! Ouais il venait peut-être de se faire piquer Tsipora ou elle ne savait quoi, et alors ?!
Lui, elle le gardait en mire. Même si pour l'instant elle n'avait pas vraiment intérêt à absorber ses sentiments - autant qu'elle n'en avait pas besoin que parce qu'il était énervé -, elle ne se gênerait pas pour le priver de joie, plus tard.
Comble du comble, une autre mutante péta un câble et du gel apparut sous elle, glaçant soudainement l'air.
Il faisait effectivement froid, très froid. Aussi froid qu'au dehors, en fait... le choc passé, Tsukiyo se remit sur pied. L'atmosphère vive et piquante teintée de froid, voilà ce qu'était le bar maintenant... eh ben... vraiment... quelle belle soirée du nouvel an que voilà.
Elle approcha de Koyuki, l'ayant vu s'évanouir. Que lui était-il arrivé ? Elle n'avait pourtant pas l'air d'être avec les autres, au contraire elle s'était battue contre eux... son pouvoir se manifestait tout seul ? Tsukiyo la regarda. Elle saurait, de toutes façons, plus tard... et vu que personne ne semblait s'en occuper, elle la releva, la mit doucement sur son dos et rejoignit la sortie. En l'occurence, elle se posa pas très loin de Sagamore, remarquant le soit-disant flic anti-mutant.
Tsukiyo était assez énervée encore. L'agitation, puis ce cri mental, et maintenant un anti-mutant...

- Dégagez...

Soutenant sur son dos Koyuki, Tsukiyo pensait qu'il faudrait voir si elle n'avait rien, et vite. Le transport des blessés à l'institut, c'est ça ? Peu importe, du moment qu'ils sortaient d'ici.
L'année commençait bien...


[Les paroles entre crochet sont du japonais. x)]

" Stubird ? Rien à branler, t'arrives après la bataille. Va jouer au flicaillon ailleur. Ou alors file un coup de main, mais ferme là ou je t'écrase ! J'ai eu mon lot de casses burnes pour une décennie. Quoi que tu fasses, t'arrêteras pas dix personnes. On a autre chose à foutre et ici ta loi n'a pas cours !"

Un sourire malicieux se dessina sur le visage du ripoux. Mister O'Neil était sur les nerfs? et Stubbird se marrait gentillement. Le ripoux s'avança vers le patron du bar d'un pas lent mais décidé. Il rangea sa carte de flic falsifiée dans la poche de son pardessus et attrapa son paquet de cigarettes.

Repose tes joujous Sagamore. T'as beau avoir les muscles, je suis autant en mesure que toi pour te flinguer.

Stubbird arma le chien de son arme, au cas où et jeta un oeil aux mutants qui déguerpissaient.

Smorgia est au port international Logan

Un brin désinvolte et provocateur, la différence de carrure étant ce qu'elle était, Stubbird essayait d'attirer l'attention d'O'Neil. Malgré ce qu'il avait dit, il n'était pour le moment pas en mesure d'avoir une chance d'abattre le géant en cas de grabuge.
D'un coté, il aperçut Ethan, qui jouait les durs. Un sourire encore plus dément s'accrocha aux lèvres du ripoux.

Lâche tes joujoux toi aussi, t'as encore moins de chance de m'érafler, confrériste. Haha.

Le regard du ripoux glissa sur celui d'O'Neil.

Bref, j'vais abrégé mon gars. Tes potes, comme j'l'ai déjà dit, sont au port pour le moment, mais mes gars aussi.
Alors, j'vais te faire un topo, j'te sauve ton bar et tes fesses des flics et tu t'occupes de mes gars, qu'ils soient déments ou pas, on a déjà des morts coté confrériste, pas besoin d'allonger la liste.

Tu dois savoir que Lensher a levé le camp, alors en c'moment c'est moi qui m'occupe de ses marmots, même si ces abrutis l'ont pas encore remarqué.

Il lança un regard plein de sous entendus à Ethan, et tira une tafe à sa clope.

C'est à prendre ou à laisser O'Neil, tu pourras pas gérer les flics en plus des mioches de l'institut et des confrères qui se joignent à toi.

Le deal était posé.

[Résumé : Alfonso ne se démonte pas malgré Sag et lui propose un marché pour couvrir le bar et les fesses des non-infectés contre les flics non-ripoux de la ville.]

[Mmmh, je suis forte, je n'avais pas vu qu'Alfonso avait répondu une première fois auparavant... XD ]

Anaïmon avait suivi Alfonso avec l'impression de plonger dans un vieux film mafieux au dénouement funeste. Elle tenta de chasser ces impressions de sa pensée : elles risquaient de transparaître sur son visage, et comme au milieu des bêtes sauvages un individu devait garder son sang froid pour ne pas se faire croquer avec gourmandise. Cette volonté lui conféra un air étrange, presque coincé, on voyait qu'elle se forçait, mais avec toute sa hargne, de rester plus ou moins digne, comme inébranlable face à la situation.

Par la suite lorsqu'ils avaient pénétré dans le bar, son visage, en plus de ses traits tirés par une impassibilité feinte, se teinta de blanc. Il y avait eu de l'action, beaucoup d'action... Des ruines s'étalaient ça et là à travers le bar... Que faisait-elle là déjà ?

Elle était partagée entre deux envies : celle de coller les basques d'Alfonso, et celle de s'éloigner de lui pour récupérer ses pouvoirs. Cependant en restant près de lui, elle était sûre de ne pas subir d'attaques à base de pouvoirs mutants. Mais elle pouvait toujours se prendre un sacré coup de poing dans la tronche... Mmmh... Réflexion stérile que celle-là ! Visiblement ils arrivaient après la fête, et la jeune fille avait du mal à distinguer qui était qui.
Elle se dit néanmoins que l'homme plutôt violent et de carure imposante qui s'était adressé de façon énergique à Alfonso n'était pas de la Confrérie.

Anaïmon resta admirative devant le flegme d'Alfonso, et encore plus par ses paroles : maintenant il fallait attendre la réponse du Xavieriste d'en face...

Finalement, elle avait choisi de se tenir en retrait, elle avait repris une certaine contenance mais un petit air de perdition subsistait.
Ne connaissant encore ni les protagonistes, ni les enjeux, elle ne risquait pas de se faire remarquer avant que ce ne soit utile.

[Résumé : Anaïmon est là physiquement mais se sent paumée. XD ]

Makoto était témoin d'une scène peu banal qui en aurait secouer plus d'un, malheureusement le nippo n'était pas joueur, il n'avait pas non plus envie d'y passé la nuit, que se soit du gros singe, du saltimbanque qui jonglait au loin, de la pauvre fille ou du mafieux il s'en tapais à un point que ça en devenait décourageant. Le jeune Oogami assistait à la scène avec ce regard sévère et ce visage froid, il savait pertinemment que s'en aller ne lui servirait à rien, il risquait de se perdre davantage et par la même occasion perdre la seule personne qui aurait pu l'aider à trouver cette confrérie.

Il avait entendu du japonais, mais ça ne lui faisait ni chaud ni froid, il restait à observer dans son coin et quand même dans la zone de non pouvoir, sans se douter que s'il la franchissait qui sait si sont pouvoir ne se déclancherai pas malgré lui. Ce type O'neil, semblait tout aussi grand gueule gros poing que le mafieux, le jongleur paraissait sans aucun intérêt, sauf au moment où le polar l'appela confrériste. Alors c'était ça un confrériste, et puis avec quoi jonglait il ? Était agressif ou était ce seulement pour intimider? Makoto Oogami n'était pas en sûreté, mais là où d'autre aurait pris la poudre d'escampette, ou se serai chier dessus lui jeta son regard froid au jeune homme puis revint vers la mafieux, le nippons semblait aussi s'en taper d'être blesser ou pas.

Tandis que le 'ricain s'adressait aux deux autres, Makoto en était tellement las qu'il sortit de son coin, il savait que se l'ouvrir était une mauvaise idée mais il craignait que tôt ou tard son pourvoir fasse surface et il aurait préféré évité que ça arrive ici, alors le nippon sortit de la peine ombre les main dans les poches n’ayant pas laissé ses sac dans la baniole dont ça précieuse guitare empaqueté.

"Euh... c'est ça la confrérie des Mutant? Un vieux bar en ruine?"

Dit il, lançant cette phrase d'un ton sarcastique au trois mutants, Makoto voulait les faire réagir qu'ils se bouge un peu pour pas qu'ils y passe la nuit, il sentait qu'il aurait mieux fait de la fermer; mais bon le mal était fait, le ripoux qui l'avait entendu causé n'aurais pas de mal à comprendre que c'était pas le genre du nippons de parler ainsi, c'était juste de la provoque.

[le japonais en a marre d'attendre, il se fiche pas mal de ce qui se passe ici, et cherche à provoquer pour qu'il accélèrent le pas]

(on va dire que Yasha est hors de la sphère d'influence du ripoux parce que sinon la "civière" disparaît et Flamby s'écrase avec pertes et fracas sur le sol )

Agitation. Il semblait y avoir une certaine tension entre le géant et le mentaliste.
Informations sans intérêt.
Pour le moment, il fallait qu'elle fasse abstraction des éléments de son environnement qui n'avaient pas d'impact immédiat sur elle et, surtout, oublier ses sentiments. Pour le salut de Flamby.
Ignorer Mentat. Difficile mais pas impossible, même si ses mains frémissaient de dégoût à la simple idée de partager le même air que lui. Il avait osé ! Il l'avait souillée, il... Non. S'imaginer une page couverte d'encre. Avec une gomme tout effacer. Effacer sa colère. Jusqu'à ce qu'il ne reste qu'une feuille vierge. Sage... sage...
Yasha se détendit.

"Ok, Miss, on embraye vers les sous sols, y a un van, et deux bagnoles pour transporter tout le monde !"

Joie. Elle ne serait pas obligée de porter son protégé tout le long du trajet. Non parce que mine de rien, c'était fatiguant. Depuis près de trois mois, son pouvoir n'avait été sollicité qu'au cours des entraînements. Pas de missions. Pas de perte de contrôle non plus d'ailleurs, elle avait été trop seule pour vivre la moindre situation stressante. L'un dans l'autre, elle était moins endurante qu'elle aurait pu l'être si elle avait continué de vivre au rythme effréné du temps de Marcus, de fusillade en fusillade.

De nouveaux arrivés. Re-tension. Départ, retour, et ainsi de suite.
Informations sans intérêt également. Elle n'était pas d'humeur à s'extasier devant le moindre pouvoir aujourd'hui, l'idée d'une bataille ne produisait chez elle qu'un profond sentiment d'ennui. Elle en avait déjà eu tout son saoul avec la prestation de Smorgia et des Infectés. De plus, le ripoux avait beau se dire de la Confrérie... Elle ne le connaissait pas. Et elle idolatrait peut-être Marcus comme un dieu, mais son nom ne suffisait pas à provoquer une obéissance totale et immédiate chez elle. Il n'y avait que Marcus en personne qui en était capable...

Nightmare se préparait à rejoindre les sous-sols. Quelqu'un cherchait son regard de façon insistante, elle le sentait. La métis leva ses yeux couleur iceberg pour regarder Keith O'mara, ce garçon dont elle ignorait encore le nom. Ses yeux couleur iceberg, aussi froids que la glace dont ils tiraient leur couleur... Voilà. Contact visuel établi. Elle détourna à nouveau les yeux, se remettant en marche. En le regardant, elle avait montré qu'elle n'éprouvait pas de peur ni d'aggressivité, ça devrait lui suffire pour qu'il se sente à l'aise...

Yasha aurait bien été surprise d'apprendre que ce genre de regards glacés provoquait plus souvent l'inquiétude que la détente...

"Euh... c'est ça la confrérie des Mutant? Un vieux bar en ruine?"

Elle se statufia. Cette voix sarcastique qui... Il... La Confrérie était sa seule famille, son âme et son corps, le sein qui la nourrissait, l'abri sur sa tête, sa MEUTE ! Et il... Il osait... Elle se retourna, une expression de colère remplaçant une fois de plus sa neutralité habituelle.

"Ce n'est... Pas la Confrérie. Mais c'est bien assez bon pour un rat dans ton genre."

Son visage redevint neutre, vide et elle se retourna, se remettant en marche. Pas de temps à perdre. Doris se vidait de son sang...

Décidément, ça n'était pas ce soir qu'elle allait se faire des amis.

[Yasha se dirige vers le sous-sol, comme indiqué par Sag, soutient le regard de Keith et répond agressivement à Makoto]

Woooh l’ambiance était bonne, le sourire d’Ethan en disait long, très long. Il ne comptait pas partir sans rien faire. Attendez, dois-je vous rappeler que si Stubird est un cinglé adulte, son taux de cruauté est le même qu’Ethan alors que celui-ci n’as que 18 ans. Eh oui, mesdames, messieurs Ethan est barge et il est loin de ce faire soigné. Il n’avait toujours pas bougé, toujours derrière Sag’ entrain de jonglait. Puis son attention se fixe sur une jeune demoiselle, qu’il ne connaissait et qui faisait partit de la confrérie. Elle était jolie, et il ne l’avait jamais remarqué. Il devait sûrement il y avoir un problème, il voulait y remédié rapidement.

« Non mais devriez écouter la jeune demoiselle, sérieux au pire vous être trois. Rassurez moi vous ne comptez pas faire quelque chose de bête. »

Il s’arrêta et regarda Stubird, c’est vrai que le flic avait une tête de cinglé, un peu comme celle d’Ethan, ils devaient sûrement avoir le même état d’esprit. Cela ne devait pas rassuré grand monde mais bizarrement Ethan était dans son élément. Puis un asiatique fit interruption et bizarrement celui-ci joué les mecs qui se foutaient de tout et celui qui fait l’arrogant. Ethan étouffa un rire sardonique. Puis il prit la parole.

« Hé Stubird… C’est ta copine là ? » Dit-il en désignant Makoto « Elle est plutôt mignonne » Puis il explosa de rire. « Tu ferais mieux de lui dire de rester tranquille… Cela me dérangerais de toucher à son petit minois… »

Alalala c’était la fête, en lus d’être moqueur, il était sur le point de devenir méchant. Enfin juste pour montrer a Makoto qu’il ne fallait pas trop qu’il prenne confiance parce qu’il se trouvait à coté d’Alfonso.

« Tiens attrape ! »

Il jeta sa première bille sans bien sûr visé Makoto, il cherchait juste a lui faire comprendre certaine chose. Elle explosa juste à sa gauche. Il en avait toujours deux en main.

« Si c’est toi qui s’occupe de la confrèrie, cela peut être amusant. » Il rangea ses billes mais resta sur ses gardes.

« Bon on fait quoi alors ? »

Une question qui n’était destiné qu’a Sag’

[Résumé, ben Ethan se moque de makoto, lui fait explosé une de ses billes prés de lui. Et attends le reste.]

(hrp : Je prens la main pour vous débarrasser le plancher, désolé pour
ceux qui devaient poster avant moi, mais mon action se situe
principalement autour d'alfonso ^^)


Sagamore observa le nommé Stubbird qui s'approchait en jouant au malin.
Il remarqua qu'il restait au delà d'une limite où le géant se serait
senti obligé de lui balancer une pieraille dans la face avant de
prendre une bastos. O'Neil se
contentait de garder l'escalier pour laisser passer tous les mutants
qui souhaitaient le suivre. Confréristes ou Institut, l'heure n'était
plus à l'affrontement. Les mots de chacun jaillissaient qui venait
corroborer ses dires. Pourtant, personne n'épargnait personne. Pire après le passage de mentat, celui du flic donnait la scène une nouvelle pression digne de la dernière cuvée guiness. Le genre à s'en foutre partout, et que ça finisse en bain de sang.

Yasha qu'il ne connaissait pas encore l'avait mauvaise. La petite confrériste aux cheveux blanc semblait décidée à suivre la brute des X-men en dépit des propositions bienveillantes d'Alfonso. en dépit de son annonce qu'ilk s'occupait des interêts de Marcus Lensher. Et derrière elle, ethan, qui n'avait pas supporter l'intervention d'un des jeunes compagnons du rippoux.

Sag ne connaissait pas encore le troisième qui se joignait à sa joyeuse bande dépitée, couverte d'horions, avec un blessé dans un sale état porté par un monstre sorti de l'imagination de Yasha. Le troisième c'était finalement un des siens ! il connaissait Edouard !!! Presque un miracle, ok, Léon venaiut déjà de sortir une bonne troupe. Mais quelle merde, l'Institut, aujourd'hui... Il allait falloir foutre les pieds dans le plat ! Combien d'X-men s'étaient faits prendre par le jeu de Smorgia.

Alfonso dansait comme une première ballerine à une quinzaine de mètres. la limite avant de prendre un parpin dans la face !!! Toute façon, son jouet façon inspecteur Harry, Sagamore s'en serait servit de suppositoire à récalcitrant. M^me avec des balles éléphant. Il gronda.

" Marrant que tu te préoccupes de la bonne santé des confréristes, parce qu'ils préfèrent venir avec moi ! L'entente cordiale, elle s'est jouée avant que t'arrives. On en avait pris plein la gueule, comme des cons, par nos meilleurs amis.Alors, on s'est dis que c'était pas le jour d'OK corral !!! "

Le géant vérifia que Yasha et les deux gars embrayaient derrière lui avec le blessé. Il attendait les autres. Il jaugea d'un regard ce flic dépenaillé aux manières calqués sur un loulou de poméranie. Il en restait encore peut-être à venir des réfugiés. il décida de gagner du temps. Sagamore O'neil en avait un peu ras les coucougnettes de tous ces types qui ven,aient proposer un coup de main en lui gueulant dessus. Les billes d'Ethan visaient un aigre-fin japanisant, comme on en voyait tant ces temps ci sur boston (hrp : dsl, je pouvais pas la louper ^^). Sag calma le jeu.

" Laisse rouquin ! File un coup de main aux deux autres et décaniller le code du garage privé est " T2h6o13r9n22". Filez devant, Léon a préparé le terrain, et l'infirmerie est ouverte. Je vous rejoins. "

Un nom avait surgit sur son chronoX, il enchaîna pour le jeune qui se tenait près à aider Yasha.

" Keith O'mara, hein ? tu connais le chemin, tu leur montres ! "

Qu'aurais t'il fait notre géant sans les données recencer par le fameux majordome et relayer par le meilleur ordinateur du monde, Cérébro ?

Revenons à Alfonso qui devait se les gratter avec son jouet façon police python.

" Ok, mec ! Toi aussi, tu veux nous aider ? Mais, pour le dire faut que tu la joues gros dur ! On a croisé le même modèle y a deux secondes, s'appelle Mentat ou du genre. Ils sont en chemin et je pense que ton info le servira. Faudrait juste que tu te mettes dans le crâne un truc. Avant que t'arrives, j'ai proposé d'aider tout le monde ! avant que ton pote ruskov manque de nous broyer le cerveau, j'avais proposé qu'on s'y mette ensemble... "

En réalité rarement le masque défiguré de notre colosse n'avait exprimé aussi clairement ce qu'il pensait. Il poursuivit d'un ton las où pointait le sarcasme.

" Faudra bien qu'un jour chez les grosses têtes de la Confrérie, on se décide à comprendre que nous offrons notre aide sans contre-partie ! Et que si je compte sauver les miens, j'ai pas proposer à tes protégés de venir pour oublier leurs frères quand ça chauffera ! Faut-être malade pour croire qu'on oublierait un être vivent dans ce merdier ! C'est justement pour ça qu'on se bat mon grand !!! "

Y avait pas de colère mais un profond dégout chez le leader de la X-Force. Il jeta un regard d'acier à Alfonso. Pour lui, l'intervention du flic signifiait que dans la même situation, Alfonso aurait laissé crever les gamins de l'institut. Désabusé.

" tu assures nos arrières, et nous, on les sort tous de là !!! Le deal étais clair avant que t'arrives, et il l'est toujours. Mais, évite-moi à l'avenir. J'aime pas les poubelles qui veulent faire chanter. "

Le géant n'avait ni sourire de loup, ni réaction, seule la cicatrice dansait sur son visage. Et toute personne qui connaissait la bête savait que cela n'était jamais bon ! Les blocs de bétons qu'il soulevait au début avaient été réduit en pousssière entre ses mains de titan.

N'empêche, l'information de Stubbird valait son pesant d'or !!! Smorgia, à l'aéroport, les traqueurs gagneraient quelques heures. Sag disparut dans l'escalier, on entendait sa voix de stebtor, il beuglait dans le chronoX, qui servait aussi de communicateur.

" Panic !!! ils sont au port, j'ai eu l'info !!! "

(Hrp : Dsl pour ceux oubliés, jouez comme si sag vous a laissé passser dans ce long post... Je suis out une semaine, embrayez donc dans le topic de Léon à l'institut, je vous y rejoindrais ^^)
N'empêche l'info était énorme ! Smorgia au port... Une seconde

Keith était absorbé par l’échange entre Sagamore et le fameux Stunbird.
C’était imagé et des tonnes d’informations filtraient a travers leurs piques, il se jurait qu’une fois de retour a la maison, il allait harceler un certain majordome de questions. Malgré ses expériences passées, ce coté curieux qu’on beaucoup d’enfant ne l’avait pas quitté pour autant … il avait vécu comme un temps mort dans son processus de croissance. Et c’était à travers ce point précis qu’il s’en rendait compte.
Plongé dans ses réflexions et, donc, les questions que soulevaient toutes les remarques que se faisaient le couple, ses yeux se perdirent dans le vague, de grosses masses grise passant dans son champ de vision floué quand un des blocs de béton passaient devant ses yeux.

Sa vue ce clarifia quand une flaque bleu électrique passa dans son champ de vision. Il ne lui fallut qu’une seconde pour tomber nez a nez avec la jeune femme qui semblait contrôler le ‘’ monstre ‘’ qui se trouvait non loin et qui servait se civière a la femme blésée.
Elle lui décocha un regard qu’il eu du mal a déchiffrer. Mais au moins, il avait établi le contact. Et l’effet fut immédiat. Il se détendit.
Quand elle rompit le contact, il entendit une voix non loin derrière lui et au moment ou il faisait volte face, il aperçu la course en arc de cercle d’une sphère a peine plus grosse qu’une bille qui explosa du coté de Stunbird, vers un jeune homme plus précisément. Il sursauta un instant, croyant plus à un explosif où a un coup de feu qu’autre chose. Mais vu la soirée, il accorda bien rapidement les faits, le jeune homme et l’explosion.

Mais quand la jeune femme a la créature se retourna et annonça d’un ton sec comme un coup de fouet : ‘’ Ce n'est... Pas la Confrérie. Mais c'est bien assez bon pour un rat dans ton genre. ‘’
Il ne pu s’empecher de lui faire un signe de la main discret pour attirer son attention de nouveau, accompagnant ce dernier par une remarque qu’il voulait apaisante.

- On est dans de beau draps m’am, pas le temps de répondre aux provocations d’un idiot a grande gueule.

Il venait a peine de terminer sa phrase que la voix de Sagamore retenti dans leur direction, forte comme une bourrasque, ou du moins c’est ce que Keith avait cru. Le plus surprenant dans tout ça … c’était que la phrase lui était adressé.
Apparemment le géant savait qui il était. Il le fixa avec des yeux ronds comme des billes et commença à ouvrir la bouche pour répondre, mais la série de chiffre et de lettre que lui décocha le géant en pleine face le coupa dans son élan. Il imprima cette séquence dans son esprit en une seconde : T2h6o13r9n22.
Le ton employé n’avait rien d’amical où ça n’avait rien d’un ordre, du moins, il ne le traduit pas comme tel. Mais il se senti obliger de lui répondre.

- Vous inquiétez pas. J’suis pressé de rentrer au manoir, la poussière c’est mauvais pour mes bronches, lança t-il a la cantonade.

Sans plus de cérémonie, il s’engouffra dans le passage, passant rapidement a coté de Yasha pour tomber nez a nez avec la dite porte a digicode.
Ses doigts volèrent d’une touches a l’autres a mesure que les chiffres tirés de son esprit se remateriallisaient sur le cadran en lettre rouge sang.
La porte s’ouvrit avec un claquement satisfaisant, dévoilant par l’entrebâillement, les véhicules promis par le géant.
En deux pas, il dévora la distance qui le séparait de l’arrière de l’imposant van et ouvrit les deux portes arrière pour laisser à Yasha et son ‘’ brancard ‘’ l’espace pour se glisser dans le véhicule.

Le temps que tout le monde se mette en place dans le véhicule, il retourna vers la porte ouverte et se pencha par l’entrebâillement pour regarder vers la volée de marche qui remontait vers le théâtre des opérations ou Sagamore et Stunbird se trouvaient encore et il cria pour se faire entendre du géant.

- J’demanderais au Majordome d’vous préparer un truc bien fort pour vot’ retour O’neil !

Sans attendre de réponse, ils retourna au van et ouvrit la porte du conducteur pour se glisser sur le siège en cuir épais. Les clefs ne tardèrent pas à se retrouver dans ses mains après une fouille experte des pare-soleil. Il les glissa a leur place et fit frémir le gros véhicule lorsque ce dernier démarra.
Portant les mains au rétroviseur il observa les autres personnes derrière lui et demanda sans se retourner.

- Quand tout le monde sera en place, faite le savoir, j’aimerais pas traîner ici plus longtemps si vous n’y voyez pas d’inconvénient.


[Actions: Keith s'interpose pour couper court a la joute entre Yasha et le jeune homme, il suit les directives de Sag', descend dans le sous sol, trouve le Van et il fini par attendre que tout le monde soit a bord pour mettre les voiles]

Kenjiss sautait sur la scène... et puis, et puis ? Plus rien, mal à la tête ?! Une baterie incorporée dans la cervelle, ça tapait en rythme, les dernières notes qu'avaient joué le guitarsite revinrent. Mais ?! Mais ?! Les yeux d'Eva s'écarquillèrent, elle se trouvait à plat ventre, visiblement quelque chose l'avait frapée au niveau, au niveau...

Elle n'en savait rien, pourtant elle tenta de se relever, et elle le fit, aussitôt pensé aussitôt fait. D'un geste assez indélicat de sa part, elle passa le revère de sa main sur sa bouche, un peu de sang s'était déposé en fines goutelettes sur son index, le verre qui avait été projetté l'avait sans aucun doute coupée. Mais le plus douloureux restait son ventre, Weather sentait bien que quelque chose l'avait percutée de plein fouet, mais quoi ? Ca restait la grande question.

Tandis qu'elle tentait de prendre des repères, la mutante vit autour d'elle un infernal va et vient de visage qu'elle ne connaissait pas. Mais où était passés Terry, Tsipora, Alex, Kenjiss, ils étaient tout de même pas tous devenus aussi fou furieux que ce dernier ?

Un peu étourdie dans la salle, Eva ne savait pas vraiment où donner la tête, un colosse semblait ordonner à tout va, tandis que d'autres semblaient vouloir lui mener la vie dure. Puis un message, quelque chose qui l'avait menée à se reveiller lui revint à l'esprit, un cri comme mental. Qu'est-ce qu'il disait déjà ?! Weather s'assit sur une marche qui menait à la fosse du concert, et tout en prenant la tête dans ses mains, elle pensait à cette journée qui devait être si radieuse, et qui pour le moment était surtout proche de la catastrophe.

Un peu fatigué, la mutante se souvint du visage de l'homme qui avait conduit la soirée à ce bordel monstre, elle lui en voulait, pour un jour de l'an raté à cause de cet idiot, s'en était un, si elle le retrouvait, s'allait être sa fête.

"TSIPORA !", c'était ce qu'elle avait entendu un peu avant de reprendre conscience, il y avait donc un lien avec son "adversaire" du matin. Bon il était temps de prendre les choses en main, Eva avait beau être assez superficielle, elle savait prendre des décisions, l'alcool qu'elle avait ingurgité ne faisait plus vraiment effet, du moins elle refusait d'accpeter ces effets. Elle tenta de mettre un peu d'ordre dans ses idées :

*Un certain Dragomir est mort... Puis c'est le débarquement dans cette boite... le Saturday Night... Je veux aller voir Kenjiss, mais... je suis alongée par terre alors que tout le monde cour dans tous les sens ?!*

Ne sachant pas vraiment quoi faire, la mutante replongea dans ses souvenirs, alors qu'elle était sûr d'avoir entendu une personne crier dans sa tête, elle se souvenait aussi d'une étrange et très forte sensation de froids dans le bar. Qui ?! Comment ?! Elle aurait aimé connaître la réponse à ses questions, mais Weather sentait qu'elle avait raté un épisode et qu'avant de tout comprendre il lui faudrait plusieurs heures, et puis s'était pas le moment de s'éterniser sur un petit détail.

Pas de temps pour faire une pause, elle se leva et se dirigea vers la masse de muscle qui guelait dans tous les sens depuis qu'elle s'était "réveillée". Alors qu'elle allait franchir la porte pour sortir, et suivre le groupe de mutant qui visiblement se rassemblait pour faire face à tout ce qui venait de se produire, elle entendit une autre voix, plus posée, presque desesperée, qui mentionnait un nom qu'elle avait déjà entendu : Lensher.

Eva ne se souvenait pas réellement de qui il s'agissait, mais si elle connaissait ce nom, s'était pas par hasard, alors il était temps qu'elle agisse pour ne pas rester plantée là toute la nuit. Il fallait qu'elle comprenne un minimum, elle s'approcha donc d'Alfonso, sans savoir qui il était ni ce qu'il avait à voir dans cette histoire. Ca commençait à fuser dans la cervelle de la mutante, et elle avait tendance à détester ce genre de situation. Sur un ton assez énervée elle s'adressa à Stubbird

"-Bon alors je me souvient simplement d'un bordel monstre et maintenant c'est le calme plat avec tous le monde qui se barre, j'aimerais comprendre ce qu'on fou ici, et si on a besoin de moi quelque part ?!"

Au final s'était véritablement le débarquement pour la mutante, à peine arrivée dans Boston que les mutants subissaient une attaque d'un inconnu, et qu'en plus le leader de la confrérie se faisait tuer. Weather ne regrettait pas son choix de venir dans cette ville, elle se demandait de plus en plus si elle était vraiment arrivée au bon moment. Plantée face à Alfonso, elle ne bougerait pas tant qu'elle n'aurait pas de réponse qui puisse éclairer sa lanterne, que se soit ce mec bizzare ou bien un autre qui lui réponde, la mutante en avait rien à foutre, s'était plutôt la réponse qui l'interessait.

[Résumé : Eva se réveille, fait le point et tente de comprendre la situation en s'adressant assez vivement à Alfonso.]

[HRP- J'abrège, Alfonso n'était là que pour une chose - HRP]

Discussion close, ils n'eurent pas besoin de trop s'entretuer. Bof, Stubbird aurait bien voulu voir ce qu'avait ce géant aux allures de mécène de la rue dans les tripes. Plus tard, se promit-il intérieurement.

Pour le moment, il était question de gagner du temps, et le meilleur moyen de brouiller les pistes des flics était de prendre les devants. Tandis que Stubbird réfléchissait afin de déterminer quel numéro a appelé serait le plus approprié à la situation, une mioche se pointa, un peu paumée mais pour le moins réveillée. C'était une confrériste. Stubbird la regarda, de bas en haut, avant de se décider à répondre.

Y a deux pécores qui m'ont suivi pour intégrer la Conf', essaie de voir si ils en valent la peine.

Il désigna d'un air désinvolte Makoto et Anaïmon qui restaient à proximité.

Mais, avant de rentrer at home, vaut mieux que vous suiviez O'Neil, le temps de voir comment cette histoire va se tasser. J'm'occupe de passer les coups d'fil qu'y faut.

Ni une, ni deux, Stubbird colla son téléphone contre l'oreille et s'éloigna de l'agitation, afin de pouvoir discuter tranquillement avec ses 'contacts' plus ou moins ripoux, tout comme lui.

Il avait de tout façon confiance au bordel qui régnait au centre monétaire, vu que les confréristes l'avaient dévalisé en perdant un gars. "Bah, les risques du métier", comme se répétait Stubbird.

[Résumé : Alfonso répond à Eva et s'éloigne de l'agitation afin de pouvoir passer ses coups de fil. Je le met en stand by dans le saturday le temps du scénario ]

Makoto sentit quelque chose le froller, comme si un objet était passé, lui caressant la joue, un projectil qui n'avait rien d'amicale. Les quelque seconde qui suivirent une sorte d'angoisse le plongea dans l'obsucre brouillar qui sévissait dans les abymes de son esprit, la bête se réveillait, ou plutot elle avait frissonné, Makoto fixa de son regard sévère Ethan. Il n'avait pas entendu un seul mot, pas une seul insulte n'avait pénétré sont blindage psicologique, mais au fond de son coeur, les yeux écarquillé emplie de haines, de colères, de peur fixant l'agresseur, pret à l'enflammer de mille braséros. Il fourra sa main dans sa poche et y attrappa quelque chose, mais Ethan n'avait pas parler de son père, ni de sa famille, il s'était contenté de répondre à la provocation de Makoto, celui ci serrant tant et plus l'objet. Il était jeune, il était sans expérience, mais sa force fut telle qui pojetta un regard de tueur au Muttant, puis détourna son regard relachant l'emprised de l'objet.

Makoto Oogami se contenta de tourner talon et de ce diriger vers la sortie, ne prettant pas attention à l'arivé de la nouvelle, pourtant il entendit le mafieux parler de mener à la confrérie, de suivre Oneil, c'etait clair pour le nippon s'il restait une minute de plus ici il allait péter un cable.
Et suivre le gros baboin ne l'enchantait guère, le rippoux quand à lui se réfugiait au telephon, de plus il craingnait qu'a chaque instant que sont pouvoir refasse surface. Il se contenta de suivre la troupe aquissant de l'épreuve

"tsss... j'ai l'impression de perdre mon temps..."

Marmona t il, serrant les poings.

[résumer: makoto suit le groupe (ps: désolés j'ai écrit ce message à la fin d'une nocturne D&D chez un pote à 5h du mat, j'ai passé le lendemain à pioncé]

[Hrp : Makoto tu pourrais faire ce qui est indiqué en bas de ce post ? Disons que c'est plus pratique pour lire ta fiche >>>ici<<<[/hrp]

Visiblement Eva s'était intégrée plus vite qu'elle n'en avait eu l'impression dans ce qu'on appelait la Confrérie. L'homme à qui elle s'était adressée lui avait répondu comme s'il la connaissait. Peut-être qu'il était un gradé, et que Drago avant de mourir lui avait parlé d'elle. Enfin bon ce n'était vraiment pas le moment de se prendre la tête pour ça, elle aurait juste aimé connaître le nom de ce personnage aussi vieux et ridé que loufoque. Il ne lui avait laissé aucune chance pour s'exprimer plus longuement, Weather avait été prise au piège, elle avait reçu des ordres de quelqu'un qu'elle ne connaissait même pas, et en plus il fallait qu'elle applique ?

*Il s'est foutu de ma gueule ?... Deux pécores ? Et puis quoi encore une nounou ?-un soupir et un rictus de mélancolies avait put se lire sur le visage de la mutante- Ils ont le don de tous m'exaspérer ce soir... Il va falloir mettre de l'ordre dans les idées... j'suis pas l'esclave numéro une de la conf' parce que j'viens d'arriver !*

Tandis qu'elle tenta de retomber dans son indifférence et dans sa patience habituelle, le pécore numéro un, qui était une fille, ou bien très jeune femme, vint s'adresser à elle. Sortie de ses rêves, Weather tourna la tête, le visage marqué de questionnement, depuis quand une gamine avait le droit de fréquenter ce genre d'endroit ? Enfin bon au moins elle avait eut l'audace de venir lui parler, c'était déjà plus que la plupart des autres personnes, Eva acquiesça à la remarque d'Anaimon, alors qu'elle se tourna pour voir à quoi pouvait bien ressembler le deuxième pécore, elle s'adressa à sa première sans la regarder :

"Pécoure me convient pas trop, moi c'est Weather, visiblement je dois garder un œil sur toi ainsi que sur..."

Alors que Makoto semblait prendre le chemin de la sortie, Eva sentit qu'il n'était pas le plus heureux d'être là, et quelque chose lui disait que le deuxième pécore s'était lui. Tendant l'oreille, elle entendit une partis de la réplique du gamin, pour qui il se prenait celui-là ? Il suivait visiblement les ordres d'Alfonso, et même si Weather n'était pas la plus heureuse de se joindre au force de l'institut, elle comprenait que s'était pour leur bien à tous.

"-Attends une seconde." dit-elle à Anaimon en s'approchant par derrière de Makoto pour l'attraper par le col en le tirant vers elle de façon à ce qu'il fasse un demi tour et donc que les deux mutants se retrouvent les yeux dans les yeux. Eva ne laissa pas le temps au pécore numéro deux d'agir.

"-Tu perds ton temps ? Alors primo si ça te fait chier tu peux partir, secundo je suis pas payée pour faire Baby Syster avec toi, j'avais pas forcément envie de me balader avec un gamin de dix huit ans tout au plus sur le dos, mais j'ai pas le choix, et tertio je te fais pas la morale !-le ton de sa voix augmentait au fur et à mesure que Weather s'adressait à Makoto- Maintenant je veux bien que tu veuilles rentrer à la Confrérie, pour ma part s'était ce matin même, mais à l'heure actuelle j'ai quelques infos de plus que toi sur la situation, donc on suit O'Neil, et on va à l'institut, si y a quelque chose qui t'emmerde, ben tu es en droit de partir"

Eva se demanda si Alfonso était sérieux quand il disait vouloir recruter les deux pécores comme il les avait si bien nommé. Elle se demandait aussi pourquoi on lui donnait des responsabilités alors qu'elle était à peine arrivée et que la fatigue commençait à peser. Weather revint vers Anaimon pour pouvoir discuter avec quelqu'un qui était vraiment intéressé à ce que se produisait, juste avant de s'adresser de nouveau à Ophélia, elle eut une pensée pour Kenjiss.

*Qu'est-ce que t'as foutu... J'te croyais moins con que ça, et dire que je m'amusais bien à te faire chier, j'espère que personne ne sera dans l'obligation de te tuer, même si ça doit pas être une partie de plaisir.*
-Stopée dans son action pendant une seconde, Eva reprit avec Anaimon-
"-Aller on suit tous le monde, j'espère que t'es pas trop fatiguée, y a du boulot pour cette nuit visiblement."[/color]

Alors qu'Eva allait descendre par la porte devant laquelle se tenait O'Neil, son regard croisa celui d'Ethan, elle ne le connaissait pas, mais elle était persuadée qu'il n'y était pas pour rien dans l'embrouille qu'il semblait y avoir eut entre les confréristes et les institutionnistes avant qu'elle ne se réveil. A moins que l'histoire soit plus compliquée qu'il n'en paraissait.

Sous ses airs de femme superficielle, Weather savait quand elle devait agir, et Makoto l'avait normalement comprit assez vite.


[ Institut.]



[Résumé : Eva n'aime pas être prise comme baby Syster, elle engueule un coup Makoto, reprend contrôle de ses nerfs, aperçoit Ethan, et descend pour rejoindre l'institut, elle est normalement accompagnée d'Anaimon, si tu me suis ]

Makoto se fit trainer brusquement puis une jeune femme ne manqua pas de l'engueuler, et le Nippon se contenta de la regarder betement, Makoto avait peur qu'une peur en se moment, que son pouvoir se remette en marche, il ne le controlait pas, ça pouvait arriver à nimporte quel moment, bien qu'il ne soit pas dangereux, son honneur japonais lui disait qu'il paratrait etre qu'un boulet au yeux des autres. D'un autre coté il n'avait pas spécialement envie de se faire des amis, il devait trouver un endroit où il pourrais se reposer, un asil où son pouvoir pourrait l'utiliser sans gener les autres. Ce qu'il ne savait pas c'est que jusqu'a lors il était resté dans l'aura d'Alfonso, qui l'avait protéger d'un certain coté désormais puis que le ripoux n'était pas là, son pouvoir reprenait sa place, et les risques augmentaient de plus en plus.

Makoto ne savait pas où aller, pourquoi il ne pouvait pas aller à la confrérie, qu'est qui l'en empechait, et puis qu'est ce qui ce passait ici, extérieurement makoto n'avait rien d'un mutant, pas plus que son pouvoir n'était visible, au yeux des anti mutant c'était un japonais comme les autres, mais déjà le fait d'être nippon était suspect. Dans cette ville de 'ricains il sentait qu'il n'avait pas sa place.

Makoto jugeant qu'il était dangeureux pour lui de se daplacer seul descida de suivre la beuglante, cette femme qui se disait ne pas etre une nounoue, Makoto se contenta de dire cette voix d'une voix normal sans agressivité:

"Fait ce qui te chante, si tu veux pas jouer la nounoue. Je tiens juste à ma rendre à la confrérie, avant que...."

Makoto s'arreta il en avait trop dit, ou alors il n'aimait pas parler ça kl'avait épuisé. Qui sait au plus profond de lui Makoo sentait une fatigue grandissante, ça approchait....

[Makoto suit éva et sent avec frayeur que son pouvoir va faire interruption, il ne semble pas avoir été touché par son engueulade]

[ suit éva ]

Sag regarda les décombres, son bar... Un rugissement intérieur, l'était pas trop matériel, mais, y avait là en ruine, une bonne part de sa vie à Boston. Pour ça, Smorgia et sa clique morfleraient sévère. L'institut se trouvait une nouvelle fois sur le pied de guerre. Une bataille de perdue, dix à gagner selon l'adage du mamouth. La force des X-men s'était de toujours se relever quand on les croyait abattus, l'italien venu porter le feu au Saturday allait rapidement l'apprendre.

Le flic au faciès de maquereau avait calmé le jeu. O'Neil jeta un coup d'oeil rassurant à tous ceux qui descendaient par la sortie de secours du Saturday. Quand, il fut sur que personne ne manquait, il gronda d'une voix sourde.

" Ah un autre jour Stubbird ! On s'occupera de tes soi-disant protégés mieux qu'une mère poule. "

Il faudrait bien que Sagamore discute avec Malicia de la disparition de Marcus. Le magnétiseur avait disparu depuis l'affaire Grodon et les Sentinelles. Un sacré bout de temps. Ce qui signifiait que la confrérie tournait en roue libre. Sans aucunb véritable chef à sa tête, elle risquait de tourner vite façon commandos de la mort. Le télépathe russe, le flic et quels autres encores se rêvaient déjà calife à la place du calife ? L'équilibre était trop fragile sur Boston pour ne pas s'inquiéter. Il chassa ses sombres pensées rapidement. L'ennemi avait un autre visage pour le moment. Il avait rallié à sa cause une bonne partie des mutants de tout bord. Et comble d'ironie, Xmen et confréristes se rejoignaient sur l'envie d'en découdre avec Smorgia.

Sagamore descendit rapidement aux sous sols. Aucun regard pour les ruines de son bar. Il avait un atout à utiliser, la gamine, Nell, elle était assujeti au comte italien. Il fallait trouver le moyen de comprendre pourquoi et comment.

Il gagna le van à grandes enjambée. Elle dormit à même le sol., une môme. Keith o'mara tenait le volant. Yasha les avait rejoint. il ne jeta qu'un coup d'oeil circonspect au reste de la bande.

" On décolle."

(Hrp : Des pensées qui s'agitent, et décollage droit vers l'institut. Sag postera direct à l'infirmerie. Qui reste me suive...)

[ Hangar 0002 - Niveau -2]

[HRP - Après que les lieux aient été vidés par le ripoux : Alfonso - HRP]

Virage à gauche, rétrogradation en seconde ... Ah, non, mince, le grand enfant qu'était Miksa se croyait au volant de la dernière grosse cylindrée. Allons allons, soyons franc, le Prestidigitateur se laissait un peu trop souvent prendre à ses rêveries.

Donc, pour reprendre le fil de son histoire : En quittant le hangar 0002 - et accessoirement Cabalerro, et à pied - il se dirigea vers le Saturday Night, à la recherche de Stubbird Alfonso, un ripoux désagréable sentant aussi bon qu'un jardin d'enfant après l'ouverture de la fausse sceptique (je vous laisse imaginer, moi, j'ai du mal). Il était là pour quoi déjà ? Ah, oui, le liquider.

Il pénétra donc à l'intérieur et n'y aperçu aucun chat. Juste des débris, du verre brisé, des chaises défoncées, une scène explosée, des projecteurs éclatés.

On aura beau dire mais Carlo et sa fumée ont toujours été très efficaces. Il faudra juste pensé à lui dire que la nicotine, c'est moyen niveau odeur.

Fit-il remarqué à voix haute, laissant divaguer son esprit tandis que, du coin de l'œil, il apercevait une silhouette plutôt petite, un peu trapue : la cible. Il s'agissait bien du ripoux confrériste. Sans doute venait-il de passer ses 'fameux coups de fil' afin de pouvoir couvrir la fuite des quelques survivants accompagnés du loubard dont le nom avait échappé au magicien.

Miksa observa son 'adversaire'. Ainsi, il avait le don de bloquer les pouvoirs mutants ? Avait-il également la capacité de bloquer celui du Prestidigitateur ? Un sourire singulier s'afficha sur son visage.

*Nous allons bien nous amuser ce soir*

Bonsoir cher ami ! Je suis Miksa Neumann, enchanté de faire votre connaissance !

Dis donc, il y a un beau désordre ici, que s'est-il passé ?

T'es complètement timbré mon pauvre.

C'est, grosso modo, ce que pensait le ripoux. Ce type était pour lui un grand malade buveur de liqueur rouge. Il allait quand même pas lui faire croire qu'il venait de boire du sang ?

Ok ! Il était au courant que le gène X de Stubbird était potentiellement le plus efficace. Mais boire le sang d'un pyromane mort ... allons bon.

Mais ferme-la ouais ! C'est quoi qu'tu m'fais ? T'as perdu maman c'est ça ? Allez, accouche. J'ai pas le temps de jouer avec toi tu vois, mais j'te l'ai déjà dis non ?

Sois tu dégages, soit j'te descend, vu ?

Pas qu'il perdait patience le ripoux, oh que non. Mais un peu quand même. A dire vrai, déjà qu'il avait eu sur le dos deux pécores qu'il avait, in extremis refilé à Eva - la d'moiselle météo du moment de la confrérie -, il s'est littéralement emmerdé à ne pas rameuter ce qu'il restait de la police de Boston qui d'ailleurs, avait déjà fort à faire avec le casse de la banque et le bordel monstre que le commando de confrères avait foutu.

[HRP - Un peu court mais pas trop d'inspi .. some sorry. - HRP]