Petite arrivé pour quelqu'un de petit

Stéphane se releva et il se remit sur ces jambes il avait de plus en plus faim il n’entendait plus rien ni personnes. Il regardait autour de lui il y avait beaucoup de monde. Sa lui faisait peur, très peur, puis il entendit une chose une seule chose "par ici c’est la cuisine", il se releva et couru après le dit Sébastien en se dirigeant vers le cuisine.

_Attendez monsieur, attendez moi. Je viens avec vous, attendez moi

Il couru en se dirigeant vers la cuisine il avait vraiment trop faim, mais il réussi quant même a courir du plus vite qu'il le put u haut de ces petite jambes il courrait quant même assez vite.

[ cuisine ]

(Hrp : Je postes ici vu qu'il n'y aura que un ou deux posts, alors je vais pas créer un sujet. )

Joshua arriva à petite foulée, car il avait déjà cinq minutes de retard sur l'heure prévue de rendez-vous. Assez rapidement, il était monté dans sa chambre dans le quartier des adultes, afin de se vêtir et se préparer convenablement pour une virée en ville.

C'est donc en stan smith et 501 serré que l'ex-taulard arriva en bas des marches. Il avait ajouter à ça un pull col roulé noir, sa veste en cuir fourrée et son bonnet noir. Dans sa poche intérieure il avait glisser quelques billets verts pour éventuellement payer un verre à Samarah ou autre chose si l'occasion se présentait et avait bien sûr prit soin de ne pas oublier sa montre-communicateur, au cas ou, s'était t-il dit. Avait-il oublié quelque chose... Oui! Ses cigarettes! One remonta quatre à quatre les larges marches et les redescendit quelques minutes plus tard, ses clopes maintenant en poche.

A son retour, le hall était apparemment vide, quelques bruits venants des pièces voisines résonnaient dans l'entrée, mais toujours pas de Samarah à l'horizon.

*Bien... Dans ce cas...*

Joshua entrouvrit la large porte d'entrée et se mit à l'extérieur le froid mordant l'attaquant directement, puis s'alluma une clope d'un revers de zippo avant de se caler contre le mur de façon à avoir une vue sur l'intérieur de la bâtisse.

Samarah en avait aussi profité pour repasser par sa chambre. Celle-ci était aujourd'hui beaucoup moins impersonnel qu'à son arrivée. La jeune mutante en avait fait ses quartiers, en commençant par changer tous ses meubles de place. Pour réarranger l'espace à sa manière. Côté déco, il n'y avait pas encore énormément sur ses murs, vu qu'elle avait évité au possible toute sortie en dehors des murs de l'Institut. Le seul poster qu'elle avait accroché était un immense trigre blanc couché et qui vous regardait fièrement. C'était l'unique image qui avait orné les murs sordides de sa chambre à l'orphelinat et elle l'avait emportée avec elle. Une fille de l'orphelinat lui avait offert. Une des rares personnes avec qui elle s'était plus ou moins entendue, mais June - c'était son nom- n'était pas restée très longtemps à l'orphelinat. Elle avait été rapidement adoptée et Samarah n'avait plus jamais eu de nouvelles. Aujourd'hui, c'était à peine si elle se souvenait d'elle...

La jeune mutante garda son jeans moulant patte d'eph et le débardeur noir qu'elle gardait depuis ce matin. Mais elle rajouta une blouse à courte manche, noire aussi et le sweat bordeaux qu'elle avait accidentellement volé au centre commercial lors de l'attaque de celui-ci, par dessus. C'était tout ce qu'elle avait de plus chaud mais elle ne craignait pas trop le froid. En plus, elle enfila une grosse écharpe blanche pour lui tenir chaud.

Elle sentit la paire de lunettes, elle aussi dérobée involontairement dans la poche ventrale de son sweat et décida de les garder. Ca pouvait toujours servir... Oui, oui, même avec un mètre de neige dehors!

Une fois prête, elle resortit et se dirigea vers le hall, à son aise. Sans oublier sa montre com' (engin qu'elle maudissait au plus au point, chaque fois qu'elle bipait, c'était un signe de grand malheur! ).

Elle ne devait pas être très à l'heure, mais l'adolescente n'avait jamais été très ponctuelle! Alors, ce serait pas aujourd'hui que ça allait changer...
Arrivée en bas des escaliers, elle jeta un coup d'oeil à gauche et à droite mais ne vit pas Joshua. Elle eut juste le temps de s'imaginer que le jeune homme ne devait pas être très ponctuel non plus lorsqu'elle l'aperçut sur le perron. Lui aussi s'était muni contre le froid. En l'attendant, il fumait une cigarette. La fumée que dégageait le mégot s'échappait dans l'air froid à chacune de ses expirations.

Samarah lui jeta un coup d'oeil, hésita un instant et puis s'approcha de lui.
Quand elle ne fut plus qu'à quelques centimètres derrière lui. Joshua sentit que son mégot devait lui échapper du bout des lèvres et s'élever dans les airs. Samarah le récupéra au passage et dit simplement au mutant, peut-être légèrement surpris :

"Tu vas ruiner ta santé avec ces trucs-là..."

Et elle écrasa la cigarette avec son pieds. On aurait pu croire qu'elle pensait sincèrement ce qu'elle disait. Bon, oui, peut-être un peu, même si cela lui était égal que Joshua s'encrasse les poumons de goudron. Mais il y avait aussi le fait qu'elle ne supportait pas la fumée de cigarette. Elle lui faisait déjà une faveur, ce qui était plutôt rare de sa part, en allant avec lui en ville. Alors, il ne fallait pas en demander trop non plus!

Maintenant, il ne restait plus qu'à voir s'il avait compris ou non le message...

( les rues de Boston, topic : ballade de Josh et Sam)

Grace daigna enfin relever la tête de la carte qu'on lui avait mise entre les mains. Elle ferma les yeux, secoua la tête pour effacer tous ses couloirs qu'elle voyait encore dans sa tête. Un vrai labyrinthe cet institut. Mais son choix était fait. N'ayant jamais aimé le chahut, la proximité d'autrui, elle décida qu'elle emménagerait dans une chambre du quartier des adultes.

Ceux qu'elle avait croisés, commençaient à partir un par un dans diverses directions, d'autres arrivaient. Tout avait l'air si calme à son arrivée et maintenant il y avait un tourbillon d'allées et venues incessantes. Mais qu'est-ce que se serait quand les cours débuteraient, que tous les élèves seraient là ? Elle ne voulait pas l'imaginer, de peur de rebrousser chemin, de courir dans le giron de ses parents et de les implorer une indulgence, un pardon qu'elle ne méritait pas. Son pardon, avec l'aide du Très Haut, elle l'acquérirait par l'apprentissage.

Discrètement, Grace fit demi tour vers l'entrée au moment ou Monsieur Edouard, ouvrait la porte pour accueillir un nouvel arrivant à l'air hyperactif, gesticulant et braillant dans tous les sens. Lorsque celui-ci entra dans le hall en courant, Grace eut juste le temps de se reculer afin de ne pas être percutée par ce drôle d'individu à la mise étrange.

Sans était trop pour elle d'un coup. Elle n'aspira plus qu'à une chose. Se recueillir et priser le seigneur. En trois aller retour, ses bagages furent sur le perron du manoir. Edouard referma la porte derrière elle avec un sourire poli. Sourire qu'elle lui rendit timidement. Les dépendances pour adultes n'étaient pas loin. Mais rien que l'idée de devoir faire trois allée retours, dans cette neige et ce froid, la démotivèrent. Soupirs. Plus vite ce sera fait, mieux ça sera !

[Direction : quartier des adultes]