Suite au message sur le portable ...

Il pleuvait toujours autant dehors et elle se maudit d'avoir oublié son parapluie. Il faut dire qu'elle était partie assez vite, car sinon elle serait restée bien au chaud auprés de Vincent. Il ne s'était d'ailleurs pas posé de question sur l'heure très tôt où elle était partie au travail. Bon de toute façon elle aurait eu une bonne excuse, photographe, c'était tout heure. mais tout de même elle n'aimait pas trop lui mentir ou du moins lui dire des moitié de vérité. Mais elle ne voulait pas lui parler de la confrérie sans qu'elle sache elle même où elle mettait les pieds.

Elle avait une dette, une dette très forte vu qu'il s'agissait de sa propre vie. Grâce à son contact elle avait pu recouvrer la liberté, que les tortures et les epérimentations cessent sur elle. Elle ne savait toujours pas comme ces scientifiques avaient réussis à camoufler toutes les horreurs qu'ils avaient fait subir à son coprs. Leur matériel devait être du nec plus ultra. Elle frissona, non pas à cause du froid ou de la pluis qui lui tombait sur les cheveux mais à cause de ces souvenirs. Voilà pourquoi elle n'avait pas réussit à passer cette porte depuis le temps. Car elle savait que cela lui rendrait la mémoire sur ce qu'elle voulait oublié le plus au monde.

Elle arriva devant le lieu dit, une lourde porte et une sonette. Elle sonna donc trois fois et elle attendit sur le perron en gigotant. Au bout d'une minute, il n'y avait toujours personne alors réitéra l'opération 3 sonneries. Toujours rien. Elle pesta et clancha la porte. Elle l'ouvrit lentement, passa la tête puis ne voyant personne, elle entra en refermant la lourde porte. Etonnant qu'il y ait si peu de surveillance. peut être n'y avait il rien à cacher finalement. Elle enleva ses lunettes pour les essuyer et elle se secoua les cheveux pour enlever un peu d'eau. Elle remit ensuite ses lunettes et elle attendit.

"Il y a quelqu'un ?"

Bizarrement dire cela ne la rassura pas. C'était généralement dans ces moments là, que pendant un film d'horreur, le monstre surgissait de nulle part pour tomber sur la pauvre blonde du film ! Elle déglutit et elle avança.

Le pas alerte, Nelson quittait sa chambre pour regagner le troisième niveau des sous-sols de la confrérie. Le déclenchement de l'alarme ne pouvait signifier qu'une chose : Ils avaient réussi et Marcus était de retour !

Le majordomme dévalla donc les escalier dans son impeccable smoking et arriva dans le hall. Il dévisagea brièvement la nouvelle venue qu'il aurait attendu plus tôt ! Selon les dires de Marcus, elle devait rejoindre la Confrérie un jour ou l'autre.

" Mademoiselle Savanna, bienvenue à la Confrérie des mutants. Je suis Nelson le majordomme, désolé de ne pas avoir beaucoup de temps à vous consacrer mais M. Lensher vient de s'échapper de prison et il vient apapremment de reprendre la direction du bâtiment."

Nelson s'arrêta quelques instants et désigna les lumières rouges qui clignotaient dans chaque couloir. Il reprit d'une voix assurée :
" Vous devriez me suivre, chaque mutant est attendu dans le centre de commandement... "

Sur ce, toujours aussi pressé, Nelson fit signe à Maellis de le suivre et le majordomme s'engouffra dans l'escalier pour rejoindre les sous-sols...

[Centre de contrôle]

-> Centre de contrôle.


Elle était revenue à son point de départ. Elle avait retenu le chemin et elle ne s'était donc pas perdue. Elle allait ouvrir la porte d'entrée pour repartir. Elle voulait retrouvr Vincent. mais peut être qu'il était sortit ? Il voulait trouver du boulot, c'était certainement le bon moment. De plus il faisait partie de l'institut et elle ne voulait pas le revoir, tant qu'elle ne connaitrait pas les tenants et les aboutissants entre l'institut et la confrérie.

Elle lacha donc la porte pour revenir en plein milieu du hall. Elle se sentirait moins épié comme cela. Au moins on ne la suvreillerait pas pour voir qui elle était vraiment. Elle regarda les différentes possibilités qui s'offraient à elle pour découvrir ce lieu. Elel n'avait aucune envie de revoir le mec avec son esclave, car si c'était le cas elle lui dirait sa manière de pensée !

Elle soupira. Pourquoi son contact faisait partie de cette confrérie ? Elle se demandait vraiment si ce lieu était faite pour elel. Le discours de Marcus lui faisait dire oui, mais les membres bien trop jeune et immature lui faisait dire non .... Elle hésita donc entre gauche, droite ou tout droit.