Tout est question de flair...

[=>Chambre d'Osaso et de Ludwig Van Houten]

Osaso sortit de sa chambre et arriva dans le couloir, ne voyant personne et étant perdu, il décida d'utiliser son flair pour trouver la cuisine. Lorsqu'il capta la bonne odeur, il se demanda s'il ne devait pas d'abord se rendre à la ville la plus proche afin de garnir son armoire. Finallement il pris la dirction de l'odeur, marchant rapidement afin d'arriver le plus vite possible.

GRROOOH...

Son ventre poussa un espèce de grognement de mauvaise augure obligeant Osaso à accélérer le rythme, se mettant presque à courir.

*Merde...C'est pas bon sa...pas bon du tout !!!*

Partant a fond de train, il prie un virage serré, l'obligeant à courir un bref instantsur le mur.

*Vite ! VITE !*

Accelérant encore Osaso sentait sa partie animal se manifester...

Si on ne nourit pas la bête elle enrage

Cette phrase d'un des savant lui revint en mémoire, lorsque les expériences n'étaient pas nourries à temps elle devenait enrager, n'hésitant pas à tout détruire, voir même à s'attaquer entre elle.
Déjà ses yeux se rétrécissaient, s'allongeaint.
Dans une ultime ligne droite, il parvint à la cuisine.

[ La cuisine]

Le majordome marchait devant, toujours aussi intrigué par le comportement de Yoss. Décidément, depuis le massacre du Boston Palace, les évenements s'accéléraient beaucoup. Marcus avait été enlevé, et l'instiutut dans une seule journée avait accueilli au moins six personnes. Comme si le fait que les anti-mutants fourbissaient leurs armes faisait venir les jeunes démunis. Absorbé par ses pensées, le majordome n'avait pas ouvert la bouche.

Derrière lui, les deux nouveaux suivaient. Ils devaient se demander ce qui leur arrivait, tant Edouard, pour éviter à malicia d'être empetrer par eux, s'était dépecher de les entrainer à travers les couloirs de l'Institut.

La jeune malisse en retrait, avait parlé à voix basse à son jeune compagnon. Hélas, peine perdue, car derrière le duo surgissait un autre Majordome, un Edouard en tout point semblable à celui qui marchait devant eux. Celui là entrainait avec lui un autre jeune mutant, et il venait d'entendre ce que la petite Phénix venait de dire. Les deux doubles se rencontrèrent au milieu du couloir. Edouard, ironique, lança à la jeune fille.

" Malisse, vous me semblez bien jeune pour juger de si il y a le feu ou pas à l'Institut. Quand à savoir qui je suis, il suffirait d'écouter ! Vous êtes à l'école Xaviers pour jeunes surdoués. J'en suis l'intendant, c'est moi qui m'occupe des régles et de la vie de cet Institut. Nous accueillons ici les jeunes mutants afin de leur apprendre à contrôler leur pouvoir et s'inserrer dans la société. Et vous feriez bien de cesser votre ironie inutile. il y a eut de nombreux problèmes aujourd'hui dans Boston ! Qui tous visent à mettre les mutants dans une mauvaise position. "

Le majordome avait un visage fermé et sévère, la scène commençait à le fatiguer. il rajouta :

" Voici un autre nouveau, Usuguraï... il va venir avec nous. L'un d'entre-vous aurait-il des questions avant que je vous montre vos chambres ? "

Usuguraï qui suivait le majordome depuis le hall sans avoir prononcer un seul mot se demanda se qu'on avait pu mettre dans sa boisson lorsque il vit les deux majordome, tous deux parfaitement identique.

" Voici un autre nouveau, Usuguraï... il va venir avec nous. L'un d'entre-vous aurait-il des questions avant que je vous montre vos chambres ? "

Le jeune homme salua d'un léger signe de tête les deux autres nouveaux et se tourna vers l'intendant.

"J'ai une question. Comment voulez-vous m'intégrer dans la société, voyez-vous... mon physique... enfin..."

Surpris de la remarque de la dénomée Malisse sur la température ambiente, qui semblait froide pour celle-ci tandis que lui la trouvais parfaite à son gout, ce dernier tourna son regard vers elle et la regarda avec attention et dit plus fort qu'il ne le voulait. Il n'avait remarqué qu'elle évitait de le regarder.

"Et bien, depuis que je suis ici je ne vois que des jolies chose."

Remarquant très vite l'indiscretion à l'aquelle il c'était livré, celui-ci fût apparaître devant son visage un disque d'ombre.

*Connerie, quand tu nous tiens.*

Pour faire sortir Edouard de ses gonds, il aurait fallut autrement plus qu'une jeune mutante un peu idiote, tout juste capable de comprendre ou elle se trouvait et à qui elle parlait. Bon c'était le neuvième nouveau de la journée, et Edouard commençait à être un peu fatigué de rabacher son couplet. Mais quand, elle parla avec son accent à moitié incompréhensible et sa voix de crécelle détestable, Edouard décida de couper court à cette discussion. Il fit semblant de l'écouter religieusement.

'' oui moi aussi j'aurait deux ou trois question... comment s'avez vous mon nom hein? et si je n'obeĩs pas qu'est-ce que sa va foutre hein?''

Avant de répondre grinçant.

" Mademoiselle, je sais vous votre nom parce que vous l'avez claironner un peu partout. Et, secondement, nous sommes d'une part assez occupés en ce moment et vous pouvez toujours prendre la porte si quelque chose ne vous plait pas. Vous êtes amusante... vous venez chez nous donc, vous acceptez nos règles. L'institut Xaviers est un havre d'accueil pour les mutants qui se sentent perdus, et particulièrement pour les jeunes mutants. Si ce n'est pas votre cas, alors vous devez vivre dans un autre monde que le notre. . Dites vous justes que vos remarques me semblent un peu fatigantes, j'accueille des jeunes gens depuis 20 ans ici. Et des plus fortes têtes, alors...Voici le passe magnétique qui ouvre votre chambre. nous reprendrons cette discussion plus tard ou vous verrez avec notre directrice, vous trouverez votre chambre tout droit au bout de ce couloir. "

A cet instant, Edouard recut dans son oreillette un bip signifiant que l'on avait besoin de lui à la cuisine et en même temps dans le hall. Il hocha la tête et se scinda en deux sous les yeux des jeunes gens. Le premier clone disparut droit vers la cuisine tandis que l'autre s'arrêtait vers Usuguraï.

"Excusez moi jeune homme voici votre passe magnétique, même direction, prenez l'escalier au bout du couloir, votre nom est écrit sur la porte. ne vous inquietez pas pour votre intégration, nous saurons nous en occuper, c'est notre travail. Bonne installation à vous deux."

Puis le majordome disparut par la où il était venu.

Usuguraï éffaça l'ombre devant son visage lorsque le majordome lui parla.

"Excusez moi jeune homme voici votre passe magnétique, même direction, prenez l'escalier au bout du couloir, votre nom est écrit sur la porte. ne vous inquietez pas pour votre intégration, nous saurons nous en occuper, c'est notre travail. Bonne installation à vous deux."

*Ouf, sauvé par le majordome, enfin... pas pour longtemps.*

Il prit le passe et le rangea dans la poche de son manteau en regardant Malisse en souriant.

"Excuse-moi si je t'ai parut incongru mais je n'ai que l'habitude de voir des attrocités."

Remarquant enfin que la fille évitait de le ragarder celui-ci lui fit remarquer.

"N'ai pas peur de me regarder, je ne vais pas te manger tu sais."

Usuguraï eu un léger sourire à la réflexion sur les jolies choses, se sourir s'effaça vite.

'' c'est mes yeux qui font défauts ou tu à la peau grise? ''

Il fût surpris de le question, quoiqu'elle lui a été plus que souvent posée, c'était surtout la façon dont Malisse lui posa la question, il répondit d'un ton las.

"Effectivement, j'ai la peau grise. On me le demande souvent mais d'habitude les gens n'ont pas braiment envie de savoir, ils le demande surtout sur d'un air dédaigneux et ils me repoussent, la pluspart du temps. Toi tu me pose la question sans passé par quatre chemin, tu n'as pas l'air d'être du genre à te laissé faire, on voit ça avec le majordome."

Usuguraï sourit de nouveau.

"Et la jolie chose que j'ai vu, et bien c'était... toi... tout simplement. tu croyais quand même pas que je parlais du majordome? Et encore il se porte pas mal pour son âge."

'' comment t'as eu la peau grise? sa fait longtemp?''

Usuguraï eu de nouveau un sourire.

"On peu dire que sa fait longtemps oui, je suis nés comme ça"

Il remarqua alors qu'elle était en sueur, comment avait-il fait pour ne pas le voir avant, peu être un peu trops occupé à regarder le sol depuis un certain temps.

"Excuse moi si je me trompe, mais je croyais que tu avais froid."

*Vraiment étrange cet endroit, pour la première fois personne ne m'insulte et les filles qui ont froid sont en sueur, c'est à croire que je suis dans un autre monde, si tu étais la pour le voir.*

A cette dernière phrase ses yeux commencèrent a à briller.

Usuguraï ne répondit pas mais recula soudainement et se frappa au mur, le choc le fit tomber en avant et dans sa chute il fixa Malisse Droit dans les yeux, une larme glissait sur sa joue. Juste avant de toucher le sol le couloir s'assombrit et une masse d'ombre opaque rempli le couloir autour de lui sur près de deux mètres de large.

"NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!"

Usuguraï retombait dans une de ses crises de folie mais d'habitude il ne créait pas d'ombre, il ne faisait que crier de rage ou de desespoir. Aujourd'hui ce fût différent. Il était si heureux au fond de lui d'entrer dans cet institut même s'il ne le faisait pas voir, il n'aimait pas vraiment dire se qu'il ressentait. Peu être car il avait perdu tout ce qu'il avait aimé, peu être à cause des autres, il ne savait pas pourquoi mais c'était ainsi. Plus il était heureux plus sa crise était violente et longue.

"NON! Pas elle! Par pitié!"

Lors d'une crise tout ses mauvais souvenir lui revenait à l'esprit le rendant plus fou à chaque fois. Il lui semblait déjà s'être écoulé plusieurs heures mais en réalité seul quelques secondes étaient passées. Toujours au sol il attrapa son couteau et commença à se couper sur son avant bras, une tache de sang se forma alors sous lui puis il s'évanoui en poussant un râle de douleur. L'ombre ne se dissipa pas pour autant.

infirmerie

Recyclage

Finalement, Edouard, enfin un des Edouard, avait décidé de guider les deux néophytes de la course d'orientation le long des couloirs de l'Institut. Le majordome s'était vigoureusement saisit de leurs bagages et marchait d'un air digne dans les couloirs.

Son pas assuré les conduisit sans faillir dans des escaliers, à travers des portes. Cyprien se demandait, durant tout le trajet, combien d'Edouard se promenaient dans tout le bâtiment. Il y en avait une vingtaine dans le hall, un ici et probablement d'autres ailleurs.

Toujours était-il que cette multiplicité ne semblait nullement dérangé l'aimable domestique qui conservait l'atavique flegme britannique. La voix légèrement rauque d'âge, mais toujours assurée de l'homme le tira de ses pensements :

« Nous irons dans la chambre de Mademoiselle, naturellement, en premier.
- La galanterie, c'est ça ?
- Exact, Monsieur. »

Cyprien laissa un sourire amusé s'installer sur son visage. Nul doute : Edouard était vraiment quelqu'un de sympathique.

[Une pause, pour que Clara puisse poster]

(Diantre qu'il s'en est passé des choses en si peu de temp T_T )

Donc, Clara ne disait toujours rien, elle regardait le majordome se saisir de sa valise et de celle de Cyprien, puis s'avancer vers les couloirs.
A la réponse du jeune homme "On y va?", Clara avait simplement répondu par un hochement de tête.
Arrivés dans ls couloirs, elle remarqua une tache de sang sur le sol, et dit d'un air anodin :

"C'est courant les baguarres ici?"

En disant cela, elle continuait d'avancer avec les autres, comme si de rien n'était, en se massant le bras droit.

Ils continuaient à marcher, mais la fin était proche. La mort, pas pour tout de suite, la chambre elle, si. Celle de Clara, pour être précis. Il restait cependant encore quelques couloirs à parcourir.

Cyprien promenait sur les murs un regard plus distrait que curieux, visiblement absorbé par ses pensées. Edouard maintenant un pas cadencé, avec son immuable détermination pondérée qui lui allait si bien. Il pouvait se vanter de connaître chaque recoin du bâtiment. Mais il ne se vantait pas, ça n'allait pas avec son caractère.

Clara, elle, devait regarder par terre car elle fit une observation étrange, probablement vis à vis d'un détail qui avait échappé à l'attention volatile du jeune homme.

« C'est courant les bagarres, ici ?
- Non, Mademoiselle, répondit Edouard. Nous sommes un établissement paisible, les affrontements sont strictement limités au cadre des entraînements. Néanmoins, il arrive que certains élèves aient le sang un peu trop chaud. »

Le majordome réprima un sourire d'indulgence qui ne pouvait pas seoir à son austérité professionnelle. On sentait néanmoins dans son ton une certaine tendresse à l'égard de cette jeunesse un peu trop impulsive.

Mais voilà que la petite troupe arrivait devant la chambre de Clara. Edouard déposa la valise de la jeune par terre. Cyprien lui adressa un sourire ravi et lui dit d'un ton joyeux :

« Merci, Monsieur, vous fûtes très aimable. Je crois que j'arriverai à trouver ma chambre. Je ne voudrais pas vous retenir plus longtemps.
- Si Monsieur n'a plus besoin de moi. Monsieur, Mademoiselle. »

Il les salua d'un signe de tête, réajusta un peu sa veste aux coudes et disparu brusquement. Cyprien ne put réprimer un petit rire clair avant de se retourner vers Clara.

« Tu veux peut-être que je te laisse seule, maintenant. Enfin, je veux dire, je ne dirais pas non à un peu de compagnie pour découvrir le reste du bâtiment mais si tu veux te reposer ... ou rester seule. »

Il fit machinalement sauter le paquet de cartes sur la paume de sa main, en attendant la réponse.

[Si elle ne l'envoie pas se faire voir, je te laisse créer le sujet sur la chambre de Clara dans la section appropriée.]

(hrp : Naaan t'inquiète pas elle va pas l'envoyer se faire voir c'est pas son genre. )

Un petit sourire orna les lèvres de Clara.

"Non, je ne vais pas rester dans ma chambre à me tourner les pouces. Je vais juste aller déposer mon sac, et puis on ira voir la tienne."

Elle s'approcha de la porte, glissa la carte magnétique dans la fente appropriée et l'obstacle s'ouvrit. Clara ramassa son sac, et déposa la lanière sur son épaule, avant d'entrer dans la chambre.

( Les chambres xl )

Peu après, la porte se referma, laissant Clara dehors.

"Alors, on y va?", fit-elle avec un clin d'oeil.

Cyprien la regarda en faire oisivement en tentant de se souvenir du plan. Si il ne se trompait pas, il devait après prendre à gauche puis à droite, monter un escalier et cela devait le mener à sa chambre.

Il rangea son paquet de cartes et sortit sa carte magnétique. Lorsque Clara eût fini, il lui adressa un sourire joyeux puis l'invita sans un mot à se remettre en route au travers des couloirs.

Ils marchèrent pendant un moment avant d'arriver aux chambres. Une rangée de portes identiques décoraient le couloir. Sur chacune d'elle, un nom était inscrit et une serrure magnétique scellait l'entrée. Ils n'eurent pas de mal à trouver celle de Cyprien.

Le jeune homme désigna le Cyprien de Cocyte inscrit d'un mouvement de tête.

« J'en ai pour une minute. »

Il rentra.

[Dans la Chambre]

Il ressortit bien vite de la chambre. Il avait troqué son chapeau de paille contre une espèce de haut de forme un peu étrange, d'une couleur qui oscillait entre le bleu vif et le vert sombre.

Il glissa la carte magnétique dans le lecteur pour fermer la porte, la rangea dans sa poche et ressortit une bille qu'il faisait rouler sur sa paume.

« Où va-t-on, maintenant ? »

[Bon. Je veux bien attendre un peu, mais là, voilà. Je continue donc seul, si Clara revient un jour, elle pourra toujours rejoindre.]

Cyprien laissa Clara à sa stupeur. Probablement la jeune fille avait-elle soudain fait vœux de silence, soumise à un irrépressible besoin de spiritualité dans un monde où les voitures prêchent aussi bien la religion que ne le font les prêtres.

Il commença à errer au petit bonheur la chance, ce qui était à peu près la raison d'être de sa vie, dans les couloirs de l'Institut, à la recherche d'un compagnon de jeu. Un si grand édifice, et personne à croiser, voilà qui était démoralisant.

Il se mit à faire pensivement jouer un dé entre ses doigts. Il espérait ne pas avoir à trop s'ennuyer. L'ennui, c'est ce qu'il craignait le plus : ce vide indicible, cette vacance de l'âme. Il fallait trouver une occupation, vite.

Considérant le Soleil dont les rayons s'aventuraient audacieusement sur l'herbe fraîche, il se décida à aller errer un peu plus loin, à savoir dans le Parc, où il pourrait s'ennuyer au Soleil.

Là où la misère était moins dure. Parait-il.

[-> Parc]