Arrive enfin (libre)

HJ - Fait attention à ce que tu écris ... Il est difficile de te relire ! Je suis pas modo mais ... Fait attention ! C'est pénible :s - HJ

Le Félin, en bon samaritain, était resté à l'institut malgré l'absence de presque tout le monde. Il n'avait pas osé laissé le pauvre Edouard tout seul dans l'immense établissement. Et oui, Le Félin n'aimait plus trop la solitude de toute manière, et l'institut était comme un point d'attache particulier pour lui.
Néanmoins, alors qu'il gambadait dans les couloirs, il atteignit le hall et aperçut un nouveau qui venait d'entrer à ce moment. Il s'approcha donc de celui ci, les moustaches frétillantes.

Bienvenue à l'institut !

Lança-t-il sur un air franc et joyeux, visiblement heureux d'avoir trouver de la compagnie.

Je suis Le Félin, le recruteur de l'institut, et toi, tu es qui mon gars ?

Gabriel leva la tête pour regarder son interlocuteur. Un recruteur ? Mais pas que, cet homme était apparement mis homme mi chat, un peu comme lui qui était mi loup mi humain.
Gaby souria, quelqu'un lui proposait de l'aide enfin, il se sentait en sécurité ici et il en était heureux. Il se leva et regarda l'homme dans les yeux. Une chose encore à préciser, il a perdu ces lentilles dans la forêt, alors ces yeux on reprit leurs couleurs normals (c'est a dire jaune et ressemblant a ceux d'un loup).

Je m'appelle Gabriel Kingster. J'ai besoin d'aide. Je voudrait devenir éleve ici pour controller mon pouvoir.

Il continua de regarder l'homme devant lui, il avait l'air sympathique mais il ne fallait pas se fier au apparence. Il lui tendit quant même la main en un signe amical, il voulait se montrer le plus courtois possible.
Il donna un petit coup d'oeil aux alentour, il n'y avait pas l'air d'avoir grand monde. Cela rassura Gaby qui se dit que si jamais sont pouvoir revenait il ne ferait pas de mal a grand monde.

(Hrp : désoler pour mon premier post, j'éspère que celui la est mieux.)

Wolf ? D'accord, ça marche !

Lança Le Félin avec un demi-sourire et des yeux pétillants. L'oreille du matou frétilla alors qu'il entendait quelqu'un approcher. Et en effet, se fut le cas car le majordome vint les rejoindre.
Décidément, le costume qu'il portait en permanence ne finissait pas d'étonner l'homme-chat. Comment faisait-il pour le garder toujours aussi nickel ? Le matou ne manquera pas de lui demander plus tard, car il avait un mal de chien (sans jeu de mots ) à garder ses affaires comme le faisait Edouard.

Salut Edouard, tu as fini par te libérer ? C'est parfait, je n'avais pas de carte magnétique sur moi, tu vas pouvoir en donner une à Gab... Euh, Wolf je veux dire. Il vient tout juste d'arriver et je n'en ai plus sur moi.

Comment ça, il n'y avait plus de lait à la cuisine ?! Attendez, comment Le Félin pourrait vivre sans son verre quotidien ? Pire ! Ses papilles frétillaient déjà de tristesse à l'idée qu'il ne pourra pas en boire comme il le voulait jusqu'à ce qu'Edouard aille en acheter.

M... Mais, Edouard, tu es bien certain qu'il n'en reste déjà plus ?!

Visiblement, ce problème d'ordre technique embarrassait réellement notre homme-chat.

La question habituelle asaillit l'esprit de Kafei.
*Est'c'que...faut que je frappe?*

Il était enfin là, devant les immenses portes exterieures de ce manoir, cet endroit dont on lui avait parlé. Enfin, on l'avait plus mentionné qu'autre chose, en fait. On ne lui avait jamais vraiment dit ou il etait ni comment il était. Et par conséquence il avait eu quelques difficultés a trouver: Il n'est pas facile de se pointer devant quelqu'un pour lui demander ou se trouvait l'instutut pour mutants -car au départ, il ne savait meme pas le nom de l'institut- sans s'exposer au risque de se créer des problèmes.

Et Kafei n'etait pas pour les problèmes. Car il savait que certains problèmes menaient a une résolution peu sympathique qui s'apelle la mort. Ce n'etait pas que le jeune homme eut peur de la mort mais... il était contre... La mort était éprouvante pour la santé, il le savait, et il aurait bien aimé pouvoir avoir un mot du medecin... enfin...

Bref, revenons au sujet. Il était la, devant les enormes portes, a se demander betement si il fallait frapper ou pas. L'aspect de l'endroit ne le rassurait pas non-plus: il n'avait jamais eu le privilège de pouvoir rentrer dans ce genre de propriété... qui de toute facon ne lui plaisait pas de par son aspect hautement ostentatoire. Meme si il fallait reconnaitre que ca avait l'air sympathique. Mais beaucoup trop j'me la pète. Mais sympa.

Au bout d'une longue lutte avec lui meme, et surtout lorsqu'il réalisa qu'il faisait froid et qu'il était déja tard, il ramassa sa petite valise de la main gauche et mit son gros sac de voyage sur son épaule avant de finalement poser la main sur la poignée avec l'espoir d'etre bien acceuilli, pour une fois. La porte s'ouvrit lentement -elle était lourde- et laissa passer un jeune homme qui jeta un regard circulaire sur l'endroit.
Comme il l'avait présagé, l'exterieur n'avait rien a envier a l'interieur... Du marbre! Ils avaient meme un sol en marbre! Cette simple pensée glaca le sang du pauvre vagabond qu'etait Kafei.

Une deuxième question vint frapper de plein fouet l'esprit de Kafei, encore choqué par la présence de MARBRE en grande quantité dans l'endroit. Il rabattit quelques mèches d'un souffle, signe de pexplexité.

*Euh... Et maintenant je fais QUOI?*

Le jeune homme remarqua alors que trois personnes étaient présentement en train de discuter a quelques mètres de lui. Poussé par l'envie de ne pas rester seul et... et misérable au millieu de cette salle avec du marbre, il s'avanca timidement.

"Euh... s'cusez mais euh... est-ce que je suis bien a l'institut Xavier ou alors est-c'que je suis en train d'avoir l'air completement ridicule a vous le demander alors que non, c'est pas l'institut?"

Il semblait bien au cerveau de Kafei que quelque chose n'allait pas droit dans tout ca. Non, définitivement, quelque chose n'etait franchement pas très catholique... ni très orthodoxe non plus.
N'importe quel humain normalement constitué se serait tout simplement dit que c'etait le type avec une tete de chat qui paraissait bizarre, mais le jeune Kafei possédait bien plus d'ouverture d'esprit que ca. Bien que ce la le fit sourire, il passa se détail bien vite en se disant qu'au final, ils étaient un peu pareil. Bon, sauf qu'il n'etait pas vraiment addict au lait et qu'il ne risquait pas de mettre des poils partout, lui.

Enfin bref, il comprit bien vite que ce qui n'allait pas, c'etait son entrée en scène. Il en avait oublié de se présenter et il se sentit gené de ne pas s'etre conduit plus ploiement. Après tout, dans un Manoi ou il y a du Marbre et un Majordome, on est Poli. Avec un grand P comme dans caPhetière.

Il prit donc la situation et sa valise en main (mais quel beau zogma!) et recommenca:

"Euh, mais je manque a tous mes devoirs. Je m'apelle Kafei. euh, Moons. Et fin... les amis m'apellent... Flow et je suis un..."

Kafei n'aimait pas ce mot. Il le haissait comme on hait une epée qui vous pointe. Le mot meme mutant était un signe évident de l'egocentrisme de toute la race humaine qui se considérait, elle, comme l'unique référence a toute chose, comme la race parfaite et... "Normale". Car si il existe des hommes qui ne partagent pas cette opinion, ils font partie d'une masse que l'on apelle humanité. Et une foule, plus c'est grand plus c'est con. D'ailleurs, pour calculer le QI moyen d'une foule, il suffit de diviser le QI du membre le plus crétin par le nombre de personnes composant la foule. Quand était mutant sans s'en cacher, on réalisait alors toute l'horreur du monde.

"Un mutant. Ouais, un mutant, en kek' sorte."

[Gabriel a l'air absent, on va faire sans lui :/]

Le Félin, toujours aussi bavard, s'inquiétait presque pour la quantité de travail d'Edouard. Sans doute, fainéant qu'il était, il n'avait pas l'habitude de voir des gens travailler. Mauvaise langue, le Edouard (XD).

Tout à fait, j'avais la tête ailleurs et n'ai pas pu m'envoyer ici avant de remarquer que quelqu'un était dans le hall. Vous connaissez ça, monsieur Le Félin.

Edouard faisait en fait allusion à sa capacité d'ubiquité. Bien connue de notre matou préféré qui d'ailleurs, s'inquiétait également pour les réserves de lait.

En effet, et vous n'êtes pas sans savoir qu'à cette heure, nous ne pourrons pas nous en procurer.

Toutefois, le trio fut coupé par un nouvel arrivant. Il semblait assez hésitant, et Edouard ne pouvait être que compatissant. Qui plus est, arrivé à cette heure-ci ne devait pas être facile pour lui.

Vous êtes bien à l'Institut, établissements pour jeunes surdoués. Je suis Edouard, le majordome en charge de l'accueil des nouveaux arrivants, entre autre.
Bienvenue, monsieur Kafei. Vous avez frappé à la bonne porte.

Dit-il sur un ton rassurant.

Kafei se sentit soudain un peu honteux.

"Euh, en fait... euh, j'ai pas frapp... ah oui, d'accord, pardon, c'etait une expression..."

Dans une partie de son cerveau pas encore engourdie par le froid, une petite voix tenta de le reveiller une bonne fois pour toute. Il tenta de se ressaisir afin de faire, somme toute, un peu meilleure impression. Avant tout il lui fallait en savoir plus sur l'endroit. Le proprio devait etre riche, pas de doute, mais est-ce que tous les gens qu'il allait trouver ici le seraient aussi? Après tout, lui n'etait qu'un simple humain normal. C'est a dire pas riche pour deux sous....

"Euh, donc ou faut il que j'madresse pour regler les détails de mon arrivée ici? J'avoue que ch'uis un peu perdu dans tout ca... Ah et, qui est-ce qui gère l'endroit? C'est Mr Xavier?"

Bon, d'accord, ce genre de question laissait entrevoir le niveau relativement faible de conaissances avec lesquelles Kafei était arrivé là. Il n'avait meme jamais vraiment rencontré d'autres mutants avant ce jour. Une bonne occasion s'etait presentée avec cet institut et il comptait bien la saisir pour se comprendre ainsi que pour rencontrer d'autres gens qui possédaient, eux aussi, des pouvoirs divers-z-et-variés.

"Juste pour info, y'a combien de... pensionnaires ici?"

Il était tard, elle le savait très bien en passant les grandes portes et en retrouvant la douce chaleur d'un lieux enfin habité. Elle était contrariée, c'était le moins qu'on puisse dire ! Elle était à une reception avec ses parents et son frère, à Washington DC. C'était ennuyeux à mourir, mais son père étant avocat il fallait qu'il fasse bonne figure alors elle avait affiché un sourire qui paraîssait sincère et fait semblant de s'intéresser à ce qu'on lui disait. Visiblement son frère s'enuyait aussi, elle lui demanda pourquoi ils étaient là ? Qui avait réussit à les convaincre de venir à cette mascarade ?

Ils réussirent à s'éclipser, prétendant que Tom devait rentrer pour une raison obscure. Il n'avait pas mis beaucoup de temps à rentrée à Boston, quelques heures tout de même et cela avait été suffisant que Tom lui demande une petite centaine de fois, le moment où elle se déciderait enfin à aller à l'Institut... Elle se demanda ce qui lui avait pris de proposer à son frère de faire le trajet ensemble ! Elle aurait mieux fait de prendre sa moto, même si le temps n'était pas très indiqué pour ce type de véhicule.
Elle avait soufflé, lancé des regards noir chargés de menace, mais rien n'avait fait taire Tom !

Finalement, ils étaient arrivés à Boston, dans ce gros 4x4 noir, véhicule de luxe à n'en pas douter mais qui pouvait tout de même bravé tout les temps. Une fois au chaud dans l'appartement, elle se lova dans le canapé, son frère lança de la cuisine, qu'elle ne pourrait pas rester éternellement ici, qu'il faudrait qu'elle y aille un jour ou l'autre. En sortant de l'hosto... pardon, en sortant de l'établissement de rééducation, elle avait décidé de passer quelques jours chez son frère avant d'aller à l'Institut, elle les avait prévenu, il n'y avait eu aucun problèmes !
Seulement ces quelques étaient devenus presque deux semaines ! Et Tom commençait à croire qu'elle ne partirait jamais... alors comme toujours, il usa d'un stratagème.

Il lui proposa un paris, encore une fois ! Elle dit non, il insista, elle refusa et après un moment, comme d'habitude elle avait cédé. Elle devait aller de l'appartement à l'Institut en moins d'un quart d'heure ! Facile, avec la voiture qu'elle avait et puis à cette heure il n'y avait personne sur les routes, c'était dans la poche elle allait gagner haut la main !

Camille, avec tout ce qu'elle savait de Tom, aurait du savoir que ce n'était jamais si facile...
Elle était donc partie sur les chapeaux de roue et avait atteint les grilles de la propriété pour sourdoué en moins de quinze minutes, mais Tom avait dit que ce n'était du jeu, qu'elle devait être à l'intérieur, le temps que l'interphone veuille bien marcher, que les grilles s'ouvrent et qu'elle en passe le seuil elle avait dépasser le chrono de 10 secondes et voilà qui expliquait pourquoi elle n'était pas de bonne humeur !

La prochaine fois qu'elle ferait ça, elle s'assurerait avant que les grilles étaient ouvertes, mais il n'y aurait pas de prochaine fois, elle pouvait compter sur Tom pour ne pas faire cette bourde et la laisser gagner.

Elle ne savait quel serait son gage, mais ce n'était pas grave. Son frère le garderait en réserve le temps qu'il réfléchisse à quelque chose de dangereu qu'il pourrait lui faire faire sans qu'elle se tue !

Bref, elle en revint aux personnes présentent dans ce hall... Et bien il y avait foule, Camille n'avait jusque là que cotoyé des gens "normaux". Aussi elle fut surprise devant l'apparence de certaines des personnes présentes (surtout une en fait), malgré tout elle ne voulait pas se montrer impolie et bien qu'une multitude de question se bousculait dans sa tête sur cet homme à l'apparence particulière, elle décida de se présenter d'abord.

" Bonjour, je suis Camille Mayfield. J'étais attendue... mais peut-être pas à cette heure." ajouta-t-elle en regardant sa montre comme si elle s'apercevait qu'il était aussi tard. Elle avait visiblement interrompu quelque chose ... tant pis. Se rendait-elle compte qu'elle était encore habillée avec sa courte robe de soirée pourpre et les chaussures à haut talon qu'elle avait choisi pour la reception ?

(HJ- Maw, Kafei, laisse moi le temps de répondre ^_^ -HJ)

*Tiens tiens, un petit nouveau, Kafei ? Dis donc, il faudrait qu'il sache comment on l'appelle lui ! bref. Peu importe, t'emportes pas mon vieux. C'est le lait qui te fait défaut !*

Le Félin, en bon matou, salua le nouvel arrivant. Il lui tendit la 'patte' droite d'un geste amical, et se présenta à son tour.

Je suis Le Félin ! Recruteur à l'institut. A votre service ton vieux.

Edouard se chargea de lui faire le petit speech d'entrée. Laissant ainsi le matou se gratter les moustaches en miaulant, enfin, façon de parler, bien entendu. Malgré tout, Le Félin lui aussi renseigna le jeune homme.

Oh, t'en fait pas, Edouard est parfait pour s'occuper de tout ! On va te fournir une carte magnétique qui te donnera accès à une chambre, tu verras. Mais, Charles Xavier est mort il y a quelques années de ça, c'est Malicia, une de ses anciens élèves qui gère l'établissement ! Même si elle a été plutôt occupée ces jours-ci.

Le Félin se souvint du triste chaos qui avait régné ici, les sentinelles, le sénateur et les longues heures de travail pour réparer les dégâts ... Le matou était fier d'avoir pu aider à ce moment là.

Maw, au niveau des pensionnaires, il doit y en avoir une centaine ? Mais, beaucoup arrivent, repartent. Chacun vit sa vie, en quelque sorte ! Il y a be...

Quelqu'un arrivait, les oreilles du Félin captèrent les bruits de pas venant de l'extérieur. Il tourna la tête vers les grandes portes de l'entrée tandis qu'elles s'ouvraient quelques instants plus tard. Laissant place à la dénommée Camille. Le Félin l'accueillit avec un grand sourire.

Salut ! Je suis Le Félin, recruteur à l'institut Charles Xavier. T'en fais pas pour l'heure ... Camille ? On est pas à ça près ici. Si tu étais attendue, Edouard doit surement être au courant.

Il désigna du museau le vieil homme qui les accompagnait, avec son costume trois pièces impeccable.

C'est le moment que 'choisit' Minst pour déberquer lui aussi. Décidément, il y avait du monde là-dedans ! Et lui qui pensait qu'il devrait sans doute aller réveiller quelqu'un ! Le Chat dans ses bras, il laissa ses valises en arrière et entra dans le hall dont la porte était déjà ouverte. Les personnes dans la pièce étaient déjà en train de discuter, si bien qu'il n'osa pas les interrompre. Malheureusement, l'attention tomba immanquablement et immédiatement sur lui.

"Euh... Bonsoir tout le monde ! Je m'appelle Minst Adem, je n'ai pas pu venir à une autre heure parce que j'habite d el'autre côté de la ville et qu'il ma fallu prendre le bus, puis un autre bus, suivi du métro, une autre rame de métro, encore un bus, le métro et enfin deux bus, encore..."

Cela avait valeur de plates excuses dans la bouche de Mi, incroyable bavard, toujours à se justifier, qui venait de baisser la tête au sol en rougissant ; souhaitant le plus fermement du monde que les autres reprennent leur conversation. Le Chat sauta des bras de Mi pour se réveiller un brin.

"Ah. Et je vous présente ma chatte, Le Chat.", rajouta-t-il simplement.

[HRP]Après échange de mp, Kafeï m'a dit qu'il n'avait pas trop le temps de poster. Il m'a donc dit que je pouvais le faire...[/HRP]

Elle sourit au Félin.
"Merci pour cette accueil, monsieur" Elle était tout de même resté polie, même si cette personne l’intriguait. Ce qui la surprenait ce n’était pas tant l’apparence, quoiqu’elle n’ait jamais vu une chose pareille ! Non, ce qui l’avait frappé c’était la manière de parler du matou, ce n’était assurément pas un vulgaire chat de gouttière ! Et puis, ces poils ? Est-ce que ses cellules avaient des caractéristiques humaines ou félidés ? Son esprit scientifique reprenait le dessus, il faudrait qu’elle prélève du sang, pour voir… Mais pas cette nuit, une autre fois…
Elle ne put s’empêcher de rougir légèrement lorsqu’on lui dit que le Félin était un charmeur, elle se demanda bien pourquoi, ce n’était pas du tout son type ! Mais bizarrement, alors que d’habitude, elle ne supportait pas, là, le fait que l’homme-chat la tutoie d’emblée ne lui fit rien…sans doute, le matou lui inspirait-il confiance.

Camille écouta attentivement l’homme, un majordome sans doute, jusqu’au moment où il lui tendit la clé magnétique… Là elle entra dans une inspection de la petite carte qui lui faisait beaucoup penser à celle qu’elle avait pour rentrer au labo de l’université pour y faire ses recherches. Puis elle détailla un peu plus les lieux, c’était très joli, le genre de lieu qu’elle avait l’habitude de fréquenté. Elle rattrapa la conversation au moment où l’on disait qu’il ne fallait pas hésité s’il y avait des questions. Elle tourna le dos, pour partir dans la direction opposée aux personnes qui se trouvait dans le hall. Il y avait là un petit couloir… quoi ? Vous vous demandez comme elle savait que l’aile est était par là ? Mais elle n’en savait rien ! Camille n’était pas fatiguée alors elle avait envie de faire un peu le tour du propriétaire.

Elle avait à peine fait deux pas qu’elle se ravisa. Se tournant de nouveau vers les autres, puis elle se rapprocha. Finalement, une question lui était venu à l’esprit, aussi la posa-t-elle. Bien que cette interrogation s’adresse au majordome, son regard curieux fixait Le Félin, essayant de "l’examiner" sous toute les coutures. C’était certes impoli mais ce n’était pas très grave, il était gentil, non ?
Bref, revenons à la question, d’une voix calme, elle prononça quelques mots, histoire d’en savoir un peu plus.
"Qu’est-ce qui c’est passé ? Les élèves …"

Son téléphone sonna, elle s’excusa avant de s’écarter un peu et de décrocher.
"Quoi ? … Attends, tu parles trop vite, j’te comprends pas… Quoi ? Le quoi ? Dans le centre ? … Mais non, idiot ! Je viens de téléphoner y’a trente secondes pour te dire que j’étais à l’Institut, alors je ne peux pas être dans le centre ! … Quoi ? Woh ! Je t’ai dit de ralentir… Une explosion… Mais comment tu es courant ? … Comment ça tu vas couvrir l’événement … je t’interdis d’y aller ! … Non, je me fiche que ce soit ton job … Non, mais arrête… Allo, allo ?" Elle referma son téléphone furieusement avant de revenir vers le groupe.
"J’hallucine il m’a raccroché au nez !" Elle croisa les bras, ce qui lui donnait l’allure d’une petite fille qui boude. En fait ce n’était pas tout à fait exacte, elle avait entendu une voix lui dire qu’elle ne captait plus, mais c’était plus facile de mettre ça sur le dos de Tom et de faire l’outragée.
"Oui donc, pourquoi certains de vos élèves sont à l’infirmerie ? Est-ce que je peux aider ? Je ne suis pas médecins, mais je suis une spécialiste des trousses de secours tellement j’en ai eu besoin !"
Elle avait eu un sourire en disant les derniers mots, il était vrai que les paris avec sont frère s’étaient souvent soldés par quelques blessures, sans gravité la plupart du temps. Puis elle ajouta, ignorant tout de ce qui s’était passé.
"Enfin, si en fait je suis docteur, après tout j’ai un doctorat, mais ma spécialité, c’est plutôt la biologie cellulaire."
Même si elle s’intéressait vraiment au élève, à l’infirmerie et tout le reste, elle ne pouvait s’empêcher d’avoir peur pour son frère. C’était dangereux, il était parti sur les lieux d’une explosion, il lui avait dit que c’était peut-être un attentat…
Bien que Camille ait un esprit logique, elle ne fit aucune relation entre ce que lui avait dit Thomas et les élèves à l’infirmerie. Pour la demoiselle, les jeunes étaient blessés suite à une bagarre, voir une bataille de nourriture qui avait mal tourné après tout on était le nouvel an, non ?

C’était ce moment que choisit un jeune garçon pour entrer. Il avait posé ses valise un peu plus loin, ce qui fit penser à Camille qu’il faudrait qu’elle retourne chercher ses affaires chez son frère plus tard dans la journée. Il se présenta, Minst, quel drôle de nom… et puis quel surprenant voyage, elle ignorait qu’il y avait autant de bus et de métro à Boston ! Enfin, il avait eu de la chance qu’on soit le 1er janvier, les transports devaient à cette occasion fonctionner toute la nuit !?
"Enchantée, je suis Camille, mais tu peux m’appeler Archie. C’est valable pour vous aussi." Avait-elle ajouter au reste des personnes présentes.
Puis elle remarqua la petite boule de poil qu’il tenait et qui sauta de ses bras… Le Chat, que c’était étrange de nommer son animale de compagnie ainsi. Camille sourit en regardant le petit matou qui, elle en était sûre, ferait un compagnon de jeu idéal pour le grand matou. Avec tout ça elle avait plus ou moins zapper l’histoire de l’infirmerie…

[premier post!]

Le chat somnolait un peu dans les bras de Minst (c'est agréable de se laisser porter... D'autant plus quand on savait que "Marcher" aurait rimé avec "Avoir les pattes trempées")

Elle fut "réveillée" par la voix de Minst. Vous avez déjà collé votre oreille contre la poitrine/le dos de quelqu'un qui parlait au moment même? Bon, ça fait un son un peu plus caverneux. Ajoutez y l'ouie plus développée du chat, et vous comprendrez pourquoi elle préféra descendre des bras de son humain. (note pour Minst: A ne pas confondre avec esclave)

Bon, on était dans un lieu nouveau. Ca, elle savait. Y avait plien de monde qu'elle connaissait pas, aussi.

Après un "Miaou!" à l'énoncé de son nom, la queue en points d'interrogation, l'animal commença son petit tour. Premièrement: Camille.

*Déjà, une humaine. Tu sais que t'as l'air gentille, toi? T'as pas du lait? non? Tant pis, fais moi un calin? Je me frotte contre tes jambes, et pis on va voir... ah non, pas lui.Il sent trop... le chien [gabriel, chien et loup, en théorie, c'est pareil, les chats y aiment pas] On va l'éviter...*

Elle s'éloigna de gabriel, se rapprochant du même coup du majordome.

*Un humain qui sent le "propre"... C'est pas que je t'aime pas, toi, mais l'odeur de lessive, c'est pas ma préférée.*

Le chat s'approcha ensuite du chat... Et ne bougea plus.

*Ah, toi, t'es qui? tu sens le chat! Il sent le chat! Copain! Dis dis dis? T'as pas une bouteille de lait pour moi? Si te plait?*

"Mraou?"

Et que je te regarde, assise devant toi, la queue qui serpente au sol, genre "jattend".

[En gros, elle va voir tout le monde, sauf gabriel, et là, elle attend devant le chat (l'autre, le grand lol)]

[je me joind au cortège plus on est de fou plus on rit]

Pierre était arrivé à Boston tôt dans la matiné, et avait eu le temps d'y faire un petit tour histoire de s'y repérer, oh Pierre étant mutant était au courant pour l'institut Xavier, il savait que ce lieu historique pour les mutant était un asil pour ceux qui souhaitait vivre en harmonie avec le monde. Même s'ils avait été battu, trahis ou traqués, leur courrage exemplaire de tenter de vivre parmis les humains. Pierre n'allait pas manquer d'aller là bas, et surement il allait y trouver plein d'autre mutant comme lui, et peut etre se ferauit il de nouveau ami voir pourrait il y trouver une place parmis eux. C'est avec le sourire qu'il se dirigea apres sa longue visite touristique, vers l'institut.


Arrivé au porche il rentra sa moto, ouvrit le panier de son chat le laissant dehors pour qu'il puisse se ballader, Pierre quant à lui se descida à entrer.
La porte de l'institut souvrit une nouvelle fois et un jeune homme d'un trentaine d'année entra dans le hall où déjà de multiples mutants s'y trouvaient et se cotoyaient. Pierre était vetu d'une veste de cuir détaché, laissant apparaitre son torse nu, un jeans bleu marine sombre abimé, et ses rangers noires. Pierre voullu mettre un peu d'ambience non pas pour déranger mais plutot pour se faire un peu remarquer.

"Yo, ça boume?" poussa t'il d'une voix adulte un peu grave, suffisament fort pour que tout le monde l'entende. "c'est cool ici. C'est grand, c'est beau, le grand institut Xavier, un reve qui devient réalité."

Puis il se tourna vers les jeunes.

"Bonjour, désolés de vous avoir interrompu, cette endroit, ce lieu est magique. Ah je me nomme Pierre, Pierre Guerrero. Je vien de débarquer à Boston."


[Pierre débarque à Boston, puis descide d'aller à l'institut histoire d'y trouver peut etre de nouveau ami][dsl pr l'orth mon pc bug]

(HJ - Je vais me permettre d'inclure Edouard à mes messages. Cela sera plus pratique, autant pour l'admin que pour nous je pense - HJ)

Moi ? Charmeur ? Oh, Edouard, ne commence pas à m'afficher comme ça, ce n'est même pas vrai d'ailleurs !

Protesta Le Félin alors qu'Edouard riait. Mais voilà que deux nouveaux arrivants ... arrivèrent, justement, dans le hall. enfin, deux dont un matou 'normal'. Chacun se présenta tour à tour, mais Le Félin porta une oreille particulière à la conversation qu'avait eu Camille au téléphone, une histoire d'explosion.

*Surement le remue ménage ayant un rapport avec l'afflux massif d'élèves à l'infirmerie ... Sans parler des confréres ... Huumm, méfiance*

En sortant de sa rêverie, il remarqua le chat qui le regardait à ses pieds. Les moustaches du Félin frétillèrent tandis qu'il se baissait pour caresser affectueusement la tête du 'mini chat'. Il en profita pour se présenter ... enfin, pas qu'au chat bien entendu.

Salut, je suis Le Félin ! Recruteur à l'institut Xavier. A côté de moi c'est Edouard, le majordome. Bienvenue chez nous !

Merci mademoiselle Mayfield, mais il est préférable de ne pas gêner monsieur O'Neil et les autres élèves. C'est une affaire importante.

Euh, oui donc ...

Le Félin piqua les cartes magnétiques qu'avait Edouard entre ses mains et les donna à Pierre et Minst.

Tenez les gars, c'est la clé de vos chambres ! Il y a un numéro dessus indiquant votre chambre. pour tout ce qui est administratif, vous pourrez voir plus tard ! On ne fait rien payer aux élèves ...

Le Félin réfléchissa un instant. Il n'était pas forcement facile pour tout ces nouveaux d'arriver comme cela, les 'mains dans les poches', il préféra donc s'en excuser.

Excusez de ma précipitation, je vais simplement vous rappeler quelques règles de bonne conduite ici, si on peux dire ... Bref.

Pour vous restaurer, vous avez à votre disposition la cuisine ou la salle à manger, que vous découvrirez sans doute en visitant un peu. Vous avez dans vos chambres respectives de quoi vivre convenablement, avec une douche et tout le bord... Bazar nécessaire ! N'hésitez pas à vous renseigner auprès des anciens élèves en cas de problème, ils seront ravis de vous aider !

Sinon que dire ... Et bien, je vais vous accompagner dans les couloirs pour que vous trouviez vos chambres, c'est le moins que je puisse faire, non ?

On va pouvoir libérer Edouard comme cela, qu'en pensez-vous ?

Pierre attrapa la carte métalique machinalement que lui tendait le mutant, la regardant un moment, il se demandait comment avait ils su qu'ils venait ici sans avoir trouvé d'hotel, ou alors était ce déstribué à chaque nouveau venu. Il ne manqua pas d'écouté les directives, cet endroit était le grand luxe. Il s'approcha du Félin dont il n'avait pas vraiment remarquer les trait plus animal qu'humain de son visage, le regardant droit dans les yeux d'un air gêné il lui demanda.

"Euh, c'est combien la nuit? parce que là tout de suite j'ai pas spécialement d'argent"

Pierre dévisagea le félin.

"Wao ! une divinité égyptienne"

s'exclama Pierre

*nous ne sommes pas des mutant mais des créatures immaginaires*

Pierre qui d'abbord avait parru si adulte, semblait avoir régressé d'une vingtaine d'année en quelque seconde juste en tregardant de face le Félin. inspectant le mutant sous tout les angles avant de s'exclamé:


"On dirait un chat!"

Minst s'arrêta, à mi-chemin entre l'amusement et l'exaspération. Il était arrivé sur quelle planète ? Celui qui était à côté de lui, Pierre était en plein délire et se croyait au temps des pharaons alors que le Chat se croyait déjà chez lui...

"Le Chat !", appela-t-il. "Reviens ici !"

Autant s'adresser à un mur ; surtout que l'animal semblait avoir trouvé un compagnon de jeu version hybride...

Minst soupira, tout en prenant soin d'esquiscer un sourire, les choses étaient encore plus déjantées ici qu'il l'avait pensé.

Jetant un oeil à sa carte magnétique il sourit : "14". 1+4=5, le chiffre de l'air et du vent.

Retournant à l'entrée pour récupérer sa valise, il demanda :

"Où devrai-je aller, demain matin ? Pour régler les détails de mon inscription, je veux dire ; et aussi prendre ma place dans les cours etcaetera..."

Camille regarda le chat se frotter à sa jambe, elle se baissa et lui donna quelques caresses. Cette petite boule de boule était décidemment trop mignonne ! Puis la petite bête continua son tour d’introspection des gens présents… avec une préférence pour Le Félin, visiblement.

Elle se tourna de nouveaux vers le majordome qui lui dit, à son grand soulagement, qu’on n’avait pas besoin d’elle. Elle sourit à Edouard, le remerciant tout de même d’avoir répondu.
*Ouf, je n’avais, de toute façon, aucune envie de passer ma nuit à l’infirmerie !*

Puis un autre jeune homme arriva, encore un, mais celui-là n’avait pas la politesse des autres… Et puis d’abord, quelle idée de se mettre torse nu sous sa veste alors que dehors il neigeait !?
La suite de la conversation ne fit que confirmait que ce type était effectivement sur une autre planète. Demander combien coûtait la nuit, n’importe quoi ! Et puis c’était quoi cette histoire de divinité égyptienne ?!

Bon elle détourna son regard du nouveaux venu, Minst avait rappelé son chat… et Le Félin leur avait plus ou moins dit de faire ici comme chez eux, du moment qu’ils n’abusaient.

Le matou leur proposa de les conduire à leur chambre, mais il n’allait pas tous au même endroit, non ? Edouard avait parlé de l’aile est pour les adulte, sous entendant que les mineurs avaient leur dortoir à un autre endroit… De toute façon, Archie avait envie d’être une peu seule pour découvrir son nouvel univers.
"Je vous remercie monsieur Le Félin, mais je vais visiter un peu, par contre, j’ai laissé ma voiture dehors… Enfin, ce n’ait pas la mienne, en fait et comme elle appartient à mes parents, y a-t-il un garage où je puisse la mettre, histoire de la protéger un peu du climat local ?" Une fois qu’on lui eut indiqué le garage, elle se dirigea doucement vers la grande porte histoire d’aller mettre son véhicule à l’abris, en lançant poliment un "Bonsoir tout le monde". Vu l’heure tardive, n’aurait-elle pas mieux fait de dire bonjour, d’ailleurs ? Qu’importe, personne ne s’en soucierait.

Alors qu’elle avait presque atteint la porte, Minst posa une question, qui l’intéressa, aussi stoppa-t-elle sa marche pour en écouter la réponse. Enfin, elle, les cours ne l’intéressaient pas, mais s’il y avait un endroit où se faire "recenser", c’était bon à savoir. Une fois les expplcations données, elle franchit les imposantes portes pour rejoindre le froid.

( --> le garage )

[HRP - J'ai supposé qu'on m'avait indiqué le garage, mais ça dérange quelqu'un, j'éditerais ^^" - HRP]

(HJ - Tu as bien fait Camille - HJ)

La nuit ? Mais je viens de dire qu'on ne faisait pas payer ... L'institut n'est pas un hôtel, enfin ...

Type étrange que ce Pierre, Le Félin cligna des yeux, comme sans comprendre sa question. Ce qui, d'ailleurs était le cas. Vraisemblablement étrange ce gars, une divinité égyptienne ? L'homme-chat n'osa pas répondre, ne sachant pas trop s'il devait le prendre comme un compliment ou non. A dire vrai, il n'avait jamais entendu ce genre de compliment.

C'est normal que je ressemble à un ... chat. Je ne m'appelle pas Le Félin pour rien.

Oh, euh. Minst, ne t'inquiète pas, ton chat ne risque rien !

S'exclama Le Félin (dis donc, il ne faut pas se tromper de nom ) en riant.

Oh, pour regler les 'détails', il vaudra mieux t'adresser à Edouard je pense. Et pour les cours ... Où allait Alex déjà ?

Oui ! Je me souviens. Les élèves suivent les cours classiques de l'établissement local, à Boston. Pour ce qui est de l'apprentissage et la compréhension de ce qu'on appelle notre gène X, les anciens expérimentés donnent souvent des conseils et, lorsqu'ils le peuvent, organisent des séances d'entrainement. Me semble-t-il bien.

Tandis qu'il répondait tant bien que mal, Camille posa une ultime question avant de s'éloigner du groupe.

Tu as un grand garage, par ici *pointa-t-il du doigt* De rien, bonne soirée Camille ! Hésite pas à venir boire un verre de lait à l'occasion à la cuisine !

[oui, bonne remarque sur le nom... lol]

Le chat avait ronronné comme un moteur miniature aux carresses de camille, puis du félin. Elle entendit Minst qui l'appelait... Et l'ignora royalement. Les chats ne sont pas des chiens, qui obéissent au doigt et à l'oeil tout de même! Non, les chats avaient un certain sens de l'indépendance, autrement appelé "court toujours, je fais ce que je veux".

Un autre humain entra. Encore un?! Bon sang mais il y en avait partout! Enfin, bon pas comme si elle avait pas l'habitude... Effarant à quel point les humains sont plus nombreux que les chats, alors qu'ils se reproduisent aussi lentement... Enfin, lui, au moins, il était poli, il l'avait même traité de "déesse" [Pierre, je sais pas de qui tu parlais à ce moment mais bon... lol] Et ce mot, elle le connaissait: C'était un compliment. Flatteur! Enfin, c'était gentil quand même!

Le chat termina son tour, frottant sa tête contre la jambe de Pierre pour le "remercier", tandis que l'humain-chat parlait de cours spéciaux, normaux et compagnie. Elle avait le pressentiment que son humain allait pas mal travailler!

Alors qu'elle revenait vers son humain, l'homme chat prononça un mot qu'elle aimait: lait. Ca, s'était une bonne idée! Elle avait beau avoir été gatée la veille (du saumon! Surgelé, mais quand même! C'était un régal!), savoir où il y en avait était une excellente idée! non?

"Miaou!"

Elle laissa donc échapper un miaulement plus qu'approbateur. Elle allait bien s'entendre avec lui! Dommage qu'il parle autant!