Ryuken Zhao

Prénom et nom : Ryuken Zhao

Origine : Chinois

Surnom : Je suis obligé de le dire ?

Age (Date de naissance) : 18/02/2005

Clan : Confrérie

Métier : Proviseur du lycée (si possible)

Pouvoir : Création d'objets psychique, mais commençons par le début.

La bioélectricité est une vérité physique, propre à chaque être humain qu'il soit mutant ou humain elle régule le système nerveux et régule les informations que le corps se transmet. Dans le cas de Ryuken la bioélectricité ne fait pas que ça, en fait, elle fait même l'opposé de cela. Le gène X à réussit à faire muté son réseau biologique afin qu'il en devienne totalement indépendant, cependant, l'information est régulé par un autre système électrique assez abstrait, une sorte de réseau interne selon les parties qui fait que les jambes commandent aux jambes, les bras aux bras, etc. Ce système peut s'avérez intéressant vu que ses membres réagissent dès lors selon la dangerosité du moment mais, les trois quart du temps, ça lui fait avoir une démarche un peu gauche, enfin, quand il est fatigué. Mais le plus amusant reste quand même de le voir se dandiner d'un pied sur l'autre quand il est soumis à un rude choc, tous ses membres agissant de manière totale désordonné.

Mais revenons à la bioélectricité. Toute cette "énergie" est désormais inutilisé, et se charge donc en permanence, mais, sans moyen de l'extériorisé, cela peut devenir dangereux, c'est pour cela que le gène X, afin d'éviter de tuer son "hôte" à du créer une seconde forme évolutive de la bioélectricité. En fait, son corps rejette par ses spores le trop plein d'énergie, ce qui fait que son corps est constamment parcourus d'étincelle blanches, représentant le déchargement d'énergie, ces dernières ne sont en rien dangereux mais donnent, à chaque fois qu'on touche sa peau, la sensation d'avoir été touché par de l'électricité statique. Comme de bien entendus, ce phénomène est tout à fait hors de contrôle mais, en se concentrant sur un des différents relais de son "nouveau" système nerveux, il peut forcer le trop plein d'énergie à se condenser en un point pour lui donner forme. Cela donne forme, au départ à des éléments basiques comme une simple tige mais, à force de persévérance et d'apprentissage il à réussit à améliorer ce phénomène.

En fait, cela lui est venu à l'idée lors d'un concours au tir à l'arc, en fait, il à observer le mécanisme de l'arc et à tenté de le reproduire avec son "pouvoir". Le résultat fut assez, euh, déstabilisant. En fait, il avait bien réussit à créer un arc "d'énergie" mais cet arc était une forme trop condensé du surplus d'énergie bioélectrique, ce qui fait que cela est douloureux au bout d'un moment, bien entendus tout ce qu'il risque c'est de se briser le poignet, voir de se le découper à cause du trop plein d'accumulation, mais bon, chacun sa merde hein.

Les "flèches qu'il tire sont, elles, issue de son "nouveau" système nerveux se trouvant dans son bras droit, unique lieu où il à réussit à localiser le trop plein d'énergie pour le moment, en fait, il "transmet" l'information d'une flèche de son bras droit à la forme de l'arc, créant une flèche contrôlé, non pas par sa dextérité habituelle (proche du néant distordus) mais par son "bras" droit, ce qui, avouons le, est difficile à imaginer, mais, et cela lui est déjà arrivé, de toucher sa cible alors qu'il ne la visait pas. Comme quoi… Remarque, c'était sûrement un coup de bol vu que c'était la première fois qu'il s’entraînait et cela n'est plus jamais arrivé depuis. Mais une chose est claire, son esprit à autant à jouer dans le fait d'atteindre sa cible que sa dextérité.

Pour le moment, il s'est limité à la création d'un arc, il peut le maintenir quelques minutes à pleine puissance mais devras le relâcher si il ne veut pas voir son bras subir de grave lésions pouvant aller de la cassure net au découpage du bras
Par contre, il est à noter que l'arme de "base" est quand même capable de faire des dégâts relativement léger certes, mais cela est toujours ça, c'est comme si il possédait constamment sur lui une batte de base-ball prêt à frapper.

Aptitudes : Il sait super, super, super, mais alors super bien… Coudre. C'est un talent familial il parait, il fait de très belle broderies ou arrive à recoudre peluche et vêtements avec un certain talent. Sinon, ben il sais parler Anglais, Chinois (nan sans blague ?!) et un peu latin, pas trop non plus. Sinon, comme de bien entendus, il sais assez bien viser, bien que dès qu'on passe au mécanique ça part plutôt mal. Ah oui, sinon il à des connaissances en droit aussi, ça peut toujours servir.

Description physique : Malgré ses origines chinoise, Ryuken est assez grand, il atteint facilement les un mètres quatre vingt ce qui est, avouons le, assez énorme. Ses cheveux sont noir de jais, ce qui s'accorde parfaitement avec ses traits chinois. En outre, il porte habituellement de simple chemise avec un pantalon noir. Sinon, dans la majorité des cas, il est toujours habillé en blanc. Sinon il n'y a pas grand-chose d'autres à dire sur lui, ah, si il porte constamment à cause de sa mauvaise vue, une paire de lunettes gris métal dont il possède plusieurs réplique,s on sait jamais.

Signes particuliers : Ryuken est un assez gros fumeurs, mais cela ne le dérange pas trop, à contrario de son entourage, mais bon, quand on commence à fumer à l'âge de seize ans, et qu'on n'a jamais arrêter depuis, difficile de s'arrêter maintenant. Outre ses deux paquets de cigarettes par jour il ne se distingue pas particulièrement des autres, ses études n'ont guère été plus loin que l'obtention d'une licence de droit mais sinon il reste dans la normalité. Ah oui, par contre, il lui arrive fréquemment de faire en sorte de faire "taire" ceux lui causant du soucis, rien de mortel généralement mais il connais bon nombres de moyens pour réussir à obtenir le silence, enfin, avec des gens passablement normaux.

Caractère : Voyons voir, ce qui conviendrais le mieux pour décrire Ryuken serait qu'il est excentrique, oui, c'est le mot. Tout dans son attitude montre l'excentricité, mais elle est contrôlé par son calme habituel et son éducation. Jamais il ne montrerais au grand jour ses travers, sauf si vraiment ces derniers sont complètement hors de contrôle selon la situation. Parmi ses travers on peu voir la couture, mine de rien, cela prend une place importante dans sa vie, peut être parce qu'il fait ça depuis qu'il à quatre ans, mais en tout cas, il est capable du meilleur, comme du pire, devant un travail de couture. Faites juste attention à planqué les travaux mal fait et tout ira bien. En deuxième position c'est le manque de tabac, si jamais il n'a pas sa cigarette quand il lui faut, mieux vaut s'écarter de son chemin car il risque fort de vous passer sur le corps pour avoir ce qu'il veut. Mais bon, généralement il est assez bon vivant, n'hésitant jamais à rire avec les autres voir à se moquer des autres par des saillis bien sentit, par contre, quand la situation deviens tendus, il perd toute excentricité au profit d'une folie lubies que presque, capable, dans cet état, de réaliser des prodiges ou d'accomplir des bévues incroyables. A vos risques et périls.

Ambitions : Conquérir… Les clubs de coutures de la ville !! Sinon, accessoirement, qu'on lui foute la paix sur son statut de mutant, quitte à devoir défourailler de l'humain pour ça.

Histoire :

Bon, il dois être temps que je commence, hein ? Ouais, je m'en doutais assez, bon, bah, commençons par les présentations, je m'appel Ryuken Zhao, origine : chinois, Pays de naissance : Hongrie, faut pas me demander pourquoi. Quoi ? Comment ça, ça suffit pas ? Bon, bon, d'accord je vais voir ce que je peu dire d'autre, pff vraiment…

Bon, comme dis je suis né en Hongrie, je sais toujours pas ce que mes parents faisaient en Hongrie alors qu'on est tous chinois d'origine dans ma famille selon mon père mais bon, j'ai appris à ne pas poser de questions alors ça devrait aller. Bref, je suis né en 2005, le 19 août. Mais je m'en fout, comme ça c'est dis. Les premières années de ma vie je les ait passé en Hongrie comme dis, je crois qu'après avoir voyagé dans plus de dix pays avec mon père et ma mère il m'est venu à l'idée deux théorie soit mon père était un homme d'affaire et il devait voyagé dans divers pays pour faire son business, quel qu'il soit, soit c'était un puissant membres des Triades fuyant je sais pas quoi… Première solution.

Bref.

Je reprend donc, j'ai vécu en Hongrie les premières années de ma vie, c'est là que j'ai appris à marcher, à parler et même à lire du chinois sur de vieux livres que ma mère avait apporté avec nous, livres qui nous ont toujours accompagné partout. Mais quand j'avais cinq ou six ans, je ne me souviens plus très bien, nous dûmes déménager de nouveau, ce coup ci on partait pour la Hollande. En Hollande, j'ai du commencer à apprendre une autre langue en plus du chinois,s surtout si je voulais éviter d'être traité d'abrutis qui ne savait rien sur rien. Cet autre chose fut l'anglais, ce fut mon père qui, une heure par soir, m'apprenait les bases de l'anglais, ses formes, ses cas particuliers, et cetera.

Tout ça pour dire que je dois être le seul chinois n'ayant jamais mis les pieds en Chine alors qu'on avais une bonne centaine de possibilités pour y aller. Au début je trouvais ça chiant de voyager de gauche à droite, sans jamais me poser, devant bosser à la maison (le rêve pour certains, un cauchemar physique pour moi) mes différents cours, plus les langues, plus le Droit, allez savoir pourquoi mon père voulais que j'apprenne le Droit.
Bref, pendant un voyage en Autriche je crois, je devais avoir douze ou treize ans, ma mère décida de voir si, tout comme elle, et son père et son grand père avant lui, j'avais des aptitudes particulières avec la couture. Il se révéla que, non seulement j'était assez doué avec la couture mais, qu'en plus, j'aimais assez ça, trouvant cela aussi amusant que de jouer à un jeu vidéo.

Je devais être complètement foutus, déjà, à cette époque.

Enfin passons, remarquez que je ne m'en plein pas hein, j'ai découvert que certaines femmes trouvaient cela attendrissant, mais, le soucis c'était que la majorité des hommes qui connaissaient mon petit secret trouvais ça passablement "efféminé. Ciel quel vilain terme. Heureusement que je n'allais pas à l'école sinon on m'aurais jeté des cailloux, noter toutefois qu'il n'est pas trop tard pour cela.

Mais pourquoi Est-ce que je vous parle de couture moi ? A croire que je ne peut pas m'en empêcher. Je voulais vous parler de mes treize ans car c'était à ce moment là que j'ai découvert mon incroyable aptitude de mutant… Ouais, incroyable pour un homme tronc remarque.
En fait, mon aptitude s'est révélé naturellement et toute seule dans la plus stricte intimité de la maison familiale, enfin, de l'appartement familiale. Ça c'est fait avec l'aisance d'un babouin chutant de l'arbre (le fait de n'être jamais en Chine ne m'interdis pas d'user de métaphore mystérieuse me faisant passer pour un vieux fou, non mais !), je devais être en train de coudre un napperon en laine rouge parsemé d'un texte sur les Droits de l'Hommes quand c'est apparus.

Je venais de rater un marquage avec mon aiguille et cette dernière s'est délicatement enfoncé dans ma chair laissant délicatement perler mon triste sang sur mon magnifique travail d'architecture manuel. Tant de poésie pour dire que je venais de me faire mal et que, sur le coup, je fit apparaître une sorte de batte de base-ball bleu-blanc de ma main droite. Cette batte avais le poids du vent mais la résistance d'une vraie batte, quoique, plus je tapais avec, plus j'avais mal à la main, poussant même le vice jusqu'à essayer de maintenir longtemps mon "arme" mais n'ayant jamais réussit à la tenir plus d'une douzaine minutes sans commencer à saigner.

C'est ainsi que commença le fabuleux destin d'Amélie Poulain… Euh, je me trompe de sujet là, retour à la normale (façon de parler, bien entendus).

Donc, c'est ainsi que commenças ma formidable avancé dans la maîtrise de ce "pouvoir" et autant dire que c'était loin d'être joyeux.
La limite de temps physiquement imposé ne me laisser qu'une faible marge afin de maîtriser mon pouvoir surtout que plus je le tenais longtemps, plus je devais me reposer, à hauteur de dix minutes de repos pour deux minutes d'utilisation. Rageant; mais après, quoi, cinq petites années d'entraînement intensif, j'ai enfin réussit à lui donner la forme d'une "arme" potable, c'est-à-dire un arc.
Cet arc dois faire dans les deux mètres de haut et tire des flèches avec une portée d'arc long normal, un truc de base quoi… Bon, je pouvais toujours taper avec l'arc en lui-même, mais reconnaissait que ça sert pas à grand-chose vu que ça fait autant de dégâts que si je frappais avec un arc normal.

C'est pour ça que je me suis longtemps demandé si, quelque part, on se serait pas foutus de moi en me "permettant" de créer cet arc pendant douze minutes ? Nan car vu son efficacité j'aurais très bien pu prendre un arc normal et une centaine de flèches, ça fait le même effet.

Enfin, encore une fois : passons.

Je vais aussi passer certains détails inutile de ma vie, les déménagements, les déplacements incessant, mon diplôme en Droit obtenus, ma traque par les groupes anti-mutants. Ah bah, oui j'ai oublier de préciser, évidement, mes parents ont trouvé ça très bizarre mais bon, mon père s'en fout et ma mère trouve ça joli, elle ma même demandé si je pouvais pas créer d'aiguilles de couture comme ça, en fait il s'avère que j'ai pas réussit.
Bref, donc, déménagement, voyages traques, fuites, arrivé aux États-Unis et reprise de mon récit, vous pouvez respirer.

Donc, je suis arrivé aux États-Unis, j'ai désormais vingt cinq ans et je ne vis plus chez mes parents. Ces derniers ne vivant déjà même pas à Boston mais plutôt à Phoenix. Enfin bref, moi je vis à boston, ça fait maintenant deux ans, j'arrive déjà mieux à esquiver les cailloux et je pense de plus en plus à dissoudre des cadavres avec de l'acide, aller savoir pourquoi. Mon appartement est situé au centre de Boston, un appart sympa pour une personne avec une cuisine tout équipé et… Et comment ça vous vous en foutez ? Bon, bon, je passe à la suite.

Grumbl, Après deux ans à vivre à boston, a y voir des choses assez étranges et découvrant avec une stupeur ressemblant fort au lancement de la langue du crapaud pour attraper la mouche, que je vis qu'un cabinet d'avocat indépendant tenu par un mutant n'attirait peu, voir pas du tout de clients. Charmant.
Cherchant donc un nouveau job j'ai découvert que le lycée "difficile" de la ville cherchait un proviseur; Difficile pas parce qu'il se trouvait dans un quartier difficile, c'était même le contraire le quartier était relativement calme mais difficile à cause du fait que les membres des deux branches mutantes de la ville, les membres de ce qu'on l'on appel Confrérie, et ceux que l'on appel Institut, avaient tune majorité de leurs "membres" dedans et donc, personne ne voulais prendre le risque de se retrouver devant cette bandes de malades.

Je devait donc être sérieusement atteint moi.

J'ai donc pris rendez-vous pour voir si j'avais "la gueule de l'emploi" mais on ne pouvait me prendre qu'après la fin de l'année, logique quand on y pense. J'ai donc décidé de passer ma fin d'année avec calme et tranquillité à Boston, sortant même faire la fête (toujours en esquivant les parpaings).

Advienne que pourra.

Youpie! enfin un proviseur!!!

Bienvenue

J'ai pas grand chose à dire sur ta fiche en général... peut être juste diminuer le temps de maintien de ton arc electrique, vu que tu n'as pas l'air de le contrôler très bien^^

Ouéé, un proviseur !
Hé, patron, on pourra donner des cours ensemble ? *.*
Hé, dites, hé.

Bienvenue (encore que, on n'a pas trop le choix (mouahahah la joke...)).
PS : J'ai oublié le commentaire : bien que le pouvoir (à peu près...) et l'avatar soient tirés d'un univers un peu, euh... Bref, jolie histoire et tout, très agréable à lire, chapeau !

PS 2 : Je n'ai rien, mais alors rien compris à ta phrase "Mais bon, généralement il est assez bon vivant, n'hésitant jamais à rire avec les autres voir à se moquer des autres par des saillis bien sentit, par contre, quand la situation deviens tendus, il perd toute excentricité au profit d'une folie lubies que presque, capable, dans cet état, de réaliser des prodiges ou d'accomplir des bévues incroyables. A vos risques et périls."
Entre la saillie (dont j'ai une définition différente de la tienne xD) et la "folie lubie" je me suis un peu perdu.

Pour la limitation j'ai mis "quelques minutes" ça reste suffisament préçis pour se rendre compte que ça durera pas très longtemps mais ça reste assez vague pour dire qu'à la huitème minutes et à zéro secondes, le pouvoir commence à devenir dur à tenir.

@Doris : Effectivement, je le revendique d'ailleurs : j'ai choisit ce pouvoir en fonction d'un manga que je lis, c'est un fait, concernant l'avatar, c'est Alex qui m'avais dis que cela faisait partie du mêm eunivers, moi-même l'ignorant.

Pour l'erreur syntaxique, j'ai du repêcher ma vieille fiche étantdonné que mon ordi à tué la nouvelle fiche, enfin bref, cela devrait être corrigé et c'est voulus si il y a une certaine incompréhension quand on lis l'histoire.

dsl de l'oubli^^'