Malaika Sidokpohou

Nom : Sidokpohou

Prénom : Malaika

Surnom : La reine ou encore Maman pour les intimes.

Age : 21 ans (02.10.2007)

Origines : Ethiopienne

Clan : confrérie

Pouvoir : De manière simpliste, on peut dire que Malaika est une femme fourmis. Cela se traduit principalement par sa fécondité : après avoir procréer, sont organisme est capable des stocker les spermatozoïdes dans une spermathèque et ce afin de féconder ses œufs lorsqu’elle le désirera, car oui la mutante pond des œufs ! Ceux-ci se transformeront alors en cocons pour finalement donner naissance à des humanoïdes (temps de gestations : quelques jours).
C’est donc là son principale pouvoir, ensuite, elle est capable grâce à ses deux antennes (qui agissent comme une sorte de super nez) de communiquer avec ses rejetons par un langage basé sur les phéromones qu’ils sont les seuls à comprendre.
C’est (pour le moment tout du moins) les seuls parentés qu’elle possède avec une reine fourmis, elle n’a donc pas plusieurs pattes et ne sais pas grimpé au mur, ses enfants atteignent en général un peu plus d’un mètre et sont plus hybrides que leur mère (ex : présence de mandibule, absence de cordes vocales).

Description physique : Malaika est une charmante jeune femme d’origine Africaines, cela se constate d’ailleurs facilement de par son nom et sa couleur de peau très foncée. Elle mesure 1m70 et arbore un physique athlétique mais sans aller jusqu’à l’excès. Son style vestimentaire est très varié, mais en général il ressemble à celui de toute les autres Américaines bien qu’elle y ajoute divers bijoux fabriqués dans sont pays natal et affectionne particulièrement les habits blancs afin de contraster avec le noir de sa peau. Bien qu’elle ne cherche pas à les cachés, ses antennes sont souvent repliés en arrières et se confonde bien dans ses cheveux long. Son visage est généralement très doux, surtout lorsqu’elle s’occupe de ses enfants mais mieux vaut ne pas le voir se mettre en colère !

Signe particulier : Hormis les drôles de petits bonhommes qui lui cours dans les pattes et ses deux antennes vous voulez dire ? Hum… rien.


Caractère :Bien qu’elle ne le montre pas, Malaika est froide et calculatrice. Elle pourra très bien être votre meilleure amie un jour, et ne plus vous reconnaître le lendemain si jamais vous avez de sérieux ennuis. Elle pense avant tout à elle-même et ne manque pas d’ambition, au contraire c’est une combattante et à ce titre, elle abandonne rarement et se révèle souvent très têtue ! En temps normal, elle fait tout pour se montrer chaleureuse et amicale avec ses connaissance et serra rarement désagréable. Elle aime se sentir importante et est très réceptive aux compliments sauf si ceux-ci se révèlent plus pompeux que sortis du cœur. Elle fait rarement preuve de méchanceté gratuite, mais les scrupules sont une chose qu’elle ne semble pas connaître et mieux vaut ne pas trop lui barrer la route, après tout elle n’est pas une confrériste pour rien.

But : À long terme, Malaika partage maintenant les mêmes buts que la confrérie. En effet revenir en arrière signifie pour elle la prison à vie voir sont exécution alors elle ferra tout pour réaliser les rêves de Markus. Elle espère également devenir une personne importante au sein de la confrérie. Pour le moment, c’est tout ce qu’elle souhaite mais sont trop plein d’ambition risquera de la faire voir toujours plus loin, trop loin peut-être.

Histoire :
De la pluie, cela faisait bien trop longtemps qu’il n’en était pas tombé sur les hauts plateaux d’Ethiopie et la voila qui venait bénir la naissance de la petite Malaika ! Aucun frères et sœur pour l’accueillir, elle était la première fille de monsieur et madame Sidokpohou, un couple assez influent qui avait percé dans le secteur de la drogue et plus particulièrement de l’opium.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, la jeune Ethiopienne grandit dans un climat saint, passant la plupart de son temps dans l’une des nombreuses plantations familiale.
Bien sûr, elle voyait plus souvent sa nourrice que ses parents mais ceux-ci la couvraient toujours de cadeau et la comblaient de bonheur et selon elle, tout était pour le mieux.

Plusieurs années passèrent ainsi dans ce petit paradis où Malaika s’épanouie, entourée de ses parents et des paysans chargés de récolter les précieuses plantes de pavot. Seulement, il s’averra que suite à son premier accouchement, Oni (sa mère) perdit sa fertilité et en tant que fille unique, ses parents nourrissaient de grands espoirs en elle et voulaient tout ce qu’il y a de mieux, c’est ainsi qu’à l’âge de onze ans, elle du subitement déménager pour Addis-Abeba, la capitale et ce afin d’intégrer le plus prestigieux collège du pays. Hors de question qu’elle reprenne l’entreprise de la famille, il fallait qu’elle devienne une femme importante qui gagnera sa vie de manière légale, sans avoir à soudoyer les autorités !

De la petite maison de campagne où se côtoyaient des gens simples, francs et aimables, elle débarqua dans un internat ou l’hypocrisie et la compétition régnaient en maîtres.
Les débuts furent difficiles, Malaika étant bien trop naïve et faisait toujours confiance à ces « amies » ce qui lui rapporta plus d’ennuis qu’autre chose. Toutefois, si elle était parvenu a intégré le meilleur collège, ce n’était pas seulement du au porte-monnaie de ses parents, elle fut assez intelligente pour comprendre et s’adapta vite. Ces quatre prochaines années furent bien sombres et marquèrent de façon irrémédiablement le comportement de la jeune fille. Elle qui était ouverte, franche et généreuse, elle paraissait toujours aussi aimable mais seulement en façade. En vérité, son sourire cachait maintenant des pensées calculatrices et bien qu’elle ait des amis elle le savait :
Sa meilleure amie, c’était elle.

Malaika était douée pour les langues, elle savait parler l’amharique la langue officielle de son pays mais aussi l’oromo et avait de très bonnes notes en Anglais et en Chinois mais le domaine où elle excellait vraiment, c’était dans celui d’obtenir de ses parents ce qu’elle désirait, c’est ainsi que les Sidokpohou cédèrent et firent l’acquisition d’un appartement en Nouvelle-Orléans afin que leur fille y poursuive ses études. C’est ce qu’elle voulait, mais dés sont arrivé, elle remarqua son erreur.
Certes, elle ne comprenait pas tout ce que les gens disaient autours d’elle, leur accent ne ressemblants en rien avec celui qu’elle avait apprise, mais inutile d’être douée d’empathie pour comprendre que les regards qui se tournaient vers elle n’avaient rien d’amicaux. Allez savoir pourquoi, l’Amérique avait encore du mal avec les étrangers, surtout quand ils avaient le teint halé et un nom à consonance Arabe ! Mais qu’ils aillent tous se faire voir, la jeune éthiopienne était une battante et même si elle était plus seule que jamais, elle ne comptait pas se laisser faire ! Elle avait beau venir d’un pays pauvre, être une fille de trafiquant de drogue, elle réussirait quoi qu’il en coûte.

Les cours reprirent, et même si elle ne comprenait pas tout ce qu’elle écrivait, elle passait le reste de ses soirées à tout traduire. Sa vie ne se résumait plus qu’à une chose : travailler, et bien qu’elle fit rapidement des progrès, ses professeurs semblaient s’acharner sur elle. Ses notes étaient catastrophiques alors qu’elle fournissait un meilleur travail que les autres. Le mieux pour elle aurait été d’avoir des cours particuliers, mais les revenus de ses parents n’étaient pas non plus illimités ! Les années collèges furent dures, mais le lycée était encore bien pire. Au moins avant, ses « amis de classe » n’étaient pas tous des sales petit blanc imbus d’eux même et racistes !

Toutefois, elle gardait espoir de trouver de l’aide. Après tout, elle n’était pas la seule étrangère ici. Elle fit donc connaissance avec un certain nombre de ses frères et sœurs, plus par besoin de combler sa solitude que pour établir une réelle amitié. Mais en toute occasion, il y à certaine exceptions pour confirmé la règle : Saha qui deviendra sa meilleure amie et son frère Vincent, un jeune homme qui deviendra vite son petit ami. Cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas connu de véritable amitié, et encore plus de véritable amour !
Voila enfin quelque chose qui ensoleilla sa vie et c’est en eux deux qu’elle puisa la force de continuer ses études.

Seulement, un événement imprévu vint tout obscurcir … cela fait maintenant des années mais elle s’en souvient toujours comme si c’était hier, et ce pour une bonne raison ! Ce fut sa première fois, autan avec son petit ami que concernant ses pouvoirs. Ce fut une soirée magnifique, pour elle comme pour lui, mais il dut rentrer chez lui et même si elle le déplora sur l’instant, elle ne tardera pas à louer les dieux d’avoir été seule quant arriva cet étrange évènement.

Trois heures du matin, le silence régnait dans le petit appartement alors qu’elle se réveilla en sursaut, sentant des choses étranges se produire à l’intérieur de son corps. Vincent et elle étaient vierges, ils n’avaient donc pas eut besoin d’utiliser de préservatifs mais soudain elle se demanda si elle avait vraiment bien fait. Elle n’avait jamais eut de règles et se pensait aussi stérile que sa mère mais peut-être c’était-elle trompé ? Elle n’eut pas le temps d’y penser plus longtemps : elle sentait quelque chose glisser en elle, tout de suite elle pensa qu’elle avait peut-être enfin ses règles, ou pire : une fausse couche ? Impossible, combien de temps mettait un ovule féconder pour donner un fétus ? Jamais on ne le lui avait enseigné à l’école mais cela prenait certainement bien plus de temps. Soudain, elle du pousser car quelque chose essayait bel et bien de sortir ! Après quelques minutes, elle parvint à accoucher d’une… espèce de balle de tennis blanche. Cette sphère était très étrange, et après inspection, on aurait bien dit un œuf !

Tant de questions se bousculaient dans sa tête, et si peu de réponses leur faisaient échos ! Une seule chose était sûr : ce qui venait de se produire était impossible venant d’un humain. Seulement, son petit ami et sa meilleure amie étaient orphelins de père, celui-ci ayant été tué lors de l’une des grande escarmouches qui opposa mutants et humains. Comment réagiraient-ils en l’apprenant ? Non, ils ne l’apprendraient pas, personne ne serrait mis au courant. Elle n’avait pas honte de ce qu’elle était, au contraire, mais les Hommes l’avaient déjà exclut de par ses origines alors si jamais ils étaient mis au courant… tout ses rêves s’effondreraient et certain extrémistes risqueraient bien d’aller plus loin !

Son pouvoir était peut-être facile à cacher, il suffisait de comprend en quoi il consistait vraiment et alors elle s’en sortirait. Restait une question importante : que faire de cette étrange sphère ? Renfermait-elle la vie ou bien n’était-ce qu’une illusion ? Elle était trop jeune pour se permettre d’avoir un enfant, encore plus un enfant né dans un œuf ! A l’époque, elle s’imaginait donner naissance à une sorte de grosse poule ou quelque chose d’aussi ridicule, elle s’était trompée.

La nouvelle mutante alla en cours le lendemain comme si de rien n’était, anxieuse de pondre un nouvel œuf à son insu. L’autre reposait tranquillement chez elle, caché dans un coin sombre. La journée se passa sans incident mais Malaika avait sans cesse l’impressions que tout les yeux se posaient sur elle et appréhendait beaucoup qu’un nouvel imprévu arrive. Elle ne fut rassurée qu’une fois chez elle, la sphère était toujours là et sans changement apparent. Peut-être que finalement, la jeune mutante n’aurait pas d’enfants, que sont pouvoir était tout autre ! Pourtant le soir même, elle pondait deux autre œufs…

Combien d’enfant ferrait-elle avant de pouvoir s’arrêter ?! Un lui aurait largement suffit, trois seraient impossibles à gérer, et que dire à leur père ? Mais elle avait un autre souci : elle n’y avait jusque la prêter aucune attention mais deux tiges inconnues se trouvaient dans ses cheveux, des antennes ! Alors qu’elle s’en rendait compte, celle-ci se mirent également à se levées et à s’agiter en tout sens ne faisant qu’effrayer d’avantage la jeune femme. Heureusement, elle comprit que cela n’était qu’une nouvelle extension de son corps et qu’elle était donc capable de la contrôler aussi bien qu’elle contrôlait ses bras ou ses jambes. Le lendemain, elle les rabattit en arrière, les scotcha sur son crane et rabattis ses cheveux dessus. Ni vu ni connu, le résultat était bluffant.

Deux autres journées passèrent et rien de fâcheux n’arriva ni au lycée ni dans son appartement mais au crépuscule de se troisième jour en tant que mutante, elle découvrit sont appartement en partie saccager et une partie de son frigo vidée. Mais elle n’était pas au bout de ses surprises : au lieu de trois jolis sphères, il n’en restait plus que deux, la première étant devenu un énorme cocon ! Voilà qui serrait impossible à cacher si quelqu'un venait lui rendre visite… Elle passa le reste de sa soirée à ranger tout ce qui avait été renversé se demandant combien de temps cette situation durerait encore. Avant de repartir, elle laissa de la nourriture bien en évidence à coté des deux autres œufs, mieux valait prévenir que guérir.

Sans surprise, elle retrouva alors trois cocons. Petit à petit, sa curiosité augmentait ou peut-être même était-ce déjà de l’amour, après tout c’était ses enfants, elle en était maintenant persuadée. Tout avait commencé un dimanche, et voilà qu’une semaine plus tard naquit un être asexué aux traits mi humains, mi formicoïdiens. C’est alors qu’elle comprit l’utilité de ses antennes, celles-ci agirent comme un récepteur capable de sentir et de comprendre les phéromones envoyées par son enfant ! Encore qu’elle apprit bien vite que ce n’était pas un enfant, mais déjà un adulte, en effet toute son enfance s’était déroulée dans l’œuf puis dans le cocon qu’il s’était fabriqué lui même. Bien que l’intelligence de son enfant était plus limitée que celle d’un humain, celui-ci se révéla tout de même rusé et suffisamment sage pour comprendre les indications de sa reine. Il comprit pourquoi il fallait rester caché, ce qu’il arriverait si elle était découverte et tout un tas d’autre chose. Ce qui étonnât le plus Malaika, c’est tout l’amour et la dévotion que sont enfant lui portait, mais minuit était déjà passer depuis longtemps et il finirent par s’endormir.

Le lendemain, Oko (c’est ainsi qu’elle l’appela) s’occupa des derniers cocons pendant que la mutante suivait ses cours comme à l’habitude et avant même qu’elle ne s’en rende compte, elle se retrouva en l’espace de quelques mois avec toute une ribambelle d’hybrides ! La situation était intenable, plus personne n’était entrer dans sont appartement depuis longtemps et ses amis trouvaient cela très louche. C’est pour cette raison que fut fondée la vraie fourmilière. Dans la forêt, il serrait bien plus facile de les cachés et ses enfant pourraient chasser pour se nourrir eux même.

Les mois passèrent sans le moindre incident, chaque matin, Malaika rendait visite à ses petits et leur apportait quelques fois des œufs. A force, elle avait apprise à contrôler son pouvoir et pouvait pondre à sa guise, se limitant à une quinzaine afin de ne pas éveiller de soupçons. Elle eut son bac avec mention très bien, une belle revanche sur ses profs qui s’évertuaient à la rabaisser. Elle poursuivit ses études, visant le bac +3 afin de travailler aux affaires étrangères. Elle connaissait toujours les mêmes difficultés mais en trois ans, elle avait sut s’y faire et puis seul l’amour de Vincent comptait pour elle. Sa vie était tranquille, presque monotone mais sa double vie lui convenait. Seulement, à être la seule mutante entourée d’humains, elle finit par se sentir seule et manifesta l’envie de rencontrer d’autres personnes comme elle. C’est seulement à ce moment qu’elle apprit à bien différencié l’institut et la confrérie sans vraiment prendre parti, l’un semblant trop mou et l’autre trop extrémiste.

Elle resta donc dans sa bulle composé de Saha, Vincent ainsi que ses enfants et elle. Elle continua ses études et finit par obtenir le diplôme tant rêvé, avec ça elle pourrait commencer par travailler en tant que traductrice dans une ambassade et puis s’élever peu à peu des les échelons. Plus rien ne semblait pouvoir se mettre en travers de son chemin et pour fêter cela, elle accepta de trinquer avec sa meilleure amie, mais juste un verre. Seulement, la vodka la grisa bien plus qu’elle ne l’aurait imaginé, et ses bonnes résolutions partirent en fumée. Elle connu enfin les effets de l’alcool, et cela ne lui déplut pas. Seulement voila, son amie n’était pas dans le même état d’ébriété, et elle se rappela très bien d’un incident fâcheux : au comble de l’ivresse, Malaika c’était amusée à pondre un œuf pour l’offrir à Saha. Le lendemain, alors que toutes deux étaient prise d’une atroce migraine, elles durent toutefois s’expliquer tant bien que mal. La haine de Saha envers les mutants était sans limite, mais les pleurs de son amie semblèrent la raisonner et elle finit par promettre de ne pas lui en vouloir et de partager ce secret avec elle, sans rien révéler à personne, pas même à son frère.

Après qu’elle soit partie, Malaika ne cessât de pleurer, comment avait-elle put être aussi stupide ? Heureusement que sa meilleure amie avait sut se montrer compréhensive. Son mal de crâne de voulait pas passé et la lumière lui faisait mal aux yeux et il n’y avait aucun de ses enfants pour aller l’éteindre. Elle se décida donc à sortir dehors, prendre un peu d’air ne lui ferrait pas de mal ! Alors qu’elle franchissait les portes, elle remarqua Saha qui n’était pas encore partie, visiblement occupé au téléphone. Poussée par la curiosité, elle s’approcha pour écouter.

« …es là répond c’est moi ! Il faut absolument que je te parle le plus vite possible ! Malaika… elle… c’est une mutante ! Je l’ai vu de mes propres yeux et elle m’a fait promettre de ne rien répété et j’ai eut trop peur pour lui tenir tête je suis désolé. J’ai peur Vincent, rappel moi dés que tu serra rentré. »

Les yeux de Malaika se rouvrirent. Cinq années d’amitié, voila donc ce que cela signifiait aux yeux d’une humaine pour qu’elle la trahisse ainsi, et ce au nom de sa différence ? Un sourire mesquin vint étiré ses lèvres et dans ses yeux ne se lisaient nulle tristesse. Bien sûr elle souffrait, cela lui servirait de leçons sur la nature humaine se dit-elle. Mais elles ne lui ferrait pas l’honneur de verser quelques larmes pour cette amitié brisée ho ça non. Elle préféra doucement sombrer dans la haine, une haine aveugle bien trop proche de la folie ! Les nerfs à vif, elle prit les clefs de l’appartement de Vincent et se rendit chez lui afin d’effacer le message du répondeur, il fallait supprimer toutes les preuves… et Saha en était une. La faire taire par des moyens légaux serrait impossible, elle le savait, mais sa décision était prise.
Où allaitt-elle ? Sautant dans sa voiture, Malaika la suivit jusque chez ses parents. Etaient-ils là eux aussi ? Vu l’heure, ils devaient certainement travailler.

Il pleuvait dehors, elle en profita pour passer un long imperméable et pour y cacher le couteau le plus aiguisé qu’elle avait trouvée. Encore cinq minutes en voiture et tout serrait finit. Tout s’enchaînait tellement vite, voila qui ne lui ressemblait pourtant pas, elle qui était si calculatrice. Mais la haine lui permettait de ne pas ressentir la profonde douleur de cette trahison et elle s’y laissé totalement immergée. Saha la considérait comme une mutante et donc comme une personne dangereuse à mettre à l’écart, comme une tueuse ? Et bien puisque c’est comme ça qu’elle la voyait, c’est comme ça qu’elle agirait !

Ding-Dong

Il n’y avait pas d’œil de bœuf à la porte et Saha ouvrit sans se douter de ce qui l’attendait, elle ne vit pas la mort venir. Celle-ci fut rapide, Une des mains de Malaika s’étant plaquée sur sa bouche et l’autre ayant enfoncé le couteau dans le cœur. Rapidement, elle repoussa le cadavre, entra et referma la porte derrière elle. Elle se précipita à la cuisine où elle prit une feuille en prenant soin ne pas laisser de traces et écrivit dessus :

« Malgré nos menaces vous n’avez toujours pas payé vos dettes, vous récoltez maintenant ce que vous avez semer. Si dans une semaine nous n’avons toujours pas l’argent, se serra le tour de votre fils, puis de votre femme ! »

Voila qui embrouillerai beaucoup la police… Fière d’elle, elle s’en alla plus discrètement qu’elle n’était entré et se débarrassa de son imperméable une fois rentré chez elle. La situation avait éclaircit ses idées, mais une fois sa besogne achevée, son mal de crâne revint de plus belle et sombra d’un coup dans les bras de morphée. A son réveil, Vincent était là, les yeux embués de larmes. Il lui annonçât la triste nouvelle et elle, elle mima parfaitement l’étonnement puis le désespoir, laissant même couler quelques larmes. Mais au fond, elle jubilait, elle avait commis le crime le plus immoral mais cela ne la choquait finalement pas tant que ça.

« Tu vois… ce qui est marrant c’est qu’elle m’a laisser un message sur mon portable disant que je ne répondais pas chez moi et que elle avait peur d’être toute seule chez elle. Elle m’a dit de rentrer chez nous dés que je pourrais et qu’elle avait quelque chose d’important à m’apprendre sur toi. Et maintenant, elle a été sauvagement assassinée ! »

Réprimant un hoquet de surprise, elle sentit plus qu’elle ne vit le poing s’écraser contre sa figure et chuta violemment contre la table de nuit. Qu’elle idiote, elle n’avait même pas penser a son téléphone portable, il faut dire qu’il ne l’utilisait jamais…

« Tu l’a assassiné ! C’est toi je le sais très bien, et j’ai appelé la police ! Mais le mieux, c’est que tu ne pourras pas compter sur tes petits amis : je ne suis pas fou, ma sœur m’a révélé ton pouvoir et j’ai trouver la fourmilière et tiens, tu ne sens pas une drôle d’odeur de brûler ? »

Ses seuls amours… partis en fumée. Cette peste avait réussi à tout briser, elle avait anéantit leur amour mais aussi toute sa vie, combien d’années prendrait-elle pour l’avoir tuée ? On ne ferrait pas de cadeau à une mutante… Sa vie était gâchée, elle ne ferrait jamais carrière dans les affaires étrangères et n’épouserai jamais Vincent. D’ailleurs, si elle ne faisait rien celui-ci n’allait pas tarder à venger sa sœur en la tuant. Il se rua sur elle et elle eut seulement le temps de soulever ses pieds pour se protéger, elle comptait juste lui faire faire un léger vole plané au dessus d’elle, mais elle n’avait pas compté sur la force de ses jambes, la vitesse à laquelle il allait et surtout, à la résistance de la fenêtre juste derrière ! Vincent vola dans les airs et brisa la vitre, se retrouvant soudain comme suspendu dans le vide, mais contrairement à Snake, il ne contrôlait pas la gravitée et sont corps gisait dans la rue à peine quelques secondes plus tard, ses membres tordus en une position macabre.

Leurs vies à tout les deux allaient s’arrêter là, elle comptait maintenant sauter et le rejoindre dans la mort. Ce monde n’était pas prêt pour elle, alors elle allait le quitter. Après tout, cela valait certainement mieux que de passer sa vie en prison ! Quel autre choix avait-elle ? Fuir peut-être, mais elle serrait vite rattrapée. Dehors, des gens criaient et montraient du doigt la fenêtre brisée, on pensait peut-être encore à un accident, elle pourrait se joindre aux badauds et disparaître rapidement et puis si jamais elle était retrouvée, peut-être que ses pouvoirs lui permettrait de luter ou bien de s’offrir la mort. Ce n’était pas le genre de Malaika de se résigner et à toute allure, elle prépara ses bagages. Quasiment tout ses objets venaient de perdre leur valeur sentimentale et à part ses habits et ses quelques bijoux, elle ne s’encombra que du stricte minimum, mais pour aller où ? Soudain, elle se rappela tout ce qu’elle avait apprit sur la confrérie. Finalement, ceux-ci ne faisaient que lutter contre la ségrégation qu’on leur infligeait depuis des années. L’institut, ses idéaux étaient nobles mais les humains avait toujours refusés les chances qu’on leur avait offert, tant pis pour eux.

Le seul espoir de Malaika, c’était maintenant d’aider la confrérie à bâtir ce nouveau monde tant rêver, et dans lequel elle pourrait à nouveau avoir une chance d’avenir.

Wow ! Magnifique fiche ! Mais faut qu'on en parle et on te répond ! Pour ma part c'est ok, même s'il faut faire attention à la limite du pouvoir et à d'autres détails.

Bienvenue à toi Malaika, une superbe fiche en effet. Un pouvoir très original.

Rejoins le powoh du big boss. Tire sur le calumet : La reine des fourmis XD.

J'ai pas eu mes camardes du haut conseil, mais j'en profite pour poser deux trois questions qui nous aiderons surement...

Principalement : durée de vie de tes hybrides ? Combien tu en génères par jours ? Et bien sur il n'ont aucunes autres capacités que de t'obéir non ? Les gènes du père n'auront rien à voir avec eux ?

Aussi (le gars curieux qui s'arrête plus) Tes antennes ne te permettent rien d'autres que de communiquer avec tes petits enfants..? Et la poche spermicide, durée de vie des titis spermato ?

Sacré fiche, mais le pouvoir est puissant, du coup, on prend le temps.XD

Sinon, rien à voir, mais serais-tu camarade avec Amanda dit " miss hormones " qui arrive aussi sur le fo. Vos fiches sont différentes, mais entre procréation et hormones, vous allez rendre dingues nos pitis confréristes...mdr

Woh, merci beaucoup pour ces compliments
Concernant mon pouvoir je vais essayer d'être le plus précis possible:
Donc les rejetons ont envieront la taille d'un enfant mais ils ont des traits adultes, des antennes et des mandibules à la place de dents. Ils n'ont pas six pattes et ne peuvent pas grimper sur les murs, ressemblant physiquement aux humains, ils sont aussi habiles mais ne peuvent donc pas porter trois cent fois leurs poids ou autre choses communes aux insectes. Ensuite, ils ne peuvent pas parler si ce n'est en envoyant des phéromones et donc oui de préférence ils n'obéissent qu'à leur maman! Sinon, les antennes de Malaika sont comme deux grands nez donc au mieux ils lui serviront a mieux sentir mais rien de plus. La durée de vie d'une fourmi est dix fois plus courte que celle d'une reine donc logiquement les enfants de Malaika vivraient un peu plus de cinq ans. Il est sûr qu'elle risque vite d'avoir bien trop de petits donc je propose de m'imposer une limite, se serra facile d'expliquer que la pauvre ne veut pas s'encombrer d'un nombre incalculable d'enfants.
Sinon, le maximum qu’elle ait pondu en une journée c’était trois œufs donc je ne pense pas ni qu’elle puisse, ni qu’elle veuille en produire plus (accouché trois fois par jours ne doit pas être une partie de plaisir).
Concernant la partie génétique, ma jeune mutante est une reine novice et en tant que telle elle ne peut faire que des ouvrières asexuées. Après, lorsque sont pouvoir aura évolué, elle devrait être capable de créer des sexués (qui serviront pas a grand-chose) et des majors, les vrais soldats. Concernant le papa et bien il semble évident qu’une partie de ses gênes se retrouvera dans les hybrides, donc si jamais un membre de la confrérie couche en secret avec elle tout le monde ne tardera pas à le savoir quant même !
Après la spermathèque agit du mieux qu’elle le peut pour offrir un milieu favorable mais les spermatozoïdes de l’Homme ne sont pas fait pour vivre longtemps donc une semaine grand maximum.
Enfin concernant Amanda on peut dire que le hasard fait bien les choses, je ne la connais pas encore mais cela ne saurait tardé ! Voila je pense avoir apporter pas mal de précision mais si d’autres questions vous passent par la tête, aucun problème !
Reste à savoir à combien d’enfants je dois restreindre mon personnage.

Le hasard fait bien les choses en effet ^^

Petite question posée aux MJs et à Malaika :
Amanda dégage une forte concentration de phéromones et d'hormones. De ce fait, les "supers nez" de Malaika supporteraient elle facilement, ou bien la femme-fourmi saturerait elle ?

Autre chose : Amanda perçoit également mieux ce genre de dégagement hormonaux et phéromonaux. Amanda serait elle capable de "comprendre" les dialogues entre Malaika et ses marmots ?
Chose qui me parait fort improbable d'ailleurs.
Mais Amanda sentirait clairement l'échange, un peu comme quand on voit des gens parler dans un langage étranger.

J'allais justement t'envoyer un mp pour en parler mais autan le faire ici :
Je pense que Malaika serra très réceptive à tes phéromones, elle risque donc d'avoir quelques penchants homosexuels plus facilement que les autres femmes!
Sinon, Amanda serra bel et bien capable de nous "entendre" mais à moins qu'elle t'apprendre leur langage... c'est comme s'ils parlaient Chinois.
Petites précisions : les enfants étant asexués, ils ne seront pas attirés, du moins pas de la même manière.

Ouaip , reste à savoir combien, quand je lis j'ai l'impression que tu nous prépare toi aussi une grande méchante XD

Avec tout une armée de cochonnerie heu de bébé zybrides. Mais pour ne pas que tu démarre trop puissante, et que on voit comment cela se gère au fiur et à mesure, nous pensais à 6 maximum au début.

Sinon, j'aimerais bien que tu me mp, un bout sur comment tu vois ton installation rp et un peu ce que tu prévois par rapport à ton incroyable pouvoir..

On est d'accord pour 6 affreuses bestioles, heu gentils bébé de Malaika...

Bref, je pense que l'on peut dire fiche validée !

Bienvenue confrériste^^

Première évolution :
Malaika est une femme - reine fourmis, jusque là cela lui permettait de pouvoir – à condition bien sûr d’avoir été fécondée au préalable – donner naissance à des ouvrières mi Homme mi fourmis prêtent à la servir.
Seulement dans une vraie colonie il n’y a pas qu’une reine et des ouvrières, il y a aussi des majors (grosses fourmis spécialiser dans la guerre) et des fourmis sexuées.
Maintenant, le jeune Ethiopienne n’est toujours pas capable de faire des guerrière mais elle arrive à pondre des êtres sexuées, des princes et des princesses ! Si elle pond une princesse, celle-ci lui ressemblera physiquement et si elle pond un prince, celui-ci serra une copie du père. On note toutefois plusieurs différances importante : ces enfants on des antennes, et une paire d’ailes. Cette paire n’est toutefois là plus pour faire joli qu’autre chose car mal adapter à la carrure des « enfants », ils ne pourront donc au mieux que planer un peu, pas voler. De plus ces princesses ne possèdent pas son don et si elle s’accouple avec un mutant son prince n’aura pas les pouvoirs de son père (enfin si vous insistez moi je dis pas non^^).
En somme quelle est l’utilité de cette évolution :
-Avoir des princesses qui lui ressemblent comme deux gouttes d’eau (ou presque).
-Avoir des princes qui ressemblent comme deux gouttes d’eau à leur père (ou presque vu qu’ils ont des antennes et des ailes)
-Avoir des gardes du corps plus grands que les ouvrières et plus « humain » aussi, ils ont des cordes vocales et peuvent donc parler et on le sang chaud, ils ne tombent donc pas en léthargie lorsqu’il fait trop froid.

Voila si cela vous convient j’aimerai savoir combien de princes/princesses elle peut avoir sachant qu’elle a déjà cinq ou six ouvrières. Et aussi si le temps de gestation pouvait être relativement court… se serrait sympa.
Voila encore merci en tout cas pour m’avoir accorder cette évolution ! C’est une vraie surprise et sa me touche beaucoup.
A bientôt !

*pq j'entrevois des petits Terry miniatures avec des antennes dans les couloirs de la Conf'... XD*

ben sinon, pr moi ça va^^

pr le nombre je ne sais pas trop, je dirais 2 ou 3 max, mais on va attendre l'avis d'Alex et/ou Drago^^

Aller, on va dire que le temps de gestation d'un(e) sexué(e) est de quelques heures (3 à 4 heures, on est sympa ^^), tu ne peux en avoir deux en même temps (trop facile sinon, avec les ouvrières en plus ^^) et il te faut attendre 24 heures minimum après la première gestation pour pouvoir faire naitre un(e) prochain(e) sexué(e).

En sachant que tes sexués ressemblent quasiment à des humains et possèdent les mêmes "caractéristiques" physiques (suivant le sexe du sexué, bien sur), ou presque, je pense que c'est largement suffisant.

Si tu es ok, c'est donc évolution validée miss fourmi