Détente et Info [Ouvert]

les couloirs

Pierre s’était trouvé un but dans ses déambulations dans les couloirs. Il était venu ici pour trouver des informations sur l’affaire Renfield qu’Alex avait simplement évoqué. Le farfadet lui avait conseillé de lire la presse et s’était ce qu’il était venu faire ici. Il se rendit aux archives de journaux. Même si cela prendrait beaucoup de temps, il voulait savoir de quoi lui avait parler Alex, et de toute manière il n’avait rien d’autre à faire. En cet instant, rien n’était plus important que de trouver des informations sur la mystérieuse affaire Renfield pour Pierre.

C'est à ce moment qu'il y eut un grand bruit ressemblant à une chute de pierres. En regardant par la fenêtre, on ne voyait dehors qu'une poussière blanche qui s'épaississait de plus en plus. Après quelques secondes de perplexité où personne ne voyait quoi faire, le mur tomba. Puis une voix énorme, métallique, résonna dans la pièce :

"Nouvelles cibles engagées."

Immédiatement, des rayons laser commencèrent à fuser à travers la salle. Nul ne savait ce qui se passait car la poussière empêchait d'y voir, mais l'évidence était là : il fallait déjà commencer par se planquer pour ne pas recevoir un rayon.

(HRP : désolé pour le post très court mais je fais le même dans des tas d'endroits John)

Pierre s’était perdu dans ses recherches. Finalement il n’avait rien trouvé sur l’affaire Renfield mais il n’avait pas perdu son temps car il avait consulté de nombreux vieux articles qui décrivaient la vie de Boston.

C’est en plein milieu d’un article qui parlait d’un incident causé par un mutant. Qu’un grand brouhaha envahit la pièce qui était silencieuse. Pierre eut juste le temps de voir à travers les rayons de la bibliothèque, un morceau de mur s’effondrer avant qu’un nuage de poussière ne masque tout. La peur lui fit perdre le contrôle de se jambes et il tomba au sol s’en comprendre ce qu’une grosse voie robotique disait. L’instant d’après des lasers de partout fusait de partout et heureusement que Pierre était au sol car un des tir transperça la bibliothèque très prêt de lui pour frapper la pile de journaux archivés et y mettre le feu.

La porte n’était pas très loin de sa pseudo-planque mais il devrait passer quelque mètre tout de même à découvert. Cela dit il serait rapidement bloqué entre l’incendie naissant, et la chose qui venait de rentrer dans la pièce. Tétanisé par la peur, il ne pouvait pas bouger le petit doigt mais il se concentra pour faire apparaître sa coque protectrice le plus possible sans se tuer lui-même par asphyxie, ou autre. Il venait de faire un parie risqué, Si il fallait s’enfuir il mettrait du temps a s’extirper de sa protection trop complète comme un papillon met beaucoup de temps à sortir de son cocon.

[HRP - Désolé je n’ai pas pu répondre plus tôt dans la semaine.]

[ HRP - EDIT – Pour pouvoir bouger ]

Le calme était revenu dans la pièce. Les lasers avaient finis de traverser la pièce et le feu avait été rapidement éteint par le système anti-incendie de l’institut. Après avoir retrouvé son calme, Pierre se démena à se sortir de sa prison protectrice, forçant sur certains membres pour les faire glisser au risque de se couper.

Finalement il s’en sortit avec une seule blessure au poignet droit car il avait réussit à ne pas trop s’englober dans sa matière protectrice. Il avait rarement réussit à arrêté son pouvoir aussi précisément. Pierre se leva et examina la pièce. Tout était sans dessus dessous et il n’y avait pas de blessés graves parmi les autres élèves. Une fille était pas mal brûlée à l’épaule mais c’est tout.

Pierre s’en voulait de n’avoir rien pu faire, il venait de découvrir un nouvel aspect détestable à son pouvoir. En plus d’être une entrave à la liberté, il permettait de sauver égoïstement un lâche.

* Peut-être que mon pouvoir est le reflet de ma personnalité… Je n’ai jamais voulu être faible mais est-ce que j’ai le choix ? J’ai vraiment trop l’impression de servir à rien. *

Pierre quitta la pièce en piteux état sur ses pensées démoralisantes, laissant les élèves seuls pour retourner errer dans les couloirs, car comme d’habitude il ne savait pas quel était son chemin.