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MessageSujet: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptySam 18 Nov - 16:44

*
* *


"..."

Deux pas claquants. La jeune fille avança, l'air sombre, un peu à tatons - elle ne semblait pas voir où elle allait, et avait les yeux fermés. D'un air calme, elle traversa la rue assez vide devant la Confrérie, et, toujours aussi immuablement flegmatique, elle ouvrit la porte, entrant dans un lieu baigné de chaleur comparé au froid de dehors, dans ce décembre hivernal. Secouant la tête, elle déposa ses maigres affaires juste à droite de la porte, et, sans complexe, s'assit sur la malle posée contre le mur. Elle fini par ouvrir les yeux, et découvrir le long hall qui s'offrait à ses pupilles, aveugles il y a à peine quelques secondes. En soi, c'était très différent de ce que la femme avait imaginé; les grandes fenêtres découpées dans le mur semblaient propres, bien entretenues. Pour quelques temps encore, elle pouvait goutter aux cinq sens ensemble - la clarté de la pièce, la légère odeur de peinture et de vernis, l'air chaud qui séchait sa langue, et la douce étoffe de sa robe contre ses mains. Elle-même, habillée en gothique, avait l'air assez mignone; cependant, elle ne se distinguait pas de la masse de dames qui courent les rues. C'était sa robe qui faisait son attrait - longue robe simple, noire, aux manches élargies; avec une longue ceinture étrangement ornée, un collier - une petite fleur de lys renversée en argent, c'était le seul ornement qu'elle avait; sur ses épaules, un espèce de pull noir qui se confondait avec la robe. Sans que le vêtement eût semblé étrange, il rendait la jeune fille attirante - la robe, en elle-même, lui allait très bien. Elle lâcha un soupir, puis, sans même s'en rendre compe, ne retrouva plus l'odeur de la peinture et du vernis. Tel était son fardeau - elle perdait les sens, un à un, les retrouvant plus tard - et tous les jours, sans même s'en rendre compte, elle avançait, un sens en moins -, et tel une peine quotidienne, elle s'en était accoutumé. Profitant de sa vue, elle regarda autour d'elle; elle s'était imaginé la confrérie autrement. Elle avait tout de suite - comme un cliché - imaginé l'endroit comme sordide, lugubre, sombre; et maintenant, elle voyait qu'elle s'était trompée. Etirant ses bras, elle comprit qu'elle était heureuse d'être ici. Enfin, elle avait un lieu sûr où aller, un endroit où dormir chaque soir... C'était réelement très nouveau pour elle, et, quelque part, elle pensait pouvoir se définir comme heureuse de cette situation. Là encore, le bonheur était quelque chose de très nouveau pour elle - elle ne venait que de réaliser que cette situation la rendait joyeuse. Secouant la tête, elle se déclara interieurement tout de même déçue par ce lieu. Elle avait espéré mieux. Pour l'instant, elle n'avait qu'une envie, dormir, mais après, il allait falloir s'intégrer... Elle n'en avait aucune envie. Elle ne désirait pas la companie des autres - elle les trouvait trop ininteressants. Peu de chose la passionait: les livres, la lecture, l'écriture. Elle-même n'aimait pas ce qu'elle faisait - les lignes qu'elle faisait -; cependant, elle écrivait assez bien. Dégageant une mèche, passée devant ses yeux, elle s'étira encore. Elle avait l'air vaguemment déprimée, et surtout très fatiguée; apparement, elle avait eût une journée bien remplie avant d'entrer dans ce vaste lieu si bien éclairé. L'air morne, elle regarda avec un semblant d'attention l'endroit où elle se trouvait... Elle avait vu mieux. A part le fait que l'endroit soit propre et très salubre, il n'y avait pas grand chose à signaler; des chaises, des fauteuils, et tout ce qu'on trouve ordinairement dans un hall. Elle se mit à jouer avec la mèche qui était retombée devant ses yeux... Elle ne savait plus quoi faire, maintenant. Elle n'avait aucune idée d'où aller dans ce grand bâtiment, si écoeurant de propreté. Son visage prenait une teinte furieuse; bêtement, elle n'avait aspiré qu'à venir ici. Mais dans quels buts? Deux lui venaient à l'esprit: le premier, c'était pour un logement... Le second, c'était pour pouvoir exterminer ces créatures si ignobles qu'étaient les humains. Peut-être un peu irréalisable: de toute façon, il n'y avait que les hommes pour mettre à terme des projets de ce genre... c'est bien pourquoi il fallait les stopper, par tous les moyens. Lâchant un soupir, elle se rendit compte qu'elle se perdait dans des rêves de gamine. Jamais celà n'arriverait - auss fort qu'elle le souhaitât, mutants et humains n'étaient pour l'instant qu'une seule race. Ce qui voulait dire que des humains pouvaient naître dans un foyer mutant, du moins à ce qu'elle avait compris... Mieux valait laisser ses rêves en tant que tels: elle ne désirait pas réelement celà, par ailleurs, c'était juste une idée passagère. Certes, qui lui avait plus, mais guère plus. Elle lâcha sa mèche de cheveux, ayant l'air toujours plus ennuyée: elle ne savait que faire, pour le moment. Il fallait demander à quelqu'un, un passant, n'importe lequel. Elle se doutait bien qu'elle allait être refoulée, dans un tel lieu; cependant, elle n'avait qu'à essayer... Elle s'éclaircit la gorge, fatiguée. Elle n'en pouvait plus; elle ne voulait que dormir, pour l'instant. Elle ne voulait que dormir... Et c'est à ce moment là qu'elle entendit les légers pas contre le parquet ciré de la Confrérie, qu'elle venait seulement de découvrir. L'ennui la saisissant, la lassitude l'ayant prise, elle se releva, allant voir de qui il s'agissait. Elle n'en avait aucune envie, mais elle devait bien trouver une chambre où dormir. Elle était bien fatiguée, et de toute façon, elle ne conaissait pas les lieux. Elle-même était complètement inoffensive, malgré l'ampleur de son pouvoir: elle ne le contrôlait pas. Il lui fallait donc se montrer sûre, calme, et surtout forte - bien qu'elle ne le fut pas réelement. Elle avait deux moyens: le premier était de lancer, avec une voix calme et précise, à celui - ou celle qui s'avançait : "Qui va-là?". La seconde était d'affecter un désinterêt plus où moins total face au nouvel arivant, sans rien dire, l'air sombre. Elle choisit son second choix, naturellement - elle n'était vraiment pas stupide au point de dire qu'elle-même était là. Elle lâcha encore un soupir, et se rassit.

"..."


Dernière édition par le Lun 11 Déc - 21:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyDim 19 Nov - 12:30

Le lent et calme un autre personnage entra dans la salle. Encore un peu endormie un oeil à demi ouvert l'autre fermée, elle avançait dans la pièce regardant les murs et le sol sans vraiment y prêter grande importance. Ce n'était pas la beauté de ces lieux qui pouvait tant l'éblouir. Non elle regardait au delà de tout ca, sûrement un autre de ces moyens pour se concentrer sur autre chose. Attirant ainsi son regard elle pouvait libérer son esprit et son corps. Portant un large baggy noir avec des trous un peu partout, un large t-shirt noir lui donnant presque un air masculin mais ces cheveux opales et sa peau tout autant blanche faisaient contraste avec ces habits noirs lui donnant une apparence encore plus maladive et son comportement n'allait pas arranger ca. Le genre de femmes qui attirent l'attention sans s'en rendre compte. La hall assez grand, elle marchait de droite à gauche avec un léger balancement. Elle ne voyait pratiquement rien, ou les seuls choses qu'elle apercevait étaient de grandes formes de couleur assez sombre en passant par le rouge. Ces étranges formes lumineuses l'attiraient bizarrement mais elle s'en reculait tout de suite comme prise de peur soudaine. Puis elle senti l'agacement venir engourdir son esprit et ces membres. Ces pas devenaient plus lourds qu'avant. Puis avec ca plus rien ne prenait de l'importance.

Seul chose attirant maintenant son attention était le bruit de voix. Ou d'une voix, elle ne le savait pas car l'écho venait de tout les sens. Ou bien la personne en question ne savait pas être discrete ou c'était pour mieux encore s'attirer des ennuis dans un lieux pareil. Elle put enfin apercevoir du coin des yeux les autres femmes présentes dans la salle. Première impression? aucune. Son corps refusait obstinément de travailler et pour cause, sa vision devenait encore moins précise qu'avant. Les saluer n'était peut être pas une bonne idée. Autant les observer sous tout leurs aspect au lieu de trouver, après, quelqu'un de superficiel. Elle décida donc de rester là, adossée au mur la cachant complètement. Elle ne faisait confiance qu'a son oreille mais son odeur gâchait encore une fois de plus le tout. Cette fois c'était odeur un peu fruits rouges avec cannelle. Une odeur lourde en sucre. Elle soupira d'agacement encore une fois. Depuis des heures qu'elle sentait cette odeur devenant insupportable pour elle. Elle avait senti déjà tant de trucs différents allant jusqu'à sentir le bois. Elle n'entendait rien pour le moment et sachant très bien qu'elle n'était pas très patiente et surtout pas très discrete, elle reversa sa tête en arrière pour au moins entendre les moindres froissement de tissus au cas où si quelqu'un voulait se diriger vers là où elle était et pour pouvoir ce relever si le cas se présentait et ne pas avoir l'aire ridicule.

Elle passa quelques minutes à écouter les bruits stridents et énergiques d'une mouche mais rien d'autre. Peut être que c'était déjà fini pour le moment. A moins qu'elle ne soit vraiment sourde. Elle avait déjà eu le temps de compter le nombre de taches qu'il y avait de son côté gauche et maintenant elle entamait le côté droit. La lassitude la prenait maintenant et un tel changement d'humeur en quelques instants c'était qu'elle qui en était capable. Son odeur était encore présente et embaumait toute la salle. Encore raté. On ne peut jamais être tranquille. Toujours qu'elle ne se décidait pas à prendre la parole, même si l'envie de rentrer en scène la démangeaient littéralement les os.
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyDim 19 Nov - 21:07

[ A dragomir: désolé, le topo est réservé... ça se fait, ici? Donc, s'il-te plait, reviens plus tard ...Pour le texte, je voudrais bien, mais c'est un seul paragraphe (manie des posts à n'en pas finir XD) ]

Deux personnes... plus d'une. Elle ne savait plus compter. Elle secoua la tête, un sourire amusé aux lèvres, et, d'un geste du poignet, elle remit encore la mèche derière son oreille. Elle en se leva pas - pas même qu'elle regarda l'homme devant elle. Elle était plus préoccupée par l'autre femme pas loin, un peu malade, qui avait un petit air glauque. Elle n'avait pas l'air d'aller bien. Laissant l'homme débiter son long discours, elle s'avança vers la jeune fille, délaissant sa valise - qui, mollement, tomba par terre. Elle prit avec elle seulement le petit sac, et, s'aprochant de la dame, ans faire un bruit, elle la prit dans ses bras et l posa au sol. elle n'avait pas la prétention d'être médecin; cependant, elle savait reconaître quelqu'un de malade, et elle savait aussi que fallait-il faire dans certains cas précis. Mais pas dans celui-là. Elle se tpourn vers l'homme, et, articulnt bien, elle lui demanda plus ou moins d'aller se faire voir. Il la gênait. plus qu'autre chose, le babillage incessant d'un homme derrière elle l'aurait déconcentrée. elle se leva, et, retirant son pull, elle en fit un oreiller pour la fille. Lâchant un soupir, elle remit la mèche derrière ses oreilles. Saleté de mèche, qui n'arrêtait pas de tomber... Elle dévisagea la jeune fille. Blanche, habillée en noir. Elle était belle, trocemen belle; ses traits blancs la captivait. Elle règlerait ça plus tard, habillée différemment, probablement. Et qu'est-ce qui lui prenait de penser ça à ce moment? La robe la gênait un peu. Elntement, elel tentâ de voir c qui arrivait à la jeune fille. Il fallait un médecin, elle-même ne s'en sortirait pas seule... L'idiot était-il parti? Elle n'avait pas le temps de vérifier. Il aurait mieu valut qu'il aille chercher un médecin. Pour l'instant, elle devait se débrouiller seule. Réprimant un frisson, elle dressa la liste de ce qu'elle savait sur la maladie de la fille. Insufisance respiratoire - comme dans les livres, pensa-t-elle brievement -, température élevée, manque d'eau apparent. elle ne pouvait en dire plus. Par quoi fallait-il comencer? Un, les poumons. Si elle en respirait pas, elle en crèverait déjà un peu plus sûrement. Elle ouvrit grand les yeux. Elle n'avait jamis fai de bouche à bouche.

"Et m**de..."

Délicatement, elle posa ses lèvres contre celle de la fille blanche... elle était si belle. Il ne fallait pas penser à ça maintenant. Elle secoua vainement la tête, faisant retomber la mèche contre le visage de la fille blanche. Inspirer par le nez, expirer par la bouche, ça ne semble pas difficile en théorie; c'est catastrophique en réalité quand on a devant soit une personne que vous trouvez magnifique, qui, de surcorit, est une fille, et pour finir, quand une légère odeur sucrée vous vient dans les narines, tout d'un coup. Elle inspira pale nez, un peu désorientée, essayant de repsirer par la bouche en même temps - et lâcha un peu brutalement l'air dans les poumons de la jeune fille. Suitement, elel eût les cinq sens - et sentit bien contre elle les douces lèvres de la jeune femme. C'était pour le moins troublant. Elle recomença plusieurs fois, expirant et inspirant régulièrement... C'était dur de tenir le coup. Il y avait trop d'arrières-pensées... Elle secoua la tête. Meiux valait passer à autre chose.
Rapidement, elle sortit une petite bouteille en plastique, pleine d'eau, et fit boire la jeune fille. Légerement rouge, la demoiselle en gothique tentait d'oublier les evenements les plus récents... Pas facile. La dame noire et blanche était vraiment très jolie... Longuement, elle fit boire la dame, calamnt sa rougeur, et, petit à petit, elle vida la bouteeille entre les minces lèvres de celle-là même qà qui elle venait de faire un bouche à bouche. Voyant la bouteille vide - en effet, il n'y avait pas grand chose dedans - elle pensa que celà devait sufire.Tapottant légerement les joues de la femme blanche, et replaçant encore une fois la mèche, elle tenta de voir si elle était déjà plus consciente.

"... Je fais quoi, maintenant?"

[Mieux?]
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyDim 19 Nov - 22:59

Tout c'était passé trop vite et elle n'eut même pas le temps pour réagir alors qu'une personne respirait à travers ces poumons et ces narines. Elle n'avait même pas de forces pour se débattre et sentait une odeur masculine dans un corps de femme. Elle avait juste a peine les yeux grands ouverts et voyait enfin distinctement la dite femme avec pleins de cheveux noirs sur le visage. Puis finalement elle se débattait un peu avec ces mains essayant de reculer la tête noir de la sienne. Finalement sa bouche se libéra et le premier réflexe fût d'enfoncer assez rapidement deux doigts dans les premiers trous qui passent. Elle avait touchée quelque chose mais ne savait pas quoi et se releva d'un bond juste après s'être vengée. Elle jeta un coup d'oeil en bas pour voir son agresseur et fût tout de suite touchée par cette homme tant efféminé. C'était sûrement pas elle qui allait se faire prendre par un travesti. Il était pas trop mal mais ces fringues de femme n'arrangeaient pas le tout surtout quand on s'en rend bien compte.

-Qu'est ce que ?..qu'est ce que tu fout ? qu'est ce que ca veut dire?

Elle était pas vraiment enragée, juste réaction par principe. Elle était trop fatiguée pour vraiment engueuler quelqu'un mais c'était juste pour impressionner un peu et déjà commencer a ce donner une image tout à fait différente de la sienne. Elle soupira lourdement en fermant puis refermant les yeux. C'était sa journée parce qu'elle sentait bien qu'elle n'inspirait rien dutout a par la mélancolie la plus totale avec une pointe de lassitude et de fatigue. Elle sentait encore le goût de la bouche de quelqu'un d'autre sur la sienne et s'essuya tout de suite. Son teint était pâle mais pas a ce point quand même pour qu'on croie qu'elle est malade, non? ..si .. elle était tout le temps triste, ou plutôt l'air triste. Elle n'avait juste plus l'habitude de sourire devant les autres personnes. Et maintenant même si quelque' chose de bien lui arrivait elle restait le même air mélancolique sur le visage. Au moins les rares fois quand elle gratifiait quelqu'un de son sourire, se formaient de traits chaleureux sur son visage. Un aire d'une poupée un peu pâle mais toujours jolie et agréable pour les yeux.

-Alors?
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyMer 29 Nov - 23:19

"Excusez-moi, Mademoiselle, une pure méprise."

Seul maître sur le visage, un petit sourire hypocrite, insupportable, trôna sur le visage. Alors? Il - car c'était bien un homme - se mit à rire. Franchement, purement: d'un petit rire cristallin qui se mariait très bien avec l'image de la jeune fille. Il était évident que le présumé travesti ne riait pas réelement, et que ce rire n'était qu'une prolongation de cette mascarade dérangeante qui l'avait poussé à mettre une robe; mais cependant, le rire semblait vrai. Seuls eux deux ici pouvaient comprendre à quel point le rire était déplacé - et c'était surtout le son du rire qui enuyait, qui gênait, qui exasperait, qui était si haïssable... Tout comme le sourire. Il secoua une mèche, l'air toujours aussi effiminé, puis la remit derrière son oreille. Le sourire restait, et le rire se mourait; lenement, le silence retomba, dans un climat de gêne qui ne sembali pas toucher la fausse jeune fille. Avec toujours le même sourire étrange, il alla se rasseoir sur sa valise, et, la robe autour de lui, commença à mieux observer la jeune fille. Elle était belle; très belle: magnifique, même. Son visage blanc, comme ses traits, lui semblaient merveilleux. Cependant, il ne pouvait imaginer qu'elle pensât la même chose que lui - que penser d'un homme se déguisant en femme, de toute façon, même si ce n'était que pour induire les gens en erreur? - et, pour une rare fois, celà le pesait. Enormément. Il se demandait bien pourquoi celà - et il savait que ce n'était pas normal -, mais, étrangement, cette femme lui plaisait, et il ne voulait pas lui déplaire. son sourire devint assez lointain, un peu triste; il se reprit, puis, d'un ton vif, comença à renouer un peu le dialogue - était-ce seulement possible?

"Enchanté, je suis Lovecraft. Tu sais ou je peux trouver une chambre individuelle?"

Il n'était ni enchanté, ni ne cherchait à trouver une chambre. C'était seulement une réponse de l'autre qu'il attendait -une réponse de cette grâcieuse figure, qu'il ne pouvait pas lâcher des yeux.Son regard était froid, morne, atone; il n'avait jamais eu d'autres regards que celui-là, jamais: à quoi celà aurait-il servit? De plus, pourquoi aurait-il dû paraître amical? Personne n'avait jamais été son ami. La seule personne qui l'eût conu un tant soit peu, c'était Jillian, et Jillian en question était quelque part dans le vieux Paris Blanc. Il l^cha un soupir, et, vaguement, ferma les yeux - sans avoir lâcher le visage de la belle fille. Plus d'image - il avait fallut que ce soit à ce moment là précis que se réveille le pouvoir... La malédiction se réveillait, encore; jamais elle ne le laissait un tant soit peu.Il lacha un soupir, puis ouvrant les yeux, fixa l'autre dame bien en face.

[désolé pour la petite taille et les fautes éventuelles >_<]
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyJeu 30 Nov - 14:21

De yeux bleus grands ouverts dominaient son visage blanc. Il osait encore lui adresser la parole après ca ? Mais qu'est ce que ca veux dire ? Elle soupira à son tour en fermant les yeux un instant. Son nez commençait a l'énerver car une forte odeur de sucre caramélisé s'incrustait dans ses narines. Elle fit quelques pas vers l'avant puis revint En hésitant à lui donner une baffe supplémentaire. Sa joue droite était déjà un peu rosâtre et elle renonça a faire quoi que ce soit. Elle était encore trop fatiguée après une nuit blanche et ne voulait faire de mal à personne surtout maintenant. Elle était lasse et ces mains pendaient lamentablement de chaque côté de son ventre. Le coeur presque mort elle regardait l'homme assis sur sa valise. Il était maigre. Bien trop pour sa taille. Elle passa une main dans ses cheveux ne sachant pas trop quoi faire et ne voulant pas vraiment répondre à la question. L'atmosphère était pas aussi lourde qu'avant sans doutes parce qu'elle se sentait beaucoup plus maître de ces mouvement maintenant que le léger mal entendu était réglé.

-j'en ai aucune idée parce que je le cherche moi même. J'ai passé une nuit blanche je suis fatiguée et c'est pas le moment.

Elle était exaspérée par la vie. Ces rares moments quand elle devenait détestables, plus irritables et morne. Il était venu au mauvais moment. Elle regarda le plafond en inspirant un grand coup sans vraiment se sentir soulagée moralement. Le temps n'était pas bon et son humeur était merveilleusement déguisée. La fureur n'était plus vraiment dirigée vers le bonhomme. C'était à elle même qu'elle en voulait pour avoir été si insouciante et gourde ou même juste pour avoir baffé quelqu'un qu'elle ne connaissait pas en prenant ca pour de la perversité alors que cela cachait peut être qu'un geste de secours et de gentillesse qu'elle recherchait tant depuis si longtemps. Une gentillesse qu'elle avait eu le courage de repousser juste à cause de sa bêtise et de son habitude a se mettre sur la défensive quand il s'agit d'un geste trop brusque pour qu'elle puisse en mesurer tout de suite l'étendue. Elle baissa les yeux vers le sol sans croiser celui du jeun homme. Elle n'osait même plus le regarder redoutant de voir dans ses yeux de la haine. Elle en avait tellement déçue qu'elle en avait peur et l'évitait, la fuyait comme la peste. Pour ca qu'elle c'était effacée de la civilisation pour ne plus resentir le besoin de se faire pardonner à qui que ce soit. Le sol était sale et brillant en même temps.

Elle ne pouvait qu'essayer de se rattraper sur le coup et fit de tout son possible pour rentrer dans une disposition joyeuse sans vraiment se forcer. Un sentiment quand l'esprit est électrisé plus qu'à l'habitude journalière. Elle s'efforça d'afficher un léger sourire pour paraître encore plus enjouée que ca propre humeur. Elle laissa échapper un soupir, cette fois plus léger et prévoyant que l'autre. Un soupir plus de contentement que de fatigue et d'agacement. Sa psychologie était ainsi faite pour changer facilement d'humeur pour les autres et pour elle même sans vraiment y imposer d'efforts. Cela venait tout seul. Elle remonta les yeux essayant toujours d'éviter le regard perçant du jeun homme et fixant son front. En vérité elle était juste timide et avait besoin d'être pardonnée pour la moindre faute commise dont elle se rendait compte par malheur. Elle ouvrit la bouche mimant de dire quelque chose mais rien n'en sortait. Ses lèvres rouges cerise bougeaient sans qu'un son n'en sorte et son visage se crispait sous chaque syllabes. Elle contredictait ce qu'elle voulait dire. Elle prévoyait avec minutie ce qu'elle allait sortir pour encore mieux arranger les choses qu'elle avait brisée et son esprit maintenant aiguisé cherchait tout les propositions possibles avant d'en prendre la meilleur. Mais maintenant le choix n'était pas très varié. Son instinct lui aurait dicté d'aller voir ailleurs mais une fois de plus elle n'écoutait que sa bonne volonté et sa conscience.

Un petit sourire dominait le visage de cette jeune femme blanche comme neige. Bien qu'elle était loin de la réalitée son corps et son âme étaient bien présentes. Son visage reflétait l'enthousiasme d'une petite fille de dix ans. Elle mordillait légèrement sa lèvre inférieur les yeux pétillants geointelligence et de bonheur. Un tel renversement de situation et d'humeur pourrait faire tourner la tête à n'importe qui. Peut être même que le jeun homme ne comprendrait pas vraiment ce qu'elle lui faisait comme scène ou spectacle. Son sourire s'agrandit mais ses yeux ne évitaient toujours le regard de l'inconnu.

-Eh bien ce petit incident n'est pas grave. Et bien venue a la confrérie que je me fais une joie de découvrir depuis cinq heures d'affiliée sans vraiment trouver une chambre ou même croiser une personne. M'enfin ça me fait découvrir les lieux. Tu veux venir avec moi ?

Elle fit une petite mimique de la main pour encourager le jeun homme a se lever. Mais en fin de compte peut être que sa réaction si soudaine n'était pas vraiment agréable donc il était peut être fâché ou pas en mesure de suivre son rythme. Ses yeux devenaient lointains et un peu floues. La seul chose dans son caractère qui gênaient vraiment les gens et c'était la plus grande cause de sa solitude. Elle revint quand même assez vite sur terre affichant un sourire en montrant ses dents encore plus blanches que son visage. Un sourire chaleureux qu'elle n'offrirait qu'à certaines personnes dans ce monde.
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyJeu 30 Nov - 16:56

"..."

Elle se donait du mal pour paraitre joyeuse. Dommage qu'il ne pouvait pas en profiter. Il secoua sa tête, affichant un léger sourire, et,l'air un peu las, il se leva, empoignant sa valise derrière lui. De son autre main, il tenta d'atrapper celle de la fille - il fini par se résoudre à ne lui prendre qu'un doigt, ne voulant pas passer un quart d'heure à chercher les autres. Saloperie de pouvoir, toujours actif, jamais de repos; s'il s'approchait trop - si jamais il touchait plus la jeune fille - elle risquait de perdre la vue tant qu'ils se tiendraient. Lâchant un petit soupir, il tourna sa tête aveugle vers celle de la fille.
Lui en tiendrait-t-elle rigueur? il ne savait pas. Malgré tout, il ne pouvait pas faire réelement plus que tenir le doigt - le pouvoir, un peu las, se contentait de prendre ses yeux à lui. Il était légerement fatigué, et son souire avait l'air un peu faux; il ne souriait pas souvent. Ca ne lui allait pas, au final; Il avait l'air plus naturel en gardant son air distant, mauvais et méchant. Une habitude qu'il ne pouvait pas réprimer - de toute façon, il n'avait jamais vraiment sourit à personne. Se remettant plus ou moins dans les conditions de la jeune fille qu'il semblait être, il serra un peu moins le doigt de la dame blanche, et, un léger sourire aux lêvres, lâcha ces quelques mots:


"Où va-t-on?"

La fatigue semblait plus ou moins refluer. Il en disait pas grand chose, il se contentait de fermer les yeux, et de se laisser guider par la douce main de l'autre fille... Il secoua la tête. Le sourire s'estompa peu à peu, il n'y était pas habitué. C'était un peu comme un masque qu'il retirait; il avait l'air plus de lui-même avec son air un peu mauvais, très neutre et inflexible. Cependant, il avait envie de sourire: étrangement, lui que le bonheur avait délaissé, il se sentait bien, calme - et même heureux. C'avait quelque chose d'iréel, quelque chose qui tenait du rêve; ce n'était pas normal, ce n'était pas lui qui souriait ainsi. Parce que le sourire était beau. Calme, clair, et heureux.
Non, ce n'était pas lui, qui, tel un imbécile, souriait comme ça dans le vide. Il avait l'air plus consistant, normalement... Moins imbécile.Mais il ne pouvait pas se mentir à lui-même: il était heureux avec cette femme. Une amie... Comme Jillian, en plus fort. Ca faisait longtemps, d'ailleurs, qu'il n'avait pas eu de nouvelles d'elle - deupis qu'il avait fui Paris, en fait. Pas étonant. Elle avait dû rester chez elle, à jouer avec ses amis les cobbyes... Il secoua encore un peu la tête, faisant retomber la mèche. Inlassablement, il la remit en position, derrière son oreille. Peu à peu, ses pensées revinrent à Jillian. Il se demandait si... de toute façon, avec elle, on ne pouvait jurer de rien... De rien du tout... Le sourire se redessina brievement, en repensant à la pauvre enfant qu'avait été Jillian. Il avait légerement envie de rire... Il ne rit pas, le sourire s'estompa, et, calmement, il posa sa question.


"Tu connais une certaine Jillian?"

Non, telle allait tomber l'immuable sentence. Après avoir, comme un imbécile, espéré revoir cette fille, qu'il connaissait plus ou moins, il se rendit compte quil n'y avait aucune chance pour qu'elle fut là. Jillian, la Jillian qu'il connaissait, du moins, ne se serait jamais évadée de la Blanche Cité... Il lâcha un petit soupir accompagné d'un "Nevermind" bourré de remord d'avoir posé une question si stupide. pasan une main dans sa coiffure, machinalement, elle se mit à jouer avec la mèche, en question, qui refusait de tenir en place. Le Images revinrent en même temps, le laissant un peu choqué, et les pupilles légeremet dilatées. Ca se remettrait en place bientôt. Il secoua la tête, la lumière le blessant un peu aux yeux. Ca passerait, comme sa bêtise. Il lâcha un second soupir. Il se fatiguait de plus en plus. Il avait envie de se changer, parce que là, il avait l'air... d'une fille. Ca ne le gênait pas, ça gênait probablement l'autre. Saloperie d'altruisme. Encore pire que le pouvoir, dira-t-on; pourtant, on l'adore encore plus que le pouvoir. Il secoua la tête. Il était fatigué, il voulait dormir. Il voulait se changer. Beaucoup de choses différentes etcompliquées...Il sourit un peu dans sa fatigue.

"Faut que je me change..."
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyJeu 30 Nov - 20:51

Son teint se fit plus pâle. Si seulement on pouvait faire plus pâle. Elle avait une pointe de frustration au bout de quelques minutes. Elle ne savait pas si c'était a cause de la mine un peu grisante et morne du jeun homme ou sa conscience qui lui criait des choses dans l'oreille avec une voix stridente et très aiguë. Son coeur ne battait presque plus et son visage devenait aussi las qu'il y a à peine deux minutes. Encore un jeu de changement de caractère. Elle aurait fait une magnifique actrice si seulement elle pouvait contrôler son humeur. Cette charmante jeune dame regardait furtivement au tour d'elle au moment quand elle senti une chaude et agréable présence sur son doigt de la man gauche. Qu'elle en était la provenance elle n'aurait pas pu vous le dire mais elle ne voulait pas réagir comme avant en frappant tout ce qui est susceptible d'être le fautif au la fautive. Non, elle ferma les yeux se disant que c'était encore un autre geste du jeun homme, sans savoir vraiment quoi faire. Un léger frisson parcourut son corps sans qu'elle ne le veuille et c'était pourtant assez agréable pour un frisson d'effroi et d'horreur. Les dents serrés, elle attendait que l'autre s'explique mais rien n'en sortait. Sans doutes encore un geste qui n'a pas besoin d'être explique. Un geste pour demander de recevoir de l'amour et de l'amitié ou un geste juste pour se sentir en sécuritée. C'était sans doutes ca. Le bouillonnant balancement qu'il y avait entre ses deux parties de sa cervelle se calmaient peu à peu. Bien qu'elle ne pouvait pas totalement s'abandonner au calme et au plaisir de la sérénité. L'aconite veille doucement sur elle le temps qu'elle s'endort ou baisse sa garde un peu et c'était suffisant pour tout détruire. Détruire son corps ces muscles et son âme. Chacun avait quelque chose à cacher ici de peur d'être mal comprit ou mal vu et Vanessa en faisait partie. Personne ici ne parlerait librement de son pouvoir ou malédiction, chacun le voit sous un autre angle. Elle faisait comme chacun, essayant désespérément de se cacher dans la foule de gens qui ne se doutaient même pas qu'un monstre est juste à côté. Un autre frisson parcourut tout son corps.Quelques fois la conscience humain supporte un fardeau d'une si lourde horreur. La sienne était pleine à rebord et son secret était si lourd. Chacun se regardait un peu de travers riant de savoir que la personne était pas comme elle et pour se consoler la prenait pour une race inférieur à la sienne. La perversité était le sens qui donnait le plus de caractère à l'être humain.

Son sourire, terni par toutes ces mauvaises pensées, était pourtant si rayonnant. Seul chose qu'elle pouvait encore offrir à certaines personnes en se monde. Le monde se faisait si vieux et elle commençait à en resentir les conséquences. Son corps, lui aussi devenait plus lourd à porter et plus dur a soutenir avec des muscles aussi faibles et peu entraînés. Elle se voyait toujours comme un être des plus faibles qui ais jamais vécu sur cette planète. Pourtant la chaleur sur son doigts était bien réelle. Elle ne tournait même pas la tête. Le seul plaisir de sentir qu'on la touche qu'on la regarde d'un autre oeil était très intimidant et si réchauffant. A l'idée qu'un seul de ces multiples humains a eu le courage de venir lui frôler ne serrais que durant quelques secondes la peau pour lui donner juste une secondes l'impression de bonheur était un sentiment de pur plaisir. Le temps passait pendent qu'elle écoutait silencieusement les paroles monotones et posée d'un voix masculine si proche d'elle. Son souffle se fit plus laboureux et plus lourd. Il n'y avait pas de raison pour être stressée pourtant....


-Tu veux quoi ..?...ah vas-y je t'attends si tu veux ...si non je peux toujours partir.


Une voix calme presque un murmure doux provenant de ses lèvres cerise. Un murmure que seul lui pouvait entendre et dont seul elle avait le secret. Un murmure qui n'en montre pas beaucoup mais en l'écoutant bien on y entend de légers gémissements de souffrance de l'âme et du coeur. Un cri que personne ne pouvait entendre qui ressortait avec chacune de ses paroles, chacun de ses geste. On y décernait une fatigue et une tristesse qu'elle même ne percevait pas toujours. Son corps était vieux. Il lui tenait toujours la main, bien que assez timidement et un seul doigt. Elle ne savait pas bien pourquoi un seul doigt et ne voulait pas savoir. Elle se retourna lentement pour enfin regarder le jeun homme en face. En fin de compte elle ne c'était toujours pas présentée. Ces yeux bleus bien que vivants semblaient morts, comme à son habitude. Encore du temps c'était écoulé. Juste quelques secondes mais qui semblaient plus longues que des journées ou des heures entières.

-Je m'excuses je me suis toujours pas présentée. Vanessa Mistic.
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptySam 2 Déc - 20:19

« ... enchanté... reste, s’il-te-plait, je suis aussi perdu que toi ici... voire plus...»

Que dire de plus ? Il était mal à l’aise, très mal à l’aise. Sa voix était hésitante, mal assurée ; il avait du mal à conserver son ton de jeune fille. Rapidement, avisant un petit placard vide sur le côté, il ouvrit sa valise, et, sortant vaguement quelques vêtements unisexes – un T-shirt et un jean un peu baggy, l’un comme l’autre noirs – l’homme déguisé en femme entra dans le placard, pour en ressortir, quelque minutes plus tard, habillé en garçon. C’était vraiment ênant. La fille n’avait pas enlevé sa main quand il l’avait prise, et bêtement, le garçon voulait la reprendre. Serait-elle d’accord ?... il n’en savait rien. Il avait juste envie de tenir encore cette main blanche, cette douce main blanche, chaude, et un peu tremblante... Il n’avait envie que de la tenir, elle... Voudrait-elle ? Il n’en savait rien, tout était confus dans sa tête, plus rien n’était clair... Seule la fille lui aparaissait clairement... Seule elle, et ses belles lèvres cerises... Qu’est-ce qu’il lui arrivait ? Etait-il fou ? Pourquoi n’avait-il envie que de rester près d’elle, juste envie que la vue reste à jamais pour qu’il puisse la comptempler éternellement... ? Etait-il fou ? Qu’étai-ce donc que cette fille ? Comment, d’un seul regard, avait-elle pu supprimer ces pensées sombres qu’il tenait depuis et pour toujours ? Etait-il fou ? Il n’en savait rien... Il ne voulait que regarder cette femme, cette belle femme, la tenir près de lui... Il était fou... Complètement fou...Il n’y pouvait plus rien. Autant accepter cette douce folie, cette belle maladie ; autant accepter celà...
C’était complètement irréaliste. Il avait du mal à l’accepter, mais cette fille... Mais c’était... Elle.... Il ne comprenait pas entièrement ce que ça voulait dire – tout celà était vraiment unique, il ne s’était jamais attaché à personne auparavent – ; mais il trouvait ça... il ne savait pas comment qualifier ça. Il devait être vraiment fou – fou de cette folie incurable et dont on ne souhaite pas sortir. Et malgré tout, il avait toujours son orgueil, cet honeur étrange qu’on a à être indépendant... Si jamais il l’acceptait, Elle, il ne serait plus le même. Plus jamais. Il perdrait cet honeur – son orgueil en serait bafoué, piétiné, détruit – et il ne pouvait pas encoe accepter celà. Il ne pouvait accepter personne, il préferait être seul, il préferait se mentir en se disant que rien, jamais rien, rien ne serait jamais quelque chose auquel il s’attacherait. Rien ni Personne. Personne. Il serait seul. Il ne pouvait accepter que cette fille le... Il en pouvait simplement accepter cette fille autrement qu’une fille qui passerait, passerait dès qu’il aurait trouvé sa chambre. Passerait encore et il resterait seul : personne ne pouvait le comprendre. Personne. Rien au monde n’était suelement digne de son atenion – cette fille avait beau être très jolie, elle n’était que ça... Et après voir trouvé une chambre, il l’oublierai. A jamais... E il resterait seul... Mais revoir le visage de la fille suffisait à tout faire écrouler. Certitue, passé, doutes... tout s’effondrait. Il ne restait qu’elle. Elle. Mistic...


« Bien plus perdu que toi... »
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptySam 2 Déc - 21:32

Vanessa se retourna pour ne pas voir ce que le garçon faisait de ses habits mais entendit bientôt un claquement de porte et remarqua qu'il avait disparu derrière une porte de placard. Elle rougit un peu en ne sachant pas trop quoi penser. Elle mit une main dans ses cheveux faisant mine de regarder le sol mais ne pouvait faire autre que fixer le placard se demandant qu'est ce qu'il pouvait bien y faire. Comment en ressortirait-il ? sous quel forme. Son teint étant habituellement pâle devint un peu rosâtre sur les joues. Elle laissa échapper un petit gloussement a la sortie du jeun homme du placard. Un habit simple sans trop d'éxcentrisme. Oui, elle aimait ca. Son attachement, bien que rapide, en vers certaines personnes ne s'avérait pas toujours définitif. C'était ses points qu'elle regrettait le plus. Ayant un changement de caractère trop souvent et d'une façon trop excentrique. Elle ferma les yeux un instant. Son aire morne et un peu désarmant faisait penser à une personne sans attachement, vivant seul sans avoir besoin de personne. Et elle, avec son optimisme ne pouvait croire à cela. Elle avait elle même passé trop de temps seul pour savoir ce que c'était. Même si elle n'a jamais eu besoin de personne. Juste de parler a une personne de temps en temps et resentir une présence civilisée et distincte des autres qui t'accepte pour ce que tu est. Pour elle c'était un peu différent, elle mettait un masque à chaque fois pour pas qu'on la reconnaisse par son comportement ou ses tics habituels. Elle se mit à rire joyeusement à la surprise de voir l'homme déguisé en femme devenir un vrais homme. En fin de compte il n'était pas si efféminé que ca. Elle afficha un petit sourire timide en le toisant de ses grands yeux bleus sans vraiment faire attention si elle devenait un peu g^gênante et bizarre à a le fixer comme ca. Elle se tordait les mains derrière son dos sans savoir quoi dire. Elle était un peu intimidée maintenant qu'elle le voyait en tant que home viril et dominateur. Un peu courbé certes mais toujours aussi imposant devant une femme. Elle se rapprocha un peu en souriant amicalement avec un air de petite fille qui viens de recevoir le meilleur cadeau qu'on ne lui ais jamais offert dans sa courte vie.

-Euh d'accord si tu veux je reste avec toi.

Elle ne savait trop que penser. Il avait lâché sa main et cette douce chaleur commençait à lui manquer. Son hésitation était grande et elle était trop timide pour venir lui saisir la main ou même de lui demander de le faire. Peut être que cela viendras naturellement. Le temps lui semblait tellement long pendent qu'elle observait ce corps étranger à ses yeux. Ses mais lui démangeaient et voulaient venir saisir cette main forte et douce a la fois mais elle refusait de ce laisser tirer par les sentiments et son instinct en détresse. Pendent que son corps souffrait le martyre son esprit se renfermait à toute demande des sentiments en laissant place qu'à sa cupidité régner en maître. Ainsi elle ne cédait aucune contrôle à ses pulsions. Pourtant même son esprit la suppliait de venir juste frôler la main de Elioth. Juste resentir encore une fois cette chaleur intense parcourir sa main puis remonter pour installer le bien être dans son âme.

Et elle le fit. Elle avança d'un pas lent faisant mine de faire le tour du jeun homme, observant du coin de l'oeil ses habits mais en avait d'yeux que pour son visage et sa main, pendant librement dans l'air. Elle sourit et avec un peu d'hésitation dans son acte passa un peu trop près de celle-ci en frôlant du bouts de ses doigts la peau si douce d'Elioth. Tant de temps s'étaient écoulés depuis qu'elle avait touchée cette peau. Quelques secondes sûrement mais pour elle s'en était beaucoup plus que ca. Elle pouvait resentir chaque tremblement de ses doigts, chaque battement de son coeur sans vraiment comprendre pourquoi. Elle soupira de soulagement. Quel plaisir mais elle en voulait encore et là elle n'en fit rien. Elle c'était trop laissée aller. Trop loin, trop démonstrative. Elle ne regrettait rien mais voulait se baffer pour avoir subit la pression de ses sentiments. Quel soulagement. Quel agréable sensation. Elle ne disait plus rien maintenant se demandant si il avait remarqué son geste si fin et discret mais qui lui avait suffit pour profiter une éternité de cet homme. De cette main.
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptySam 2 Déc - 22:15

« ... »

Il la regarda un peu l’inspecter, calmement, docilement, le sourire au lèvres. Son regard était doux, son regard était merveilleux... Il ferma les yeux, la sachant près de lui – l’entendant, la sentant, la touchant presque.... C’était comme un doux fruit qu’il goutait à pleine dent avec ses sens peu sûrs. C’était bon, c’était doux, c’était magnifique. Il souriait toujours, bien qu’e celà le fatiguait – il l’appreciait, elle était magnifique... Au diable toutes ses hésitations, au diable tou cet orgueil ! Etait-il fou ?... L’était elle aussi ? Peu lui importait. Le sourire de cette fille était magnifique, son rire était si doux... Elioth ne voulait que l’entendre encore... Il la sentit passe près de li –plus qu’il ne la vu, bien qu’il pût voir – et il sentit sa douce main froler la sienne. Tout s’était déjà écroulé à la vu de cette femme – maintenant, tout n’était que poussière à la svaoir ourne près de lui... Il frissona. Elle sentait si bon... Elle semblait gênée, et quand sa main frôla la sienne, lui n’eut pas le temps de réagir. Il aurit voulu plus... la tenir encore... Il aurait voulu plus. Il ne savait pas ce qu’il voulait – il la voulait elle... ? – il ne savait plus rien. Il ne savait que l’endroit exact ou la mind e la jeune fille l’avait touché, comme purifié, comme lavé... Il ne savait pas si c’était intentionel ou pas – mais avoir ressenti sa main avait été un pur délice.... Il n’en voulait que plus. Beaucoup plus. Lui en voudrait-elle ?... Il ne savait pas... avait-il le droit ? Probablement non... ou bien peut-etre oui. Il lâcha un léger soupir – en même temps qu’elle – et, sans pouvoir se refreiner, il s’approcha de la fille.

« ... je.... »

En fait, il n’y avait rien à dire. Il hésitait à prendre la main blanche – il ne savait pas si elle était d’accord... Il la regarda. Dans les yeux. Il prit la douce main blanche, tremblant, peu sur. Il ne savait pas quoi faire... Il détourna les yeux : il ne pouyvait pas soutenbir plus longtemps ce regard magnifique qu’elle avait... Il se sentait mal. Il tremblait. Tremblait-elle ? Il ne savait pas. Non, il ne savait rien... Il ne voulait rien savoir. Il tremblait déjà moins, et, vaguement, il lança un ‘allons-y’ un peu hésitant, mais il souriait encore. Il regardait la fille, et il se souvenait de son regard qu’elle avait porté sur lui, sortit du placard. Il reprit sa valise d’unemain, et, l’air de plus en plus assuré, il fi un pas, la vlise dans une main, la blanche main dans l’autre... Il tremblait un peu. Il était fatigué. Il voulait dormir. Il aimait la douce main dans la sienne... Il n’avait pas besoin d’être seul... Il avait besoin d’être près de cette fille. Elle était la source de sa maladie, ainsi que son remède – peut-être en guérirait-il. Peut-être pas. Ca le laissait indifférent pour le moment ; tant qu’il était avec elle, rien d’autre qu’elle n’était important. Qu’était-ce que celà, cette érange folie quia ccaparait son esprit ? Qu’était-ce que cette fille, magnifique fille, qui hantait son Âme ? Qu’était-ce que celà ? Le plus doux des fruits, la plus belle des fleurs... Aimait-il ?

« ... Vanessa... »

Qu’allait-il lui dire ? Le nom avait glissé, il ne savait plus que dire, le mot était parti tout seul... Il ne savait pas quoi lui dire. Il ne savait plus que faire, et, rougissant un peu, il évita son regard. Le silence se fit peu à peu. Il était lourd, dur, froid – au loin, la rumeur des passants n’était qu’une rumeur étouffée par le silence opressant. Le temps ne s’écoulait plus –il ne savait que dire et les secondes s’étiraient pour devenir des milénaires de souffrance. Des milénaires de damnation. Une horreur intemporelle et éternelle qu’était ce silence le torturait sans bruit, au point de l’en rendre sourd, sans relâche, au point de le tuer lentement étouffé par ce lourd silence. Il ne savait que faire, il ne savait que dire : tant de silence, sur ses quelques secondes, lui semblait horrible. Il ne savait que faire, il ne savait que dire – il ne savait plus ce qu’il avait le droit de dire, ce qu’il avait voulu dire. Et mêm s’il le savait, pourquoi avoir prononcé son nom ? Il n’en pouvait plus. Il approcha sa tête de la sienne, et posa un léger baise sur sa joue. Pourquoi avoir prononcé ce nom ? Rien de plus simple. Pourquoi avait dit celà ; pourquoi avoir eu peur de ce silence ? Pourquoi tout celà ? Pourquoi tant de question ? Il n’osait plus retirer ses lèvres de la douce joue de Vanessa... Il fini à conrtecoeur son baiser, et, lâchant ces quelques mots, rompit le silence.

« Parce que vous êtes unique... »
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptySam 2 Déc - 23:08

Un lourd silence fit irruption dans la salle. Un silence comme celui d'il y a trois minutes quand Elioth hésitait a le faire. Pourquoi l'avait-il fait ? Elle ne comprenait plus rien, elle ne savait plus rien et ne voulait rien penser mais les idées influaient dans sa tête. Un mélange de rage de faiblesse et de besoin de resentir la même chose encore. Elle était devenue faible au point de succomber à une telle approche. Sa respiration était pourtant calme et distincte. Le silence se faisait froid et lourd. Lourd au point de l'écraser et l'empêcher de respirer mais elle ne disait rien pour rompre cette torture. Elle ne disait rien parce qu'il n'y avait rien à dire. Elle n'entendait rien même pas le doux souffle de celui qu'elle désirait secrètement au fond de son âme. La personne qui a su remuer ses tripes jusqu'à ce que le sang coule de son coeur, de ses poumons et de don âme. Que faire ? Elle ne le savait pas. Éclater en sanglot ou aller à l'avant et lui répondre de la même façon. Personne ne l'avait touché de cette façon, même pas prendre la main ...rien qu'elle puisse aimer. Son coeur bien que trop plein d'amour ne pouvait supporter qu'on lui en donne encore. Qu'avait-il fait ? Elle ne savait pas vraiment...

Reculant lentement de quelques pas elle fixait le jeun homme de ses yeux mortifiés. Le sang influant vers ses pupilles lui donnant un air supplémentaire de cadavre noyé. Une main toujours posée, serrée par celle du garçon et l'autre pendant lamentablement dans l'air. Son regard persistait. Elle ne savait même pas ce qu'elle voulait lui dire par ce regard tranchant et en même temps suppliant. Que dire de ce qu'il venait de faire. Elle ne voulait pas trancher et son coeur ne lui dictait plus rien, son esprit se tut. Elle percevait quelques chuchotements et murmures derrière sa barrière de silence. C'était non la salle qui était sans mots mais son corps entier n'était plus là, il était mort. Elle ne répondait plus. Elle entrouvrit ses lèvres colorés pour ne rien dire finalement. Sa respiration devint un gémissement de demande d'aide mais elle ne voulait rien. Une unique larme coula le long de sa joue blanche. Elle n'avait jamais pleuré avant. Pourquoi cette larme devait apparaitre maintenant ... Elle prit une légère inspiration, presque imperceptible...

-Merci...

Un murmure..non, c'était quelque chose que personne ne pouvait percevoir. Un mouvement inexistant des lèvres pour dire un mot qui ne signifiait rien sans doutes. Un 'merci' qui n'avait rien a faire ici et pourtant elle l'avait dit. Elle remerciait le jeun homme ..mais de quoi...? Ses gémissements reprirent et elle fixait inlassablement Elioth de ses yeux globuleux pleins de sang. Etait-elle toujours aussi belle ? non, elle n'a jamais été belle. C'était un cadavre déambulant prêt a s'effondrer sur le sol dur et froid. elle revint a la réalité et ces oreilles furent remplies d'un hurlement. Après un si long silence dans son âme, chaque murmure devenait un cri d'horreur et de détresse. Elle recula lâchant la main du jeun homme en plaquant ses mains contre ses oreilles en criant a son tour quelque chose. Quelque chose qu'elle ne comprenait pas. Pourtant les hurlement ne voulaient pas se terminer et continuaient a lui blesser les oreilles. Elle tomba à genoux sur le sol et arrêta enfin de souffrir. Le souffle court elle et le regard vide elle ne disait rien. Elle replongea dans le silence de la vie éternelle ...Levant à peine les yeux elle fit une mimique avec sa main avant de se lever calmement. Que pensait-il d'elle ? Un choc si profond non pas physique mais psychologique était si puissant. Elle ne pouvait plus les supporter les uns après les autres. Celui ci était particulièrement insupportable pour sa petite existence...

-Excuse-moi...

Elle tourna les yeux vers lui...celui qui avait posé ses lèvres sur elle...celui qui avait osé toucher a sa peau si dégoûtante et repoussante pour les être humains. Il était peut être comme elle mais ... mais rien dutout ....il n'y avait rien a redire a son comportement. Peut être qu'il était comme tout les autres. Poussé par son orgueil et son envie de domination. Assouvir ca soif d'être le meilleur et a la portée de tout. Non, il n'était pas comme ca...Vanessa se poussait le croire de tout son âme..pourquoi penser du mal tout de suite ? Il avait été si doux pourtant qu'elle ne devait pas lui en vouloir...Il était le seul..
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyDim 3 Déc - 14:06

« Vous êtes unique... »

Il se baissa. Il regardait la dame, et, quelque part, il sentait une certaine mélancolie se dessiner en lui. Il la regardait, de ses deux yeux tristes ; il la regardait, le sourire aux lèvres, les larmes aux yeux, la joie au coeur. Celà lui rappelait une seule chose – Jillian. Jillian, quand, pour la première fois, on lui apprit qu’un de ses amis cobbayes était « parti ». Pour lui, sa dignité était partie de même – elle ne reviendrait jamais, et il espérait ne plus la revoir. Il se laissait bercer par la vision de la belle femme devant lui, et, lentement, il s’approcha d’elle, et commença à fermer les yeux. Il se sentait bien, près d’elle – il se sentait heureux, il se sentait bien. Lui qui n’avait été que le vide complet – de moralité, de raison, de sens -, à côté de cette ille il était... plus. Il était complet. Il était parfait. Avec elle, il était plus que le simple Elioth Lovecraft – à côté de cette femme, il se sentait plus qu’un simple homme cynique, déprimé et amoral. Il était quelqu’un de civilisé. Il était qulequ’un de définitivement irréaliste. Il était un tableau étrange – quelque chose qu’Elioth n’avait jamais vu, et qui comence par A, comme Aveugle.

« Vous êtes belle... »

Il s’assit à côté de la jeune femme. Il s’était assez approché, et, calmement, s’asseyant, les genoux contre sa poitrine, il posa sa tête contre l’épaule de la jeune femme. Il tremblait un peu – moins qu’avant – mais, au contact de la fille, il se calma. Il tourna les yeux vers elle, et, lentement, il écrasa la larme su sa joue. Il passa la main contre ses cheveux, les doux cheveux blancs... il sentait la douceur et la chaleur de la femme contre lui, et il était déjà heureux. Il ne savait pas si celà plaisait à la fille – du moins, il ne l’entendait plus, il n’etendait plsu rien que les batements du coeur de celle qu’il adorait. Il se sentait parfaitement bien, là –il était installé confortablement, contre elle, il la savait bien installée, et il la tenait contre lui. Il passa son bras autour d’elle. Là, il se mit à trembler un peu plus. Il ne savait pas comment la jeune fille le prendrait – il ne savait pas très bien ce qu’il faisait lui-même - mais il espérait qu’elle comprendrait. Il la regardait, et, lentement, il la posa contre ses jambes. Elioth sentait contre lui quelque chose, quelque chose de doux, quelque chose qu’il n’avait jamais touché. et qui continue en M, comme AMoral.

« ...n’aie pas peur... »

Il lui afficha un sourire. Un souire heureux, un sourire calme – bien qu’il ne le fut pas. Il ne tremblait plus, il avait l’air parfaitement calme, il était silencieux – il semblait heureux. En fait, au fond de lui, il voulihuler, il voulait s’enfuir.... Mais comment aurait-il pu laisser un si beau visage ? Comment aurait-il pu délaisse cette magnifique femme ? Il ne pouvait pas... Elle était trop belle pour qu’il puisse la quitter, il refusait simplement de partir, il ne voulait pas. Elle ne ferait pas que passer, elle ferait bien plus – et son simple regard, déjà, avait changé l’homme qu’était Elioth. Etait-il fou ? Dans ce cas, c’était une folie adorable, une folie parfaite, une folie douce – une folie douce-amère. Il ne pouvait absolument pas quitter cette femme – il voulait simplement... Il voulait rester avec elle. Il voulait faire quelque chose avec elle. Il ferma les yeux, écoutant la respiration affolée de la magnifique jeune fille près de lui ; il écoutai cette étrange mélodie, l’air heureux – alors que lui ne voulait que hurler. Elioth entendait près de lui cette fille – c’était quelque chose qu’Elioth n’avait jamais écouté, et qui continue en O, comme AMOrce.

« ... je.... »

Il baissa la tête. Ses cheveux assez long vinrent toucher les blancs de la jeune fille – il ne sentait plus que le doux parfum, un peu sucré, de la jeune fille. Il avai envie de fuir –mais il ne pouvait se résoudre à quitter la jeune fille. Il avait envie d’être seul – mais il ne voulait que rester avec elle. Il avait envie de mettre un terme à cette folie –mais il voulait quelque chose e cette jeune fille. Il avait envie simplement de s’en aller, loin d’ici, il avai envie qu’elle ne fasse que passer – mais il ne voulait qu’Elle. Que Elle. Il sentait le doux parfum sucré, parfum qu’il adorait – il ne sentait que la belle odeur de la fille. Qu’était-ce que toutes ces folies ? Une fille. Qu’était-ce que toutes ces futilités ? C’était magnifique. Qu’était-ce que toutes ces étrabges souffrances ? C’était ce qu’il voulait. Il était fou. Tant mieux. Tant mieux, il avit beau dire tout-celà, il avait beau penser qu’il était fou, pour lui, cette folie était bien, cette folie était douce. Car cette folie ne le poussait qu’à admirer l’odeur de cette fille – c’était quelque chose qu’Elioth n’avait jamais senti, et qui continue en O, comme AMOUr-propre.


« ...je t’aime... »

Il l’embrassa. Oui, il l’aimait. Il goutait la douce langue sucrée de celle qu’il aimait, il ne se lassait plius de ses lèvres – il y gouttait, il refusait de les lâcher, tant elles étaient bonnes... Il aimait sa langue, douce, aimante, calmée, simple, et si douce... Il ne voulait plus lâcher les lèvres, lles deu lèvres, si belles, si douce, si agréables... Il ne voulait que lui dire qu’il aimait. Qu’il l’aimait, elle, qui était si magnifique, qui était si adorable, qui était si... si unique. Même sans la conaitre bien, il adorait cette fille, même sans qu’ils se conaissent, il en était fou... Oui, il était fou : fou d’elle. Il l’adorait, il adorait ses lèves, il adorait sa langue, il adorait son odeur, il adorait sa peau, il adorait sa silouhette...elle était douce et belle de partout. Il ne se lassait pas de sa langue – sa langue au si bon goût, sa langue si parfaite... Alioth goutit à cette fille – c’était quelque chose qu’Elioth n’vait jamais gouté, et qui finissait en R, et qui était simple.

AMOUR.
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyDim 3 Déc - 15:55

L'amour... Chose que personne ne lui avait offert depuis ca plus tendre enfance. C'était quelque chose de complètement incrédule que de tomber amoureux. C'en était presque drôle. Un sourire s'afficha sur son visage. Même pas un sourire mais une grimace, tout les muscles de son visage se tordaient en un masque de folie. Tout ca était bien, beau mais jamais cela ne serrait possible. Elle le repoussa, d'abord doucement, puis le projetant violemment vers l'arrière toujours avec cette mimique sur le visage. Un visage impénétrable et des yeux reflétant la folie et la soif de lui faire comprendre que ce n'était qu'une machination de son esprit. Cet homme ne savait-il rien de tout cela ? Etait-il vraiment bête a ce point pour croire en quelque chose d'aussi effemaire que l'amour d'un regard, du premier coup...quelque chose d'impossible. L'amour en elle n'existait pas depuis longtemps. Cette douce créature avait l'esprit pervers, seul sens qui donne un caractère à l'esprit humain si peu développé et si primitif. Elle n'aimait personne et c'est pas aujourd'hui que cela arriverait. Que pouvait-il penser d'elle ? ce n'était plus important. Elle c'était laissé faire par ses sentiments donnant ainsi un espoir supplémentaire d'être attrapée mais elle s'était reprise à temps. Elle se leva d'un bond la rage aux lèvres et l'impression d'avoir été souillée par une bouche trop sale. C'était un cadeau empoisonné qu'il lui avait offert. Un cadeau si bon et délicieux mais qui ne causait que du tort et poussait son orgueil à se rebeller. Son corps tout entier était parcouru de spasmes. Une sensation si désagréable. Elle ne croyait plus en rien et c'était laissé faire par un homo sapiens...

-Qu'est ce que tu crois ? Que tu peux être aimé un jours ? Je n'aime personne...Que de belles paroles pour rien, tu aurais dû te taire et souffrir de ta maladie du coeur en silence. Pourtant c'est si doux tu ne trouve pas ?

Sa voix , impulsive et tranchante en même temps. Cette voix était celle d'habitude mais avec beaucoup plus de violence. Elle ne savait même pas d'où venait son irritation et énervement contre ce jeun homme qui était pourtant si gentil. Elle avait du mal à emmagasiner tout ces information d'un coup, tout ces sentiments si différents entre l'hostilité des autres et l'amour soudain que lui porte cet homme encore trop inconnu pour elle, encore trop lointain de ses idées et sentiments. Elle était là, majestueuse au milieu de la salle à regarder ce pauvre humain assis sur le sol sans rien comprendre sans doutes. Elle aurais pou juste le repousser d'un façon négative sans y rajouter des arguments d'une violence personnelle. Cette femme changeait tout le temps de mode de vie et le caractère suivait derrière mais rien de tel n'était encore arrivé et elle ne savait pas comment s'y adapter et son instinct et son orgueil lui dictaient les pas à suivre même si ils n'étaient pas forcément bons. D'un pas vif elle se rapprocha de lui et le saisit par le col sans avoir la force de le frapper. Elle n'en avait pas envie car elle était trop faible mais sa colère était encore assez présente pour qu'elle lui crache son venin a la figure. Des paroles blessantes pour quelqu'un ayant passé toute sa vie tout seul a regarder les heures tomber gouttes pas gouttes. Les années s'écouler sans que rien ne se passe.

-Qu'est ce que tu crois ? qu'est ce que tu veux de moi ?

Sa voix tremblait maintenant, elle allait craquer t pleurer devant tout le monde. La colère laissait place a l'incompréhension de la situation et des sentiments qu'il lui portait. Elle était plus perdue qu'autre chose. Son corps tremblait de rage et de désarrois sans qu'elle puisse y remédier. Ses yeux injectés de sang fixaient insatiablement Elioth essayant de lire ce qu'il voulait, ce qu'il désirait d'elle. Qu'est ce qu'il voulait en faire ? Cette question était générale chez tout le monde. Que voulait-on de lui ? Elle, ne voulait rien de personne et ne demandait aucune pitié ni sentiment de compassion de quelqu'un. Elle n'avait jamais eu besoin de personne dans sa vie. Jamais eu besoin de quelqu'un qui la suit tout le temps et l'aide a surmonter ses erreurs commises. Elle avait tout supportée elle même avant et c'est pas aujourd'hui que cela changerais. En venant ici elle voulait trouver un peu de calme mais ne rencontrait que plus de problèmes et de confusions psychologiques l'obligeant à se poser des questions sur sa misérable existence. Encore plus de difficultés a se mêler dans la foule. L'aconite. Poison dont elle n'a jamais demandé. Elioth... Jamais il ne changeras quoi que ce soit...

Les larmes coulaient flots et elle le lâcha ne voulant plus toucher quelque chose d'aussi sale pour son esprit... Non, c'est elle qui la souillée de sa langue impure et de son odeur répugnante. Elle était un cadavre avec un pied dans la tombe, lui était encore bien vivant. Elle restait devant lui à genoux à observer ses moindres réaction. Il y a des secrets qui ne veulent pas êtres dis. Profondément elle l'aimait peut être..mais jamais son orgueil ne laissera place a ses sentiments enfouis depuis des années. Vanessa ne demanderais jamais de l'aide. Son corps voulait le toucher, voulait encore saisir cette main forte et douce pour se purifier et enlever les pêchés de son âme. L'amour...quelque chose d'impossible... Les lèvres tremblantes elle lâcha un dernier soupire de lassitude. Puis, lentement, une de ses mains vint saisir sa gorge. elle avait affreusement mal mais elle ne criait pas. Une larme rouge métal coula ... Le poison s'échappa doucement de son corps sans laisser de traces. Vanessa s'empressa de venir l'essuyer avec le revers de sa manche pour que rien ni personne ne puisse goûter ou toucher à son poison. Suivit une autre larme de sang. C'était sûrement la dernière, il ne pouvait pas en avoir plus que deux à cette saison de l'année, la fleur était trop faible et ne demandait pas beaucoup à la jeune fille. La plante dormait encore...
Elle releva la tête et de ses yeux fou observa attentivement Elioth.

-Je suis un poison pour tout le monde...même pour moi même. Ne me touches plus si tu ne veux pas goûter à la mort.

Trop de choses ont été dites en cette journée. Elioth savait peut être pas tout mais il connaissait suffisamment pour le moment. ne plus jamais le revoir était sans doutes la solution mais elle savait déjà que son corps ne le supporterait pas et elle céda à la demande. Une dernière fois...
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyMar 5 Déc - 20:03

« Non. »

Il n’avait rien demandé. Il n’avait rien voulu. C’était sa rage, qui, lentement grandissait. Il comprennait – il n’aurait pas dû, absolument pas -, mais se faire jeter n’est jamais très agréable, jamais très plaisant. Qu’ait-il fait de mal ? rien. Rien, il n’y avait que le délire de cette fille qui se mettait à pleurer, et à dire qu’elle était un poison... N’importe quoi. Il n’aurait pas touché quelqu’un de détestable, de complètement haïssable... il aimait cette femme. Il l’adorait. Il ne l’aurait pas embrassé sinon. Croyait-il en quelque chose d’aussi insaisissable que l’amour ? Oui. Si c’était elle, oui, il voulait bien y croire. Il n’avait jamais été aimé - il n’avait jamais aimé personne d’autre que cette fille. Alors il voulait bien y croire, si c’était avec elle. Alors il voulait bien y croire, si c ’était pour elle. Si c’était pour elle... il vait été stupide seulement de croire que cette fille aurait pu l’aimer. Personne n’aimait ce fou, personne n’aimai cet homme, Prince de son rêve... Il était vraiment lamentable. Avoir cru seulement celà –avoir failli délaisser son honneur pour une femme... ! C’était honteux. « Anger and agony are rather than misery... » Pain, de three days grace. Ca résumait très bien le tout. Qu’elle aille crever – qu’elle s’en aille, au loin, le laissant seul – qu’elle agonise, qu’elle voit sa colère - : ce serait déjà mieux que la misère d’être avec elle. Qu’elle le laisse seul ; il préferait celà de loin. Il préférait être seul.
Il était seul...


Il lui lança un regard noir.

Il aimait cette femme, certes, il l’adorait – mais tout ce qu’elle lui avait apporté, pour l’instant, c’était se retrouver contre le mur, se faire frapper, et, la seule fois où il avait daigné lui sourire, où il avait daigné lui montrer cet amour, il ne s’était que fait plus violement rejetter. Qu’elle aille mourir, lentement, douloureusement. Elle n’était plus rien. Elle ne vallait rien. Elle n’avait jamais rien été. Elle ne ferait que passer. Au diable cette Mistic – au diable tout celà. Qu’elle meurre – celà ne lui ferait que le plus grand bien. Il la toisa, l’air dégouté, et il laissait transparaitre dans son regard tout le dégoût qu’elle lui inspirait, tout ce mépris qu’il avait pour elle. « Pain... without love... » Qu’elle meurre lentement. Il ne voulait rien ressentir pour elle. Il ne voulait que la voir souffrir, la voir regretter. Il ne savait plus que faire. Le pouvoir petit à petit enfla. A quelques pas d’elle, les sons se turent – et ni l’un ni l’entre ne pouvait comprendre quoique ce soit. Plus rien, plus un son – un regard noir, un silence de mort, une haine latente. Il la haïssait. Il la haïssait pour tout ce qu’elle avait fait – tout ce qu’elle allait faire, tout ce qu’elle aurait put faire. Elle était détestable...
Elle était détestée...


Il se détourna .

Qu’elle meurre – ses sentiments pour elle étaient morts, étouffés dans l’oeuf, dès qu’elle l’avait frappé. Il ne voulait plus d’elle ; même s’il ne savait pas que faire dans cette grande école vide, sans elle... entrée fracassante. Entrée horrible, entrée exécrable... Merci cette fille... Maintenant, il était encore seul – encore plus seul, livré à lui-même – et sa seule tentative d’amour s’était explosé en beauté contre le mur, avec lui. Elle était haïssable – qu’elle meurt, lui l’était. Il n’en pouvait plus. La seule fois ou il avait aimé, il le regrettait amèrement... C’était une longue agonnie, ou une douloureuse blessure – il ne savait pas, il en voulait pas savoir... c’était si horrible... pouvait-il encore aimer ? Non. C’était une agonie, ou se mourraient les derniers éclats de son amour. Pas une simple blessure – une mort, lente, douloureuse... Une agonie. Il l’adorait, certes, il l’aimait encore – mais ça ne durerait pas. Ca ne durerait pas : ça c’était déjà magnifiquement écroulé. Contre le mur. Avec lui. Et ce n’était pas rien. C’était une destruction massive, et en un coup. Ce n’était plus que ruines... Et cette longue agonie, dans le silence de mort, s’alliait à la haine, s’alliait à la colère.
Dans le silence de mort...


Il commença à s’éloigner.

Et tout ça, c’était mieux que la misère qu’elle montrait. Mieux que toute ces chose qu’elle offrait – et qu’étai-ce ? ruines, merveilles écroulées, pales ombres de splendeurs. Encore plus pitoyable que les vrais splendeurs – c’était horrible, c’était intenable – il ne pouvait tenir celà par autre chose que le mépris. C’était simplement trop pitoresque pour être regardé en face – que proposait cette femme ? Des ruines, sa ruine. Contre ? Contre un engagmenet éternel, contre son amour, contre son aide... Ca puait la misère. Ca puait la pitié. C’était haïssable. Il le haïssait. Il préferait détester, haïr cette misère – il préfèrait se voir lentement crever plutôt que d’accepter cette misère. Même s’il ne voulait que ça. C’était une torture atroce, un fléau immuable, : son honeur... sa haine, sa honte. C’était seulement cette misère... C’était cette misère de fille... C’était immuable. Jamais il ne serait avec elle. Il avaiy tenté – elle avait refusé. Il ne voulait plus. Il ne voulait plus se sentir rejetté. Il ne voulait plus se sentir poussé. Il ne voulait plus sentir le mur contre lui. Il ne voulait plus senitr cet amour mourir trop jeune. Il ne voulait plus d’elle. Même si celà l’attristait, il ne voulait pas souffrir encore. Il ne voulait plus... de cette misère... Même si c’était tout ce qu’il voulait...
Il ne l’aurait pas.


Et ses lèvres, comme pour dire non, ne percèrent pas son silence...
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyMar 5 Déc - 23:43

Anéantie en quelques secondes. C'était l'indifférence du de cet homme qui la répugnait et la révoltait. Si on aime on n'abandonne pas aussi vite. Ce n'était pas logique. Elle s'enflammait à l'idée qu'il aie aussi rapidement manifesté son dégoût. Au moins si tu aimes, que cela dure. Qu'on lui porte un amour fou pour la premier foi n'était que l'imagination de son esprit et il s'en est bien rendu compte mais pourquoi aussi vite... Personne a moins d'avoir un peu d'honneur n'abandonne, ou au moins abandonner avec un sourire aux lèvres d'avoir eu un petit amusement. Cela aurais été moins blessant mais qu'on aime pour être dégoûté à la moindre défaite n'était pas digne de quelqu'un qui porte de véritables sentiments. On poursuit et on attrape...Tel était l'obstination de chaque homme. Si non la vie n'aurait plus aucune goût. Il faut se battre pour avoir et au final, même si la bataille a été dur, la victoire n'a que meilleur goût, toujours plus sucré et plus satisfaisante. Vivre en espérant avoir tout d'un seul coup n'était pas une vie. Ainsi on vit dans l'espérance d'avoir de la chance mais la chance ne seras jamais souriante avec ceux qui ne la recherchent pas. Misérable... Tu ne mérite même pas cet amour sans te battre pour. Jamais tu ne le mériteras. Chien ..lâche...Que te vaut bien cette vie misérable. Quelque chose pour manifester son dégoût en vers cette fille si misérable. Un seul regard pour manifester sa soif de vengeance et d'abandon tel un chien qui met la queue entre les pâtes et court sans s'arrêter en laissant un cri de détresse. Lui était pareil. Cour et prend ton honneur par ses tripes en essayant de le sauver aussi lamentablement que tu le peux. Ne pouvant pas contrôler tout ce qui se passe en se monde réelle su te rassasie sur ton monde. Prince de ta vie sans pouvoir la contrôler. Peut être qu'il avait peur de la vie réelle... Peut parce qu'il ne peut pas tout prévoir, pas tout réussir et il le sais mais pourtant ne fait rien pour et ne manifeste que du dégoût à chaque fois qu'il échoue, du dégoût pour un monde dans le quel il n'a aucun amour parce que ce monde ne lui a rien offert pour une vie satisfaisante. Rien qu'il n'a clairement réclamé. Aussi, qu'il lâche prise a chaque fois qu'une difficulté se présente. Une fois de ratée alors pourquoi la prochaine ? Pourquoi est ce que la prochaine fois je réussirais...

Prenant peu à peu conscience ce ces faits Vanessa ne le regardait plus que comme à travers un livre. Un livre si facile a lire que s'en devenait lassant, trop prévoyant et peu original. Néanmoins elle n'était pas mieux. Au long de toute sa vie magnifiquement parsemée de fleures pourrissantes, elle marchait sans pour autant y faire attention. Son métabolisme l'y obligeait. Un corps s'adaptant a toute situation et un caractère lunatique sans aucune raison. Comme un dé. Elle ne savait jamais sur quel chiffre elle allait tomber en se jour. Quel chiffre serait demain. Toujours un jour de chance car à chaque fois elle avait l'impression d'en ressortir gagnante et satisfaite car elle était toujours de l'avis d'avoir raison. De vouloir a tout prix avoir le dernier mot. Un seul mot qui donne goût a la vie durant quelques instants. D'être au dessus de tout pendent quelques secondes et retomber de tellement haut et tout recommencer le lendemain espérant durement de sentir cette sensation majestueuse une fois de plus. Une fois de plus l'adrénaline affluer lentement dans les veines finissant en une explosion.

Soudain remarquant qu'il n'y avait plus aucun bruit. Plus aucune pulsation d'un muscle ou d'un coeur vivant. Une seule lame tranchante se faisant un passage dans l'air pour ne faire que plus de bruit. Un silence si fort et si pesant. Un silence qui hurle dans les oreilles. La panique totale et la sensation soudaine d'être enfin en paix. L'harmonie jouant entre les deux parties du corps, entre chaque fibre existante de son être. Un calme si satisfaisant qu'on ne voudrait plus le quitter. Enfin seule, sans voix stridentes criant à tu-tête. Juste un silence inexistant avant. Tout sentiment de haine s'évaporant tellement l'air semblait plus calme et pur à respirer. Cela était peut être la mort. Si c'était ca la mort pourquoi ne pas mourir pour de vraie et ne plus jamais revenir dans ce monde bruyant. Le silence ne se rompait pas et ne semblait pas vouloir le faire. Que cela sure encore et encore jusqu'à en avoir envie de vomir. Jusqu'à ce que cette sensation devienne exécrable. Que le goût si sucré devienne amère et immangeable pour la bouche et les sens. Elle se laissait évader dans sa source de plaisir sans se rendre compte que tout cela était bien réelle. La vie ne lui offrait que pendent quelques courts instants un moment de calme parfait. Soudain cette douce puissance lui échappait des mains et elle la suivait lentement. Elle ouvrit les yeux saoulés par le cocktail divin sans voir quelque chose d'important. Elle attrapait cette force obscure et la suivait faisant de lents pas faibles mais flottants sur le sol sans vraiment le toucher. Pendent que les minutes s'écoulaient le silence lui échappait au fur et à mesure qu'elle s'approchait de lui. Prenant toute les directions possibles elle retrouvait un semblant de terreur à l'idée que plus jamais elle ne sentirait cette sensation. Elle la suivait...l'espoir au coeur de ne plus la quitter. Un doux vêtement vint rencontrer sa figure. Elle se blottit contre celle-ci. C'était ici que l'endroit était le plus puissant. Qui aurait pu penser que perdre un de ses sens était si agréable. C'était enivrant et dangereux à la fois. Elle se serre encore un peu voulant avoir pour elle toute seule cette drogue pour ses sens. Il y avait une chaleur étrange qui émanait de la chose. Elle ne savait pas ce que c'était , trop ivre pour voir quoi que ce soit. Elle ne voulait qu'une seule chose. Ne pas quitter cet objet...

-Reste ici...
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyMer 6 Déc - 16:26

Il sentit la main de la fille, posé contre son épaule. Il lâcha un soupir silencieux, calme soupir. Soupir heureux, soupir joyeux. Il ne voulait que ressentir celà. Il ne voulait que ressentir cette douce main... rien de plus... Juste sa main. Mais il ne voulait plus d’elle... il ne devait plus... Oh, c’était si doux...

Que dire de plus ? Il la voulait, elle, mais il ne voulait pas la vouloir. Dilemme moral – comme seuls des types réelement complexés peuvent en voir. Dilemme moral – et c’était pour le moins un type vraiment complexé qui l’avait. Il lacha un rire – toujours sans son, et, dégageant doucement la main il se retourna, et fit un doigt d’honneur à la fille en question. Pourtnt c’est si doux tu ne trouves pas? Oui, si on veut... Et, baissant son doigt, poussant la fille, il se détourna, mais gardant la main de la fille dans la sienne. Il ne voulait pas la laisser. Il tenta de faire un pas – mais ne alcha pas la fille. Il secoua la tête, et, tentant de dire non, Il s’arreta. Paumé, c’était une bonne idée pour marquer la première borne du chemin où il s’était perdu. Il ne voulait plsu retrouver ses pas – de toute façon, ça ne l’aurait mené à rien. A Lovecraft, le pauvre imbécile qui n’avait rien d’autre qu’une chambre blanche quelque part en France. A Lovecraft, paumé de la vie, mutant, cobbaye et vendu pour une pogné de billets. Et il ne voulait plus d’elle, qui, elle, l’aurait vendu pour moins d’une poignée de billets... Alors pourquoi tenait-il sa main ? Alors pourquoi gardait-il encore contre lui la main de cette fille... ? Parce qu’elle était jolie. Parce qu’ayant détourné la tête il voyait encore se dessiner son visage pur. Parce que, comme un imbécile, il aimait. Il l’aimait. Et, sans faire un pas, il restait, immuable, sans bouger, sans avancer – sans reculer, sans rien faire. Il ne pouvait rien faire – il ne pouvait bouger. Il ne savait que faire – il ne savait vers où aller. Il ne voulait que lui faire plaisir –il ne voulait aller que dans ses bras. Alors pourquoi ? Pourquoi celà - pourquoi l’aimait-il ? ... Il laissait son sourire transparaitre. Il ne lachait pas sa main –il ne la regardait pas non plus. Elle restait près de lui – elle restait dans l’aire d’effet de la malédiction. Il restait là –il restait près d’elle ne pouvant la quitter.
ne la regardait pas.

Il sentait la main de la fille, contre la sienne... Il lâcha un soupir silencieurx, calme soupir. Soupir heureux, soupir joyeux. Il ne voulait que ressentir celà. Il ne voulait que ressentir cette douce main... rien de plus... Juste sa main. Mais il ne voulait plus d’elle... il ne devait plus... Oh, c’était si doux...


Et dans le lourd silence, lentement, il ne bougeait plus –il ne faisait que garder le silence, encore, fatigué, gardant contre lui la main de la fille. Il ne savait plus que faire – il ne savait plus... Et la fatigue, telle une vague, allait et venait, avançant avec la marée – il était de plus en plus épuisé de conserver ce silence contre son gré. Il s’épuisait lentement, à rester vec la fille, à rester dans ce silence...Les secondes passaient lentement... doucement... Et les minutes comme des éternités, s’engrenaient lentement... doucement... Et la faiblesse, telle une poussière séculaire qui infecte tout, s’entaissait, lentement... doucement. Il ne savait pas quel temps était passé – il ne savait plus rien. Il n’avait conscience que de la douce main et de la fatigue, le reste disparaissait. Lentement, doucement, il s’écroula au sol – tenant toujous la douce main, tenant toujours le lourd silence... Lentement, doucement, les bruits revinrent... Il y avait toujours la douce main, mais le silence s’en allait.

« Vanessa... »

Il lacha un petit sourire caché par la lourde fatigue, achevé par douce main dans la sienne. Vanessa – et quoi d’autre ? Rien. C’était elle ou rien... tant pis pour lui. Il aimait le visage de cette femme. Il aimait ses lèvres. Il aimait son odeur. Il aimait sa voix. Il l’aimait... Elle était belle, et ne serait-ce que pour ça, il l’adorait. C’était léger – très – mais c’était un début. Il l’adorait, il en était fou, et même si celà ne devait que le faire souffrir, il n’abandonerait pas. Girouette... Il sourit encore. Il embrassa la main de Vanessa. Il l’aimait, il l’adorait... Elle était belle. C’était déjà assez – c’était déjà beaucoup... Il était complètement tué, il n’en pouvait plus... Aussi bien physiquement que mentalement. Il l’adorait. Il n’en pouvait plsu de changer ses pensées juste en la regardant. C’était épuisant. Mais il l’adorait Il embrassa sa main –et lentement, il l’attira près de lui.

Il sentait la peau de la fille, contre ses lèvres...Il lâcha un soupir silencieurx, calme soupir. Soupir heureux, soupir joyeux. Il ne voulait que ressentir celà. Il ne voulait que ressentir cette douce main... rien de plus... Juste sa main. Mais il ne voulait plus d’elle... il ne devait plus... Oh, c’était si doux...
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyMer 6 Déc - 18:01

Ainsi doucement, s'estompait la douce puissance qui procédait chaque fibre de son corps. Doucement s'en allait le silence et une voix parvenait de très loin. Elle l'appela. Elle soupira et rouvrit les yeux encore un peu ivres à l'apparence maladive. Quelques secondes de pur plaisir et de bonheur de calme total et puis rien. Parti envolé comme une infime partie de bonheur qu'on perd. Un peu chaque secondes et avant le temps lui semblait beaucoup plus long. Elle ne voulait pas la quitter mais elle s'échappait lentement de ses mains blanches sans qu'elle puisse y faire quelque chose. Un esprit électrisant et débordant d'énergie fit place. Une autre force la tirait vers le bas, trop puissante pour ses jambes affaiblies et elle se laissa tomber avec elle. Un peu lourde et inconsciente la chaleur la réconfortait. Cette chaleur lui rappelait sa mère qu'elle aimait tant pour sa compréhension mais qui n'était plus rien maintenant. Vanessa l'avait oublié et pourtant une infime partie d'elle persistait à rester ici. C'était dans ces moments quelle sentait toute la puissance qu'elle lui transmettait grâce à son amour. Un amour qu'elle s'obstinait à repousser mais dont elle avait besoin en même temps. Ainsi ce passait l'amour que lui portrait Elioth. Elle le repoussait et en avait besoin inconsciemment, elle en demandait. Douce main, belle main...Pourquoi ne résiste tu pas ? Pourquoi te laisse-tu faire révoltant ainsi le mépris de la jeune fille. Peut être qu'en la repoussant elle chercherais encore plus à s'accrocher à toi...Mais en même temps en restant ainsi ouvert tu excites sa curiosité.

- J'ai peur ..

Arrête de dire quelque chose dont elle à peur d'entendre. Elle a peur d'être retenue de ce que tu lui propose. Tais toi...L'ivresse du plaisir faisait enfler ses sens et son corps ressentait particulièrement bien tout les pulsations envoyés par le corps étranger. Elle frissonnait. Il l'avait repoussé mais l'attirait en même temps. Que voulait-il donc ? Elle se laissa tomber à ses côtés fatiguée et impuissante de contrôler ses propres sentiments. Une main toujours serrée par celle de l'autre... Douce...Chaude ...Que vouloir de plus. Elle tremblotait silencieusement sentant le bruit revenir dans ses oreilles. Un bruit silencieux pour les autres mais après avoir passé un petit moment dans un calme si parfait même ce silence semblait bruyant. Vanessa ne savait pas quoi penser, plus quoi dire et surtout comment réagir. Elle avait comprit que c'était lui qui lui offrait sans le vouloir ce cadeau. Un cadeau devenant douloureux quand on s'en rend compte. Le sol froid touchait sa peau blanche, elle n'en avait rien à faire..une autre douce chaleur était ici tout proche. Sans le vouloir elle se serra contre comme un enfant recherchant la douceur de sa mère. Elle se rapprochait timidement sans le regarder la main toujours ici, dans la sienne. Comment interpréter ce geste...Elle le repoussait et s'approchait de lui. Que faire après... Cela serrait lâche de protester après sous prétexte que c'était un moment de faiblesse. Cela l'était bien, mais après c'est une question d'honneur et de respect en vers quelqu'un qui le mérite. Elle ne pleurait même pas, elle ne voulait plus rien. C'était tellement bien maintenant. Tout avait brûlé en elle sans compter son coeur qui tait plus que cendre. Brûlé par la puissance de son amour, par ses sentiments à elle et aux quels elle ne prêtait pas d'attention particulière satisfaisant que les besoins de son corps et de son honneur. Se renfermer pour laisser place à une image toute autre. Elle se serra encore plus voulant le repousser mais les mains trop faibles pour le faire d'un coup sec. Elle se rapprochait un peu et essayait de repousser sa main de la sienne et ses lèvres chaudes et si douces. Il fallait choisir ... Elle décida de s'abandonner au plaisir après quelques minutes de résistance.

Combien de temps c'était écoulé ...elle ne voulait pas le savoir. Elle avait surtout peur que Elioth se rende compte qu'elle était là à le serrer contre elle sans lâcher sa main si douce et si chaude. La violence avec la quelle elle l'avait rejeté il ne voudrait pas d'elle mais pourquoi tenait-il sa main ? par inconscience... Elle se mit à sourire dans le vide. Tant de bonheur tout à coup...Sans qu'elle puisse le contrôler. Un rire se fit entendre. Un rire vide ne reflétant aucun sentiment ne servant à rien à par combler le vide et rompre le silence qui faisait place dans cette salle vide. Elle était couché sur le sol froid mais ne ressentait rien à par la chaleur du corps étranger. Elle souriait bêtement espérant qu'il ne la lâche pas avant un petit moment. Vanessa se laissait entraîner dans cet amour qu'il lui donnait sans le vouloir, lui aussi. Elle sentait les cheveux d'Elioth frôler son visage. Une agréable odeur qu'elle sentait, remplissant la sienne. Une autre odeur si agréable... Elle se sentait tellement bien près de lui. Profitant de cet partie de bonheur qu'il lui offrait. Elle avait envie de lui dire quelque chose. Pour qu'il reste, là, couché près d'elle et continuer à lui tenir la main. Qu'il ne se fâche pas contre elle maintenant. Après il pourras la frapper autant qu'il le voudras mais maintenant qu'il laisse cette haine de côté. Juste pour ce qu'il lui avait dit avant, juste pour l'amour qu'il lui avait porté il y a peine quelques secondes. Maintenant elle ne voulait plus que lui. Enfin son coeur reconnaissait ce qu'elle voulait vraiment.

-Je ne veux que toi...

Maintenant la peu s'en allait doucement de son être. Un sourire reflétant un vide et un bonheur s'alliant entre eux dans une sérénité parfaite et sans failles. Du bonheur à en pleurer autant de foie après la journée. C'est pas pour rien qu'on dit qu'après la pluie vient le beau temps. Un monstre se laissant séduira par une puissance qu'il ne demandait pas à avoir et pour la quel il manifeste un peu d'effroi. De l'horreur et de la terreur sachant pourtant à quel point c'est plaisant à l'instant présent. Elle était le monstre qui c'était laissé séduire et emprisonner mais pour le moment elle ne regrettait rien. Pour le moment elle voulait que ça. Que cette douloureuse sensation. Amour amour tu fais si mal. Pourtant on te recherche pour se sentir vivant pendent quelques secondes. Être vivant parce que quelqu'un vous aime. Vanessa se sentait vivre avec lui et mourir en même temps. Une guerre infatigable qu'elle devra mener si elle voudra un jour aimer quelqu'un. Décider de mourir pour quelqu'un en lui offrant son coeur et ses sentiments. Revivre juste à la minute d'après et être encore plus heureux qu'avant. Personne n'est prêt pour se sacrifice mais on s'y jette quand même en espérant y survivre. Elle aussi espère y survivre et s'accroche à sa petite vie comme elle l'avait toujours fait. Je t'aime mais je ne veux pas de toi...
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyJeu 7 Déc - 19:58

Petit sourire...

Il était heureux. Simplement heureux. Tout était parfait pour l’instant, dans le meilleur des mondes, ça allait beaucoup mieux... Il était heureux – c’était déjà assez iréel comme ça. C’était si agréable, si parfait. Il se sentait bien – de toutes les manièes qu’on peut. Elle allait bien. Il allait mieux. Il l’adorait. Elle était si magnifique, il ne pouvait s’en passer : elle était belle, tout simplement. Elle était belle, elle était adorable... comment expliquer ? C’était comme simplement un petit matin de Noël pour un enfant. C’était magique. Elle était magique. Il voulait l’embrasser... mais seul restai le petit sourire. Le petit sourire comblé, heureux, enfantin... Il était content, c’était tout, pas la peine d’aller plus loin. Il était heureux, c’est assez pour expliquer... Il y a encore mieux pour epliquer clà, trois mots, trois mots purs, qui sonnent si doux à l’oreille. Des mots si bons, des mots si gentils, des mots si simples... des mots qui ne lui allaient pas, pensa-t-il avec regret... Trois mots, qui voulaient tout dire... Je t’aime... Trois mots qu’il en driait jamais à personne... peut-être maintenant...

Je t’aime. Je t’aime, si simpelment, je t’adore, tu es belle, je t’aime, tu es parfaite, je t’aime, pour toujours... Tout ces mots qui font plaisir, tout ces mots qu’on adore – et qu’il ne dira jamais. Trois mots, ce n’est pas grand chose – tout celà, le dira-t-il ? Non, proablement pas. Il l’aime, il l’adore, il en est fou – mais il n’ose pas le lui dire. Il n’ose plus. Il s’est fait rejetté. Est-ce trop fort pour elle ? Il ne sait pas...Tout ce qu’il sait, c’est qu’il la veut, elle... Elle est magnifique, il l’aime. Elle est magique, il l’adore. Si elle ne l’aime pas, lui, si. Alors il va rester avec elle. Il l’adore. Il ne la laissera pas s’en aller. Il la serre un peu plus fort dans ses bras. Il ne la lachera pas. Jamais. C’est niais ? Oui. Mais l’amour en lui même est niais, et il s’en moque éperduemment. Il l’aime. C’est tout. Il aime, même. Et ça suffit.

Parce que c’est elle... C’est elle, uniquement elle, il n’y en pas d’autre. Il en est sûr maintenant. Il l’aime, il l’adore, il ne veut qu’elle. Elle est magnifique. Elle est adorable. Elle est parfaite. Elle est magique. Voilà pourquoi il ne veut qu’elle, il ne veut que la voir, elle, et aucune autre. Prsonne d’autre qu’elle... Elle est si belle, ca lui suffit. Ca lui suffit tellement, juste de pouvoir la regarder. Ca le comble de pouvoir la toucher. Elle est belle – il est heureux, parce que c’est elle. Il veut lui dire « je t’aime », parce que c’est elle. Parce que c’est elle, que ce n’est personne d’autre, et qu’il l’adore. Parce qu’il l’aime... . Parce que c’est elle. Parce qu’elle est magnifique. Ca lui suffit, il ne lui faut rien d’autre, il l’aime, il l’adore... C’est tout... Ca suffit. Il est heureux comme ça, avec son sourire joyeux et son aimée dans ses bras. C’est tout...

Petit sourire...

Elle était contre lui. Il aimait ça, il adorait ça, il ne voulait que ça... Enfin. C’était tout ce qu’il voulait... Il l’aimait. Il l’aimait tant. Lentement, complètement épuisé, au sol, avec elle contre lui, il passa sa main dans ses cheveux.... Elle connaissait sa malédiction, à elle...
Il laissa un soupir s’envoler. Elle... est-ce que, comme els autres, elle le traiterait d’infirme ? Est-ce qu’elle s’en irait, voyant qu’il ne pouvait, ni ne voulait plus rien – plus ça – pour elle ? Voyant que ce qu’elle aimait, pour lui, il n’y avait rien de pire... ? Il n’en savait rien. Comment vivre avec un aveugle. Comment vivre avec un sourd ? Comment vivre avec un muet ? Ca on peut, on peut encore y arriver. Mais comment vivre avec lui ? Lui... Elioth Lovecraft, le prince de la blanche cité... un titre funebre, un titre funeste. Aussi désabusé que le héros de la nouvelle – aussi désabusé que lui... Il lacha un soupir... Oeil pour oeil, dent pour dent, non ? Alors, c’était son tour. Il lacha un petit sourire, et, pour la première fois depuis quelques minutes, il rompit le silence. Son sourire, autrefois heureux, avait plus l’air espiègle, et amusé. Il l’embrassa légerment sur les lèvres, l’air content... Il dit ces quelques mots, la voix toujours aussi fatiguée – mais contente.


« Voilà... j’anule les sens... et toi ? »

Petit sourire.

Cette fois espiègle, cette fois curieux. Il était tellement heureux, tellement content d’être avec elle – et pour quoi, pour quelque secondes encore ? Alors autant en profiter le plus possible encore, autant gouter encore à ces douces lèvres avant de les perdre. Il l’adorait. Il voulait en profiter le plus possible – et il voulait tout d’elle, il l’adorait. Ne serait-ce que pour quelques secondes encore, gouter à ces lèvres... Encore... Il l’aimait. Il embrassa son front, légerement, doucement, amoureusement.Il n’aimait qu’elle... Il embrassa son front, et glissant, l’embrassa encore, goutant à ses lèvres, goutant à sa langue... Il souriait toujours. Il l’adorait, elle était si belle.
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyJeu 7 Déc - 22:22

Douce..calme...c'était la femme dont tout le monde voulait. Elle était comme ça l'égard de quelques minutes. Juste le temps de comprendre. Mais elle ne comprenait pas et restait ici, à regarder bêtement dans le vide les yeux fixant un point inexistant. Un noir lugubre qui faisait front à ses yeux pour lui donner une image de désolation totale. Et pourtant tout allait bien te même un léger sourire dominait son visage pâle. Cadavre déambulant avec quelque chose de vivant néanmoins. Elle respirait, mangeait et marchait mais ne se sentait pas comme humaine. Non seulement parce que son esprit elle était obligée de le partager avec une autre âme mais aussi parce que elle se sentait depuis longtemps incomplète. Un vide, un trou...énorme. Paysage de désolation qui, vaguement, flotte devant ses yeux chaque fois qu'elle ressent une petite parcelle de joie se réveiller en elle. Alors si il lui offrait ce bonheur pendent quelques secondes il serrait très vite remplacé par des idée noires qui venaient dans son cerveau primitif sans qu'elle ne le contrôle. Avant son bonheur finissait toujours mal. Celle qui le procurait mourrait. Maintenant cela lui était gale. Elioth la tenait près de lui. Elle se sentait en sécuritée et particulièrement bien. Un bien être dont tout le monde devrait profiter mais on y fait pas très attention sur le coup. Elle regarda faiblement Elioth et reçut un chaud contacte sur les lèvres. Rien...Un seul regard pour comprendre qu'il en voulait encore. Elle n'avait même pas la force de le repousser mais elle persistait à ne pas vouloir. Elle était donc si faible ? Non ce n'était pas de la faiblesse mais qu'est ce que c'était alors ?Une force trop puissante qu'elle ne contrôlait pas même en résistant un peu..juste un peu. Elle lutait pour se convaincre que au moins elle avait essayé de le faire et que la faute était à cette puissance qui c'était installée dans son coeur. Au moins son orgueil restait intacte. Petite consolation qu'elle c'était fourrée dans le crane pour ne pas croire qu'elle était trop vulnérable et pas assez forte pour y résister. Une autre chaleur sur le front. Un peu mouillé mais très doux. C'était ses lèvres. Puis encore la main, grande comme ce doit d'être celle d'un homme, passa dans ses cheveux. Elle ferma les yeux sans rien dire, elle écoutait juste les battements de son coeur qui devenaient un peu trop forts. Ou c'était le silence qui devenait un peu trop pesant sur ses oreilles. Elle soupira légèrement et rouvrit les yeux pendent quelques secondes juste pour voir le bonheur dans les yeux du jeun homme. Elle lui sourit. Le premier sourire qu'elle lui adressait depuis le début. Un sourire sincère.

La salle était toujours vide et assez silencieuse. Encore quelques bruits résonnaient dans le vide se cognant contre les murs de la pièce sombre. Elle ne sait toujours pas depuis combien de temps c'était écoulé. Elle regardait avec cet éternel sourire l'homme qui illuminait ses idées en ce moment. Elle le fixait et semblait l'admirer. Elle avait enfin le moyen de voir d'aussi prêt. Il était beau. Un peu efféminé certes mais avec des traits qui lui plaisaient. D'ailleurs elle ne savait même pas son âge et son origine. Peut être qu'il était beaucoup plus vieux qu'elle ou au contraire très jeun pour son apparence. Mais elle ne pouvait pas juger de lui que par son apparence. Il était encore avec des formes et une peau très douce mais le corps d'un homme bien défini. Elle soupira..encore une fois. Un petit ronronnement se fit entendre. Elle ne savait pas ce qui l'avait prit mais elle était tellement bien qu'il fallait bien le manifester d'une façon ou d'un autre. Et puis il lui posa cette question. Une question à la quel elle ne voulait pas vraiment répondre. Cela n'était très bon qu'il le sache. Comment prendre un aveux d'une telle importance. Lui annulait les sens mais a côté d'elle chaque personne pouvait mourir a tout moment. Mort lamentable dont elle ne pouvait rien faire. Elle ne pourrait pas le sauver si il reste avec elle. Il semblait d'ailleurs déterminé à vouloir être là, à ses côtés pour un long moment. Le ronronnement se tut et elle le regarda dans les yeux. Un regard à moitié implorant. Elle ne voulait rien lui dire, mais lui...lui était tellement sincère depuis le début. Elle ne lui avait rien dit, elle l'avait repoussé tout juste capable de lui adresser un petit sourire par principe de présentations. Elle avait été injuste avec lui depuis le début alors qu'il lui offrait tant de bonheur depuis le début. Que faire...Elle baissa les yeux s'abandonnant à la chaleur de son corps. Elle ne voulait rien dire mais elle serait un regard insistant sur elle. Elle laissa quelques secondes de silence avant de ouvrir la bouche et en faire sortir quelques murmures lamentables. Elle ne savait vraiment pas quoi dire. Oui chaque seconde que tu passe avec moi tu peux crever...non..peut être pas...Oui, j'ai une merde qui vit dans mon corps et qui me contrôle et pour sa survie je dois boire des tonnes de litre...non, ça aussi c'est nul. Elle pouvait juste évoquer un petit souvenir et faire quelques propos brefs. Juste des indices et puis si elle trouve pas c'est sa faute. Mais elle faisait encore preuve de sottise et de lâcheté en ne lui disant rien une fois de plus. Autant le prévenir d'un coup comme ça elle serra tranquille et sauras si il l'aime assez pour rester...Un moyen à la con pour trier ses fréquentations mais c'est pas mal comme moyen. Encore peut être qu'elle pouvait détourner la conversation. Elle lâcha encore un murmure imperceptible. La sur le sol ils étaient un peu bêtes. Pourtant c'était si bien...

-Eh bien, je ne suis pas sûr ...j'ai pas envie de te mentir...mais en même temps..pff..chiant...

Elle fit une grimace. En fin de compte elle avait ouvert la bouche pour rien. ou juste pour dire des conneries. Ça l'avançait pas beaucoup sans doutes et elle fit un petit sourire en le le regardant. Un unique moment pendent le quel elle se lâchera juste pour le plaisir et de plus elle se sentait beaucoup mieux avec lui. Elle avait plus confiance sans vouloir ce l'avouer. Le ronronnement reprit pendant un court instant. Ce court instant qui lui semblait encore plus long qu'avant. Des siècles s'écoulaient lentement pendent qu'elle ronronnait mais semblait légèrement perplexe. Une peur effroyable la tenait par les tripes et lui faisaient mal à en pleurer. Combien encore de temps panserait avant qu'elle ne se décide à parler... Quatre..trois..deux...un et demi....un...ah bah non ça sert pas. Elle était muette. Juste se ronronnement un peu trop répétitif informant Elioth qu'elle se sentait bien. Il était important qu'il le sache..juste parce que c'est lui qui lui procure ce bonheur qui ne s'évanouissait toujours pas au fil du temps qui s'écoulait. Toujours rien ,un long silence qui devenait pesant même pour elle car elle était assez visé et le silence signifiait son indécision.

-Je crois que ..enfin non...si ...Tu connais l'Aconite ? eh bé cette connerie est en moi...

Que de romantisme pendent un si long moment. Employer un langages un peu vulgaire pour détendre la situation ? Encore plus bête de sa part. Elle voulait, elle espérait qu'il ne savait pas ce que c'était et qu'il s'arrêterait à là mais le souvenir de sa franchise lui faisait des picotements au coeur. Seule personne qui lui avait vraiment tout fit et était resté claire dans ses sentiments. Encore pire, la seule personne qui lui avait dit ces mots sacrés. Je t'aime...et même si elle ne pouvait pas tout de suite admettre cela, ces mots la faisaient rougir de plus belle. Lui avait osé ouvrir la bouche pour lui dire des mots aussi sacrés. Sacrés aux yeux de ceux qui y croient. Elle ne savait plus quoi croire. Elle ne voulait plus croire parce que l'image de désolation venait lui rappelait qui elle était et qui elle serra pour toujours. Elle ne pouvait plus croire en quelque chose d'aussi subtile comme l'amour. C'était trop tendre et trop immaculé pour son corps trop fautif. Et même si il découvre la source de son pouvoir c'était en fin de compte tant mieux. Elle voulait lui mentir pour mieux le retenir tout près mais ne voulait pas le faire voulant en même temps qu'il la prenne comme elle est. Dire tout et tout perdre ou tout gagner ou bien rester dans l'inconnu mais garder un espoir. Qu'il sache tout alors et qu'elle perde tout mais elle se souviendra a jamais de ce petit moment de joie pure et sincère dans sa courte vie. La seule personne qu'elle aie jamais désirée et aimé secrètement juste pour ne pas offense son orgueil. Il lui faudrait du temps pour apprendre à lui dire oui...oui pour ses lèvres et ses mains. Elle ne le repoussait plus c'était quelque chose que de le sentir tout proche. Elle voulait avoir ce temps pour lui dire un jours à son tour je t'aime... Un temps qu'il lui manquait malheureusement. Elle qui était tout le temps confrontée à la mort, chaque jour, chaque minute qu'elle pensait plus à l'aconite. Cette bestiole pourrissait depuis toujours sa vie. Elle n'avait jamais pu se sentir comme un être humain normal même si cela n'était pas très voyant. Elle était trop fier pour lui avouer qu'elle l'aimait après l'avoir repoussé. Non, elle jouerais encore un moment se montrant coquette et intouchable pendent un moment faisant passer ça pour des faiblesses féminines ou encore pour une petite faveur offerte par sa gentillesse. Pourtant elle se mordait les doigt de lui donner plus. Elle voulait mais ne pouvait le faire en même temps. quel dilemme entre son coeur et son âme, ses sentiments et beaucoup d'autre choses. Elle ne voulait plus avoir tout ces problèmes. Que tout soit plus simple pour discuter de ses décisions. Trop compliqué et jamais capable de prendre la solution la plus simple qu'elle pouvait avoir juste a cause de son entêtement a avoir le dernier mot et a garder l'honneur. Puis après l'honneur venait le doute de ses actes et ainsi de suite jusqu'à ce qu'elle se pose la question finale: est ce que je devait vraiment le faire ? Elle ne voulait pas en arriver à cette conclusion elle voulait juste l'aimer et puis c'est tout...pourquoi pour lui c'était tellement clair tellement simple...Le ronronnement reprit lentement s'étouffant quelques fois dans le silence puis reprenant le dessus. Elle ne voulait plus rien savoir plus rien faire. Elle était de nouveau lasse mais tellement bien dans son bonheur retrouvé que sa mère lui promettait depuis longtemps. Elle l'avait enfin retrouvé et bêtement elle n'en faisait rien... Néanmoins une toute dernière question lui trottait dans la tête et cette question , Elioth pouvait y répondre facilement..enfin non peut être pas. Elle voulait le savoir juste pour voir ce qu'il y avait de bien en elle pour qu'il s'intéresse autant à cette jeune fleure blanche et pourrissante mais sans qu'on le voie. Question bête et pas pratique a poser mais elle voulait le savoir...le savoir de lui parce que lui était sincère avec elle. Parce que lui il lui dirait la vérité.

-Pourquoi ..pourquoi est ce que tu me dis ça ? pourquoi est ce que tu m'aimes ?

Elle se resserra encore plus contre lui peur de le perdre à l'instant. Il pouvait prendre ça comme il le voulait. Chacun le prenait d'un façon très différente et c'était son droit de ne pas y répondre. Mais elle voulait le savoir car c'était lui. Elle ne voulait pas juste des mots comme tu es magnifique ou autre..mais elle voulait la vraie raison. La raison pour la quelle du premier regard il l'a aimé. Pourquoi ..pourquoi...pourquoi...Dis le moi mon ange toi qui détiens seul ce secret dont j'ai envie de connaître la réponse. Un secrete si petit et si faible qu'on le tient dans son coeur pour pas le briser. Personne ne veut que la raison de leur amour se brise... Elle voulait juste l'apercevoir d'un oeil voyeur mais juste en voir une petite partie et cela lui suffisait. Quelques secondes montre moi ton coeur, montre moi ton, secret et je te dirais tout ce que tu veux. Je te dirais ce que tu veux le plus savoir. Je veux te dire je t'aime ... J'ai envie de out te donner mais non ...Vanessa ferma les yeux resserrant son précieux trésor contre son corps froid et cadavérique. Elle avait peur de tout peur de lui peur de sa voix qui lui dirait tout ce qu'elle veux entendre ou ne pas entendre. Elle ne voulait pas trancher..elle voulait juste l'aimer.
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyVen 8 Déc - 20:41

... Un poison pour tout le monde.
Il comprenait enfin. Elle avait été ironique. Elle allait mal. Elle ne se sentait pas bien. Comme un con, il ne comprenait que maintenant à quel point elle souffrait. Elle était si dépimée qu’il se devait absolument de la faire sourire. Lui avait beau être quelque part aussi souffrnt, celà lui importait peu... Il n’y avait que elle dans son pauvre petit coeur malmené. Il n’hésiterait ps à tout faire pour elle – juste tout faire... Car c’était elle. Tout faire n’aurait pas été assez. Tout faire, c’étai trop loin du compte. Il fallait qu’il fasse plus. Tout, ce n’était plus assez... Son esprit coinçait sur ce point de vue, bloquait, et lentement s’écroulait à terre. S’écroulait lamentablement, mordait la poussière, comprenait enfin que c’étai une limite qu’il ne pouvait dépasser – et pourtant, qu’il lui fallait dépasser. Comment faire ? Comment faire plus que tout pour elle ? Il avait déjà massacré son honeur, scarifié sa solitude... Que faire d’autre ? Il ne le savait. Il ne voulait savoir. Pour l’instant, il n’y avait qu’elle. Il n’y avait que cette fille magnifique. Rien de plus. Il ne voulait que rester contre elle – lui faire le plus plaisir, à n’importe quel prix. Il l’adorait, elle était merveilleuse... Il se sentait mal. Ce n’était pas sa place. Comment avait-il le droit de retsre près d’elle, près de cette ravissante femme, près de cet ange ? Il ne pouvait pas. Il n’avait pas le droit. Il aurait du s’en aller – elle méritait mieux que lui. Tant de beauté, tant de grâce, tant d’humilité, tant de malchance – oui, elle, elle avait le droit, pour une fois, d’avoir un peu de chance et quelque chose de plisant – de grâcieux comme elle, d’aussi magnifique... Elle avait le droit à mieux que lui, mieux que lui, ml’aveugle, l’estropié, l’infirme, le haïssable... Un poison pour tout le monde... Loin de là. Le seul poison qu’il y avait là, c’ était le sien. Le sien-propre, haïssable, détestable – son existance. L’existance d’un parasite estropié – l’existance d’une créature horrible. Quelque chose de détestable que sa vie. Quelque chose que d’haïssable que lui-même. Quelque chose d’horrible ; quelque chose qu’on refusait de regarder en face. Il ferma les yeux. Ses traits se durcirent un peu. Elle méritait mieux, non ? Beaucoup mieux. Tellement mieux que lui... Elle était si magnifique. Tout pour elle... Il fallait tout pour elle. Et plus. Bien plus. Tout n’était pas assez. Quand elle se dirait heureuse, lui le serait – pas avant. Il ne voulait pas avant, il ne voulait ue le bonheur de cette femme... Elle avait dit ‘reste ici’. Elle voulait encore de lui. Elle voulait bien le garder encore. Elle voulait bien rester... Etait-ce encore vrai ? Etait-ce encore aussi beau ? Avait-il le droit à tant de beauté ? Non... à tout ? Il ne savait pas. Tout ce qu’il voulai, c’était la croire, c’était être avec elle. Il se sentait pourtant mal – il n’était pas à sa place dans cet amour... Lui, amoureux ? Jillian en aurait rit. Pourquoi pensait-il à elle ? Il ne le savait pas. Il n’en savait rien. Il ne voulait que rester près de son aimée... Oui, amoureux, et pas autre chose. Oui, amoureux... Oui. Amoureux. Il l’adorait. Elle était magnifique. Elle était magique...


« Pourquoi... ? »

Pourquoi... ?
Pourquoi l’aimait-il ? C’était évident. Elle était magnifique... Simplement magique. Elle était si belle... Comment epliquer ? ... Quand, lentement, alors que la nuit est noire, on s’avance dans la rue – une boueille à la main, un jeu de clefs dans l’autre – il n’y a qu’un seul endroit où l’on veut aller. La nuit est tombée, il fait froid, la bouteille même ne réchaufferait pas assez. La nuit est sombre, il n’y a pas de Lune – il fait froid, comme dans une froide nuit d’hiver. Tout semble comme si on passait seulement par des petites rues mal éclairées – on voit à peine devant soi, on ne sait pas très bien quel chemin prendre – mais pourtant, on ne se perd pas, on a froid... La rue est vide, il se fait tard – le froid a chassé les passants. Il fait sombre, il fait froid, il fait seul, on attend dans le froid. Qu’attend-t-on ? Simplement d’être chez soi, de poser les clefs, la bouteille sur la table, de pouvoir se retourner et retrouver un être cher. Simplement une chaude maison, où l’on a moins froid – simplement une maison lumineuse, où l’on sait où l’on va aller. Simplement une maison peuplée par celle qu’on aime, qui attend, aimante... On sait que bientôt, on va se retrouver dans ses bras – avant même d’entrer chez soi, on aperçoit la lueur, avant même d’ouvrir la porte, on sent qu’il fait plus chaud – ; avant même d’entrer, on sait que tout va aller bien. C’est exactement ce sentiment que l’estropié ressentait –il savait, que, surement, tant qu’il l’avait près de lui, tout allait bien. Tant qu’elle était heureuse, tout allait bien. C’était exactement ce sentiment, tout allait simplement bien se passer – tout était parfait, et tout le resterait. C’était quelque chose de très confortable, de très agréable, de très dou, quelque chose à chérir. Moins que Vanessa – elle était parfaite, et par conséquent, il ne pouvait chérir plus qu’il la chérissait. Beaucoup moins que Vanessa – elle était magnifique, et en plus de chérir, il l’adorait, il la vénérait. Vraiment moins que Vanessa – elle était si belle qu’il ne pouvait que l’aimer le plus. En fait, même si ce sentiment était confortable, ce n’était rien à coté de Vanessa. Elle était Unique. Elle était simplement unique... Ca lui suffisait, que d’avoir cette femme si parfaite, si belle, si magnifique contre lui – que de pouvoir tenir dans ses bras cette fille si merveilleuse, si magique, unique. Ca devait suffire... Elle était si magnifique, c’était si dou, il ne voulait rien de plus, il ne voulait que elle. Elle qui était si parfaite. Elle qui était si magique. Elle qui était si belle. Elle qui était si magique. Elle qui était si unique. Il l’adorait. Il l’idolâtrait. Elle était la seule fille au mone capable de faire naître en lui autant d’amour – capable de le faire autant perdre la tête. Pourquoi l’adorait-il ? Etait-ce réelement aussi compliqué ? Est-ce qu’il l’aimait vraiment aussi fort ? Si oui... Alors oui, peut-être qu’il lui allait. Peut-être que si elle restait avec lui, il n’était pas si horrible. Peut-être que non...


« Et peut être que oui... »

Doux murmure, silence même – inaudible bruit, prologation de ses pensées... Doux murmure, fin silence – mots tranchant qui lui montrait la raison même. Doux silence, mumure affiné – rien de beau dans tout celà. Seulement son portrait. Seulement une horreur absolue. Seulement une aberration de plus... Rien d’enviable, tout de detestable. Seulement lui... Il était dégoutant. Il était vraiment dégoutant. Et le pire dans tout ça, c’est qu’il y était indifférent. Simplement indifférent. Inintéressé en ce qu’il était. Il avai beau être quelqu’un de haïssable – un pauvre gamin égocentrique, un pauvre morveux qui se hait, qui hait le monde, qui se dénigre, qui dénigre ce monde, un pauvre enfant seul et stupide, un type borné, gamin et incrédule, un désabusé dépressif... qui faisait semblant d’être inouchable. Et il y était indifférent. Il n’avait envie que d’en rire. Pour reprendre la chanson à laquelle il pensait quelque temps avant – « Pain » – : ‘You sick of feeling numb’ ; mais il est toujours aussi imuablement ‘numb’. Il est malade de tant d’horreur sur lui-même – il finira malade à force de ne même pas s’y interesser un minimum. Il finira malade d’être aussi inconscient – auissi ininteressé. Ininteressé dans tout – sauf elle. Il l’adore, elle...Et pourquoi elle ? Et pourquoi seulement elle ? Parce que c’est elle. Parce qu’elle est magnifique... Parce qu’il l’aime... Il veut tant lui dire – il ne désire que ça – mais il ne le dira pas. Il ne le dira pas, car il a honte de lui-même – il ne s’expliquera pas, parce qu’il ne veut ps encore s’avouer qu’il est aussi horrible. Il n’en a rien à faire, peut-être – mais quand il aura vu, il s’intéressera à lui. Et il ne veut pas s’intéresser à lui. Et il ne veut pas se montrer... C’est trop douloureux. Et pour lui, et pour elle. Le sait-il ? Peut-être que oui, peut-être que non... Il n’en a rien à faire... Il ne veut rien en avoir à faire. C’est trop dur, simplement trop dur à supporter. Il l’adore, vraiment, elle est magnifique, elle ets belle, elle est unique. Ca lui ferait mal à elle... Et lentement, il se met à fredonner...

« You sick of feeling numb, you’re not the only one... »

Oui… Il était malade de se sentir aussi ininteressé. De se sentir aussi indifférent. Il se détester – il ne veut pas qu’elle le voit ainsi... Est-il vraiment ussi indifférent à tout celà ? Non. Il s’inquiète d’elle, aussi, il s’interesse à ce qu’elle pense de lui... Pourquoi l’aime-t-il tant ? Il ne sait pas... Il sait juste qu’elle le change. Il sait juste qu’elle est là pour tout bouleverser. Il sait qu’il ets détestable – il sait qu’il est haïssble. Il sait qu’il est horrible. Oui, il sait tout celà... Il sait qu’en fait, il n’y pas autant indifférent. Il sait qu’en fait, ce que les autres pensent de lui, ca l’affecte. Si c’est elle qui regarde, alors il s’en veut d’être si laid. Si c’est elle qui s’y intéresse, alors il se déteste pour être aussi abominable... ‘Détourne les yeux – ce n’est qu’une aberration de plus, rien d’autre...’ Rien d’autre... Détourne les yeux d’Elioth –il n’aime pas ça, il n’aime pas, il se sent si mal quand tu le regardes... Fuis-le, il est si horrible... Ce n’est qu’une horreur de plus, détourne les yeux, ne regarde plus, il seulement horrible... Il passera. Il passera, on l’oubliera. Comme tout le reste... Pourquoi l’aime-t-il ? Parce que, elle, elle ne détourne pas les yeux. Parce que elle, elle continue de le regarder, elle continue de chercher à le voir... Parce qu’il est important à ses yeux. Parce qu’elle reste ici pour lui... Elioth lâcha un soupir. Il l’aiamit pour tout ce qu’elle ferait. Il l’aimait pour tout ce qu’elle était. Il l’aimait... car elle l’aimait. Il l’amait car elle était parfaite. Il l’aimait car enfin il ressemblait à quelque chose... Une photo et un cadre. Une vieille photo jaunie, racornie, qu’on a oublié au fond du tiroir. La photo est belle – mais on ne la regarde pas souvent. Aussitôt qu’on la met dans le cadre, la photo est regardé, la photo est plus conue... Aussitôt qu’on l’a mise dans son cadre, la photo est regardée. La petite photo devient importante. La petite photo, certes jolie, mais dont on se passait, on se rend compte de ses attraits, et elle semble mieux dans son cadre... Il était la photo, elle était le cadre.

« Je t’aime parce que tu me regarde... »
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyVen 8 Déc - 23:45

[ laisse ma photo tranquille >_< ]

Ne le regarde pas il pourrait mordre...Ne le regarde pas il est méchant. Il te fera tu mal parce que toi tu reste avec lui. Elle ne voulait pas faire du mal. Elle restait ici parce que elle ne le voulait pas. Sentiment de haine pour son propre être qu'elle s'obstinait à vouloir lui faire du mal. Elle se détestait autant qu'Elioth se détestait lui même mais pour différentes raisons. C'était lamentable quand on la regarde de loin. Quel petit être misérable qui ne prête même pas attention à ses proches. Solitaire, ombre sans maître, terre sans sable...rien..ce n'était plus rien... Une haine insurmontable dont tout le monde avait le mépris. C'était compréhensible pourtant. Un homme qui ne veux plus sans aucune joie de vie qui t'inspire que la mélancolie dans ta propre humeur. A vraie dire la vie est horriblement ennuyeuse. Les humains cherchent de nouvelles aventures et de nouvelles choses à croire mais que croire quand tout est déjà derrière. Certains s'accrochent à un espoir d'amour d'autres s'abandonnent au désespoir le vide dans l'âme parce que la vie n'apporte que du malheur et c'est généralement les sentiments les plus forts qui sont les plus douloureux. C'est que quand on perd un proche qu'on se rend compte à quel point il était cher à notre coeur. Raison de plus a passer le reste de la courte vie a damner sa vie parce que cette personne ne reviendra plus jamais et que avant vous avez pourri sa vie de malheurs inimaginables. Tout le monde a peur de la mort...quel cruel destin, qu'un seul homme ne craint pas la mort il est tout de suite mauvais parce que lui, lui à envie de se soulager...Misérable... Que dire de plus. Elle était misérable a croire en tout ça mais c'était la seule chose dont elle pouvait encore goûter le goût véritable sans avoir de la cendre dans la bouche. Autant se joindre a tout les parasites présents et pendent une seconde se sentir comme eux..aimants et heureux pour si peu de choses. Lui aussi était heureux pour si peu de choses. Elle avait posé son regard sur lui et pouf..c'est bon c'est fini le monde recommence à tourner.

Etrange sentiments de sarcasme vint flotter en elle. Pourquoi...tout simplement parce qu'elle se lassait très vite de tout situations trop lentes à son goût. Venait opérer la vie maudite de cette plante. Qu'il comprenne son malheur ne voulait dire qu'il acceptait l'autre corps l'autre âme et une nouvelle personne qui pouvait naître devant lui à tout moment. Que faire ? résister ? non, c'était l'échec garanti pour elle. Et de toute façon elle n'était pas assez forte moralement pour supporter une conscience supplémentaire dans son crane. Que l'autre reste endormie et c'était très bien. Juste une présence un peu trop envahissante dans le crane donnant un mal de chien a certains moments. Le moment était venu. Elle n'en pouvait plus et se décolla instinctivement sachant ce qui allait se passer suivant les quelques minutes. C'était trop facile. L'aconite était vraiment nul quelques fois et surtout trop prévisible. Parfois s'en devenait presque lassant de toujours tout savoir. Elle recula un peu du jeun homme si disant que c'était un peu trop près. Elle était toujours néanmoins couchée sur le sol a regarder Elioth dans les yeux en attendant un peu que ca vienne. Elle ne savait pas vraiment quand...Peut être maintenant. Elle s'attendait au pire de la part de la bestiole..Une léger picotement au niveau des narines..qu'est ce que ...??!! non c'était quoi cette connerie. Elle regardait un peu bizarrement et sentait les muscles de son nez bosser comme pas possible et elle avait envie de se gratter le nez comme pas possible. Encore pire sa venait pas. Elle passait presque au ridicule la a regarder Elioth d'un air bizarre un oeil plus petit que l'autre les larmes aux yeux. Elle lâchait en silence quelques insultes dans le vide sans vraiment pouvoir faire quelques chose. Soudain un gros bruit ricocha contre les murs de la salle avec un grand bruit résonante. Encore pire que quand elle avait envie de boire. Elle se mit a rire bêtement mais d'un rire joyeux pour essayer defacer la connerie qu'elle venait tout juste de faire. Elle qui croyait encore à une alerte bah non...quelle conne. Elle riait de son petit rire féminin faisant plus penser à celui d'un petit fille d'à peine 4 ans. Elle était gamine quand elle le voulait vraiment. Néanmoins le désir de changer un peu pressait plus fort. En fin de compte c'était un peu des deux...Elle se releva vacillant un peu d'un côté vers l'autre ne trouvant pas d'appui parfait.

-Excuse -moi. Je m'attendais à quelque chose d'autre que au fait que j'éternue.

Elle ne savait pas vraiment quoi dire. Que voulait-il ? Elle n'était pas vraiment habituée a deviner les pensées de gens qui l'aime. Elle fit juste un petit sourire coquin et désarmant avant de se retourner et sans même attendre Elioth elle avança d'un pas pressant vers une porte menant sans doute vers encore une autre partie du château. Elle voulait surtout voir la réaction d'Elioth. La suivrait-il en l'empoignant par les bras l'embrasant fougueusement. Si c était le cas elle sourirait d'abord avant de le gifler gentiment mais néanmoins il aurait eu ce qu'il voulait a l'espace d'un instant. Puis venait aussi la solution qu'il ne vienne pas et qu'il la laisse partir pour qu'elle aille balayer de ses yeux le reste du château. Grande question existentiel mais qu'allait-il faire ?? Elle riait presque à l'idée qu'il puisse courir derrière elle. C'était flatteur mais il pouvait très bien prendre ça comme un autre rejet. Elle se retourna quelques fois pour voir ce qu'il faisait mais prise d'une montée d'arrogance elle se retournait pour se tenir droite et marcher sans le regarder et montrer une petit marque d'espérance pour qu'il la suive. Il pouvait aussi gentiment venir la prendre par derrière. La saisir par la taille et l'attirer vers lui. Tout ca était tellement beau et magnifique. Elle laissait presque paraître son envie de l'aimer mais encore elle s'en passerait. Elle avançait de plus en plus doucement et la porte se rapprochait de plus quoi qu'elle face pour aller plus lentement. Elle finit par l'ouvrir et sa faufiler derrière. Elle la referma derrière elle et, debout elle attendait quelque chose. Qu'il vienne qu'il cire qu'il parle mais qu'il face quelque chose. Elle espérait. Il pouvait faire tout ce qu'il voulait avec elle. Elle était toujours d'accord faisant comme a son habitude passer ca pour de la faiblesse féminine et morale mais elle savait très bien qu'elle le voulait. Une petit tape par ci par la jusqu'à ce qu'elle s'abandonne tout à fait à ses désirs ardents. Elle sourit calmement respirant lentement...chuchotant quelque chose...

-Viens à moi mon petit ange...
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptySam 9 Déc - 15:09

[oui oui chérie TT_TT]

« ... »

Elioth lâcha un sourire. Elle en voulait encore ? Malgré la fatigue, malgré le fait qu’il n’en pouvait plus de tant de choses si fortes – malgré tout celà, si c’était pour son plaisir... Elle en aurait encore. Lentement, silencieusement, il la regarda partir, la comtemplant, regardant sa fine silouhette... Il allait la suivre d’ici peu. Le temps de se relever, le temps de savoir ce qu’il ferait pour elle. Il regardait sa fine silouhette, et il était heureux ; elle ne l’avait pas encore repoussé... C’était tout ce qu’il désirait. Rester avec elle... Il n’y avait pas de plus beau rêve. Il comptemplait toujours la magnifique femme – elle était si belle...La voyant disparaitre par delà la porte, il se leva à son tour, silencieusement, calmement. Elle était aller se réfugier dans le même placard que celui qu’il avait pris pour se changer –remarque peu importante, mais tout de même ... Doucement, il s’aprocha, lentement, sans rien dire, sans bruit. Il souriait toujours. Il n’avait qu’une envie, lui faire plaisir...Il ouvrit la porte.

« ... »

Il ouvrit la porte. Il la prit dans ses bras. Il l’embrassa, lentement, fougueusement, joyeusement... Il ne lachait plus ses lèvres ; doucement, il passa sa main dans son dos. Il n’étai pas habitué à faire celà, et lentement, il referma la porte derrière lui. Il continuait à l’embrasser, doucement, ses mains contre elle, la serrant dans ses bras, la gardant près de lui... Il sentait ses douces mains, il sentait sa blanche peau contre la sienne... Lentement, il se mit à embrasser la jeune fille plus calmement, plus posément. Mais il ne la quittai pas. Il refusait de lâcher les douces lèvres. Il refusait de laisser partir celle qu’il aimait, car elle était trop belle... ellle lui manquerait trop. Il restait là, près d’elle, calme, heureux, ne goutant qu’au bonheur et à ces douces lèvres. Il avait beau se sentir mal à cette place qu’était la sienne, il y était heureux... Il ne voulait pas la lacher, pas la laisser partir, car il ne savait pas quand il la reverait, quand il pourrait à nouveau être avec elle... c’était pourtant tout ce qu’il voulait. Il était si heureux avec elle, contre elle, en goutant ses lèvres... Lentement, il lâcha ses lèvres, à contrecoeur, pour lui dire ces mots si doux, si durs à dire...

« Je t’aime... »

Elle était si belle, elle était si magnifique. Lentement, il la regarda, les mains dans son dos, l’air légerement lointain. Elle étai magnifique. Il n’y avait rien de plus beau, strictement rien de plus merveilleux qu’elle. Il l’adorait, elle était magnifique... Lentement, il reposa ses lèvres contre les siennes, douces lèvres cerises... Il ne pouvait pas s’en passer. Elle étaient trop douces. Elles étaient trop bonnes. Elles était trop merveilleuses... Il ne voulait pas les lacher, il ne voulait que les ressentir encore, il ne voulait que les avoir près des siennes... Lentement, il l’embrassait, lentement, il la ressera encore contre lui. Il ne voulait pas la lacher. Elle était trop belle. Elle était trop merveilleuse. Il ne pouvait pas la laisser... Elle était trop mrveilleuse, voilà tout. Il ne pouvait rien sans elle. Il ne pouvait réelement pas se passer d’elle... Il ne pouvait absolument pas se passer de ces lèvres, il ne pouvait absolument pas se passer de cette douce langue, il ne pouvait se passer de cette odeur sucrée tellement délicate... Il ne pouvait se passer d’elle, sa drogue, son amour... sucré...

« Je t’adore... »

Il l’adorait, vraiment. Il aurait aimé qu’elle l’embrasse elle aussi un peu, de son chef, il ne voulait pas être le seul à aimer... Il ne voulait pas être un boulet complet pour elle. Il l’adorait... elle était magnifique. Voilà tout... Sa langue, son amour, elle... Ca, c’était tout ce qui le rendait heureux. Très heureux, même... Il l’adorait... Elle était si belle... Elle était si magnifique. Il ne pouvait s’en psser, tant elle était belle... Il ne voulait qu’elle. Elle qui était si bien. Si parfaite. Il l’adorait. Il pouvait la toucher contre lui... Il pouvait sentir ses lèvres contre les siennes... Elle était si belle... et dès lors, lui était si heureux avec elle... Il l’adorait. Elle était magnifique. Elle était... Elle était elle-même... Elle était simplement quelque cose de magnifique, quelque chose de si parfait, et de si beau en même temps qu’ilne pouvait s’empecher de l’adorer. Elle était magnifique. Ca lui siffisait tant... Elle était si belle... Il sourit encore, en la regardant, elle, toujours aussi près d’elle, la tenant toujours dans ses bras. Elle était... parfaite.

« Je t’aime, mon ange... »

[posté très court >_< désolé ! bon, je ferais peut etre un édit... mais ça reste dans l’idée ! Je ferais rien d’autre de particulier.]
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyDim 10 Déc - 0:55

Trop parfaite trop belle....tout ça était trop beau et un peu fort pour son petit esprit et son habitude à ne pas avoir confiance en elle. Elle qui voulait toujours se rabaisser au près de autre en se comportant en même temps au dessus de tout. Elle disait justement ce que les gens voulaient entendre et non ce qu'elle pensait. Maintenant elle faisait ce qu'elle pensait en non l'inverse. Que faire maintenant qu'elle était vraiment placée au dessus de tout. Elle se sentait ivre, ivre de se pouvoir et de cette grandeur. Elle était maintenant trop loin du reste, trop loin de tout ce qu'elle aimait et c'était en ses convictions d'interrompre ce doux rêve. Elle n'était pas ça. Elle ne voulait pas l'être. Un être magnifique et parfait dont on ne sais que faire et pour ne pas trop l'abîmer on la garde près de soi sans la montrer à tout le monde. Elle ne voulait pas être renfermée par un désir trop ardent. Il était trop protecteur et cela lui faisait peur, peur de son amour trop grand. Elle ne voulait pas de tout cela. Elle ne se rendait pas compte de tout cela. Avant c'était quelque chose de beau et romantique qui se transforme maintenant en une montagne qui s'abat lourdement sur son corps sans qu'elle puisse y faire quelque chose. Ou bien résister ou bien fuir. Elle était lâche certes mais pas à ce ..si peut être. Elle voulait fuir mais ne bougeait pas d'un pouce. Que faire d'un danger qu'elle ne peut éviter que en abandonnant tout. Pourquoi ne pas juste s'écarter un peu et laisser place au calme. Elle ne savait pas et ne voulait pas savoir. Âme cherchant instinctivement à protéger tout ce qui la concerne. Le temps passait pendent que lui goût et elle souffrait de son indécision. Lui mangeait ses lèvres et sa langue pendant qu'elle résistait à autre chose. Elle le repoussa lentement. Sans le regarder elle ne savait que dire. Peut être rien. Elle se recula. Pourtant il comptait plus que tout et elle avait rien vue. Elle ne voulait pas partir mais partait à contre coeur. Lui était déjà assez loin en la plaçant au dessus que tout. Elle se sentait loin alors qu'elle ne voulait qu'être juste à côté. Proche de son coeur et de sa chaleur. Mais non elle était déjà si loin...si loin.

Quelques pas suffisaient et elle n'était plus. Il ne la tenait plus mais ses lèvres brûlaient encore de douceur de celui qui l'aime. Non il n'était pas le seul à aimer mais elle ne le disait pas. Elle ne voulait pas le dire. De peur..mais de quoi ? Elle ne voulait rien savoir de sa peur. S'en était mieux ainsi. Encore un mouvement trop vague et baladeur et elle percuta de l'arrière de son crane le mur. Le choc, violent et net lui fit venir la douleur aux yeux. Elle s'appuya contre la première chose qui lui vint sur la main. Cette chose trop glissant, elle bascula, glissant lamentablement le long du mur. Tout ces idée se frottaient les unes contre les autres et elle avait mal à la tête en plus de ça. Elle n'en voulait plus. Elle vidait son esprit pour laisser la douleur s'estomper en tout tranquillité. Les yeux vides elle se releva. Que faire, lui était toujours là. Cela devenait presque embêtant de voir toujours sa présence. Elle ne voulait plus le voir. Lui qui était toujours présent. Cet être se présentait comme une horreur devant elle. Pourquoi..sûrement parce que c'était ainsi. Elle ne lâcha aucune cris de peur ou autre. Non, cela n'était pas necessaire car elle en avait vu des choses comme celle ci. Elle les supportait. Mais elle n'en voulait pas en même temps. Des traits familiers se transformant en une crispation étrange faisant penser à une grimace. Un tour de son imagination ou la réalitée. L'imagination.

Elle le regardait avec une pointe d'amour. Elle le regardait parce que lui en faisait autant. Supporter un regard de la personne dont on a peur était un défi. Elle se fixait des défi mais jamais de cette ampleur. C'était très fort psychologiquement. Elle avait peur de lui mais ne disais rien comme si c'était une crise passagère. Elle ne criait pas pour ne pas lui faire peur. Elle ne voulait pas qu'il fui même si il faisait peur au point de courir le plus loin juste pour ne pas voir cette horreur. Pourquoi toute cette machination tout à coup. Il continuait a être là et elle a moitié sur le sol a le regarder d'un air mauvais. Elle ne voulait pas qu'il parte mais elle, elle voulait partir plus loin. Il faisait peur. Elle s'en voulait d'être a ce point paranoïaque et possédée cette bestiole avec un faible esprit. elle se laissait naturellement faire car avant c'était qu'une habitude qui ne la dérangeait pas car elle ne connaissait personne et faire fuir quelqu'un ne la gênait pas. Mais aujourd'hui tout avait changé. Elle voulait pas qu'il parte mais ne pouvait pas résister par manque d'entraînement. Ces crises venaient de plus en plus souvent perturber son existence. Elle n'en pouvait plus mais ne devait pas à nouveau crier. C'était insupportable se mal ans la tête à voir trouble et toujours avoir la sensation que la situation vous échappe des mains. Elle ferma les yeux l'espace d'un instant et le pas vacillant elle se dirigea dans le couloir. Elle rouvrit les paupières et ne vit plus rien. Elle était totalement aveugle. C'est pas vraie, déjà ? non cela ne pouvait pas l'être. Elle fit quelques pas encore espérant ne pas s'écrouler encore une fois en pleine route. Elle ne savait pas ou aller ni ou regarder. Tout était si flou et si abstrait. Elle avait besoin d'appeler quelqu'un. Mais elle n'avait personne qui appeler. Elle n'avait personne à qui demander de l'aide. Que faire, habituellement elle se débrouillait seule dans se genre de situations mais là elle était tellement perdue et affaiblie après tant d'émotions forte. Elle était une femme et ne pouvait pas supporter certaines choses. Elle n'arrivait pas à surmonter tout ça. Elioth....lui était là...elle ne voulait pas l'appeler car c'était la personne qu'elle aimait le plus et devant la quel elle ne voulait pas paraitre faible. Mais elle l'était déjà et essayait désespérément de le faire passer pour une faiblesse de quelques secondes. Pourquoi toujours faire comme ci tout allait bien. Toute sa vie était une pièce de théâtre. Tout le temps à faire comme si elle allait bien, comme si toute sa vie était parfaite. Au bout d'un moment on craque. Et c'est le plus souvent quand on reçoit un grand choque psychologique. Elle ne contrôlait plus rien et cela était très énervant. Tout lui échappait.

Les murs devenaient un peu visqueux pour ses mains. Elle s'appuyait désespérément dessus sans arriver à s'y retenir correctement. Le sol était un vaste trou noir, le néant. Quand à ce qui se passait devant..rien. Elle ne voyait rien ou plutôt ne voulait rien voir. Elle fermait obstinément les yeux sur ce qui était devant. Elle ne voulait pas avancer car devant ce trouvait la lumière. Personne ne doit jamais avancer vers la lumière même si elle attire l'oeil humain. Elioth... elle voulait l'appeler. Il la voyait. D'une apparence un peu ivre d'un pas hésitant mais rien ne laissait percevoir quand à son état. Elle était trop bonne actrice pour le laisser voir. Elle était forte tout en étant faible. La jeune fille marchait dans le sens contraire. Elle ne cherchait pas la rencontre du jeun homme. Elle allait dans l'autre sens. Pourquoi ? elle ne le sait pas. Elle ne savait rien. Elle cherchait juste a éviter ses yeux monstrueux qu'elle ne pouvait plus supporter. Quel horreur quand la personne que vous aimez le plus devient tout à coup celle qui vous repousse le plus. Que tout cela était contradictoire. Elle le voulait mais en avait peur. Elle l'aimait mais ne le regardait pas. Elle avançait tout en voulant revenir sur ses pas. Que faire...que faire.. elle ne savait rien. Elle était devenue faible. Trop de choses fortes. Elle n'en pouvait plus... Elle devenait elle même un monstre dont elle ne reconnaissait plus aucune trait ni comportement. Elle fatiguait..Elle ne voulait plus rien ...lui était là...elle le voulait...

-Elioth...s'il te plaît..

Elle n'arrivait à plus rien dire. Sa voix trahissait le tout. Elle se retourna une fois pour voir Elioth, son amour, d'une façon floue..pas très distincte. Presque insaisissable. Tout se frottait se cognait dans tout les sens. Tout était si compliqué et si simple en même temps. Elle ne savait que faire et déjà appeler Elioth était un dernier signe de faiblesse. Elle voulait juste qu'il vienne la soutenir et l'aider à tenir debout. Elle ne voulait rien d'autre. Tout était toujours aussi noir et le paysage de désolation nageait distinctement devant ses pupilles. Le noir et la lumière se rencontraient en une couleur encore inexistante. Un flash faisant mal aux yeux mais magnifique en même temps. Cette fois la lumière était beaucoup plus grande. Elle se mit à sourire sans raison. Cela signifiait que tout était bientôt fini. Peu à peu tout partait. La fatigue l'horreur, les traits déformés. Tout. Mais pas cette fois comme si c'était plus résistant que la dernière fois. Elle ne voulait plus la regarder. Elle se retourna pour voir Elioth et dans un doux chuchotement elle disait sans qu'il puisse comprendre.

-Regarde..elle part..la lumière...Regarde, c'est magnifique. Ça va s'en aller maintenant. C'est finit dis moi ? C'est fini hein ?!

Elle pointait du doigt vers la porte..une simple porte qui signifiait la fin du couloir, la fin de la pièce mais pour elle cette fin était la fin d'une longue agonie dans le silence et le noir. Elle ne pouvait rien dire au prix d'être prise pour une folle. C'était pas pour la premier fois. Son doigt tremblait maintenant et son corps finit par suivre la même cadence. Elle le regardait pourtant les yeux comme à son habitude. Les yeux joyeux mais cachant tout de même une part de mensonge. Lui devenait normal à ses yeux. Lui redevenait l'être magnifique qu'il était. L'homme beau et fort qui l'avait tenu dans ses bras. Son coeur battait de plus en plus lentement jusqu'à atteindre un mouvement presque inexistant. Imperceptible. Elle était froide... La jeune file ne pensait plus à rien. Elle voyait juste l'horreur partir peu à peu. Elle tait plus heureuse et comme si tout cela n'était qu'un simple passage habituel et sans conséquences, elle redevenait normal. Reprenant des couleurs inexistantes sur son visage. Devenant plus forte... Elle n'avait pas du lui demander de l'aide alors que tout c'était si vite passé. Néanmoins elle ne savait pas combien de temps c'était coulé. Elle ne voulait pas le savoir...elle ne voulait plus rien savoir. Une indifférence totale, elle voulait juste savoir la réaction d'Elioth. Qu'allait-il dire ?... Rien. Puis sentant ses membres s'alourdir elle s'écroula sur le sol à genoux en pointant toujours du doigt sur la porte, sa lumière. Elle le regardait..elle regardait son coeur...son amour encore inconnu de son âme...encore toute nouvelle. Elle l'aimait mais ne l'admettait pas...mais elle l'aimait d'un coup d'oeil...un charme particulier qui sais...

Tant de sentiments qui se mêlaient dans son être. C'était un étrange moment de nostalgie. Elle se rappelait de tant de choses autant mauvaises que bonnes. Un petit moment à l'espace de quelques secondes qui lui rappelait toute sa courte vie comme si elle allait mourir juste après. Des images qu'elle voulait ou ne voulait pas voir. Et en arrière plan une seule image. Les deux personnes qu'elle avait le plus aimé au monde. Sa mère...et Elioth... Elle l'aimait ? oui, mais le savait-elle ? sûrement mais en l'interprétant pour autre chose. Des images au ralenti comme dans un filme en noir et blanc. Un filme qui dure toute une vie. Ce dont empoisonné lui était apparu juste à ses 7 ans. Pourquoi aussi tôt. Elle aurait maintenant voulue encore profiter d'une vie normale. La vie d'une gosse simple avec une mère qui bosse pour trouver de la thune. Mais non rien, maintenant sa mère était morte et en premier temps elle ressentait de l'indifférence à son égard. Ici tout de suite elle voulait la voir plus que tout au monde et elle aurait tant voulue la voir dans un rêve. Rien que cela étai magnifique. Elioth pouvait l'aider...aide la... Elle a besoin de toit pour oublier pendent quelques jours ce maudit pouvoir.

-C'est fini ?! Dis moi que c'est fini !

Elle en arrivait à crier pour rien. Elle voulait qu'il le lui dise pour qu'elle y croie elle même. Elle n'arriverait jamais a croire quelque chose qui vient de sa propre conscience. Elle voulait qu'il le lui dise pour qu'elle en soit sûr. Perdue de désespoir elle lui criait les derniers mots. Elle n'en pouvait plus et ne croyait plus à rien. Elle voulait juste qu'il la rassure que tout est fini. Que rien n'est plus...que rien ne peut plus lui faire peur maintenant que lui est là. Que lui la rassure de ses bras de ses lèvres et de ses beau yeux. Que dire de plus... Elle ne voulait plus rien...l'horreur partait mais la peur non. Elle ne voulait pas que cela ce reproduise. Elle en avait trop peur. Elle n'en voulait plus. Tout était trop faible après tant d'émotions pour qu'elle résiste en plus à cela. Elle n'en pouvait plus. Elle le voulait lui..elle en avait besoin.

Elioth ..Elioth...Elioth...

[ bon je me suis surpassée mais c'est en même temps un peu n'importe nawak XD ]
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MessageSujet: Re: Entrée (réservé)   Entrée (réservé) EmptyLun 11 Déc - 21:31

... Dans le noir, il se sentit poussé. Deux mains qu’il conaissait si bien le poussait, doucement, gentiment, puis plus violement. Un bruit sourd. Il n’en dit rien. Il ne put rien dire. Qu’aurait-il dit ? Rien. Strictement rien. Il n’aurait rien put lui dire. Pourquoi avoir insister ? Pourquoi voir cru aime ?... Après ce qu’il avait été, rien, rien au monde ne pouvai le regarder en face, sans rien dire, l’air heureux, l’air amoureux, l’air ne serait-ce que condolescent. Il avait fait pire que la mort. Il avait tortué, et sa torture durait encore. Il n’en pouvait plus. Pouvait plus de se tenir debout avec tou ça pr dessus. Pour simplement se faire encore jetter à terre, encore sentir le poids écrasant de son fardeau le plaquer au sol... Il n’en pouvait plus tout court. Il n’en pouvait plus de tout elà, de cette torture, de cette horreur mentale qu’elle lui infligeait. Il n’en pouvai plus de tout celà, c’était trop horrible, c’était rop invivable, c’était trop atroce. Atroce. Il n’en pouvait plus. Il ne pleurait pas. Pas encore. Mais il savait que ça ne pouvait pas durer. Pas durer avec quelqu’un comme lui. Il était trop horrible. Elle ne voudrait jamais de lui... Et pourtant... Pourtant quoi ? Elle l’avait fui, fui comme elle avait pu – elle l’avait haït dès le début, sans qu’il puisse rien n’y faire. Ele avait fui – le couloir, sa course... Tout lui revenait ans le désordre. Il comprenait enfin qu’il fût à ce point détestable. A ce point horrible. Et à ce point atroce.

...Dans le noir, il vit la porte se dessiner, et l’ombe de celle qu’il imait s’en aller. S’en aller dns le couloir. Il sortit. Mais il ne fit rien d’autre. Qu’aurait-il put faire ? Rien. Il n’avai le droit de ne rien faire. Mais avait le droit de ne pas la suivre ? Oui, elle-même l’avait fuit, lui. Alors non. A quoi bon courir en vain ? Il était atroce. C’était tout. Atroce de croire encore à tout cet amour dans ce monde perdu. Il aimait, il adorait même cette fille, mas il ne pouvait pas y croire... De toute façon, ce n’était que horrible. Un amour torturé de plus. Un sentier perdu, tourbillonant, quelque prt dans une montagne aiguë perdue au bout du monde, là où personne ne venait – sentier qui n’allait nulle part, et ne venait de nulle part. Là, un étranger, un inconu de tous, y cheminait – et cet homme, il était moins perdu qu’Elioth. Qu’aurait-il du faire ? Rien. Absolument rien. Il n’avait ni le droit de ne rien faire, ni le droit de faire quoi que ce soit. Alors que faire ? Rien. Il n’en pouvait plus. Rien faire... c’était plus simple. Moins compliqué. Moins atroce... Il s’en voulait encore d’avoir cru ne serait-ce qu’un instant à ce rêve étrange d’elle. Mais il ne pouvai qu’aimer ça...Que l’aimer, elle. Rien d’autre, rien de plus, rien à ajouter, rien à signaler. Juste elle, elle qu’il adorait – et u’il ne pouvait pas supporter. C’était si atroce, comme orture... Il fallait qu’il la quitte –un instant, une heure ? A jamais. Telle était l’inflexible, l’immuable réponse.

...Dans le noir, Elioth était perdu. Perdu, perdu comme pas possible. Elle lui demandait tant de choses... Choses qu’il ne pouvait pas lui offrir. Choses qu’il ne pouvait pas lui donner. Choses qu’il ne pouvait pas faire. Choses trop compliquées... Sans tout ça, ça serait plus simple. Plus simple sans elle... Beaucoup plus simple, voilà tout, beucop plus facile sans elle... C’était de la pure logique, il n’avait qu’à la quitter. Pourtant, il rêvait d’elle, il l’adorait. Comme la drogue. Ca vous pourrit la vie, lentement, à petit feu –mais quand on veut s’en débarasser, on voit qu’on aime trop ça. Choses trop comliquées : autant s’arreter là. Ne plus avancer avec elle. Les quelques minutes passées ensemble étaient déjà assez éprouvante. C’était assez. Il n’en pouvait plus. Plus de tout ça. Plus de rien... Plus d’elle. C’était si aisé, comme celà, si on regardait comme ça. Oui, sans elle, il était tout. Avec elle... Il était tout aussi, mais en la quittant, il aurait tout perdu. Alors pourquoi s’y risquer ? Pourquoi tenter quoi que ce soit. En vallait-elle la peine ? C’était tout ce qu’il avait à chercher. En valait-elle la peine, oui ou non ? Il n’y avait qu’une question à répondre. Alors pourquoi était-ce si dur, pourquoi ne pouvait-il pas y répondre ? ... Pourquoi ? Pourquoi était-ce si compliqué que tout celà ? Que pensait-elle ? Et pourquoi s’en réferre à elle ? Poiurquoi tout celà ? C’était encore ce compliquer la vie avec des riens. Juste un indice... ?

C'est finit dis moi ? C'est fini hein ?!

... Dans le noir, la porte se referma une autre fois. Le froid passa un peu dans un courant d’air, jouant avec elle ; plusieurs fois, elle claqua. Il n’avait pas prit son temps – il s’était en allé rapidement, en ne laissant derrière lui qu’une main tardive, chaude, frôlant la joue de celle qui était aimée, en ne laissant derrière lui qu’une larme, calme, triste, mélancolique, douce, et lointaine – écrasée au sol –, et en ne laissant derrière lui que quelques mots, calmes, dou, et tristes.

« Oui, c’est fini. »

Vanessa...

*
* *
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