un retour pour le moins ... étrange

Le jeune homme avait le teint pale et paraissait extrêmement amaigris. il ne savait pas comment on réagirait a son tour. il se rappelle encore lorsqu'il était arriver ici pour dema,nder un refuge. et dans la soirée il avait disparut. Ambrose portait encore son éternel chapeau haut de forme, son manteau, ses gants et sa rose. pourtant il avait changer. moins immature il avait vécu en peu de temps l'enfer. Lorsqu'il était aller dans ce bar en ville et qu'il en était ressortit il se souvient encore de ses homme qui l'avait attaquer, ployant sou le nombre il n'avait pas fait long feu avec son coca dans le ventre. Aussi avait il dut suivre ses ravisseurs. enfin il espérait trouver rapidement un visage connue , espérant que l'on se souviendrait encore de lui après tout ce temps.

jour de sa disparition :


"Alors sale mutos! On se réveille?"

Jaillissant de la brume léthargique dans laquelle il était il était plongé il refaisait lentement surface. face a lui ce trouvait le prêtre, celui la même qui quelques temps plus tôt avait lancer sur lui un gros contrat.

"Prêt a retourner dans la Sodome de l'Amérique? LAS VEGAS!!"

Ambrose se dit que si il allait tout n'était peut être pas perdu alors. déjà il sentait son pouvoir revenir petit a petit. il ne savait ce que faisait le chauffeur pour rouler aussi mal mais cela lui permettait de cacher le mouvement de ses mains cherchant a se libérer.

"Je voit que tu ne dit rien démon?"

Ambrose répondit le plus tranquillement du monde : "Amen"

Puis explosant la corde qui lui retenait il envoya quelque caillou chargé d'enrgie dans la porte arrière. La voiture, probablement allemande, résistas assez bien mais la porte suffisamment endommager céda sous le poids d'ambrose lorsqu'il se jeta a travers.

Et il se retrouva seul au milieu de nulle par, des anti-mutant fanatique sur le dos.
"Merde! c'est bien a moi que sa arrive...pourquoi pas a Bender tien!"

relevant ses manche pour regarder ses bras il se rendit compte que le gauche était vilainement tailladé.
"Merde! quelle idée aussi de sauter d'une voiture en marche sur l'autoroute?!"

Ambrose se mit en chemin pour trouver assistance auprès de brave gens. seulement il n'y a que dans les livres , le film et les reality show que cette espèce mythique de l'humanité se manifeste.

"Merde! merde! merde! et re merde!"

aujourd'hui:

"Bon que vais je faire maintenant? je me voit mal aller dans ma chambre sans un mot ...de plus je ne sait même pas si j'ai encore une chambre..."

Alors le jeune voleur s'écroula sur le sol , la fatigue, le blessure et les émotions des derniers jours l'ayant totalement affaiblis.

Suivre les indications données par Sagamore à Ludwig avait été ridiculement facile. Comment l'avait fait remarqué le géant, l'endroit n'était de nulle manière camouflé ou dissimulé à la population, et tous savaience ce qui s'y renfermait. Cela n'avait peut être pas été le cas quelques années plus tot alors que les mutants étaient persécutés et mis à l'écart, mais maintenant, l'endroit était connu, voir même reconnu.

Un centre d'entrainement de mutant, mais aussi une école, un lieu qui pronait la tolérance et l'intégration... en les ségrégant et les gardant à part de la population. Racquel supposait qu'elle ne pouvait avoir un avis parfaitement net de la situation car elle prenait le train en route à quelque chose près. Elle ne pouvait oublier qu'elle était mutante. Ses yeux dans le miroir lui rappelait ce détail, même si il lui avait fallu des explications la première fois qu'elle les avait revues. Quand elle y avait fait attention après avoir remarqué cette cicatrice, après avoir vu ce visage d'étrangère qui la regardait avec une curiosité matinée de méfiance, incertain de ce qu'elle était sensé y trouver.
Quand elle avait réalisé qu'elle était mutante, une part alternative de la population, elle n'avait pas eu de situation à mettre en comparaison, pas d'idées de la politique, pas de souvenirs de maltraitances ou de brimades liées à cet état de fait. C'était juste un renseignement comme un autre qu'elle avait accepté sans en avoir le choix.
Maintenant elle cherchait grace, ou à cause de cette mutation, comme si sa vie n'avait tourné qu'autour de çà. Ironiquement, elle supposait qu'il y avait beaucoup de çà.

Des grilles du parc qu'ils avaient atteints avec Ludwig, Racquel s'arréta pour admire l'immense batisse, imposante et écrasante. Pas plus de flash ou de rémoration subite. Si elle s'était attendue à la miraculeuse réminiscnce c'était raté.

Pourtant....
La jeune femme s'arréta pour observer, un peu mieux. Avait -elle un sentiment de déjà-vu ou bien était-ce juste son espoir qui lui donnait ce sentiment ?

Sans un mot, la mutante traversa le parc pour arriver dans le Hall, où avant d'avoir pu regarder autour d'elle, un homme s'écroula non loin de la porte, visiblement blessé. Etait-ce les habitudes de l'endroit ?

Ne pouvant guère l'ignorer - à moins de lui passer dessus en traversant l'endroit - Racquel s'approcha de lui et s'agenouilla près de lui, cherchant son pouls.

" Vous m'entendez ? Vous pouvez vous lever ? "

Sa voix était curieusement plate et non affectée par la scène. Elle participait mais ne semblait pas touchée.

Ils avaient donc finalement quitté ce coquet bar, dans d'étrange circonstances...Entre la façon dont le geant l'avait regardé, comme prêt à la considerer responsable de tout ce qui pourrai arriver à la femme qu'il accompagnait - il l'avait rencontré et sans la connaitre aurai du la proteger? Quelle imagination...- et l'étrange attroupement qui s'était fait la...Ludwig avait vite reconnu la jeune femme, Malicia. Dirigeante de l'institut. Elle par contre, n'avait pas semblé reconnaitre son visage, ce qui était normal. Bah, il avait sa place ici, et s'installerai sans chercher plus loin...Peut être même ne la croiserait il jamais.

Ils avaient aussi quitté cette étrange impression...A quoi avait elle été due? Elle intriguait enormement ludwig. Lui qui n'était plus que peu touché par les instincts ou superstission, ressentir cela...Il n'avait eu que tout le loisir de songer à cela alors qu'il marchait à coté de Raquel, silencieuse. Et il n'avait pas vraiment cherché à rompre ce silence...La marche s'était faite, tranquille, Ludwig s'amusant à faire souffler le vent dans leur dos de temps à autre. Son pouvoir avait cela d'agaçant que l'ont ne pouvait jamais determiner s'il venait de lui ou pas.

L'institut se presenta finalement à eux...Identique que sur les photos. Le jeune homme, meditatif, l'avait regardé un instant, avant de suivre raquel, les mains dans le dos comme il les avait depuis un bon moment, lui donnant un air calme et sage d'enfant attentif. Un homme s'écroula devant la porte, et Ludwig haussa un sourcil poli. Qu'étais ce? Ils étaient arrivés à l'hopital? Non non, c'était bien l'institut...Ils devaient elever quelques demeurés de l'esprits alors dans leur portée ratée. Triste destin.

Raquel s'agenouilla, calme et efficace, essayant de le secouer. Ludiwg, un peu en retrait, pencha la tête en arriere, un leger sourire aux lèvres face au vent qui soufflait.

"L'institut rend vraiment la vie des mutants plus facile on dirai"

Murmura t'il.

Amorphe est vraiment l'expression consacré pour décrire l'état d'ambrose. Il se sentait secouer mais ne parvenait qu'a légèrement entrouvrir les yeux.

*Allez mon vieux, un mois de fuite et tu vas pas clamser comme sa non?*

Il essai d'ouvrir les yeux mais n'y parvenait pas. on aurait dit qu'un rideau de plombs lui masquait la vue.

*et bien apparemment si!*

Une voix, chargé d'une sombre ironie atteint la brume prés létal dans laquelle Ambrose était plongé :

"L'institut rend vraiment la vie des mutants plus facile on dirai"


Ambrose réussit enfin a entrouvrire les yeux. puis d'une voix grave de fatigue il déclara :
"Et encore t'a rien vu, j'ai posé les pied ici que 24 et depuis je cavale."
Il portât enfin ses yeux sur racquel.

Ambrose, étant ce qu'il est, tenta de se relever. Puis dans une mimique qu'il espérait séductrice mais qui en réalité était d'un pathétique inégalable lança :

"Vous le savez pas encore mais vous maudirez ce jour!"

Enfin debout, titubant comme un redneck le jour du bal, il s'appuya sur le mur.

"Rassurez moi...l'un de vous ses faire fonctionner les machines de l'infirmerie? »

Elle aurait presque pu oublier Ludwig jusqu'à ce que sa voix se fasse entendre, légère et douce pour envelopper de miel des paroles plus qu'acide. L'ironie semblait une seconde nature chez lui, le sorte de manteau de velours dont il ne povuait pas sortit sans en être parée.

Le jeune homme devant elle se releva tant bien que mal, ébauchant une suite de phrases dont le sens lui restait relativement obscure. Avec un amusement distant, elle mit çà sur le fait d'un épuisement manifeste. Seule sa dernière phrase lui semblait plus logique et avec un soupçon d'amusement, elle se demanda si cet homme faisait si facilement confiance à toutes les inconnues balafrées qu'il croisait dans ce genre de circonstance, même si elles prenaient la peine de lui demander si il allait bien avant.
Probablement l'effet Institut, une mise en confiance immédiate et sans appel.

Cependant elle n'avait ni les compétences ni les envies de jouer les nounous du chiot rentré au chenil en boitant de manière malheureuse - pour le bien être du type elle supposait qu'il y avait d'autres personnes, probablement plus à même de s'occuper de lui-.

" Non. Je ne sais même pas où est l'infirmerie d'ailleurs. "

Elle s'approcha de lui pour l'aider à se trainer dans ce qui en servait dans cet endroit - elle ne doutait pas qu'il en existe une - et remarqua le jeune âge du garçon.
C'était presque désolant de voir un gamin tout juste adulte blessé et dans ce genre de conditions. A la lumière de quel rapport ?

" Mais mourir ici serait tout de même désobligeant alors trouvons quelqu'un. "

Edouard, le majordome - ou plutôt deux de ses copies -, apparut aux côtés d'Ambrose, le soutenant de chaque côté sous le bras. L'un des majordomes demanda au garçon :

- Où diable étiez-vous, Mr Weatherman ? pendant que l'autre version de lui-même demandait obligeamment à Racquel et Ludwig de se pousser pour le laisser passer. Malicia s'est extrêmement inquiétée pour vous !

Lentement, mais sûrement, ils se dirigeaient vers la chambre d'Ambrose, où les attendait déjà sûrement un Edouard avec de quoi le soigner.

(HRP : Si tu peux te débrouiller sans que j'aie à jouer le PNJ, ça m'arrange. Insère Edouard dans tes posts, ça suffira)

HJ: Navré du retard.

Ludwig suivit avec une attention curieuse les actions du jeune homme au sol. Que cherchait il à faire? Conserver son honneur? Ou autre chose? C'était peut être un peu confus, ou alors il n'arrivait à ne voir la qu'un gamin qui ne connaissait encore que peu de choses. Ludwig n'aimait pas juger et donner un avis tranché trop vite, il preferait laisser une 2eme voir 3eme chance au genre humain. Pour le plaisir de le voir échouer à chaque chance...

Il passa la main dans ses cheveux, un peu géné. Il fallait aider ce jeune homme? Oh, Raquel se debrouillerai bien seule non? Il haussa les épaules avec un leger soupir. Allons, il n'était pas un monstre. Il fit un pas pour l'aider à soulever le gamin, lorsque le majordome, ah non, 2 majordomes identiques, apparurent, l'un l'aidant à se lever, le cajolant gentillement. L'autre leur demandant obligement de se deplacer.

"...Don d'ubiquité?"

Demanda finalement Ludwig avec un petit sourire pensif. Il n'eut pas de reponse, le ( les? ) majordomes repartaient avec le jeune homme, apparement bien occupés. Ludwig eu une petite moue, avant de jeter un oeil à Raquel.

"C'est pour faire des économies de personnel?"

Comment pensait une personne dotée d'un tel pouvoir? Quels en étaient les limites, percevait il tout en differé ou alors...Les mutants étaient vraiment fascinants, bien plus dignes d'interêt que les humains.

Un vieil homme apparut pendant qu'elle aidait le jeune homme à se redresser. A non, pas un mais deux, deux versions qu'une même personne qui se pressait servilement pour aider le garçon. Racquel lui laissa la tache sans aucun problème. Jouer les nounous d'un jeune mutant inconnu qui jouait les bravaches... elle n'y aurait surement pas mis la même délicatesse que ce brace mutant là semblait y mettre.
Les laissant s'éloigner en les observant sans interférer - elle se demandait presque pourquoi cet homme n'était pas apparu une seconde plus tot, puisqu'apparement son timing était plutot bon, et qu'il n'avait pas été surpris de voir un jeune homme effondré et blessé dans le Hall. Si il l'avait vu par des caméras de surveillance, pourquoi ne pas être intervenu un tout petit peu avant ? - elle préférait ne pas chercher tous les détails.

Et - comme toujours commençait elle à soupçonner même si son expérience avec lui n'était pas plus vieille que de quelques heures - Ludwig parla, un commentaire qui aurait pu sembler presque déplacé par rapport à la situation.

" Au moins il peut affirmer sans difficultés qu'il a un oeil sur tout ici. "

Un peu indécise, Racquel regardait autour d'elle. Elle était arriée jusqu'à l'Institut, son premier but, mais devant l'absence de miracle, il allait falloir qu'elle s'aide un peu. Et personne ici ne semblait prédisposer à l'aider.
A part la lettre sybilline qu'elle avait reçu en réponse à sa demande qui l'invitait à revenir sur les lieux.
Bon le plus simple serait surement de trouver un terminal d'ordinateur et de se servir de son empreinte - digitale ou rétinienne - pour avoir accès à son propre dossier.
Une fois çà fait elle aviserait la suite des opérations. Curiseument elle était maintenant un peu plus pressée que précédement. Elle ne se souvenait pas mais savait qu'elle n'était pas loin alors...

Elle jeta un coup d'oeil à Ludwig en arrière, pensive.

" Je suppose que nous nous séparons là même si nous nous recroiserons surement bientôt. "

Quelque part Racquel savait qu'elle aurait pu être plus abrupte. Aurait pu, si ce n'était une étrangère qui parlait par sa voix.

Ludwig pencha la tête avec un petit sourire tranquille, glissant les mains dans les poches pour trouver son paquet de cigarettes. Songeant avec attention aux paroles que venaient de prononcer la jeune femme. Oui, il devait certe tout connaitre des lieux. Dans une certaine mesure evidement. Oh, il trouverait bien le moyen de se renseigner sur ça. Mais en attendant, ce qu'il attendait de l'institut se revelait juste. Un prodigieux terrain de reflexion, sur tous les plans...

Ludwig trouva finalement son paquet, et le porta à ses lèvres, tirant une cigarette avec un petit mouvement de tête. Aille, ses joues lui faisaient mal. Ah oui, mademoiselle la tigresse avait eu la gentillesse de l'ecorcher peu de temps auparavant, c'était vrai. Il caressa du doigt la peau abimée, avant d'allerm son briquet tempete d'un allez retour sur sa cuisse, sans même y penser.

"Hum?Oui, surement...D'un autre coté, si ma presence vous indispose vous pourrez toujours m'eviter..."

Le briquet se referma dans un peit bruit net, et Ludwig tira lentement, avant de souffler un mince filet de fumée.

"Vous vous en sortirez?"

Question plus motivée par une relle curiosite que par une pseudo compassion. Quelque part, c'était plus sincere que les inconnus qui s'inquietent de votre état par pur transvasement, en s'imaginantn à votre place.

>> Parc

Les mains négligemment enfoncées dans les poches de sa longue veste en laine blanche et les talons de ses bottes claquant rythmiquement sur le sol, Liliane entra à nouveau dans le Hall, seul lieu de l'intérieur de l'Institut qu'elle avait pour le moment visité.

Lorsqu'elle réussit à sortir de ses pensées, elle remarqua deux personnes, adultes toutes deux, ce qui la changeait un peu.
Se rapprochant inévitablement d'eux puisque son objectif semblait être le même que le leur : l'escalier, Liliane les salua poliment arrivée assez près, d'un banal "Bonjour".
Et, toujours par politesse et donc avec discrétion, Liliane se contenta de retenir sa respiration et de se décaler légèrement pour éviter le gros de la fumée de cigarette que l'homme dégageait.

*Les drogues... la cigarette... il manque plus que l'alcool tient...* pensa-t-elle distraitement sans vraiment de logique et de but précis à ses réflexions.

Racquel tourna la tête pourregarder fugitivement Ludwig allumer sa cigarette la fumée enveloppant le profil élégant du jeune homme. Il n'était pas maniéré, c'était quelque chose qui semblait natruel chez lui, d'autant plus mis en valeur par la présence plus brute de Racquel à ses côtés. Une poupée de porcelaine fine, le genre de personne à faire crier les minettes en le voyant passer dans la rue, alors qu'il les ignorerait ou leur jetterait un regard neutre.

Mêmes les plaies qu'elle lui avait laissées plus tot dans la journée n'arrivaient pas à ternir son aspect. Probablement eut il eu encore plus de charme avec une cicatrice plus imposante. A contrario, la sienne était dérangeante, à tout le moins.

" L'institut est certainement assez grand pour çà ." remarqua-t-elle.

Sa façon de parler était assez neutre. Elle n'aquiesait pas plus que réfutait cette proposition. Elle ne comptait pas particulièrement le fuir, aussi dérangeant que ses mots puissent l'être. Elle avait aussi suffisament marquait le point sur ses méthodes asssez... directes pour préciser quelqu'un, ou un comportement, lui déplaisait.

La question suivante lui sembla amusante et elle baissa la tête avant de la redresser, une main posée sur le visage, masquant une sorte de sourire non loin de la grimace.

" M'en sortir... c'est ce que j'ai fait jusque là. Si il y a une chose sur laquelle je ne doute pas, c'est que je ne suis pas le genre de personne qu'on enterre facilement. "

Une jeune femme entra, passant près d'eux en murmurant un petit bonjour auquelle répondit la mutante sans s'apesantir, la jeune femme ne semblant guère vouloir converser.

Elle fut suivie de près par l'entrée de jeunes gens qui la dévisagèrent avant d'entrer. Leur comportement était... étrange. Bien qu'ils avançaient en terrain conquis ils regardaient l'endroit avec un certain étonnement, comme des gosses dans un musée, ou dans un endroit interdit.
Elle se remémorra assez vite où elle les avait déjà vu : le bar .

Elle parla en même temps qu'elle analysait la situation.

" Ces gosses n'ont rien à faire ici. "

Elle en savait pas pourquoi ou comment, ils étaient juste décalés de l'environnement, comme une erreur sur une image.

Les lèvres de ludwig s'etirent en un semblant de sourire face à la reponse de la jeune femme. Elle arrivait à prendre les choses avec recul, et cela lui plaisait. Il n'eut pas le temps de repondre, qu'une jeune femme passa pres d'eux, les saluant par automatisme. Raquel fit remarquer les enfants, et ludwig y jeta un oeil morne. Une jenue femme vetue d'un drap les rejoignait. Pourquoi pas...Plus rien ne l'étonnait ici.

"...Non, ils vont partir, mais inutile de se precipiter..."

Le jeune homme se tourna vers Liliane, lui offrant un sourire charmant.

"Bonjour..."

Sur ce, il se retourna sans un mot de plus, partant vers l'attroupement à coté. Faire le menage ici? Pas vraiment son boulot, mais presentement l'idée l'interessait un peu, ce qui poussait son action. Se serait il desinteressé de la question que, comme un enfant, il aurait tout laissé tomber. Ce coté lunatique de ludwig pouvait parfois se reveler dangereux

Tout le monde par ici ? >> https://evolution-x.forumactif.com/viewtopic.forum?p=9358#9358.