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 L’évasion

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Malaika
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Malaika


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MessageSujet: L’évasion   L’évasion EmptyMer 31 Oct - 13:36

/!\ ATTENTION : ce RP comporte certaines scènes violentes ou à caractère sexuel, il peut donc choquer les plus jeunes ou les âmes sensibles.


Quinze jours. Cela faisait seulement quinze jours et pourtant Malaika avait l’impression que sa faisait déjà une éternité. Deux semaines, donc, que la mutante était enfermée dans la prison pour femme de Boston. Elle ne se rappelait que trop bien son arrestation, comment un de ses sales flics l’avait reconnue dans la rue alors qu’elle était seule, ces enfants ne supportant pas assez la rigueur de l’hiver pour la suivre dehors. Un blessé grave et un léger : c’est le prix qu’il en coûta aux forces de l’ordre pour l’avoir sous-estimer mais ils avaient finit par la maîtriser.

Depuis, elle rongeait son frein pour trouver un moyen de s’échapper. Heureusement on savait qu’elle était dangereuse mais l’état pensait avoir emprisonner une simple humaine. Au début elle avait pensée attendre simplement, se disant que la confrérie finirait bien par remarquer sa disparition et par la rechercher. Seulement avec le temps vient le doute, beaucoup de gens disparaissent à la confrérie, certains par choix, d’autre pour des causes plus tragiques. En plus ils avaient bien d’autres problèmes là bas en ce moment… Terry mis à part, personne ne viendrait la chercher ! Si seulement elle avait prit sa montre avec elle, celle qu’on lui avait donnée à son arriver. Dans ce cas à cette heure-ci sa faisait bien longtemps qu’elle aurait put envoyer un signal de détresse.

Quelques jours elle oscillât entre espoir et anéantissement, et puis elle décida de se prendre en main. Il devait forcément y avoir un moyen de tiré profit de ses pouvoirs, elle valait forcément bien mieux que ces simples humaines qu’elle côtoyait tous les jours. Seulement ces ouvrières n’arrivaient visiblement pas à retrouver ça trace et elle ne pouvait en pondre de nouvelles facilement, le temps de gestation était trop long, le froid trop persistant et surtout : il fallait qu’elle soit fécondée ! Ce vide en elle se faisait d’ailleurs ressentir de plus en plus cruellement, comme une droguée qui n’avait pas eut sa dose… plus le temps passait et plus ce phénomène empirait. Bien sûr elle en était consciente et il faut l’avouer : parfois elle avait peur d’elle-même.

Si seulement il pouvait y avoir des hommes dans cette prison ! Elle aurait certainement put en charmer un et obtenir son aide à son insu. Mais encore une fois cela n’aurait de toute façon pas changé grand-chose… fallait-il se résigner pour autan ? Non, il fallait se contenter de patienter et d’analyser la situation pour l’instant. Et puis un jour, tout changeât.

Impossible de dire exactement ce qui c’était passé mais le fait était là : elle le sentait au plus profond d’elle-même, il y avait du changement dans l’air et cela se faisait sentir au plus profonds de ses entrailles. Etait-ce son instinct animal ou simplement son intuition féminine ? Elle ne sut trop répondre à cette question mais peu important : elle avait une solution, un moyen de s’en sortir !

Elle était une princesse enfermée dans sa tour, pour résoudre son problème elle avait donc besoin d’un prince. Seulement cela la refaisait venir au problème numéros 1 : comment trouver un homme à séduire dans cette prison remplie de femme ? C’est bien simple à part dans l’administration il n’y avait aucun mâle… Le lendemain elle s’arrangeait pour se prendre un coup de couteau dans le ventre. L’opération était délicate, il fallait que l’entaille soit assez importante pour l’envoyer à l’hôpital mais pas assez pour l’envoyer au cimetière !

Quelques heures plus tard elle ouvrit les yeux et tout était blanc, fort heureusement elle n’était pas au paradis mais dans l’hôpital de Boston, les menottes froides enserrant ses poignets lui prouvant trop bien qu’elle était loin du ciel. Peut à peu ses yeux s’habituèrent, et elle se souvint : la douleur était trop forte et elle s’était évanouie…

Aussitôt, elle ressentie à nouveau la douleur tout prêt de son nombril et soupira : sa laisserai une vilaine petite cicatrice sur son si jolie ventre ! Restait à espérer qu’un mutant de la confrérie puisse effacer ça. On avait pas du juger utile de la gaver de morphine, mais au moins cela permettait à Malaika de garder les idées claires, la douleur sourde lui permettant de garder en tête ses objectifs et lui rappelant que la fin justifiait les moyens.

Pour sa petite visite en dehors de la prison on l’avait gâter : elle avait droit à son propre garde qui surveillait sa porte ! C’était peut-être sa seule chance, un homme qui devait approcher des trente-cinq ans, aux cheveux poivre et sel et qui avait un certain charme. Mais la première chose qu’elle remarquât fut la bague qu’il portait au doigt, se serrait peut-être plus difficile mais au moins cela voulait aussi dire qu’il n’était pas gay donc elle avait de grandes chances de parvenir à ses fins.

Le lendemain, elle était déjà passer aux choses sérieuses et fut étonnées de voir le mâle sur la défensive mais non pas a cause de son mariage :

« -Tu as été accusée de double homicide, tu vas profiter de la moindre occasion pour me tuer et t’enfuir. Dit-il, septique qu’une femme telle que Malaika lui fasse ainsi des avances
-Je suis solidement attachée. Fit-elle remarquée »

Le vigil réfléchit pendant de longues secondes où seul demeura le silence, cherchant visiblement le piège.

« Tu vas m’accuser de viol en espérant que sa va émouvoir au tribunal »

Cachant du mieux qu’elle put à quel point il la consternait elle mit le paquet, cherchant à être la plus sensuelle et la plus érotique possible sans aller trop dans le vulgaire.

« Si tu as si peur que ça, alors tu peux nous filmer. Sa ne me dérange pas au contraire ».

Ha les hommes… le lendemain sa spermatèque avait de quoi produire toute une nouvelle colonie si ça lui chantait mais elle avait un autre but. En silence, se mordant les lèvres pour éviter d’émettre le moindre son, elle accouchât à la tombée du jour d’un nouvel œuf bien plus gros que ces précédents. Ce n’était pas une simple ouvrière qui allait la libérer de ses chaînes, la colonie allait donc accueillir son tout premier sexué : Guzo, cela signifiait voyage dans sa langue natale.

Avec la plus grande délicatesse, elle utilisa ses pieds pour prendre l’œuf et essayer de l’amener jusqu’au sol pour le faire rouler derrière les rideaux qui séparait les deux lits de la chambre. Malaika étant une criminelle, elle avait heureusement une chambre pour elle toute seule. Seulement si elle ratait, si l’œuf tombait de trop haut et se cassait, alors on comprendrait qu’elle était une mutante et on prendrait des mesures de protections beaucoup plus importantes et alors jamais elle ne sortirait.

La tension était à son comble mais la jeune Ethiopienne avait beaucoup trop à perdre pour commettre la moindre erreur… Crac ! L’œuf lui avait échapper des orteils et était tomber de trop haut. Elle aurait voulut hurler, mais cela aurait signifié l’arrivée immédiate du vigile. Alors malgré la douleur que cela engendrait en elle, elle « accouchât » encore une fois, et encore une fois son œuf finit par se briser au sol. Bien sûr comme on dit : jamais deux sans trois et ce sont ainsi trois coques brisées qui gisaient au pied du lit… Si quelqu'un venait pendant la nuit elle passerait le restant de ces jours dans une cellule ! La quatrième fut la bonne, mais elle laissât la mutante totalement exténuée et elle s’endormit aussi tôt, la nuit allait être courte.

Le lendemain, alors que le soleil était encore loin d’être levé, Malaika ouvrit les yeux devant une réplique quasi parfaite copie du gardien, son fils.
« Au pied du lit, il y a trois œufs cassés. Fait les disparaître, tu peux les manger si sa te dit »

Le ton était autoritaire, un peu trop peut-être mais les conditions ne lui permettaient pas d’agir comme une tendre maman, à ce moment ce n’était pas la mère qui parlait mais la reine.
Alors que sa progéniture exécutait ses ordres, la reine lui expliquât son plan : il allait tuer Matt, le vigile et prendre sa place. La ressemblance n’était pas parfaite évidement mais une fois qu’il aurait revêtu les habits de son père sa devrait vraiment allé ! Ensuite, il la libérerai et ferrait semblant de la reconduire en prison. Le temps qu’on se rende compte de quelque chose elle aurait eut le temps de fuir, peut-être…

La tension était à son comble, le soleil se levait et bientôt le vrai Matt arriverait. Maintenant qu’elle avait été fécondée, la simple idée de copuler encore une fois avec le garde lui donnait l’envie de vomir mais c’était le meilleur moyen de le distraire pendant que son fils le tuerait dans le dos. Cela lui rappelait une vieille légende, celle d’oedipe qui tuait son père et se mariait avec sa mère mais en l’occurrence, son fils en resterait au meurtre !

N’empêche, heureusement qu’il y avait un autre lit dans la chambre séparer par un rideau sinon elle aurait eut du mal à cacher son fils, pour une fois elle avait de la chance ! Piégée dans sa chambre, le temps passât très lentement. Patience, d’ici peu elle serrait libre et pourrait retourner à la confrérie. Ho et puis la patience aujourd’hui, c’était pas son truc :

« MAAAT ! »

Après un instant d’hésitation, le garde entrât avec une mine un peu gênée.

« -Hey, crois pas qu’après ce qui s’est passé hier tu peux te permettre de m’appeler comme ça.
-Désolée mais… je me sentais seule. Dit-elle en caressant ses jambes l’une contre l’autre. »

Ils discutèrent encore un peu mais rapidement les charmes de l’Ethiopienne firent effet. Mais qu’est-ce qu’attendait Matt junior ?! Refusait-il de tuer son père ou bien attendait-il le meilleur moment ? Visiblement ce fut la deuxième solution : alors que le vrai Matt semblait au summum de l’extase, le bout de sa matraque qu’il avait laisser de coté le frappa très violement sur le coté du crâne mais par précaution il frappa encore à trois reprises.

« Du sang coule de son crâne, enlève le vite sinon je vais en avoir sur moi et on se posera plus de questions ! »

Si le gardien était encore vivant, il simulait bien ! Mais la flaque de sang qui commençât à se répandre par terre ne laissait aucun doute. Pas de temps à perdre, son fils enfila les vêtements du garde, prit ses clefs et libéra enfin la reine.

Il fallait agir vite : ses poignets et ses chevilles retrouvèrent vite leurs chaînes et la mère et le fils sortirent de la chambre. Une seule personne vint les interpeller, c’était l’anesthésiste qui s’était occupé d’elle lors de son opération et qui s’offusquât qu’on la ramène déjà en prison mais Guzo avait bien apprit sa leçon et dit que la clinique de la prison avait tout mis en place pour l’accueillir malgré sa blessure alors il les laissât passer.

Alors qu’ils franchirent les portes de l’hôpital un cri effroyable résonnât dans les couloirs alors qu’une infirmière trouvait le corps sans vie d’un homme qui avait commis l’erreur de céder aux avances de la mutante.
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