Chambre d'Evolo

Arrivant du Hall, où il était arrivé il y a quelques minutes à peine sous des trombes d'eau, Evolo rentra dans sa chambre. Ses vêtements avait maintenant bien séché et ils étaient passé de l'état ruisselant dans lequel il était arrivé à un état beaucoup moins mouillé même s'il restait franchement humide.
Ce n'est qu'en rentrant dans cette chambre qui lui était réservé, à lui et à lui seul, qu'Evolo réalisa vraiment qu'il allait avoir désormais avoir une chambre individuelle, et cela pour la première fois de sa vie.
Depuis sa naissance il avait été ballotté de structure d'accueil en structure d'accueil avant d'atterrir dans ce bunker prison où il avait connu tant de souffrance, cette chambre qu'on lui offrait aujourd'hui aussi facilement, grâce à sa nature mutante, était pour Evolo un don du ciel. Bien qu'il ne fut pas croyant et n'adhère à aucune religion, il se dit à ce moment qu'une entité supérieur qui l'avait si longtemps délaissé devait essayer de se racheter.
Bien que nombre de jeunes américains habité à ce monde capitaliste auraient sûrement trouvé cette chambre banale voir un peu petite, pour Evolo c'était un luxe tel qu'il resta plusieurs minute debout au milieu de sa chambre avant d'oser retirer ses vêtements mouillés et les étendre sur le dossier d'une chaise qu'il plaça devant le radiateur.
En observant ses vêtements qui séchait ainsi sur le rebord d'une chaise, il réalisa qu'il avait devant ses yeux ses seules possessions et toute sa fortune et se dit que cela faisait bien maigre, il lui faudrait au plus tôt faire quelques achats en ville, notamment pour étoffer sa garde robe, au moins d'avoir une tenue de rechange pour ne pas être nu pendant le temps de la lessive. Mais pour cela il lui faudrait de l'argent ce dont il ne disposait pas actuellement. Il décida alors de se mettre à travailler le plus rapidement possible afin de gagner quelque petit pécule pour vivre décemment dans cette société capitaliste. Mais il était éreinté et la vue du lit douillet qui était à sa disposition lui firent remettre cette recherche d'emploi à plus tard et il s'accorda un repos bien nécessaire.

Après quelques heures de repos bien agréable, ce qu'il n'avait pas connu depuis trop longtemps, Evolo se leva. Il passa ses vetements qui avaient terminer de secher auprès du radiateur et se replongeao dans les pensées qui l'habitaient avant de se reposer. Il était très démuni, pour ne pas dire totalement et il faudrait bien qu'il trouve un remede à cela.
De plus il savait qu'il faudrait qu'il aille bientôt au lycée, mais il n'avait aucune idée de son niveau scolaire, puisque la plupart de son éducation avait été faite dans le bunker.
Il décida alors de tenter de trouver un responsable pour tenter d'avoir une réponses à ses questions d'orde administratif telles que celle au sujet de son entrée au lycée, pour ce qui est des qestion plus pratique il pensit qu'interroger les autres résidents de l'institut serait plus pratique et en plus qu'il trouverai surment quelque camarades qui avaient connu des problèmes similaire qui auraient une connaissance plus précise des solution qu'un officiel qui lui avait son salaire.
Sur ce, il parti dans les couloirs pour tenter de trouver quelqu'un.
De plus il se dit qu'il profiterai de cette errance dans les locaux pour faire connaissance avec les bâtiments et les autres résidents

Infirmerie

Evolo remonta de l'infirmerie, il était épuisé. Il se vautra lors sur son lit, et commença à se détendre, il se remémorer la journée qu'il avait vécu. C'était sa première vraie journée à L'institut et elle avait été mouvementée. Comment aurait-il pu se douter la veille en arrivant dans cette immense baraque de ce qui lui arriverait? Un voyage en héliojet jusqu'à l'autre bout du pays pour aller sauver un surhomme qui le sauva lui et ses camarades avant de les ramener à l'institut où ils accueilleraient les bléssés revenant d'une guerre entre mutants.
Il s'endormit au milieu de sa reflexion sans même s'être changé.
Il se reveilla quelques heures plus tard dans la même position dans laquelle il s'était endormi, courbaturé de partout, car un lit n'est pas étudié pour dormir en travers.
Il se leva s'étira quelques minutes, ces étirement lui firent du bien et presques toutes ses courbature s'estompèrent il décida alors de sortir de sa chambre partant à la recherche de quelqu'un à qui parler ou de quelque chose à faire.

Salle Commune

Après cette réunion, enfin ce briefing, car il rentrait du briefing de ce qui allait être la première veritable mission d'Evolo depuis qu'il était arrivé à l'institut. John l'avait laissé donner libre cours à son imagination et à son pouvoir pour mettre au point plein de machines. Il lui fallait maintenant les construire, il s'intalla donc à son bureau qu'il avait transformé depuis quelque jour en véritable laboratoire high-tech.
Il se mit donc à la construction de ces lunettes hyperclasse et hyper trop puissantes dont il allait équiper ses camarade d'X-Calibur.
Il fallait que cela soit près au plus donc il se démenait mais il fallait tout de même garder un rythme raisonnable, car c'était un travail de haute précision qu'il avait à faire

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Salle Commune

John frappa trois petits coups et entra. Il était venu dire à Evolo que le slunettes seraient inutiles puisque la liaison se ferait par télépathie, détail qu'il n'avait pas pris en compte dans le trouble temporel qui l'avait habité.

Mais quand il vit le jeune homme appuyé à son bureau, attelé à son travail avec une assiduité exemplaire, John perdit l'envie de lui expliquer que ce qu'il faisait ne servirait à rien. Il ne fallait pas décevoir les gens qui vous faisaient confiance, même quand on avait raison. John ne le savait que trop, lui qui avait toujours raison.

Il se pencha au-dessus de l'épaule d'Evolo, regardant comment il travaillait. Puis il lui dit :

- Tu n'es pas assez rapide. Dessine-moi un plan de fabrication, puis nous decendrons à mon atelier. Je les ferai moi-même, ces lunettes.

Evolo était un garçon intelligent ; il ne se froisserait pas à ces paroles, car les faits étaient là : John était plus rapide et plus précis que lui, et dans l'urgence actuelle il ne fallait pas laisser de place au hasard. Et il y avait de grandes chances pour que l'idée de contempler l'atelier de John le réjouisse assz pour oublier ce léger affront.

Il s'était tourné pour prendre une chaise, puis s'arrêta net, en proie à une sueur froide. Gordon était arrivé à l'aéroport de Boston ; c'était bien, mais l'avenir disait qu'il était déjà en danger. Il fallait vite aller le prendre là-bas, pour assurer dès maintenant sa protection.

- Changement de programme Evolo ! Je dois aller chercher le sénateur à l'aéroport. Fais quand même le plan, et on verra ce que j'en fais.

La seconde suivante, il n'y avait plus trace de John, à part le déplacement d'air qui faisait frémir la pièce. Evolo était à nouveau seul, penché sur son travail.

Salle à manger

John entra en coup de vent, a peine arrivé il critiqua le travail d'Evolo et lui dit qu'il était trop lent, Evolo savait bien qu'il n'allait pas assez vite, mais il n'éavait la possibilité, comme John, de passer en mode rapide, il devait donc se contenter du déroulement normal du temps.
Lorsque John lui demanda les plan, Evolo se rendit compte qu'il n'en n'avait pas reellement fait, il les avait dans sa tête, cela ne servait rien de les preciser sur le papier, mais pour les partager avec John c'est sur qu'il fallait mieux qu'ils soient posés sur le papier.
Evolo se mit alors à l'ouvrage, comme les dessins étaient on ne peu plus clair dans son esprit et qu'à force d'utiliser son pouvoir il avait une certaine experience dans les dessins techniques, il ne mit pas très longtemps à faire les plans.
Quand Evolo appris que Gordon était déjà arrivé, il comprit qu'il fallait pallier au plus pressé, il repris donc son uniforme X-men et y ajouta un dizaine de rangement pour outils de toutes sorte, durant l'entrainement, il aurait bien voulu avoir de quoi crocheter une serrure, ou de bricoler quelque chose de façon à peu près correcte.
Il rassembla alors tout ce qui pourrait lui servir d'une façon ou d'une autre: le traditionnelle couteau suisse multifonction qu'utilisait déjà il y a bien longtemps un héros de série TV, MacGyver, même si maintenant ils avaient beaucoup plus de fonctions. Il prit aussi un necessaire à crochetage, deux trois echantillons chimique qui pourraient lui servirent pour faire fumées, explosifs ou aveuglants.
Il se laissa ganger par l'enthousiasme des propositions qu'il avaient faîtes à John pour la combinaisasons de defense et se mit à en tracer les plans, en attendant d'avoir des nouvelles de John, il fallait bien s'occuper

Quand Evolo eut finit remplir toutes les poches qu'il avaient ajoutés à sa combinaison X-men, ou plutôt quand il n'eut plus rien à y mettre, parce qu'a plusieurs reprises il en ajouta de nouveaux trouvant un ustensil essentiel qui ne rentrait pas dans les poches déjà existantes, il jeta un regard interrogateur à la montre-communicateur qu'il avait gardé au poignet depuis qu'il l'avait mit la première fois quand il avait fallut monter en vitesse dans le X-jet afin d'aller assister à l'autosauvetage de celui qui allait devenir leur mentor: John Bender. Déjà plus d'un quart d'heure avait passé. John en quittant sa chambre, avait parlé d'aller chercher Gordon à l'aeroport. Vu le temps qui s'était écoulé et la façon que John avait de toujours tout faire au plus vite, Evolo conclu rapidement qu'il ne devait apparamment participer à cette escorte.
Il fut tout d'abords un peu surpris et déçu, car lors de la réunion qu'il avaient eu avant qu'il monte dans sa chambre il avait compris qu'il faisait parti de ceux qui allaient assurer la sécurité de cet homme polotique et il se voyait maintenant evincé de le permière partie de sa protection dans laquelle consitait cette escorte à partir de la sortie de son avion.
Evolo faisait confiance à John Bender parce qu'il avait eut plusieurs fois l'occasion d'être témoin de son génie exceptionnel, enfinexceptionnel n'est surment pas le mots le plsu adéquat aux exploits dont Evolo avait été le témoins, dont les plus impressionants étaient sans doutes ses combats en salle des danger set son autolibération.
Pour occuper le temps qu'il savait alors à sa disposition ar cette mission d'escorte dans laquelle John s'était engagée allait surment durer quelque temps, Evolo se mit à tracer tous les plans qui lui venaient à l'esprit sur des feuilles blanches. Il ecrivait, tellement et tellement vite qu'il eut mal au poignets. LEs plans qui sortaient de son imaginations de la machine éléctroménagère multifonction à l'autonomie pratiquement infinie à des armure de combat lourde et ulrta chère, telle celle que les auteurs de comics de la fin du vingtième sicèels avaient imaginées afin d'en équiper l'un de leur héros appelé IronMan en passant par des pistolet mitrailleur à slaves de plasma.
Les plans s'entassèrent sur le coinde son bureau, il y en avait beaucoup mais Evolo savait bien que très peu seraient réalisé: la plupart étaient inutiles ou sans interet et la majorité des autres resteraient à jamais idées sur le papier car leur contruction étaient trop contraignante, que se soit pas le coup des compnsante ou des outils nécessaire à la construction ou le temps infiniment long que necessiterai une telle montagne de precision et concentration qui était necessaire à leur conception. Seul une ou idées avaient donc une chance de voir un jour le jour mais pour cela Evolo aurait besoin d'un véritable atelier, John lui avait parlé du sien et Evolo étit très interressé à l'idée dans cette antre qu'il savait plus que bien équipé, connaissant John et son intelligence.

Après toute cette reflexion, Evolo rangea sur une étagère tous les projets qui venait de sortir de son esprit. Il les classa selon leur domaine et leur faisabilité, ne laissant sur son bureau que les plans dont il avait vu avec John qu'il pourrait être utiles pour la mission, c'est a dire les modification de l'armure de défense et les lunettes multifonctions.
Cela lui pris un temps plus que certain et lui permit de redescendre un peu sur terre de se reconnecter au monde réel.
Une fois le rangement fini, Evolo s'arreta un instant au milieu de sa chambre, passa sa main dans ses cheveux en bataille comme s'il avait voulu leur redonner un semblant d'allure coiffé.
Il pris alors les plans qu'il avait laissé de coté, les plia et les mit dans sa poche avant de partir dans l'institut en quete d'une activité utile ou agréable.

Quelque part dans l'institut

Salle commune

Après la brève partie de billard qu'il venait de partager avec le farfadet téléporteur, Evolo avait un peu décompressé et il était de nouveau opérationnel pour ses études sur les sentinelles. En effet maintenant qu'il avait enfin réussit à établir un modèle convenable du fonctionnement et du comportement de celles qui étaient venues les attaques il y a un moi, il tenait d'explorer les différentes pistes d'amélioration que pourraient avoir suivi leur concepteurs pour veiller à ce que l'échec des leur robots géants ne se reproduisent pas. Pour cela il avait dessiné de nombreux plans des différentes améliorations que lui même aurait apporté s'il y avait voulu optimiser ces monstres de métal.
Mais avant ça il allait chercher sur internet les heures et les cinéma ou il était possible de voir le dernier 008 que lui avait conseillé Alex. Cela ne lui prit pas plus de quelques minutes, car le film venait effectivement de sortir et passait donc un peu partout et tout le temps.
Après avoir transféré ces quelques données dans la mémoire interne de sa montre-communicateur qu'il avait quelques modifié afin qu'elle puisse aussi lui servir de clé de transfert de donnée, il se replongea dans les plans qu'il avait fini de mettre au point la veille au soir. Ceux ci étaient en réalité terminés et il ne restait plus à Evolo qu'à les numériser avant de les amener à Samantha pour effectuer les premiers tests.

Salle d'entrainement

Chambr d'Ambre

Après avoir ramené Ambre jusqu'à sa chambre, Evolo repartit vers la sienne. Il venait y récupérer les schémas qu'il avait fait quand il avait réfléchi aux lumières et à la disposition des amplis qui serait les mieux pour la soirée de ce soir au Saturday.
Mais la chambre d'Evolo n'était pas aussi bien rangée que celle d'Ambre dont il venait de sortir. En effet nombre de plans décrivant des idées plus où moins abandonnées au temporairement mises de coté jonchaient le sol de sa chambre. Et cela l'impressionna sur le coup car il n'avait jamais réalisé à quel point il était bordélique, mais ce désordre ne l'empêcha pas de remettre la main en quelques secondes sur les deux trois feuilles qu'il était venu chercher car le rangement qui aurait semblé chaotique à n'importe qui d'autre relevait en fait d'une logique que seul Evolo connaissait, un ordre intermédiaire entre la sédimentation et les pilles thématiques dans lequel il n'avait que rarement du mal à retrouver ce qu'il cherchait.

Ainsi il eut rapidement la main sur les schéma résumant les projets qu'il avait pour transformer la salle du Saturday en véritable lieu de fête et de joie. Il pris alors une autre feuille sur laquelle il répertoria tout ce qu'il avait besoin pour concrétiser ses plans. Il réunit ensuite les quelques outils dont il allait avoir besoin pour installer le tout, quelques tournevis, une pince à dénuder et des dominos de raccordement qu'il empila sur son bureau.

Il se changea ensuite, enfilant sa combinaison de travail qui était dotée de nombreuse poches qu'il empli avec ses schéma sa liste et ses outils avant d'enfiler un imperméable assez large par dessus qui lui permettrait de passez relativement inaperçu en cachant sa combinaison qu'il savait d'un esthétisme assez douteux.

Il se servit alors de son ordinateur pour vérifier que le bon déroulement de la livraison du reste du matériel qu'il louait pour l'occasion. Il arrivait dans une heure ou deux au Saturday, il y serait donc. En attendant il avait encore un peu de temps, il se replongea alors dans les schémas de principe du système son et lumière qu'il comptait faire à sa sauce.

Saturday Night pour la préparation de la soirée costumée

Evolo arriva dans sa chambre avec tout son équipement de mécano de génie et sa combinaison bleue. Celle ci était résistante et bien pratique avec toutes ses poches,mais comme elle n'était guère élégante, Evolo se changea. Après une courte recherche dans son armoire qui n'était de toute façon vraiment garni puisqu'il n'avait jamais vraiment pris le temps de faire les boutiques, Evolo s'aperçut qu'il n'avait rien qui puisse faire un peu distingué... A part peut être ce qu'il avait prévu pour être son déguisement pour le bal costumé : un costume de général de l'armée de Napoléon.
Il enfila donc cette veste et ce pantalon, il avait décidé que toute façon ça n'allait pas être trop ridicule et qu'en plus il gagnerait du temps en faisant ainsi d'une pierre deux coup.
Une fois affublé de ce costume dans lequel il ne se sentait pas entièrement lui même, un peu trop voyant et un peu trop clinquant par rapport à la vision qu'il avait de lui même. Comme ce n'était que pour une soirée, il se décida donc à descendre vers la salle à manger où ils devaient déjà être nombreux à attendre le repas.

HJ voici un aperçu du costume d'Evolo.
Chambre d'Evolo Costumeevologf7

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