La confrérie... enfin

Matt arrivait alors dans le grand hall du lieu où il avait toujours rêvé d'aller: la Confrérie. Ryan lui en parlait tout le temps, l'endroit où les vrais mutants vivent et s'apprêtent à dominer les humains et à écraser les X-Men. Habillé d'un simple débardeur vert kaki et d'un vieux jean, il déposa un sac de sport parterre, son seul bagage qui n'était, visiblement, qu'à moitié rempli. Il regarda attentivement le panneau d'annonces et vit les heures de cours

*J'espère que c'est une blague et que je n'aurais pas à y aller*

Se demandant comment ces mutants avec un emploi du temps scolaire si chargé pouvaient combattre la race humaine il regarda autour de lui les boiseries et l'architecture de l'endroit. Il n'y connaissais pas grand chose en art, mais trouvait ce lieu assez joli. La lumière pénétrait la pièce par les nombreuses fenêtres qui donnaient sur la rue. Il n'y a pas à dire, ce ne sera pas pareil que ce vieux sous-sol dans les quartiers chaud de Boston où grouillaient rats, malfaiteurs, drogués et autres. Cependant, ici, il était aux vues et yeux de tous.

Il se demandait ce qu'il devait faire désormais... Aller voir le directeur? Attraper quelqu'un au passage et l'interroger? Mais Ryan lui avait appris qu'en société, la violence était à prohiber. Il aura certainement du mal à s'en passer après toutes ces années. Il restait donc là, planté comme un santon, en attendant que quelque chose se passe, pensant que peut-être quelqu'un pourrait venir le conduire à une chambre ou au chef de cette confrérie.

Le sobre et éfficace majodorme de la Confrérie, nelson, avait entendu les paroles en suédois de sieur Léolagus, ce fut donc d'un pas lent mais constant qu'ils 'approcha de l'entrée de la Confrérie.
En s'approchant il put voir deux personnes, ainsi qu'une porte ouverte, il avait entendu le bruit du vent grâce à ses si fantastiques oreilles, mais il avait tenu ça sur le fait qu'il l'entendait à l'extérieur de la Confrérie,e nfin peu importe. Il s'approcha des deux jeunes hommes avant de les saluer et de leurs parler dans son langage feutré et délicat, so british.

"Je vous souhaite la bienvenue à la Confrérie messieurs, pourrais je connaître vos noms ainsi que les motifs de votre présence en ces lieux ?"

Doris était à l'arrêt, les mains dans les poches lorsque arriva Nelson, le majordome des lieux. Il se tourna vers lui et l'observa, le regard vague. Tout en lui inspirait la propreté, l'ordre, le respect. Le suédois était habitué à voir des domestiques et il ne fut pas étonné de cette apparition.
En revanche, là où s'était plus dur, c'est que Doris ne comprit pas un traître mot qui fut prononcé, pas même le "bienvenue".

Les mains dans les poches, vouté, le corps ruisselant de neige fondue, la tête sur le côté et la bouche ouverte, Doris fixait Nelson, essayant de décrypter ce qu'il lui disait. Rapidement il se rendit compte que rien n'y faisait, personne ici ne parlait probablement le même dialecte que lui.

*Mais je suis tombé où là... Si personne ne veut me donner d'indications, je vais trouver mon chemin tout seul. D'ailleurs, cet homme est fascinant...* Il fixa précisément la chevelure de l'homme âgé, intéressé par sa chevelure coiffée à la perfection. *Il a utilisé du gel ou de la laque ? Ca m'étonnerait que ce soit du gel, je vois pas les traces caractéristiques de...*

Une fois sa réflexion terminée, il récupéra la bave qui commençait à couler sur son T-shirt d'un revers de la main.
De nouvelle pensées assaillaient son esprit, dont la plus importante était qu'il faisait de toute évidence plus chaud à l'intérieur de la résidence qu'à l'extérieur. C'était très certainement à cause de ça qu'il était envahit d'eau froide, ce qui avait moins d'attrait que le froid seul.

"Det blöt" C'est mouillé, dit-il en tirant un peu son jean pour le montrer, des fois qu'il y ait de quoi se sécher et se changer dans les parages. "Jag..."

*Et puis tant pis, de toute façon ça sert à rien il ne comprend rien à ce que je lui dis, autant chercher moi-même.*

L'incompris détourna donc la tête et pris une direction au hasard, par chance celle des quartiers de la confrérie, en quête d'une serviette pour se sêcher et d'affaires de rechange.

[Direction : la chambre du russe]

Alors que Matt commençait à s'ennuyer ferme, une personne entra dans la salle et semblait perdue. Il leva alors un sourcil tout en défigurant Doris. L'étrange jeune homme se mit à lui parler dans un dialecte bizarre et semblait attendre une réponse de Matt. Ce dernier soupira:

"C'est bien ma chance, je tombe sur personne et il faut qu'il parle un espèce de hongrois"

Doris avait fait tombé à terre son sac. Matt baissa les yeux, regarda le bagage puis Doris et ne bougea pas. Il n'avait nullement l'intention de se baisser. Il était là pour combattre les humains, rencontrer des gens qui partagent les mêmes idéaux le réjouissait, cependant, il aurait préféré que ces personnes parlant au moins une langue civilisée.
Arriva alors le maître d'hôtel, un anglais d'après son accent

*Dieu merci, quelqu'un qui parle anglais aux USA!!*

Mais Matt n'eut pas le temps de s'exprimer que Doris enchaîna sur une sorte de phrase, toujours dans sa langue elfique. Matt n'avait plus qu'une envie, lui faire un tacle et lui couper les jambes. Cependant, il ne fit rien. "Bien se tenir en société" était l'un des enseignements clés de Ryan et Matt ne devait en aucun cas contrarier cette devise. Doris quitta finalement les lieux pour chercher quelque chose dont Matt n'avait évidemment rien à faire. Il s'adressa donc au maître d'hôtel:

"Je suis Mathew Cooper et je suis venu ici car j'adhère à vos idéaux concernant les humains et les X-Men et je voudrais vous offrir mes services"

HRP - Je récupère le sujet .

[ Les rues de Boston - Course de l'enfer]

La voiture de flic arriva devant l'entrée dans un grincement de pneu sur le gravier de l'allée. Alfonso tira le frein à main et coupa le moteur, il ouvrit la portière et regarda un instant le grand batiment.

Encore du bourge à plein nez tiens. Bah, pas grave. Vas-y Sinner, sors de la voiture, il doivent avoir une équipe médicale ou au moins un medecin, vu l'énormité du batiment.

Glock planqué, Alfonso fit les quelques mètres qui restaient avant la grande double porte. Il l'ouvrit en grand et découvrit le luxueux hall. Un vieux type en costume discutait avec un autre inconnu, beaucoup plus jeune.

Bordel de dieu, c'est c'machin, la Confrérie ?

D'un oeil expert, le regard d'Alfonso glissa sur toute la pièce avant que ce dernier ne fasse une grimace de dégout.

C'est moche ici, 'tin, t'as vu ça Sinner ?

Dit-il - alors que lui même n'était pas ce que l'on pouvait appeler quelqu'un de très présentable - sans preter attention aux pensionnaires des lieux, il aida Sinner a passé la porte malgré ses blessures, avant d'ajouter au vieux tout en sortant d'une main son insigne.

J'suis l'agent Stubbird, de la police de Boston, et voici Sinner, il a besoin de soin il s'est prit quelques méchantes mandales dans la tronche.

J'suis pas v'nu là en tant qu'agent d'police, j'aimerais bien voir un responsable de c'tatouin, c'possible ? S'ils sont d'sortie j'attendrais.

La vitesse ne semblait pas être un problème pour Alfonso. Celui-ci avait le pied bien pesant ne se préoccupant pas des automobilistes curieux. Derrière, Sinner était assis, encré contre le siège. Sa main contre son ventre. Elle était complètement rouge soutenant le sang qui continuait de couler lentement contre ses vêtements. C'était très douloureux, mais l'orgueil de Jared prenait le contrôle sur lui et gardait son visage froid devant l'agent de possible.

Cependant, il sentait que les choses allaient se corser s'il ne reçoit pas des soins très vite. Il y aura un sacrifice à faire.

Heureusement, la voiture cessa de gesticuler dans tous les sens. Elle venait d'arrêter devant une énorme bâtisse lugubre. Au travers de la fenêtre, Sinner pouvait regarder l'espace auquel il devra s'y enfermer pendant quelques temps; le temps que les policiers ne se souvienne plus de lui. Pas très accueillant, mais c'était le seul moyen de contrée les poursuites et réclamer vengeance;

Encore du bourge à plein nez tiens. Bah, pas grave. Vas-y Sinner, sors de la voiture, il doivent avoir une équipe médicale ou au moins un medecin, vu l'énormité du batiment.

Difficilement, la main de Sinner ouvrit la porte de la voiture. Pourtant, Sinner ne pouvait pas sortir de l'automobile aussi facilement. Il regardait Alfonso avec une certaine colère. C'était le responsable de son étât et il ne possède le culot de le laisser ainsi, sans offrir son aide.

Il parvint à se soutenir contre la voiture laissant Alfonso entrer en premier;

Bordel de dieu, c'est c'machin, la Confrérie ?C'est moche ici, 'tin, t'as vu ça Sinner ?

Malheureusement, de la voiture, Sinner ne pouvait rien voir, même qu'il commençait à perdre le contrôle de la vision. Perdant beaucoup de sang, ses membres réclamaient de l'aide ...

« Alfonso !!! Tu crois pas que je suis pas en étât pour te répondre !!!»

Heureusement, il réagit et allai porter support à Sinner afin qu'il accède à l'intérieur de la Confrérie. Décidémment, ce n'était pas le 4 étoiles, mais suffisamment confortable pour s'y loger. Faiblement, Sinner se tenait contre Alfonso pouvant tomber inconscient à tout moment si il ne prenait pas de vivifiant prochainement;

J'suis l'agent Stubbird, de la police de Boston, et voici Sinner, il a besoin de soin il s'est prit quelques méchantes mandales dans la tronche.

J'suis pas v'nu là en tant qu'agent d'police, j'aimerais bien voir un responsable de c'tatouin, c'possible ? S'ils sont d'sortie j'attendrais.

D'un coup, la main de Sinner serra fortement le manteau d'Alfonso, Ses jambes fléchirent. C'était trop long. Contre le policier, Sinner mumura ;

« Al...fonso...Donne...donne-moi du sang...J'en peux plus...Je...je dois...me faire soigner...»

Bienvenue donc à la Confrérie Mr Coop...

Le majordome tourna la tête, un dégénéré venait d'ouvrir la double porte tout en aboyant comme un boeuf, avant de ressortir et de revenir avec un compagnon fort amoché.

Monsieur Stubbird, voulez-vous s'il vous plait arreter de crier de la sorte, ici nous ne sommes pas dans un zoo.

Nelson regarda suspicieusement l'homme blesser qui avait déjà semble-t-il perdu beaucoup de sang.

Hmmm ... En effet, votre ami semble avoir perdu beaucoup de sang déjà. Permetez-moi de vous accompagnez jusqu'au centre de contrôle.

A Matt, poliment.

Excusez-moi Monsieur Cooper, mais ce jeune homme a besoin de soins, veuillez m'excuser pour ce contre-temps.

Au duo qui venait d'entrer.

Suivez moi je vous prie. Je suis Nelson, le majordome en charge de l'accueil des nouveaux arrivants. Que puis-je pour vous Monsieur Stubbird à part les soins pour votre ami ?

Nelson emprunta un des nombreux couloirs et prit la direction du centre de controle, suivit de prêt par Jared et Alfonso.

[ Centre de Contrôle]

[HRP - On discute en chemin - HRP]

Monsieur Stubbird, voulez-vous s'il vous plait arreter de crier de la sorte, ici nous ne sommes pas dans un zoo.

Ouais ouais, désolé. Mais si vous pouviez passez la seconde, ça serait fort aimable, l'ancien.

Le majordome fit une remarque tout à fait juste, Sinner avait apparemment en effet perdu beaucoup de sang, il les invita à venir au centre de contrôle, sans doute une sorte de grande salle pour les "grands blessés".

Bizarrement, Alfonso entendit un bourdonnement dans son oreille, il tourna la tête et remarqua que the Sinner lui tenait fermement le blouson, tout en lui murmurant que le délai d'attente était long. Stubbird allait dire que cela n'était pas de sa faute, mais il aurait quand même à moitié tort. Quelle idée aussi, de se mettre en face de son calibre ... Alfonso prit alors le jeune homme en train d'agonier sous les épaules et le hissa jusque sur sa propre épaule, tout en le tenant des mains.

Oh merde, il est lourd l'enfoiré. Humpf.

Suivez moi je vous prie. Je suis Nelson, le majordome en charge de l'accueil des nouveaux arrivants. Que puis-je pour vous Monsieur Stubbird à part les soins pour votre ami ?

Déjà faudrait accelerer le pas mon p'tit Nelson, sinon il va me dégueulasser tout mon bazar le p'tit enfoiré qui s'trouve sur moi et en plus on aura un cadavre sur le dos.

Hein ? Faites pas cette tête vieux, j'ai bien dit "on" parce que c'est pas moi qui irait l'enterré, faut pas rêver non plus.

Bref, je me disais que la Confrérie possède des moyens -importants, en plus-, alors elle aurait peut être une place pour un p'tit vieux comme moi. Et un boulot, si possible, disons juste que mon taf actuel commence à me monter à la tête, si vous voyez l'genre.

Alors qu'Alfonso jacassait tranquillement avec son mort vivant sur l'épaule, le trio prit un couloir qui menait semble-t-il au "Centre de Contrôle". La porte était juste là, et le majordome les invita à entrer, ce qu'Alfonso fit ...

[ Confrérie - Centre de Contrôle]

( je réponds sous peu. Je suis en fin d'étude )

HRP - T'inquiète pas, on est tous un peu occuper ces temps-ci. Mp moi pour que j'efface mon message, au besoin