Le Félin entra dans l'Institut et jeta un oeil dans le hall. Il n'y avait personne - à part l'une des copies d'Edouard qui lui fit un bref salut -, pas étonnant vu l'heure. Tous les jeunes étaient en cours, et les autres vaquaient à leurs occupations à l'extérieur. Avec tous les cafés que Le Félin s'était envoyés, n'importe qui d'autre aurait été comme une pile électrique, mais il poussa un baîllement qui en disait long sur la durée de sa "sieste".
D'un pas traînant dont on aurait pu croire qu'i létait fait de pantoufles et non de chaussures, Le Félin se rendit dans sa chambre.