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 O'Hegarty Sinead

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Sinéad O'Hegarty
Champion (ne)
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Sinéad O'Hegarty


Nombre de messages : 882
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Pouvoir : Concrétisation des rêves, s'immiscer dans les rêves d'autrui
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Clan : Institut
Date d'inscription : 24/01/2007

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MessageSujet: O'Hegarty Sinead   O'Hegarty Sinead EmptyMer 24 Jan - 1:40

Nom et prénom : O'Hegarty (injuste) Sinead (don de Dieu)

Surnom : Libre à d’autres de vous en attribuer un, mais vous n’en avez pas, pour l’instant.

Âge et date de naissance : Vous avez seize ans et demi, et êtes née le premier octobre de l’an deux-mille-quatorze.

Origine : Hum, le nom parle de lui-même, enfin : vous êtes irlandaise de souche.

Clan : Institut.

Pouvoir :
Rêver est votre pouvoir.
Plus précisément, pour l’instant, vous ne pouvez contrôler ce pouvoir. Vos rêves agissent sur la réalité… sur votre réalité. Si dans un rêve vous vous sentez bien, vous le serez, physiquement. Si vous vous faites blesser dans un cauchemar, cela se fera. Inversement, les autres ne peuvent subir de ces dommages, même si dans ces rêves qui vous appartiennent ils se blessent, ou, même, meurent. Pour l’instant, donc, ce pouvoir ne vous cause que des maux… l’on dirait, à première vue. Mais en fait, c’est plus poussé que cela. Par exemple, si vous rêvez à une modification physique de votre personne, cela surviendra… par exemple, des ailes apparaîtront sur votre dos si vous volez comme cela dans votre sommeil. Néanmoins, elles disparaîtront dès que vous vous rendormirez.

Première évolution :
Vous avez réussi à maîtriser votre pouvoir... comment ? Qui sait. Un changement d'attitude, de mental, peut-être...
N'ayez plus peur dorénavant de ces rêves ; vous leur donnerez forme et corps. Vous serez maître de vos rêves... vous en rêviez, n'est-ce-pas ?
Mais en acquérant cette maîtrise, vous avez aussi acquis le pouvoir de s'immiscer dans les rêves d'autrui... nouvelle sensation ; nouveau départ. Vous ne maîtriserez rien dans ces rêves-là... comment réagirez-vous, alors ?


Description physique, historique, caractérielle :
Levez-vous. Regardez-vous dans ce miroir, là… oui, avancez, vous verrez mieux. Et bien, que voyez-vous ?
Un regard. Voilà ce que vous apercevez en premier. Un regard fade, pâle, comme sur lequel on aurait déposé un doux linceul. Vide… vide, mais vous avez le choix de pouvoir le remplir de joie, de haine, ou d’amour. Ceci vous appartient.
Mais ce regard, n’est-il pas aussi défini par des yeux d’un noir d’encre ? La couleur, profonde, a bordé les limites de ces yeux, encadrés de blanc. Au-dessus d’eux, des sourcils féminins, de la même fausse couleur que les yeux cernés.
Mais ces outils de vue, eux aussi, sont, parfois, couverts par des mèches. Vous vous demandez encore de quelle couleur il s’agit ? Voyons, regardez par vous-même ; écartez ce cheveu, et voyez : noire est leur couleur. Les fins et longs cheveux descendent, comme des fils, survolent ce fin nez, passent devant la bouche, dessinée d’un artiste, dont le pinceau avait une plume si précise, qu’il dut mettre des jours, pour finaliser ces traits. Et cette couleur, d’un rouge rosé ! Elle a dû être faite de la plus fine peinture à l’huile, pour réaliser cette exploit coloré…
Mais continuez de regarder : le cheveu, toujours, descend. Il descend, mais s’arrête, enfin, dans une pointe, se déposant ainsi sur la poitrine. La poitrine, qui fait partie intégrante de cette silhouette. Silhouette féminine, silhouette d’ombre, votre corps frêle n’a pas été fait du plus résistant des matériaux. Il semble, au contraire, tel un filin : longiligne et fragile, souvent recourbé sur lui-même, il est léger, enfantin, presque.
Tenez, avancez votre main, touchez le miroir de vos doigts. Vous sentez ce contact de verre ? Cela ne vous paraît pas désagréable sensation… ni agréable, à vrai dire. Mais vous apercevez votre main, votre regard suit le bras, l’épaule, jusqu’à arriver aux ongles,, d’un blanc nacré. Les doigts, agiles, vous font penser à ses leçons, prises jeune, encore.
Finalement, vous vous détournez du miroir. Votre image ne vous intéresse plus. Vous vous connaissez. Vous connaissez cette silhouette, ce corps que l’on dit beau, cette peau trop blanche, trop contrastée avec ces cheveux, trop noirs.

Exténuée, vous retournez vous allonger. Vous soupirez. Vous vous lovez dans ces draps, espérant y trouver une quelconque chaleur. Vous fermez les yeux. Vous ne voulez pas dormir, cela vous serait dangereux. Mais se reposer… vous êtes tellement fatiguée…

Finalement, vous retournez à vos songes, plongeant dans les bras de Phantase. Dormir… oui, l’appel était trop fort. Cela faisait plusieurs jours que vous n’avez pas pu vous reposer. Alors, le souffle régulier, vous vous enfouissez en silence, tandis qu’un autre vous s’éveille, et vous prodiguera ces rêves, tantôt bénis, tantôt haïs…
Mais pourquoi ? Quel est donc cette chose, qui a fait de vous cette personne craintive, envers Morphée ? Pourquoi donc avez-vous aussi peur de ce sommeil, de ces rêves ?
Comme pour répondre à cette question, votre inconscient se stimule. Petit à petit, il donne naissance à un monde…
Tiens… cette chambre. C’est la votre, n’est-ce pas ? Une ancienne chambre… petite chambre d’enfant. Et là. C’est vous, non ? Vous aviez encore un corps d’enfant… d’adolescente. Mais un regard triste vous obscurcissait le visage, pourtant. Vous regardez la chambre. Non… vous l’inspectez. Regardez nostalgiquement si vous n’avez rien oublié. Et puis, ceci fait, vous vous imprégnez une dernière fois de ces souvenirs… souvenirs d’enfant. Là, quelques peluches, abandonnées sur un bord, car cassées, ou dénuées d’intérêt. A y repenser, vous vous dites que, finalement, vous avez passé de bons moments avec elle… enfin, on vous appelle d’en bas. Votre mère, pressée. Vous lui criez un vague « oui, j’arrive… » juste assez fort pour qu’elle l’entende, et parcourez, une toute dernière fois, la chambre du regard. Bien… il est temps d’y aller, pensez-vous. Un vague regret vous vient au cœur, et se joint à la mélancolie. Point de larme versée. Vous descendez les escaliers, regardant par les hautes lucarnes. Et puis, vous la rejoignez, enfin. Il est temps de partir. Les sacs sont là, prêts. Vous dites un dernier « au revoir » à votre père, l’embrassez sur la joue. Et vous vous en allez, accompagnée de votre mère.
Finalement, le rêve se termine dans cette vision : la voiture qui démarre, un dernier regard jeté à ce qui fut votre maison. Le portail traversé, et le retour au néant du sommeil…
Plus tard, une nouvelle vision fait son apparition. Un nouveau monde, un autre décor.
Encore une chambre… décidément. Votre vie ne se définirait-elle que par ces lieux ?
Mais, question sans réponse, vite, le décor se fait ; la chambre, celle d’une adolescente, est remplie de choses vagues, floues, imprécises et oubliées. Toutes sortes de formes, pourtant, y sont entassées. Des livres, des jeux, rangés chacun à leur place. Le tout laisse une impression d’ordre… et également de vide.
Et là, allongée sur ce lit… n’est-ce pas vous ? Vous, en train d’avoir une révélation… peut-être est-ce les rayons de lune qui ont provoqué cette mutation, ou peut-être étiez-vous comme prédestinée à la subir, par quelque forme. Toujours est-il que vous souffrez, pour la première fois, de rêver… ou, plutôt, de cauchemarder. Vous vous approchez. Vous n’avez pas conscience que vous rêvez, bien sûr… ni dans un cas, ni dans l’autre. Pourtant, c’est bien le cas… mais ce sont aussi des rêves qui alterneront votre réalité.
Un bête cauchemar. Flou, encore… imprécis. Mais comment pourriez-vous vous en rendre compte ? Jamais vous n’avez fait attention à cela.
Vous êtes dans une impasse. Des monstres, des chimères à l’allure fantomatiques, vous poursuivent. Mais vous, vous ne pouvez pas vous échapper…
Et puis, soudain, comme la lame d’un couteau qui vous frôle. Vous regardez dans la direction d’où il vient. Mais rien, juste ces formes… et puis, soudain, vous vous apercevez d’une chose. Portant votre main à l’endroit frôlé, vous regardez.

Et, doublement, vous éveillez. En sueur, blessée. A l’endroit même où le couteau est passé.
Vite, vous vous levez, vous vous reprochez d’avoir cédé au sommeil, et, en même temps, allez à la salle de bain d’à côté, sans vous regardez dans le miroir, cette fois-ci, vous vous passez de l’eau sur le visage, vous rafraîchissant. Ca ne s’est arrêté, depuis le début… pas toujours le même cauchemar, mais cette peur de s’endormir… une peur qui ne fait que renforcer les chances que vous le fassiez.
Le visage rafraîchi, vous vous prenez votre visage dans votre main. Épuisée. C’est ce que vous êtes.

Un épuisement qui vous accable aussi bien physiquement que mentalement. Ah, vous qui étiez encore, un mois à peine avant, si ce n’est moins, joyeuse, souriante, rayonnante de gaieté et d’énergie, vous voilà bien peinée dans cet état. Fade, vos sourires sont pâles et amères. Le sommeil, voilà ce qui vous fait défaut. Vous essayez, pourtant, de pallier à ce manque, mais rien n’y fait : la fatigue vous abat, et vous dépérit chaque jour un peu plus, vous qui fûtes naguère lys, il semble que maintenant, vos fleurs aient fané. Des cernes sont apparus sous vos yeux, qui pourtant exprimaient si bien votre franchise, votre honnêteté – qui, pour autant, n’ont pas disparu ; elles sont juste soufflées par cette fatigue croissante. Votre sympathie timide a comme été recouverte de poussière, on l’a enterrée sous des dehors plus bourrus, plus renfermés sur soi-même. Pour autant, vous avez comme développé un délire, une transe divine, qui vous fait devenir encore plus autre. Une folie, là encore, dû à cette perte physique… il vous est arrivé, dernièrement, à quelques reprises, de ne plus vous contrôler, de laisser exprimer vos nerfs, de trembler, d’abord, puis, sans pouvoir vous mesurer, de devoir bouger vos membres, d’exprimer des propos incohérents. De frapper, de vos frêles bras, en étant plus dangereuse pour vous que pour d’autres. Mais la crise passée, sans dommages, vous revenez à vous, vous vous confondez en excuses, vous vous inquiétez de savoir combien de temps encore vous pourrez supporter cela…

Mais aujourd’hui, vous espérez que cela va changer. Que vous pourrez maîtriser cette chose, ce… « pouvoir ». C’est aujourd’hui que vous entrez à l’Institut. Vous vous souvenez bien de quand votre mère, et beau-père, ont décidé de vous y envoyer.
Aimants parents, mais également légèrement égoïstes, ils voulaient vous préserver, tout en se préservant, eux. Qui sait ce que ce pouvoir pourrait leur faire ? Et vous faire, aussi ? Alors, ils ont tout de suite entrevu la solution… vous envoyer là-bas. Vous promettant de venir vous voir, parfois, de passer du temps avec vous, quand ils séjourneront en Amérique. Et puis, espérent également que vous reviendrez, apaisée.
Vous avez fait le voyage, alors. Et c’est aujourd’hui, enfin… que vous y rentrez. Vous sortez de la salle de bains, exténuée, regardez le réveil. « 5:00 », indique-t-il. Il fait encore nuit. Mais vous ne pouvez pas vous rendormir… vous en avez bien trop peur. Et puis, vous ressentez le besoin de bouger.
Apparemment, l’Institut est à deux pas d’ici. Vous regardez vos affaires, le sac à peine déballé.
Alors, vous le prenez, et, sortant de la chambre, la fermant à clé, vous rejoignez cette Institut, où vous espérez atteindre la délivrance…

Signes particuliers :
Aucun.

Ambitions : Ambitions est un terme que vous préférez, non ? Si l’on vous parlait de rêve… une sorte de folie s’emparerait de vous, vous crierez que vous souhaitez ne plus jamais connaître cela. Mais n’est-ce pas cela, votre rêve ? Votre ambition ? Votre ambition, c’est d’abord de se débarrasser de cette hantise, qui vous oppresse… de pouvoir enfin dormir en paix. Que ce soit en vous débarrassant de ce pouvoir, ou en le maîtrisant. Si ne serait-ce que cela arrive… vous pourrez réellement penser à vous tourner vers l’avenir.


Dernière édition par le Dim 14 Oct - 14:27, édité 2 fois
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Sinéad O'Hegarty
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MessageSujet: Re: O'Hegarty Sinead   O'Hegarty Sinead EmptyDim 14 Oct - 0:47

Première évolution, Niark ! Razz

Donc, j'avais prévu un plan (voir quatre posts plus haut), à la base, mais je me demande si je ne vais pas le modifier légèrement...

Donc je demande l'autorisation de pouvoir mélanger le deux et le trois, comme suit :

Citation :
A ce stade, donc, elle pourra maîtriser ses rêves (ne faire plus que des rêves lucides, ça lui fera un peu de calme)... sauf qu'elle commencera aussi à s'immiscer (de temps à autres...) dans les rêves des autres, sans qu'elle ne contrôle rien, mais rien du tout, pas plus qu'au tout début de son pouvoir.

En somme, elle va devenir le cauchemar de tout l'institut ! Sympa non ? Mr. Green

Enfin, si un admin me valide xD. Vous m'autorisez ? *Yeux clignotants.*

(Sinon, bah... j'en reviens à mon plan de départ. ^^)

Au fait, j'aurais besoin d'un des admins (ou modos, mais bon, maintenant il y en a plus alors bon xD) pour préciser un peu mon pouvoir en fait... définir exactement ce qu'il pourrait faire... (je parle de ce que je nomme l'interaction physique, le pouvoir qui fait que ce qu'elle rêve et qui la concerne (ou plutôt concerne son physique), elle, Sinead O'Hegarty, devienne réalité...)

Pour aider un pauvre joueur à définir le pouvoir de son perso, merci de prendre contact par MP ou par MSN xD. (Mon adresse est dans mon profil, évidemment. - Par MSN, ça irait plus vite je pense... donc bon... non ? ^^)

Voilà, c'était long, mais c'est parce que j'aime monologuer !

P-S : Si on pouvait supprimer les posts en trop aussi. <_<
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Alex
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MessageSujet: Re: O'Hegarty Sinead   O'Hegarty Sinead EmptyDim 14 Oct - 11:02

Ok bon, pour l'évolution ... j'hésite ......


...... Mr. Green

Non j'déconne ^^

Evolution validée
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MessageSujet: Re: O'Hegarty Sinead   O'Hegarty Sinead EmptyDim 14 Oct - 14:28

xD Merci m'sieur !

~ La la la...

Edit : Le "la la la", c'est pour Sinead. Pas pour vous. Mr. Green
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